Exemples de paradoxes
postkeynésiens
La hausse de la demande fait baisser les coûts unitaires et les prix
La hausse du salaire minimum ou du salaire réel fait augmenter
l’emploi
La hausse du salaire réel fait augmenter le taux de profit
macroéconomique
La baisse des taux d’épargne fait ralentir la croissance
La baisse des taux d’épargne ou la hausse du déficit fiscal ne fait
pas grimper les taux d’intérêt
Il ne peut y avoir d’offre excessive de monnaie
La flexibilité des prix peut empirer la situation
Les évaluations de contingence, même quand les gens donnent
honnêtement leur opinion, peuvent ne pas refléter adéquatement les
préférences des agents