1. Les fondements et manifestations de la puissance de l’Église.
Une formidable capacité d’accumulation des terres et des biens …(Église
comme seigneur, dons des nobles, rôle économique)
…légitimé par un pouvoir spirituel de médiation (Salut, purgatoire, rôle du
clergé –charité, assistance, sacrements - , église, art) EDC : Une cathédrale
Les effets de la réforme grégorienne : l’Église s’est totalement adaptée à
àla société féodale pour en devenir la puissance dominante (Baschet)
C’est un acteur essentiel du mouvement d’expansion de la
chrétienté (croisade, évangélisation, pèlerinage)
2. L’affirmation de la papauté et la forte centralisation du clergé
L’organisation ecclésiale hiérarchisée et territorialisée
Centralisation et théocratie pontificale (papes, croisades, capacités
d’intervention multiformes, théocratie, décrétales)
Une prétention temporelle et spirituelle contestée (Lutte du Sacerdoce et
de l’Empire, opposition avec la monarchie capétienne, Avignon, l’échec de la
théocratie pontificale)
EDC : un pape
3. Un cadre - acteur contesté qui renforce son contrôle sur des comportements
et des consciences.
Renforcement du contrôle sur les fidèles, enracinement social (paroisse,
confession, dîme, temps, sexualité, parenté, confrérie …)
La lutte contre l’hérésie qui renforce la prédominance de
l’Église (évangélisme, valdéisme, catharisme, ordres mendiants, Latran IV,
inquisition, s’adapter au monde urbain et marchand)
Un monopole culturel contesté, qui tend à rigidifier la réflexion de l’Église
(université, laïcisation de la culture, perte du monopole de l’écrit, scolastique)
Un texte, le concile de Latran IV