Presentation EUROVAL PLUS

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EUROVAL PLUS
FCP
Actions Européennes
« Situations Spéciales »
Mars 2008
Sommaire
2
1.
Politique de Gestion
2.
Méthodologie de Gestion
3.
Les chiffres clés
4.
Caractéristiques du fonds
5.
Revue de Presse succincte
6.
Annexes
1. Politique de Gestion

EUROVAL PLUS est un fonds actions européennes
(zone Euro- éligible au PEA) dont l’objectif est une
performance supérieure à celle de l ’EUROSTOXX 50.

Approche « bottom up » de sélection de valeurs :
–
–
–
3
susceptibles de bénéficier des effets d’une restructuration
fortement sous-valorisées par rapport à leur valeur intrinsèque
pouvant faire l’objet d’une opération sur le capital : OPA,OPE...
a) Les sociétés en restructuration :
cibles potentielles

Événements déclencheurs : crise financière, crise sectorielle…

Conséquences sur le cours :
–
–
–

Perte de confiance des actionnaires
Ventes massives des titres
Fort décalage des cours
Solutions pour l’entreprise: se restructurer
–
Quelle que soit la forme de la restructuration, l’objectif est qu’elle permette à
l’entreprise de survivre et de se redéployer :





4
Nouveau management
Assainissement ou restructuration du passif
Rationalisation de l ’outil de production
Réduction des coûts
Recentrage sur l ’activité la plus créatrice de valeur...
a) Les sociétés en restructuration:
cibles potentielles

Notre démarche de sélection des valeurs
–
Identifier les problèmes confrontés


–
Analyser la stratégie de l ’entreprise
–
Étudier la faisabilité des solutions envisagées




–
Les restructurations sont-elles en rapport avec les problèmes confrontés?
Les restructurations permettront-elles à l ’entreprise de se redéployer?
Y aura t-il création de valeur?
La valorisation actuelle permettra t-elle une marge d ’appréciation significative?
Timing de l ’investissement et objectif de valorisation



5
Exogènes : Marchés, secteur, tiers...
Endogènes : management, endettement, outil de production...
Fixer un niveau de cours pour l ’achat et pour la vente
Investir avant l’annonce de la restructuration effective afin de mieux profiter de
l ’appréciation du cours
Attention aux faux départs! Certaines situations difficiles nécessitent plusieurs rounds
de restructurations (augmentation de capital, refinancement…). Il convient d ’essayer
de viser le dernier round.
a) Les sociétés en restructuration:
cibles potentielles

Quelques exemples de sociétés en restructuration détenues
(ou ayant été détenues) en portefeuille
Alstom
Abb
Alcatel
Altran
Bull
Cap Gemini
César
Converium Holding
Atos Origin
6
Ericsson
Groupe Open
Karstadt Quelle
Marsh MC Lennan
Osiatis
Penauille Polyservices
Rhodia
Scor
Vivendi
b) Les sociétés sous-valorisées :
cibles potentielles

Le marché financier évolue par phases.
–
Lors de celles-ci, certaines valeurs sont sous-valorisées et certaines
survalorisées, notamment du fait d’un effet mode (par exemple : décote des
holdings qui peut évoluer de 40% à 0%).

Notre stratégie consiste à investir dans ces valeurs sousvalorisées avant que le marché ne corrige les écarts.

Démarche axée sur le concept de « Value ».
–
Il s’agit de faire la différence entre la valeur et le prix


–
Nous sélectionnons les valeurs à l’aide d’indicateurs d ’évaluation...



7
Les marchés ne sont pas parfaits, les valorisations ne reflètent pas toujours la valeur
de l’entreprise.
Cette méthode permet de résister aux excès de marché et d ’éviter les pires erreurs.

Le PER
Les multiples de CA et d ’EBIT
Le rendement, la récurrence des cash-flows
Capitalisation/Actif net réévalué
b) Les sociétés sous-valorisées :
cibles potentielles
–
…à l’aide d ’informations essentielles





–
Nous recherchons les éléments expliquant la faible valorisation des valeurs
sélectionnées et nous les comparons à leur secteur.
–
Nous analysons les capacités de l’entreprise à réaliser les objectifs attendus
compte tenu de son management et de l’environnement économique, sectoriel
et financier de l’entreprise.
–
Nous recherchons les événements (catalyseurs) pouvant contribuer à une
revalorisation de la société:


8
L ’évolution des valorisations dans le temps
Les parts de marché
Engagements hors bilan
Clarté et fiabilité de l’information financière
Qualité et participation du management dans le capital
Événements exogènes : changement de cycle économique, contexte monétaire,
environnement sectoriel...
Événements endogènes : mouvements dans l’actionnariat, nouveau management,
restructuration de l ’endettement...
c) Les sociétés susceptibles de faire l’objet d’une
opération sur le capital : cibles potentielles

9
Contexte propice aux opérations sur le capital :
–
Les taux d’intérêts sont relativement bas
–
Les valorisations des sociétés sont attractives
–
Certaines sociétés familiales sont susceptibles d’être retirées de la côte.
–
Le désendettement des entreprises a été important
–
Les niveaux de ROE sont élevés en Europe : >16% (en 2007)
–
La morosité de la croissance rend la croissance externe comme seule
alternative pour les entreprises
–
Les fonds de private equity regorgent toujours de liquidités.
c) Les sociétés susceptibles de faire l’objet d’une
opération sur le capital : cibles potentielles

Objectif de notre stratégie :
–

Notre démarche: sélectionner les valeurs en analysant principalement
–
–
–
–
–

10
Investir dans des valeurs susceptibles d’être la cible d ’une opération sur le
capital afin de bénéficier des plus values potentielles.
L ’actionnariat de l ’entreprise: bloc de contrôle, actionnariat diffus, possible
sortie du majoritaire, conflits entre les actionnaires principaux, société
familiale…
La taille de l’entreprise
La valorisation de l’entreprise et son positionnement sur le secteur (prédateur
ou proie)
Le management de l’entreprise: potentiel d’évolution de la gestion
L’intérêt d’une éventuelle opération: fiscal, comptable ou industriel...
Cette stratégie nécessite d’anticiper la réaction des marchés afin de
profiter de la hausse des cours et de limiter la perte au cas où rien ne
se passe.
c) Les sociétés susceptibles de faire l’objet d’une
opération sur le capital : cibles potentielles

11
Les OPA récentes ayant contribué à la performance du Fonds
Acquéreur
Cible
AS WATSON
BNP PARIBAS
BNP PARIBAS
Clayton Dubilier & Rice, Eurazeo,
Merill Lynch Global Private Equity
FRANCE TELECOM
GAZ DE FRANCE
GENERALI
HBI
KKR
LOGICA
STARWOOD CAPITAL
SUEZ
ALLIANZ
IMPERIAL TABACCO
PENAUILLE POLYSERVICES
VIVENDI
MARIONNAUD
BANCA NAZIONAL DEL LAVORO
GALERIES LAFAYETTE
REXEL
EQUANT
SUEZ
AMB GENERALI
ELIOR
PAGES JAUNES
UNILOG
LOUVRE
ELECTRABEL
AGF
ALTADIS
CFF RECYCLING
NEUF CEGETEL
2. Méthodologie de gestion

Un savoir faire :
Christian GINOLHAC dispose de plus de 25 ans d’expérience de gestion.
•
•
•
•

Études approfondies des Business Plan
–
–

Dans les cas de restructurations lourdes, il pourra être fait appel aux
compétences d ’analyse des équipes de private equity de QUILVEST.
Des rencontres avec les dirigeants des entreprises concernées sont également
effectuées afin de confirmer les choix d’investissement.
Règles de gestion :
–
–
12
Ingénieur de Centrale Paris et MBA
Membre de la SFAF et de l’AGPP
Ancien DG de la Banque Vernes
Président de Gaspal Gestion
Fixation d’un maximum de détention par ligne dans le fonds, afin de diversifier
les risques : 4%.
Fixation d ’un stop-loss à 20% de baisse par rapport au prix de revient.
3. Les chiffres clés
13

Performances du fonds depuis sa création

Principales lignes actions au 31/03/2008
3. Les chiffres clés

14
Répartition sectorielle (au 31/03/2008)
3. Les chiffres clés

Répartition géographique du portefeuille action (au
31/03/2008)
15
3. Les chiffres clés

Répartition des actions détenues par capitalisation boursière
(au 31/03/2008)
16
4. Caractéristiques du fonds
FCP de droit français « Actions européennes », éligible au PEA
Code ISIN : FR0010072678
Valorisation : hebdomadaire
Devise : Euro
Frais de gestion : 2.20%
Date de création : 28 Mai 2004
Société de Gestion :
– GASPAL Gestion
Promoteurs :
– GASPAL Gestion
– QUILVEST Banque privée
Dépositaire :
– CM-CIC Securities
Objectif de gestion :
Recherche de performance en valeur absolue, à moyen terme,
supérieure à la progression de l ’Eurostoxx 50.
17
5. Revue de Presse succincte
Les Echos , 30 avril 2008.
Les fonds souverains pèsent 3.500 milliards de dollars
18
« Armés de tels montants de liquidités, qu'ils n'ont pas à rembourser, les fonds souverains sont les
nouveaux maîtres de cérémonie de la finance », estime un expert de Global Insight. La formidable
croissance des fonds souverains ne se dément pas. Alors que l'Arabie saoudite se prépare à entrer dans le
secteur en envisageant un fonds dotés d'un capital initial de 5,3 milliards de dollars, le rapport trimestriel du
cabinet d'analyse Global Insight publié lundi évalue à 3.500 milliards de dollars en 2007 leur taille globale.
Sur les trois dernières années, leurs réserves ont progressé en moyenne de 24 %. A ce rythme, indique le
cabinet américain, la puissance financière de ces fonds d'investissement dépassera le produit intérieur brut
des Etats-Unis en 2015, et celui de l'Union européenne d'ici à 2016. « Armés de tels montants de liquidités,
qu'ils n'ont pas à rembourser, les fonds souverains sont les nouveaux maîtres de cérémonie de la finance,
où ils prennent la place des «hedge funds» et autre fonds d'investissements, et outrepassent les banques
centrales dans leur rôle de prêteurs internationaux de dernier ressort », a estimé Jan Randolph,
responsable du risque souverain à Global Insight. Selon ce rapport, les fonds souverains ont injecté 80
milliards de dollars dans le secteur bancaire aux Etats-Unis en 2007. Les tensions inflationnistes qui se
sont intensifiées dans la plupart des pays dotés de fonds souverains motivent l'investissement à l'étranger
plutôt que sur le sol national. A l'échelle mondiale, 93 % des investissements ont été dirigés vers le
secteur financier occidental. Mais les fonds s'intéressent de plus en plus au secteur minier et à l'énergie,
relève le rapport. Rien qu'en janvier 2008, le montant total des acquisitions réalisées par des fonds
souverains s'est élevé à 20,6 milliards de dollars, soit près du tiers des opérations de fusions-acquisitions
de l'année 2007. La Chine, forte de ses réserves de change de quelque 1.700 milliards de dollars, reste le
pays le plus puissant, son fonds souverain est doté d'environ 1.200 milliards de dollars. Suivent la Russie,
le Koweït, Taiwan et le Brésil . Néanmoins, au cours des cinq dernières années, les pays ayant enregistré
la plus forte croissance de leur fonds sont le Nigeria (+ 291 %), Oman (+ 256 %), le Kazakhstan (+ 162 %),
l'Angola (+ 84 %), la Russie (+ 74 %) et le Brésil (+ 65 %).
5. Revue de Presse succincte
La Tribune, 27 Septembre 2007
La vague de rachats d'entreprise a atteint des niveaux record ces dernières années. La
consolidation de certains secteurs, l'émergence du private equity et la montée en puissance des
pays émergents expliquent le phénomène.
19
5. Revue de Presse succincte
La Tribune, 27 Septembre 2007 (suite)
Trois facteurs expliquent le phénomène, motivé par la nécessité de créer de la valeur. D'une part, les
opérations de consolidation dans l'ensemble des F&A sont devenues majoritaires, passant de 48,7 % en
2000 à 71,4 % en 2006. " La consolidation, c'est-à-dire la fusion dans un même secteur, est une spécificité
de la nouvelle vague, après celle d'Internet ", remarque Jérôme Hervé, vice-président au bureau de Paris
du Boston Consulting Group. Ce mouvement de consolidation est avant tout guidé par les synergies dans
la structure des coûts des entreprises et est soutenu par le phénomène de la mondialisation, de la
tendance à la déréglementation et de la bonne trésorerie d'un grand nombre de sociétés.
D'autre part, le rôle croissant joué par le private equity (PE) : la part de ces acteurs dans la valeur totale
des transactions est passée de 6 % à 24 % entre 1996 et 2006. En 2000, ils intervenaient à hauteur de
160 milliards de dollars, en 2006, à 650 milliards de dollars. Réputé disposer de moyens financiers leur
permettant d'acquérir au prix fort leur proie, les sociétés de PE paient comparativement moins cher leurs
acquisitions que les groupes soumis à une logique de consolidation. " Cela s'explique par la différence des
stratégies, les premières ont pour objectifs les cash-flows futurs tandis que les seconds visent les
économies futures ", fait valoir Jérôme Hervé.
Enfin, les marchés émergents alimentent le boom des F&A : si l'Amérique du Nord compte toujours pour
une large part (46,5 %) suivie de l'Europe (29,5 %), il est remarquable que les fusions-acquisitions dont
Chine et Inde sont parties prenantes grossissent en valeur au rythme annuel de 20,4 %.
Outre ces trois tendances majeures, les opérations hostiles sont perçues plus favorablement par les
investisseurs aujourd'hui que durant la précédente période (1997-2001). La logique de la consolidation y
concourt. L'acquéreur cherche à augmenter la productivité en évitant le doublon du management et en
mettant en oeuvre les meilleures synergies. et en rationnalisant les coûts.
20
5. Revue de Presse succincte
Les Echos week-end, vendredi 26 et samedi 27 janvier 2007
OPA : Toujours et encore ! Alors qu’en 2006 les fusions-acquisitions ont dépassé le pic de l’année 2000,
2007 sera de nouveau une année riche en OPA.

Les professionnels de la gestion s’attendent à ce que 2007 soit, tout comme 2006, surtout marquée par
des acquisitions pures et simples, avec une nette augmentation des OPA hostiles émanant tout autant des
sociétés européennes que des fonds d’investissement ou des industriels émergents. Sous l’influence
grandissante de ces nouveaux acteurs, les OPA ont battu de nouveaux records l’an passé, les transactions
totalisant 3,6 milliards de dollars, contre 3,4 milliards en 2000.
21

Tous les gérants de fonds spécialisés dans les fusions-acquisitions prévoient que 2007 sera de nouveau
une année riche en OPA, touchant potentiellement toutes les tailles de capitalisations et tous les secteurs :
finance, automobile, médias, luxe, les services informatiques… Ce vaste choix sectoriel présente
clairement un avantage , à savoir de permettre une plus grande sélectivité.

Pour autant, 2007 ne sera pas similaire en tout point à 2006. Alors que les cours des prédateurs se sont
souvent comportés aussi bien que ceux des cibles l’an passé, les gérants sont désormais plus partager sur
ce point. Pour Olivier Cassé, «il reste possible de se positionner sur les prédateurs, et pas
systématiquement sur les cibles, dans la mesure où les opérations font rapidement augmenter le bénéfice
par action grâce aux conditions de financement favorable. De plus le marché est très liquide et les
acquéreurs peuvent aisément trouver des repreneurs pour les activités jugées non stratégiques. »
5. Revue de Presse succincte
Investir n°1723, Samedi 13 Janvier 2007
OPA : encore du potentiel : La trentaine d’OPCVM qui misent sur les opérations financières à
globalement bénéficié d’une année 2006 record pour les fusions-acquisitions.

Comme annoncé par les gérants de fonds dits de ‘situations spéciales’, l’année 2006 s’est avérée un
excellent cru pour les opérations financières. Le marché mondial des fusions-acquisitions a bondi à un
niveau inégalé de 3,6 milliards de dollars, battant le record de l’an 2000 de 3,4 milliards de dollars. A
l’instar de 2005 où elle s’est amorcée, la reprise des opérations financières prend sa source à la fois dans
la bonne santé générale des entreprises, dans un environnement monétaire favorable, de taux d’intérêt
bas et de valorisations boursières raisonnables.
22

Les gérants de fonds dits de ‘situations spéciales’ sélectionnent au cas par cas, avec des convictions
marquées, des actions d’entreprises qui, du fait de leur ‘situation spéciale’, présentent un potentiel
important d’appréciation. Derrière l’appellation ‘situation spéciale’ figurent des circonstances
exceptionnelles comme les OPA (offres publiques d’achats), mais aussi, plus souvent, des restructurations
financières ou opérationnelles. Même en l’absence d’une forte activité dans le domaine des seules OPA,
ces fonds typés s’en sortent plutôt bien, y compris dans la durée et dans des circonstances de marché
variées.

Cette année encore des gérants spécialisés se disent optimistes quant aux perspectives de la thématique.
‘L’activité des fusions et des acquisitions’, estime H. Mangin, gérant d’Axa Europe Opportunités, ‘va
continuer à soutenir les marchés boursiers européens. L’environnement reste attrayant avec des taux
d’intérêt bas et des entreprises dont les bilans sont sains et qui vont chercher à faire de la croissance par
des opérations externes’.
Conclusion :

En 206, la déferlante des fusions-acquisitions a gagné presque toutes les branches de l’activité
économique… … A l’origine d’une grande partie de la performance des fonds ‘situations spéciales’ l’an
dernier le thème des OPA devrait encore faire mouche en 2007.
5. Revue de Presse succincte
Le journal des finances, Janvier 2007
Les fonds « situations spéciales » surfent sur la vague des OPA

Restructuration, fusion, recapitalisation, situation spéciale…, autant d’éléments fréquemment mis en avant
pour expliquer la croissance des cours de Bourse. On peut se demander si les opérations stratégiques
portant sur le capital des entreprises, et qui ne se limitent plus aux PME, sont la conséquence d’un excès
de liquidités dans le marché, de taux d’intérêt peu élevés ou même d’un simple effet de mode. Les gérants
de fons spécialisés sur les entreprises pouvant faire l’objet d’une restructuration ou d’une OPA, pour leur
part, se déclarent confiants dans l’avenir de ce thème, qui a généré des gains mirifiques l’année passée.

Les opérations devraient continuer à animer le marché en 2007. « Les OPA n’ont porté que sur 10% de la
capitalisation en 2006 alors qu’elles avaient atteint 15% en 1999 », souligne Julien Bonnin, cogérant de
Caam Actions Restructurations, FCP de Crédit Agricole Asset Management, qui a gagné 30% l’an dernier.
Il serait donc exagéré de parler de bulle financière.

Autre signe de la confiance des sociétés de gestion pour le thème des situations spéciales, Edmond de
Rothschild Asset Management vient à son tour de lancer un produit sur ce thème. Appelé Saint-honoré
Europe Synergie, ce FCP est confié à Philippe Lecoq, qui pourra allouer jusqu’à 50% du portefeuille aux
valeurs en restructuration financière ou interne, la majeur partie étant dédiée aux fusions acquisitions.
Conclusion :

Préférer les équipes qui ont fait leurs preuves : Les performances passées ne préjugent pas du résultat
futur. Dans le cas des fonds spécialisés sur le thème des situations spéciales, les performances mettent
cependant en exergue le savoir-faire d’équipe de gestion à opérer des choix judicieux année après année.
23
5. Revue de Presse succincte
CM-CIC Securities Flash, 18 Octobre 2006
L’envolée des OPA accompagne la montée en gamme des champions mondiaux

Dans un univers mondialisé et libéralisé, l’envolée des fusions et acquisitions depuis trois ans accompagne la
montée en puissance de champions nationaux, régionaux, voire mondiaux. En France l’Etat actionnaire reste
la « nurserie » des futurs champions, ailleurs, ce sont notamment les fonds de pension qui commandent
l’ancrage territorial.
Un écosystème de champions mondiaux sans cesse remis en question

A la traditionnelle division internationale du travail, se substitue désormais une organisation matricielle où les
lignes représentent les territoires et les colonnes les pôles d’excellence. Rien n’est jamais acquis, compte
tenu de la poussée des OPA hostiles qui se donne libre cours et qui amène à prévoir des stratégies de
réponse.
Première parade aux OPA hostiles, les arsenaux juridiques sont lourds mais peu efficaces

Ce type d’arsenal comporte trois séries d’instruments : les directives anti-OPA, la constitution de fonds de
pension à l’anglo-saxonne, et enfin, l’intervention directe de l’Etat au titre des secteurs dits « stratégiques ».
Leur efficacité pratique est faible, en raison notamment du biais de plus en plus libéral des autorités de
régulation supranationales.
La vraie parade : les OPA de précaution

L’arsenal juridique montrant ses limites, la véritable dissuasion nous paraît résider dans la course préalable à
la taille… et dans les OPA « de précaution »…L’effervescence qui affecte les services électriques et gaziers
allemands, espagnols et français, les banques italiennes, la pharmacie allemande, le pétrole ou
l’aéronautique européenne témoigne du caractère désormais incontournable des OPA de précaution.
24
Conclusion :

Dans un environnement 2007 d’atterrissage-redécollage en douceur, les OPA de précaution seront un
facteur de soutien des marchés d’actions.
5. Revue de Presse succincte
Catalyseurs favorables aux
fusions et acquisitions
Coût de financement attractif
Cibles potentielles :
–
Valorisation boursière attractive
Fonds d’investissement :
–
Excès de capitaux disponibles
Entreprises :
–
Forte Capacité de Financement
19/10/2006
25
5. Revue de Presse succincte
Boursorama, 05 septembre 2006
«OPA: la saga devrait se poursuivre en 2007 »
26

« On constate que très peu de secteurs échappent aux fusions acquisitions. Le secteur des produites de
base risque de rester propice à de telles fusions. Les producteurs de tels produites, énergétiques ou non,
ont une réelle amélioration de leurs termes de l’échange, c’est-à-dire que le prix relatifs de leurs produits à
fortement augmenté, plus que la moyenne. Le secteur bancaire compte également de très nombreuses
entreprises aux profits démesurés. Ces entreprises profitent de taux longs comme les obligations qui sont
relativement bas. Les opérations de fusions acquisitions coulent de sources dans un contexte si propice.»

« A partir du moment où il n’y a pas de fonds de pension ni même de gros investisseurs institutionnels qui
contrôlent tout ou partie de l’actionnariat de l’entreprises alors celle-ci est très exposée à un mouvement de
rapprochement. Le seul moyen d’échapper à un rachat, c’est d’avoir des noyaux durs d’actionnaires ou un
investisseur majoritaire clairement identifié. Dés qu’il y a un flottant conséquent dans une société, comme
c’était le cas d’Arcelor, vous devenez une proie ».
5. Revue de Presse succincte
Boursorama, 05 septembre 2006
«OPA: la saga devrait se poursuivre en 2007 »
27

« On constate que très peu de secteurs échappent aux fusions acquisitions. Le secteur des produites de
base risque de rester propice à de telles fusions. Les producteurs de tels produites, énergétiques ou non,
ont une réelle amélioration de leurs termes de l’échange, c’est-à-dire que le prix relatifs de leurs produits à
fortement augmenté, plus que la moyenne. Le secteur bancaire compte également de très nombreuses
entreprises aux profits démesurés. Ces entreprises profitent de taux longs comme les obligations qui sont
relativement bas. Les opérations de fusions acquisitions coulent de sources dans un contexte si propice.»

« A partir du moment où il n’y a pas de fonds de pension ni même de gros investisseurs institutionnels qui
contrôlent tout ou partie de l’actionnariat de l’entreprises alors celle-ci est très exposée à un mouvement de
rapprochement. Le seul moyen d’échapper à un rachat, c’est d’avoir des noyaux durs d’actionnaires ou un
investisseur majoritaire clairement identifié. Dés qu’il y a un flottant conséquent dans une société, comme
c’était le cas d’Arcelor, vous devenez une proie ».
5. Revue de Presse succincte
Paru le 25 Février 2006 dans INVESTIR
28
5. Revue de Presse succincte
Le Journal des finances, semaine du 31 mars 2006
« les niveaux de valorisation incitent à plus de sélectivité » Interview de Christian GINOLHAC


« Plusieurs conditions sont aujourd’hui réunies pour favoriser les opérations financières. Les grands groupes
industriels ont renforcé leur structure financière et sont à même de faire de la croissance externe. En 2005, il y
a eu une trentaine d’opérations dans l’univers des valeurs moyennes. Les deux tiers concernaient des projets
industriels et un tiers des opérations financières. »
« Les sociétés en phase de retournement présentent des opportunités d’amélioration importante de leurs
résultats. Il s’agit à chaque fois de paris réfléchis: je citerai Groupe Flo, Penauille Polyservice, Groupe Open et
Osiatis. »
Paris Match, semaine du 26 janvier 2006
« Misez sur les grandes valeurs » Interview de Christian GINOLHAC


29
« La Bourse est la catégorie la plus attractive des trois grands secteurs, immobilier, obligations, actions. Seuls
les marchés boursiers ont un potentiel de hausse acceptable. Surtout les actions européennes. Elles
s’apprécient grâce aux profondes restructurations qui rendent les entreprises plus profitables. »
« Pour pimenter votre performance, plutôt que de chercher la perle rare parmi les petites ou moyennes valeurs,
chères aujourd’hui, revenez vers les grandes sociétés qui ont beaucoup souffert: Alstom, Alcatel, Carrefour,
Cap Gemini. Suez est également un pari moins risqué »
6. Annexes
30
1.
Fiche mensuelle du fonds
2.
Prospectus simplifié
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