CYCLE COMPTABLE 1. 2. 3. 4. DÉBIT = CRÉDIT REGISTRES COMPTABLES RÉGULARISATIONS CLÔTURE ET ÉTATS FINANCIERS Andrée Lafortune, professeure agrégée Louise Martel, professeure agrégée, associée universitaire KPMG 1 Les registres comptables G.L. Journal ventes Journal encaiss. G.L.A. des clients Journal achats Journal décaiss. Journal général Journal salaires G.L.A. des fournisseurs 2 Le cycle comptable enregistrer les opérations faire les reports au grand livre établir la balance de vérification faire les écritures de régularisation effectuer les reports au grand livre établir la balance de vérification régularisée établir les états financiers: état des résultats, État de l ’avoir du propriétaire, bilan faire les écritures de clôture effectuer les reports au grand livre 3 Liens entre les états ÉTAT DES RÉSULTATS: produits - charges = bénéfice net ÉTAT DES BÉNÉFICES NON RÉPARTIS: solde au début + bénéfice net - dividendes = solde à la fin BILAN: actif = passif + (capital-actions + BNR) 4 Formulation de la théorie comptable Andrée Lafortune, professeure agrégée Louise Martel, professeure agrégée, associée universitaire KPMG 5 La théorie comptable 1. Définitions 2. Normalisation comptable 3. Les approches de la structuration de la théorie comptable 4. Les courants d’influence 5. Les PCGR 6 1. Définitions a) Comptabilité b) Théorie comptable 7 1 a) La comptabilité D’après le dictionnaire de la comptabilité et de la gestion financière, par Louis Ménard Système d’information permettant de rassembler et de communiquer des informations à caractère essentiellement financier, le plus souvent chiffrées en unités monétaires, concernant l’activité économique des entreprises et des organismes; Ces informations sont destinées à aider les personnes intéressées à prendre des décisions économiques, notamment en matière de répartition des ressources; La comptabilité recense les faits et les opérations caractérisant l’activité économique d’une entité et, par des procédés de mesure, transforme ces données brutes en un nombre relativement restreint de renseignements intimement liés et hautement significatifs; 8 1 b) Théorie comptable D’après le dictionnaire de la comptabilité et de la gestion financière, par Louis Ménard Ensemble des principes généraux à l’origine du développement des règles et méthodes comptables généralement admises 9 2. Normalisation comptable 10 3. Approches à la structuration de la théorie comptable Approche déductive Approche inductive 11 4. Les courants d’influence Gouvernement Société Investisseurs et créanciers 12 Société Sciences du comportement Éthique Communication Socio-économique Environnement Politique 13 Investisseurs et créanciers a) b) c) d) Hypothèse de l’efficience du marché des capitaux (HEMC) Théorie de l’entité distincte Théorie de l’intérêt du propriétaire Théorie de la délégation (ou théorie des agences) 14 a) Hypothèse de l’efficience du marché des capitaux (HEMC) Selon cette hypothèse, Le marché des valeurs mobilières tient compte de toutes les informations disponibles Et il réagit presque instantanément et d’une façon objective à toute nouvelle information 15 b) Théorie de l’entité distincte L’entreprise a une existence distincte de celle de ses pourvoyeurs de fonds Pas de distinction entre les capitaux empruntés et les capitaux propres Actifs = Droits à l’actif 16 c) Théorie de l’intérêt du propriétaire Établit une distinction nette entre, d’une part, les créanciers et, d’autre part, les propriétaires L’entreprise agit comme mandataire des propriétaires Les propriétaires possèdent en tant que groupe les éléments d’actif et sont responsables des dettes 17 d) Théorie de la délégation (ou théories des agences) Il existe une relation mandat-mandataire entre les actionnaires et les gestionnaires (la théorie met en évidence les facteurs motivant l’action des gestionnaires qui dirigent l’entreprise sans en avoir la propriété) Les deux parties contractantes sont réputées agir en fonction de leurs intérêts personnels divergents 18 P.C.G.R. Principes comptables généralement reconnus 19 Primauté de la substance sur la forme (selon le dictionnaire de la comptabilité) Les opérations et les faits sont comptabilisés et présentés d’une manière qui exprime leur substance ou la réalité économique qui les sous-tend plutôt que leur forme juridique 20