Géométrie sur la pseudosphère

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Géométrie sur
les surfaces
pseudosphèriques
Naissance du
premier modèle
de géométrie
hyperbolique
Géométrie
intrinsèque des
surfaces (1828)
Géométrie
imaginaire
(hyperbolique)
(1829)
La géométrie des surfaces à courbure
constante négative est la géométrie des
plans de Lobatchesky-Bolyai (1868)
Géométrie
intrinsèque des
surfaces (1828)
La géométrie des surfaces à courbure
constante négative est la géométrie des
plans de Lobatchesky-Bolyai (1868)
Géométrie
imaginaire
(hyperbolique)
(1829)
Forme fondamentale
d’une surface
Directions principales et
courbure intégrale
En chaque point (régulier …) il existe deux
directions du plan tangent, appelées
directions principales, perpendiculaires entre
elles, pour lesquelles la courbure normale
atteint son maximum k1 et son minimum k2
La courbure intégrale en un point
est K = k1k2
Gauss a montré que la courbure
intégrale est déterminée par E, F, G et
leurs dérivées partielles premières.
Les différentes courbures
Courbure géodésique :
Composante sur le plan
tangent. Elle ne dépend que de
la forme fondamentale
Courbure normale :
Composante sur la normale .
Elle donne des informations sur
la « courbure » de la surface
Courbure intégrale :
Son carré est la somme des
carrés des deux précédentes
Géodésiques
Ce sont les courbes
dont la courbure
géodésique est nulle
C’est-à-dire dont la
normale principale est
normale à la surface
Par tout point il passe une
géodésique et une seule ayant
une tangente donnée
Le plus court chemin
entre deux points est
toujours sur une
géodésique, mais il
n’est réalisé que par
une seule géodésique
Isométries locales
Elles sont définies comme
difféomorphismes conservant
la forme fondamentale
Il en résulte qu’elles
transforment les
géodésiques en
géodésiques
Et qu’elles
conservent les
longueurs, les
angles et les aires
Géométrie intrinsèque
Toutes ces propriétés,
entièrement déterminées
par la forme fondamentale
(E, F, G) sont dites
intrinsèques, et définissent
une géométrie intrinsèque
Géométrie
intrinsèque des
surfaces (1828)
La géométrie des surfaces à courbure
constante négative est la géométrie des
plans de Lobatchesky-Bolyai (1868)
Géométrie
imaginaire
(hyperbolique)
(1829)
Première présentation d ’une
géométrie non euclidienne
Les droites sont :
•Soit sécantes,
•Soit parallèles,
•Soit ont une
perpendiculaire
commune.
Par un point
extérieur à une
droite d, il passe
deux parallèles à d.
Lobatchevsky établit ses
formules sur les angles
de parallélisme.
Il existe d’autres objets
qui n’ont pas
d’équivalents euclidiens
comme les horicycles qui
sont des cercles centrés à
l’infini et passant par un
point fini.
Géométrie
intrinsèque des
surfaces (1828)
La géométrie des surfaces à courbure
constante négative est la géométrie des
plans de Lobatchesky-Bolyai (1868)
Géométrie
imaginaire
(hyperbolique)
(1829)
Recherche de la linéarisation des géodésiques
« … les seules surfaces
susceptibles d'être
représentées sur un plan,
en sorte qu'à chaque point
de l'une corresponde un
point de l'autre et qu'à
chaque ligne géodésique
corresponde une ligne
droite, sont celles dont la
courbure est partout
constante (positive,
négative ou nulle). »
(1865)
Les surfaces pseudosphériques
de révolution
La paramétrisation de la tractrice
Le cas parabolique
Le cas hyperbolique
Le cas hyperbolique
Le cas elliptique
Le cas elliptique
Linéarisation des géodésiques de
la pseudosphère
"... toute la région se trouve représentée à l'intérieur d'un
cercle [...] ayant pour origine l'origine des coordonnées et
que nous appellerons "cercle-limite"...
"... Dans cette représentation, aux lignes
géodésiques de la surface correspondent les cordes
du cercle-limite, et en particulier aux lignes
géodésiques coordonnées correspondent les lignes
parallèles aux deux axes de coordonnées."
Linéarisation des géodésiques de la
pseudosphère
La découverte du plan de
Lobatchevski sur la surface
Il existe donc des géodésiques :
Dans cette représentation, les
- points
sécantes
du cercle sont les points
l ’infini
de la surface.
- ànon
sécantes
- ou se coupant à l ’infini
Par un point extérieur
géodésique
il
L ’image à
deune
deux
géodésiques
passe
d ’angle non
nuldeux
sont deux
- au
sensà π,
cordes d parallèles
’angle ni nul
ni égal
de Lobatchevski - à
et réciproquement.
cette géodésique
La pseudosphère n’est qu’une
représentation locale du plan hyperbolique
L’image de la
pseudosphère correspond
à un horicycle du modèle
de Lobatchevski
Les parallèles à
l’équateur sont des
horicycles
concentriques au
L’image
premier de la feuille
principale de la
pseudosphère est un
secteur de l’horicycle.
Changement de l’image de l’origine
par rapport au mémoire de Beltrami
L’origine est plus proche du
point d’abscisse -1,
l ’horicycle est plus grand
Après les limites de la
première feuille on voit
clairement celles de la
deuxième feuille
Le recouvrement de la surface
dans le modèle hyperbolique
Le recouvrement de la surface
dans le modèle hyperbolique
Le recouvrement de la surface
dans le modèle elliptique
Le recouvrement de la surface
dans le modèle elliptique
Construire sur la pseudosphère
Les géodésiques de la
pseudosphère :
ch2(u) + (t+c)2 = k2
Cas des surfaces de type hyperbolique
Les géodésiques de la
surface hyperbolique :
Cas des surfaces de type elliptique
Les géodésiques de la
surface elliptique :
Jouons hyperboliquement
….avec Cabri
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