Même en dehors du 8 mars (Journée de la Femme) on peut célébrer les femmes et en particulier cette femme… Durée environ 20 minutes. Attendez que la musique « grecque ancienne » démarre et cliquez pour avancer Chapitre 1 Une « Femme de Pouvoir » Chapitre 2 « Hypatie » poème de Charles-Marie LECONTE DE LISLE Chapitre 3 Pour en savoir plus sur « Hypatie d’Alexandrie » Chapitre 1 Hommage à une « Femme de Pouvoir », philosophe, astronome, mathématicienne. Née en 370 après Jésus-Christ, morte lapidée en mars 415. http://www.journeedelafemme.org/femmesdepouvoir_f.htm Extrait de "Constellation de la vierge": Hypatie, si je regarde des lumières pures Là-bas en haut, demeure la vierge, Non des mots, des étoiles je déchiffre : Ton discours c’est des phrases de feu. Palladas (Anthologie Palatine, IX, 400) Octavio Paz, l’Arbre parle, 1990. Au quatrième siècle après Jésus Christ, depuis l’antique cité d’Alexandrie en Égypte où tu vécus, très peu de choses nous sont parvenues de toi, chère Hypatie. Cependant les savants, les philosophes et les poètes, à travers les siècles n’ont jamais cessé de te rendre hommage. On a dit de toi que tu étais Minerve réincarnée. Plus près de nous, des philosophes comme Descartes, Newton, Leibniz ont contribué à faire connaître tes travaux. Le 13 janvier 2002, la Nasa donnait ton nom à un jour de son calendrier: http://www.ciel-des-hommes.com/apod.php?_date=020113 Mais quel mystère étais-tu donc pour que ta présence, malgré les rares traces des écrits que nous ayons de toi (quelques lettres, quelques phrases qui ont pu être préservées de la destruction), nous rejoigne de si loin et nous parle toujours? À l’approche de ce que fut ta vie, nous le comprenons davantage et nous ne pouvons nous empêcher d’être émus par la puissance du témoignage que tu nous livres. Tu étais fille d’un mathématicien du nom de Théon, considéré à son époque, comme l’homme le plus cultivé de l’Égypte, il t’apprit tout ce qu’il savait des enseignements de Pythagore, de Platon et de Socrate; tu étudias les théories de Ptolémée, tu étudias l’astrologie, l’astronomie, la philosophie et les différentes religions du monde. Plutarque d’Athènes t’enseigna la théurgie cette science profonde des mages qui fait appel à la connaissance spirituelle des pouvoirs de la nature. Tu fus en Égypte à la tête de la plus importante école de philosophie à Alexandrie où tu enseignas la philosophie naturelle, la musique et les sciences. Les témoignages historiques font mention non seulement de ton intelligence exceptionnelle mais aussi de ta bonté et de ta nature vertueuse, toi dont la beauté émerveillait. Quelques mots simples, empreints d’intériorité et de modestie nous parviennent de toi et traduisent la qualité de ton être : « Soyez bon et gardez votre voix basse. ». Par la profondeur de tes enseignements et ton éloquence, tu devins une grande pédagogue, cherchant à éveiller chacun à sa propre intelligence et nombreux étaient ceux et celles qui venaient des villes éloignées pour t’entendre commenter Platon et Aristote ainsi que les oeuvres des grands mathématiciens. « Réservez votre droit de penser, - écrivais-tu - parce qu’il est préférable de penser incorrectement que de ne pas penser du tout. » Toute ta vie tu as cherché la vérité afin de la transmettre et de la préserver contre les fanatismes de l’ignorance et du dogmatisme religieux. Tu as cherché, dans une époque trouble, empreinte de fétichisme, à éclairer tous ceux qui venaient chercher la sagesse auprès de toi. Et tu exerças une influence majeure sur les plus grands esprits de ton siècle. Tu eus un disciple fameux, Sinécios de Cyrène, à qui tu enseignas les lois de l’univers et la voie de la connaissance intérieure. C’est à travers des lettres que vous vous échangiez que l’on te rencontre un peu. L’on y apprend que tu réalisais certains outils dont l’astrolabe qui servait à l’étude des mouvements des corps célestes, instrument avec lequel tu enseignais l’astronomie. L’on te connaît plusieurs inventions aussi dont un instrument servant à distiller l’eau et l’hydromètre servant à mesurer la gravité de l’eau. Nous n’avons plus les traités majeurs d’astronomie et de mathématiques que tu écrivis, ils furent détruits, mais l’on sait que tu écrivis un commentaire sur Diophante, un traité d’astronomie et un commentaire sur les sections coniques d’Apollonius. On te connaît un important traité d’algèbre et de géométrie. Tu développas, en géométrie, le concept de l’hyperbole, de la parabole et de l’ellipse et les rendit plus accessible à la compréhension. Tu eus en occident un impact profond sur le développement des mathématiques et l’on te considère comme la première femme en occident à avoir eu une influence déterminante sur les mathématiques. Ta quête de la sagesse n’avait d’égale que ton combat pour la liberté de penser et tu dénonças toutes formes de superstitions ou de dogmatismes: « Toutes religions formelles et dogmatiques sont fallacieuses et ne doivent jamais être acceptées comme absolues par quiconque se respecte. » écrivais-tu. Mais au 4 ème siècle après Jésus Christ, à l’époque où tu vécus, régnait l’obscurantisme et le chaos. Les pères de l’Église voyait d’un mauvais oeil que grâce à tes cours sur Platon et sur Plotin, tu révélais les mystères religieux inventés par l’Église, ceux-ci te considérèrent comme dangereuse. De plus grâce à ta connaissance de la théurgie tu instruisis les masses sur les pouvoirs de la nature et expliqua que ce que l’autorité cléricale nommait miracle divin afin de s’assujettir les foules n’était que l’utilisation des pouvoirs de la nature . « Enseigner des superstitions comme des vérités est la chose la plus terrible » peut-on lire de ta main. Il n’en fallait pas davantage pour que Cyrille qui représentait l’autorité de l’Église à Alexandrie, jaloux et envieux de ta popularité auprès du peuple et opposé à Orestes, gouverneur civil de l’époque, auquel tu étais liée d’amitié, fomente un complot. Une meute d’individus brutaux s’insurgèrent contre toi. Sur la place publique, ils lacérèrent tes chairs avec des coquilles d’huîtres avant de brûler ton corps. « Dernière étoile de la sagesse antique » comme te surnomma Helena Petrovna Blavatsky, tu connus la fin tragique des pionnières qui ébranlent les dogmes et ouvrent de nouveaux chemins, mais ton respect de la vérité, ton amour de l’humain dans sa conquête de lui-même te permirent de préserver les lumières d’un savoir afin qu’il parvienne jusqu’à nous. A travers les siècles, ta ferveur est un phare qui transperce les obscurités et certainement tu tiens la lampe de Minerve la Déesse pour guider ceux qui de tout temps cherchent la source lumineuse de la sagesse. CHAPITRE 2 « Hypatie » poème de Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes antiques ) Au déclin des grandeurs qui dominent la terre Quand les cultes divins, sous les siècles ployés, Reprenant de l'oubli le sentier solitaire, Regardent s'écrouler leurs autels foudroyés ; HandsOfShame Quand du chêne d'Hellas la feuille vagabonde Des parvis désertés efface le chemin Et qu'au delà des mers, où l'ombre épaisse abonde, Vers un jeune soleil flotte l'esprit humain ; Toujours des Dieux vaincus embrassant la fortune, Un grand cœur les défend du sort injurieux : L'aube des jours nouveaux le blesse et l'importune Il suit à l'horizon l'astre de ses aïeux. Soul-Daemon Pour un destin meilleur qu'un autre siècle naisse Et d'un monde épuisé s'éloigne sans remords : Fidèle au Songe heureux où fleurit sa jeunesse, Il entend tressaillir la poussière des morts, Les Sages, les héros se lèvent pleins de vie ! Les poètes en chœur murmurent leurs beaux noms ; Et l'Olympe idéal, qu'un chant sacré convie Sur l'ivoire s'assied dans les blancs Parthénons. O vierge, qui, d'un pan de ta robe pieuse, Couvris la tombe auguste où s'endormaient tes Dieux, De leur culte éclipsé prêtresse harmonieuse, Chaste et dernier rayon détaché de leurs cieux ! Je t'aime et te salue, ô vierge magnanime ! Quand l'orage ébranla le monde paternel, Tu suivis dans l'exil cet Oedipe sublime, Et tu l'enveloppas d'un amour éternel. Debout, dans ta pâleur, sous les sacrés portiques Que des peuples ingrats abandonnait l'essaim, Pythonisse enchaînée aux trépieds prophétiques, Les Immortels trahis palpitaient dans ton sein. Tu les voyais passer dans la nue enflammée ! De science et d'amour ils t'abreuvaient encor ; Et la terre écoutait, de ton rêve charmée, Chanter l'abeille attique entre tes lèvres d'or. Comme un jeune lotos croissant sous l'œil des sages, Fleur de leur éloquence et de leur équité, Tu faisais, sur la nuit moins sombre des vieux âges, Resplendir ton génie à travers ta beauté ! Le grave enseignement des vertus éternelles S'épanchait de ta lèvre au fond des cœurs charmés ; Et les Galiléens qui te rêvaient des ailes Oubliaient leur Dieu mort pour tes Dieux bien aimés. Mais le siècle emportait ces âmes insoumises Qu'un lien trop fragile enchaînait à tes pas ; Et tu les voyais fuir vers les terres promises ; Mais toi, qui savais tout, tu ne les suivis pas ! Que t'importait, ô vierge, un semblable délire ? Ne possédais-tu pas cet idéal cherché ? Va ! dans ces cœurs troublés tes regards savaient lire, Et les Dieux bienveillants ne t'avaient rien caché. O sage enfant, si pure entre tes sœurs mortelles ! O noble front, sans tache entre les fronts sacrés ! Quelle âme avait chanté sur des lèvres plus belles, Et brûlé plus limpide en des yeux inspirés ? Sans effleurer jamais ta robe immaculée, Les souillures du siècle ont respecté tes mains : Tu marchais, l'œil tourné vers la Vie étoilée, Ignorante des maux et des crimes humains Le vil Galiléen t'a frappée et maudite, Mais tu tombas plus grande ! Et maintenant, hélas ! Le souffle de Platon et le corps d'Aphrodite Sont partis à jamais pour les beaux cieux d'Hellas ! Dors, ô blanche victime, en notre âme profonde, Dans ton linceul de vierge et ceinte de lotos ; Dors ! l'impure laideur est la reine du monde, Et nous avons perdu le chemin de Paros. Les Dieux sont en poussière et la terre est muette : Rien ne parlera plus dans ton ciel déserté. Dors ! mais, vivante en lui, chante au cœur du poète L'hymne mélodieux de la sainte Beauté ! Elle seule survit, immuable, éternelle. La mort peut disperser les univers tremblants, Mais la Beauté flamboie, et tout renaît en elle, Et les mondes encor roulent sous ses pieds blancs ! Chapitre 3 Pour en savoir plus sur « Hypatie d’Alexandrie » Hypatie d'Alexandrie (en grec ancien Υπατία / Hypatia, v. 370 – 415) est une mathématicienne et philosophe grecque. Son père Théon d'Alexandrie, dernier directeur du Musée d'Alexandrie, est éditeur et commentateur de textes mathématiques. Il éduque sa fille en l'initiant à la mathématique et à la philosophie. Celle-ci a dirigé l'École néo-platonicienne d'Alexandrie. Hypatie fait ses études de sciences, philosophie et éloquence à Athènes. Elle travaille aussi dans le domaine de l'astronomie et de la philosophie. Elle écrit des commentaires sur L'Arithmétique de Diophante, sur Les Coniques d'Apollonius de Perga et sur Les Tables de Ptolémée. Ses exposés publics à Alexandrie, où elle défend les thèses néoplatoniciennes lui valent une grande renommée. Cependant aucun de ses travaux ne nous est parvenu, en particulier à cause de l'incendie final de la Bibliothèque d'Alexandrie ; ceci explique sa faible notoriété. Synésios de Cyrène, un de ses élèves qui était aussi son ami et qui devint évêque de Ptolémaïs, la loue dans ses lettres pour sa grâce (très belle, elle reste vierge d'après la légende) et lui demande des conseils pour construire un hydromètre, un astrolabe ou pour tracer des cartes géographiques. Il lui a écrit : "C'est pour vous seule que je négligerais ma patrie ; et si jamais je puis la quitter, ce ne sera que pour aller auprès de vous" ; et ailleurs : "Quand bien même nul souvenir ne resterait aux morts dans les enfers, moi je m'y souviendrais de ma chère Hypatie" (Lettre 24). Dans une lettre à son père, il dit d'elle: « La philosophe si chère à Dieu et que nous ne saurions trop vénérer » (Lettre 17). L'historien chrétien Socrate le Scolastique rapporte dans son Histoire ecclésiastique : « Il y avait à Alexandrie une femme du nom d’Hypatie ; c’était la fille du philosophe Théon ; elle était parvenue à un tel degré de culture qu’elle surpassait sur ce point les philosophes, qu’elle prit la succession de l’école platonicienne à la suite de Plotin, et qu’elle dispensait toutes les connaissances philosophiques à qui voulait ; c’est pourquoi ceux qui, partout, voulaient faire de la philosophie, accouraient auprès d’elle. La fière franchise qu’elle avait en outre du fait de son éducation faisait qu’elle affrontait en face à face avec sang-froid même les gouvernants. Et elle n’avait pas la moindre honte à se trouver au milieu des hommes ; car du fait de sa maîtrise supérieure, c’étaient plutôt eux qui étaient saisis de honte et de crainte face à elle. ». La mort d'Hypatie En mars 415, elle meurt lapidée en pleine rue par des chrétiens fanatiques qui lui reprochaient d'empêcher la réconciliation entre le patriarche Cyrille d'Alexandrie et le préfet romain Oreste à la suite de conflits sanglants entre diverses communautés religieuses d'Alexandrie. D'après Socrate le Scolastique : « Contre elle alors s’arma la jalousie ; comme en effet elle commençait à rencontrer assez souvent Oreste, cela déclencha contre elle une calomnie chez le peuple des chrétiens, selon laquelle elle était bien celle qui empêchait des relations amicales entre Oreste et l’évêque. Et donc des hommes excités, à la tête desquels se trouvait un certain Pierre le lecteur, montent un complot contre elle et guettent Hypatie qui rentrait chez elle : la jetant hors de son siège, ils la traînent à l’église qu’on appelait le Césareum, et l’ayant dépouillée de son vêtement, ils la frappèrent à coups de tessons ; l’ayant systématiquement mise en pièces, ils chargèrent ses membres jusqu’en haut du Cinarôn et les anéantirent par le feu. Ce qui ne fut pas sans porter atteinte à l’image de Cyrille et de l’Eglise d’Alexandrie ; car c’était tout à fait gênant, de la part de ceux qui se réclamaient du Christ que des meurtres, des bagarres et autres actes semblables. Et cela eut lieu la quatrième année de l’épiscopat de Cyrille, la dixième année du règne d’Honorius, la sixième du règne de Théodose, au mois de mars, pendant le Carême. ». D'après Jean, évêque de Nicée: « En ces temps apparut une femme philosophe, une païenne nommée Hypatie, et elle se consacrait à plein temps à la magie, aux astrolabes et aux instruments de musique, et elle ensorcela beaucoup de gens par ses dons sataniques. Et le gouverneur de la cité l'honorait excessivement; en effet, elle l'avait ensorcelé par sa magie. Et il cessa d'aller à l'église comme c'était son habitude.... Une multitude de croyants s'assembla guidée par Pierre le magistrat – lequel était sous tous aspects un parfait croyant en Jésus-Christ – et ils entreprirent de trouver cette femme païenne qui avait ensorcelé le peuple de la cité et le préfet par ses sortilèges. Et quand ils apprirent où elle était, ils la trouvèrent assise et l'ayant arrachée à son siège, ils la traînèrent jusqu'à la grande église appelée Césarion. On était dans les jours de jeûne. Et ils déchirèrent ses vêtements et la firent traîner (derrière un char) dans les rues de la ville jusqu'à ce qu'elle meure. Et ils la transportèrent à un endroit nommé Cinaron où ils brûlèrent son corps. Et tous les gens autour du patriarche Cyrille l'appelèrent 'le nouveau Théophile', car il avait détruit les derniers restes d'idolâtrie dans la cité.» Et pour en savoir encore plus, lisez les 2 documents Word joints à ce diaporama 1- À la recherche d’Hypatie de John Thorp …« Voici donc l’ensemble de mon image d’Hypatie. Elle ne jouissait pas d’un esprit de génie en mathématiques, bien qu’elle s’y connaissait parfaitement bien en ces matières. Ses écrits étaient comme des manuels de mathématiques et d’astronomie. À ses étudiants de 2e et de 3e cycles elle enseignait le quadrivium – arithmétique, géométrie, astronomie et musique. Elle enseignait ces sujets de façon rigoureuse, en les plaçant dans un cadre platonicien selon lequel ils étaient des matières propédeutiques à un savoir mystique de l’Être. D’ailleurs, elle opérait, dans son enseignement ésotérique, la réconciliation des religions païenne et chrétienne en insistant sur les profondes vérités qu’elles partagent, et en reléguant le reste au statut de noble mensonge. C’était peut-être une réconciliation qui ne pouvait durer. »… 2- « Femmes d’Orient, entre paganisme et christianisme : Hypatie selon Jean Marcel » de Rachel Bouvet Dans le roman de Jean Marcel, la mort d’Hypatie préfigure en quelque sorte la fin des dieux, comme l’indique le sous-titre, la fin du paganisme, mais aussi la fin de la culture grecque, de sa poésie, de sa philosophie, de sa profondeur, de sa sagesse, d’un idéal poursuivi des siècles durant : « On pourra dire que j’y ai vu mourir un monde. Les dieux se meurent, Synésios. Je n’ai que toi à qui le dire. Eux-mêmes n’entendent plus. Nos dieux, nos dieux faits de poèmes et de lumière, les aurais-tu oubliés ? S’ils viennent à disparaître, alors nous disparaîtrons avec eux, et la grande Grèce éternelle ne sera bientôt faite que de ces sentiments simples que provoquent chez les barbares ses victoires et ses défaites. » Quelles sont les conséquences de cette transformation d’Hypatie en sainte Catherine, telle que le propose Jean Marcel ?… Dans le récit de Jean Marcel, la tension entre le paganisme et le christianisme se maintient tout au long, tant et si bien qu’à la fin il devient impossible de distinguer Hypatie de Catherine. Photos: Internet Musique grecque ancienne par l’Ensemble KÉRYLOS: ANONYMES « DE BELLERMANN » cithare solo ; ANONYME Hymne à la Trinité pour voix et instruments à cordes; ATHÈNAIOS, fils d’Athènaios, Péan et hyporchème en l’honneur du dieu Apollon pour chœur d’hommes et tympanon ; EURIPIDE Oreste pour voix, aulos traversier, cithare et kroupeza ; LIMÈNIOS, fils de Thoinos, Péan et prosodion en l’honneur du dieu Apollon pour chœur d’hommes, cithares et tympanon ; MÉSOMÈDE DE CRÈTE Prélude à une Muse chant solo et lyre; MÉSOMÈDE DE CRÈTE Prélude à Calliope et à Apollon chant solo et lyre ; ANONYME Orestie pour chœur d’hommes et cithares ; SEIKILOS Chanson pour voix, cithare et lyre. Daniel 1er juillet 2008 [email protected] Ce diaporama numéro 47 est strictement privé. Il est à usage non commercial.