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Chapitre 9
Entérobactéries
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Les entérobactéries pathogènes pour l’homme
les Salmonella, les Shigella
les colibacilles pathogènes.
Les caractères communs
a). Morphologie et structure
asporulés à gram négatif de 2 à 4 / 0.4 à 0.6 aux
extrémités arrondies.
La plupart ont des flagelles et des pili.
b). Caractères culturaux
facilement sur milieux ordinaires. aérobiesanaérobies facultatifs.
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c). Réaction biochimique
En général, les entérobactéries pathogènes ne
fermentent pas le lactose, Les entérobactéries
non pathogènes le fermentent.
d). Structures antigéniques
antigène 0
antigène H
antigène capsulaire K ou Vi
e). Résistance
fragiles.
f). Variations
la résistance aux antibiotiques.
Escherichia Coli
(colibacilles)
•
•
Des hôtes normaux de l’intestin.
Ils peuvent provoquer des infections
extra-intestinales
dans
certaines
conditions.
•
Certains sérotypes des colibacilles
Provoquent
des
infections
intraintestinales, ils sont dits “colibacilles
pathogènes”.
•
Des colibacilles présence dans le
milieu environnant ou dans l’aliment
signe une contamination fécale.
Caractères biologiques
A part
les
caractères
communs
ils fermentent le glucose et
le lactose avec le gaz.
• Pour le test d’IMViC,
•
le résultat est ++--.
• Pathogénicité et pouvoir pathogène
• 1. Les infections extra-intestinales
•
Par exemple, uréthrite, les
infections rénales, péritonite, septicémie,
cholécystites etc.
• 2. Diarrhées
Cette maladie est causée par quatre
groupes de colibacilles pathogènes.
• E.coli entérotoxigénique, ECET
•
diarrhée des nourrissons et des voyageurs.
•
intestin grêle
• pouvoir pathogène
•
pili :facteur de colonisation ou adhésine
•
entérotoxine thermolabile
•
activation de l’adénylate cyclase;
•
entérotoxine thermostable
•
activation de la guanylate cyclase.
• les entérotoxines sont codés par des plasmides.
• E.coli entéropathogène, ECEP
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•
une diarrhée chez les nourrissons.
intestin grêle
Leur adhésion aux cellules est codée par
un plasmide.
• E.coli entéroinvasine ECEI
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•
des maladies chez les enfants et les adultes.
gros intestin
la capacité d’envahir
codée par un
plasmide
• E.coli entérohémorragiques
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•
sérotype 0157:H7.
une diarrhée hémorragique
chez les enfants de moins de 5 ans.
Non invasifs,
puissantes cytotoxines
toxine du Vero ou toxine de
forme de Shiga.
Examen bactériologique hygiénique de l’eau et
des produits alimentaires.
•
La présence des colibacilles dans l’eau
potable ou dans l’aliment signale une
contamination fécale. Dans ce cas, il est possible
qu’il y ait des entérobactéries pathogènes
•
La surveillance de l’hygiène repose sur la
<<colimétre>> (Germes totaux et coliformes
totaux).
•
Coliformes totaux doivent être inférieurs
ou égaux à 3 dans un litre d’eau potable, 5 dans
100 millilitre des jus en bouteille.
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Shigella
•
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des agents de la
Dysentérie bacillaire.
Caractères biologiques
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A côté des caractères communs,
des bactéries immobiles
Elles fermentent le glucose sans gaz.
La plupart ne fermentent pas le lactose.
Résistance
plus faible
surtout sensibles à l’acide.
facilement se transformer en des souches
résistantes aux antibiotiques.
• D’après antigène 0, quatre sousgroupes et 39 sérotypes.
• 1.
2.
3.
• 4.
•
•
Sous-groupes A ou Shigella dysentérie
Sous-groupe B ou Shigella flexneri
Sous-groupe C ou Shigella boydii
Sous-groupe D ou Shigella sonnei.
Les bactéries de ce groupe fermentent
tardivement le lactose en 3-4 jours
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Pathogénicité
Substances élaborées
1.Pouvoir invasif
des pili
colon
Il est rare
une diffusion hématogène.
2.Endotoxine
hyperthermie un choc toxique.
détruire la muqueuse intestinale
glaires mucosanglantes.
agir sur le système nerveux végétatif
épreinte et ténesme
3.L’exotoxine
toxine de Shiga.
•
Pouvoir pathogène
• La source d’infection
•
les sujets infectés et les porteurs sains.
•
par les matières fécales.
• infection aiguë fièvre,diarrhee,l’emmission de
glaire muco- sanglantes. l’épreintes, le ténesme
• infection chronique. en absence de traitement
•
approprié
• toxi-infection chez les enfants associé troubles
du système nerveux centra
Diagnostic bactériologique
•
Prélèvements
• selles riches en glaires mucosanglantes. solution
tamponnée contenant 30% de glycérine.
•
•
L’isolement et l’identification
• le milieu S.S (Shigella Salmonella),
•
colonies sans couleurs et transparentes
réactions biochimiques
• tests sérologiques.
• Test de “ball” immunofluorescente et
•
coagglutination.
Salmonella
•
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•
des parasites du tube digestif
de l’homme et des animaux.
plus de 2000 sérotypes
l’homme est le seul réservoir:
•
S.typhi, S.paratyphi A,B,C.
• ne se rencontrent que chez l’animal.
• les hôtes naturels sont les animaux et peuvent
contaminer l’homme.
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Caractères biologiques
caractères communs des entérobactéries
des bacilles presque toujours mobiles.
fermenter le glucose avec gaz sauf S.typhi
Elles n’attaquent pas le lactose.
Elles ont l’antigène 0, l’antigène H
L’antigène Vi n'existe que chez trois
sérotypes: S.typhi, S.paratyphi et
S.dublin(肠炎 杆菌).
•
Pathogénicité
•
Substances élaborées
• capacité envahissante
• endotoxine
• entérotoxine( certaines souches).
•
Pouvoir pathogène
• Fièvre entérique (fièvres typhoïdes et
paratyphoïdes)
• Intoxications alimentaires
• Septicémie
• Fièvre entérique
• a). ingérés avec l’eau ou les aliments ,traverser
•
la muqueuse intestinale.
• b). en contact avec les plaques de peyer et les
•
ganglions lymphatiques mésentériques , la
•
phase d’incubation, à peu près 14 jours.
• c). par le canal thoracique et pénétre dans le
sang, la première bactériémie, une température
ascendante avec la dissociation du pouls et
l'existence d'un syndrome digestif, la phase
d'évolution.
• Suite
d). Les bacilles , au foie, à la rate,
aux
reins et à la vésicule biliaire par voie
hématogène, Après, d'une part dans le sang, la
deuxième bactériémie ,en libérant leurs
endotoxines.
• la température, classiquement en plateau,
l'hépato-splénomégalie, les taches rosées la
leucopénie. une partie, gagne le tractus
intestinal par voie biliaire. contaminer le milieu
extérieur,
pénétrer
encore
les
tissus
lymphatiques
intestinaux,
complications
digestives (hémorragie, performations). la
phase septicémique.
• Intoxications alimentaires
•
due à l’absorption d’un aliment
abondamment contaminé par une souche de
salmonella, par exemple: S.typhi murium,
S.cholerae, suit S.enteritidis. La phase
d’incubation, 4-24 heures. Les malades
présentent: diarrhée, vomissement etc.
• Septicémie
•
Cette infection est plus fréquente chez les
enfants et les adultes "fragiles". La maladie est
plus grave.
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Immunité
une immunité solide et durable.
La guérison est fondée sur
l’immunité cellulaire.
Diagnostic bactériologique
• Echantillons
Pour la fièvre entérique,
• le sang aux première et deuxième semaines
d’évolution. A partir de la deuxième semaine les
selles et l’urine. Durant toute la phase
d’évolution, la moelle osseuse.
•
Pour l’intoxication alimentaire, les selles,
le vomi et l’aliment suspect.
•
Pour la septicémie, le sang.
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Culture et identification
Les prélèvements (selles) sont ensemencés
sur les milieux sélectifs.
Après 24 heures d’incubation à 37℃,on
choisit les colonies incolorées, transparentes.
Puis on fait les réactions biochimiques
(milieu gélosé à 2 sucres glucose/lactose).
Enfin, on fait l’agglutination sur lame avec
l’antisérum correspondant.
•
•
Test sérologique
Test de Widal.
• Définition:
•
La recherche quantitative des
• agglutinines avec l’antigène O et H des
• S.typhi et l’antigène H des S.paratyphi
• A,B.
•
• Interprétation des résultats
• a). Le taux normal d’anticorps
• A Shanghai, le titre O est plus grand ou égal à
un divisé par 40,(1:40). H, pour typhi plus
grand ou égal à 1:80, H, pour paratyphi AetB
plus grand ou égal à 1:80,
• b). faire la surveillance de l’altération du titre.
• plus de deux examens à quelques jours
d’intervalle. Si l’augmentation du titre égale ou
dépasse 4 fois le premier titre, on peut établir
le diagnostic.
• Suite
• c). comprendre le sens de l’anticorps 0 et H
•
anticorps O , IgM ,apparaît plus tôt. mais
•
persiste seulement une demi-année.
•
anticorps H,IgG, apparaît plus tard, mais
•
peut persister plusieurs années.
•
Si l’anticorps 0 et l’anticorps H dépassent
les taux normaux. peut-être la fièvre entérique.
•
Si l’anticorps 0 et H ne s’élèvent pas, c’est
impossible de faire le diagnostic.
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•
Suite
Si l’anticorps H augmente, isolément, il
est possible que le malade ait été vacciné par
le vaccin antityphoparatyphoïdique.
Si l’anticorps 0 augmente, mais
l’anticorps H n’augmente pas, c’est le début
d’infection de la fièvre entérique ou une
salmonellose due à un sérotype ayant un
antigène 0 commun avec S.typhi.
Dépistage
• des porteurs de germes
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Il dépend de l’isolement de l’agent
pathogène . Mais on peut d’abord
detecter l’antigene Vi pour la criblage.
Les porteurs constituent d’importantes
sources de contamination.
Principes préventifs et
curatifs
Prévention immunologique:
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Vaccination. autrefois, on utilisait le vaccin
tué. Maintenant, un vaccin atténué buccal et
un vaccin de polyoside Vi ont commencé à être
utiliser. L’efficacité du dernier sont meuilleure
que le vaccin tue.
Le médicament pour la Salmonellose
le chloramphénicol.
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