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- Agitation, maux de tête, vertiges, tremblements, crampe musculaire, confusion psychique,
évanouissement, perte de conscience, faiblesse (asthénie), troubles de la vue, troubles du
langage (aphasie), engourdissements, troubles du goût, paralysie, convulsions et coma. Le plus
souvent, ces phénomènes sont toutefois de courte durée. Les réactions neurologiques plus
graves sont souvent liées aux complications d’une maladie préexistante.
- Cécité passagère, conjonctivite.
- Rythme cardiaque trop rapide ou trop lent (tachycardie ou bradycardie), palpitations, anomalie
de la contraction du cœur (extrasystole), fibrillation ventriculaire, défaillance de la circulation
sanguine (collapsus circulatoire).
- Vasodilatation périphérique, tension artérielle trop faible ou trop élevée (hypotension ou
hypertension).
- Détresse respiratoire (dyspnée), accumulation de liquide dans la muqueuse du larynx (œdème
laryngé), nez bouché, troubles de l’odorat (dysosmie), sensation anormale dans le pharynx et le
larynx (pharyngolarynx), respiration sifflante (stridor laryngé), œdème pulmonaire (présence de
liquide dans les poumons).
- Nausées, vomissements.
- Transpiration, pâleur, coloration bleutée de la peau (cyanose), éruption cutanée (érythème
diffus, rash diffus ou urticaire) et parfois démangeaisons, photosensibilité et rougeurs dans le
visage.
- Une insuffisance rénale transitoire (avec oligurie, protéinurie et élévation du taux sérique de
créatinine) est possible, surtout chez les patients dont la fonction rénale est déjà perturbée au
préalable.
- Frissons, sensation de chaleur, sensation de soif, fièvre, douleur (au niveau du site d’injection,
de la poitrine, du dos).
Une douleur, un saignement et un gonflement (œdème) peuvent apparaître au site d’injection.
L’administration d’ioméprol en dehors de la veine n’induit que rarement une forte réaction des
tissus du corps.
- Anémie hémolytique (dégradation anormale des globules rouges, ce qui peut entraîner une
fatigue, un rythme cardiaque rapide et un essoufflement).
En général, l’absorption d’iode par la glande thyroïde sera réduite durant 8 à 10 semaines. Les
tests thyroïdiens peuvent être perturbés durant cette période (voir rubrique « Utilisation d’autres
médicaments »).
Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin. Ceci s’applique
aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice.
Dans de rares cas, certaines anomalies sont détectées au cours d’analyses médicales
(résultats sanguins, examen de la fonction cardiaque et hépatique).
Des cas d’épilepsie, de douleurs dans les extrémités et la nuque ont été rapportés après
examen de la moelle épinière.
Comme pour d’autres préparations contenant de l’iode, des douleurs pelviennes et des
malaises peuvent survenir après examen du col de l’utérus, des trompes de Fallope et des
ovaires.
18/03/13