APRAS
ASSOCIATION POUR LA RECHERCHE EN ANTHROPOLOGIE SOCIALE
L E T T R E D ' I N F O R M A T I O N
www.mae.u-paris10.fr/apras
n°44 ETE 2008
RAPPORT MORAL
Assemblée g énérale du 24 janvier 2008
I- SITUATION
Membres
Aujourd’hui l’APRAS est dans une
situation stationnaire, du point de vue du
nombre de ses membres. Sur la soixantaine de
membres qui restent inscrits sur nos listes 36
sont à jour de leur cotisation. L’année dernre
lors de l’AG du 14/02/07 nous en comptions
37. Notons que les retardataires finissent par
payer leurs cotisations (51 l’ont fait en 2006).
Nous n’avons pas eu au cours de l’année de
nouveaux inscrits, mais, faible consolation,
nous n’avons pas eu de mission. Nous
continuons donc à fonctionner sur des marges
très faibles qui se réduisent. Notre quorum
aujourd’hui est donc de 24.
CA et Bureau
Le CA (limité à 10 membres depuis
notre dernière AG) et le Bureau élu alors (les
deux se réunissent conjointement) s’est réuni le
29 mai, le 14 juin et le 23 octobre. Ces
réunions ont été relativement moins
nombreuses que les années précédentes pour
trois raisons : au moins deux membres sont
provinciaux avec le problème des
déplacements (coûts, etc.), ensuite les
discussions et les décisions se font de plus en
plus par courrier électronique, enfin une partie
du bureau se retrouvait au comi de
préparation des Assises. Je note au passage que
malgré mes efforts pour organiser une réunion
du CA à Aix-Marseille, je n’y suis pas parvenu
(il y a chaque fois trop d’empêchements du
côté des membres parisiens qui sont
majoritaires).
Je rappelle les fonctions réparties au
sein du bureau :
Charles Macdonald : président, Sophie
Chevalier : secrétaire Birgit Muller : trésorière,
Sophie Houdart : chargée de la Lettre, Sophie
Blanchy : mise à jour site Web, Emmanuelle
Lallement : secrétaire suppléante. Trois
membres du CA arrivent au terme de leur
mandat respectif et se représentent (S.
Blanchy, S. Houdart et E. Lallement), un arrive
au terme de son mandat et ne se représente pas,
moi-même, ce qui fait que nous devons choisir
un remplaçant pour le CA et le bureau, et un
nouveau président. Un appel à candidature a
donné un seul nom pour la présidence (à ce
jour le 22/01), celui de Sophie Chevalier,
actuellement secrétaire, qu’il faudra, si elle est
élue, remplacer dans ce le. Nous devons
donc voter aujourd’hui pour ces deux postes.
Lettre
Trois numéros de la Lettre ont paru, les
deux premiers (41 : hiver 2007 et 42 : été
2007) ont été imprimés et envoyés par la poste.
Le 3e numéro (43 : automne 2007) a été
envo par courrier électronique, puisque
désormais le CA a déci de réduire les frais
postaux importants que représentait cet envoi,
devenu assez superfétatoire de toute façon.
Conférence Robert Hertz
Cette conférence a été done par
notre collègue Yves Delaporte, spécialiste de
la culture sourde et du langage des signes, le
14 juin à l’endroit habituel (EHESS, 105 Bd
Raspail) et a connu un large succès puisque
l’amphithéâtre était quasiment plein. Le public
était constitué en majorité par des sourds venus
assister à cette conférence parce qu’elle était
traduite en LSF. Nous avons fait ce pari (et
cette dépense) et nous avons eu la joie de voir
que le public sourd répondait à cette invitation
(ce qui n’était pas du tout évident au départ).
La satisfaction était grande aussi parce que
notre public s’est élargi et a concerné ceux
mêmes dont il était question dans la conférence
( « Les sourds comme catégorie
anthropologique »).
Le conférencier auquel nous avons
demandé d’assurer la prochaine prestation est
François Laplantine, Professeur à l’Université
de Lyon-2.
Site Web
Il comprend maintenant toutes les
Lettres de 1 à 42, la liste complète des
conférences Robert Hertz et la liste de 61
membres inscrits, à jour ou non de leur
cotisation. La mise à jour de ce site est une
affaire difficile et qui demande du travail, des
moyens, des compétences et l’APRAS en l’état
actuel ne peut se permettre d’avoir un
Webmestre permanent.
Journées d’étude
Il n’y en a pas eu cette année
principalement en raison du fait que se sont
tenues, comme vous le savez, des « super
journées d’études », les Assises, dont je vais
vous parler maintenant.
II- LES ASSISES DE L’ETHNOLOGIE ET
DE L’ANTHROPOLOGIE EN FRANCE
Je ne ferai pas un compte-rendu de
cette manifestation (il en existe un sur le site
Web des Assises) à laquelle nombre d’entre
vous ont assisté, les 12-15 décembre derniers.
Elle a été un succès incontestable du fait du
large public qui est venu y participer, de
l’intérêt des débats animés et soutenus, du
support qu’il a reçu des institutions
universitaires et de recherche ainsi que
d’administrations publiques. Le fait que 300 à
500 personnes se soient déplacées indique bien
que notre discipline et notre profession sont
loin d’être moribondes.
Je m’en tiendrai essentiellement à la
participation de l’APRAS en rappelant tout
d’abord la contribution financière importante
que nous avons consentie (2600 Euros) pour le
soutien en moyens. Le Comité de Préparation
des Assises comprenait six membres de
l’APRAS : Irène Bellier, ex-présidente de
l’APRAS, C. Macdonald Président, ainsi que
Sophie Houdart, Sophie Chevalier, Birgit
Muller, Emmanuelle Lallement, tous membres
du bureau de l’APRAS.
Le travail fourni par toutes ces
personnes a été important et efficace. Il a
consisté en de nombreuses réunions qui ont
commencé dès juillet 2006 et ont duré toute
l’année 2007, pour mettre au point le plan, le
format, les modalités de roulement, le
contenu de cette manifestation. La préparation
des dossiers de subvention (MAE, Région Ile-
de-France, Mairie de Paris, etc.) a été une des
tâches les plus lourdes la plus importante des
subventions obtenues étant celle du CNRS
(6 000 Euros). Il a fallu mettre en place une
structure financière (avec la collaboration de la
MSH), procéder à un suivi attentif de tous ces
dossiers. Il a fallu également procéder à des
invitations de collègues étrangers, établir des
liaisons avec d’autres associations (notamment
avec l’EASA) et nourrir une correspondance
avec les partenaires (lEHESS, les laboratoires,
etc.). De plus il a fallu s’occuper des
problèmes nombreux de logistique liés à la
réservation et à l’utilisation des salles (MH et
MQB), du mobilier, du matériel audiovisuel,
des affiches, des pots et cocktails et de tous les
aspects matériels de cette grande
manifestation. Enfin et surtout, il a fallu en
préparer le contenu et la structurer
intellectuellement. Cela a été fait d’une part
par des séminaires dont Sophie Chevalier,
Irène Bellier, Birgit Muller, Sophie Houdart en
particulier se sont occupées, par des
interventions au cours de ces séminaires et
journées préparatoires, et d’autre part sur le
site Web les uns et les autres ont déposé des
textes, des analyses et des propositions. Ce site
Web a été stratégique, il a été le théâtre de
quelques controverses et le lieu où se sont
exprimées des voix inquiètes. Sa maintenance
et son suivi ont constitué une dépense de temps
et d’argent importante. Certes tout cela a été
fait en concertation et en partenariat avec nos
collègues de l’AFA, mais je souligne encore le
rôle cisif des membres de l’APRAS et
l’initiative de celle-ci dans la mise en place et
la conduite couronnée de succès des Assises,
tant sur le plan pratique que sur le plan
scientifique.
Les responsables d’un séminaire de la
Fondation Wenner-Gren sur l’anthropologie
européenne les 25-27 octobre avaient convié
quelques-uns d’entre nous à exposer la
situation en France et cela nous a permis
également de parler de l’APRAS et des
problèmes liés à la situation associative.
En somme ces Assises ont été
l’occasion pour l’APRAS d’affirmer sa
présence et son point de vue et peut-être de se
faire mieux connaître. Mais les Assises ont
également modifié la situation dans le sens des
attentes qui étaient les nôtres et ont fait
émerger le souhait collectif d’un renouveau des
associations. C’est à cela que je voudrais
consacrer quelques mots.
III- FUTUR DE L’ASSOCIATION
Les Assises ont atti un public jeune
en majorité. Les « anciens » se sont faits
discrets et peu visibles, à quelques exceptions
près. Ce public, représentant de multiples
associations qui ne se limitaient pas seulement
à l’AFA et à lAPRAS, a soutenu l’idée d’un
renouvellement du paysage associatif avec
l’option d’une grande et unique association
sur le modèle de l’Association Française de
Sociologie. Pour cela s’est mis en place un
comité de liaison et de travail. La motion votée
à l’unanimité (moins deux abstentions) en
précise les objectifs :
1. mettre en œuvre une structure associative
ouverte et plurielle,
2. pérenniser et développer le site web des
Assises comme interface et lien entre tous,
3. mettre en place un congrès fondateur.
L’APRAS se joint bien entendu à cette
motion (sauf sur le point 2 1) et c’est des
résultats présentés par ce groupe de travail que
va dépendre notre avenir. Ce groupe ne s’est
pas encore mis à la che. Sa première réunion
est prévue le 8 février. Les inscriptions restent
ouvertes. Le fait que le début de ses travaux
tarde est de mauvais aloi. Il fallait surfer sur la
vague avant qu’elle ne meure. Je n’ai pas le
moyen de savoir quand les propositions de ce
comité seront portées à notre connaissance. En
attendant, j’appelle les membres de l’APRAS à
y participer et à faire valoir leurs vues sur la
question. Mais là aussi je suis gagné par le
doute. Dans la dernière Lettre (No. 43) puis,
après une longue discussion au CA du 23
octobre, dans un message adressé à l’ensemble
des membres de l’APRAS, j’avais deman
1 Il ne nous semble pas nécessaire de maintenir un site
interactif. Une liste de diffusion paraît suffisante.
des avis, des réflexions, des propositions, mais
je n’en ai guère reçu plus que trois ou quatre,
dont une seule un peu développée. Il y a donc
une inertie de la part de notre base, inertie qui
n’est pas nouvelle bien sûr mais qui appelle
deux commentaires. D’abord que toute
l’activité de notre association se concentre en
un petit groupe d’une dizaine de membres (le
CA en l’occurrence) qui ne peut se substituer
totalement et constamment à l’ensemble.
Ensuite que l’inertie est en soi insurmontable.
On peut réagir contre des problèmes divers,
des démissions un peu vocales comme il y en a
eu ces dernières anes, des conflits d’opinion
ou de personnes, des soucis financiers, des
difficultés d’organisation. Mais contre l’inertie
il n’y a pas de remède. Vous m’excuserez
chers collègues, de mon pessimisme mais je ne
vois pas d’autre solution que celle encore
hypothétique présentée par la création d’une
nouvelle et grande association, ou d’un
regroupement sur des bases nouvelles des
associations existantes. Pour que cela
advienne, il faudrait que nous, APRAS,
participions à ce comité de travail. Il est
important, il est indispensable que, dans ce
débat préparatoire, l’APRAS fasse entendre sa
voix spécifique. Notre intitulé, contrairement à
l’AFA par exemple, comporte le mot
« recherche ». Aujourd’hui les missions, les
structures, les finalités de la recherche sont
remises en cause, sont « complètement
chamboulées » pour citer le dernier message
de SLR. C’est la vocation particulière de
l’APRAS de fléchir à cela dans le cadre de
l’ethnologie et de l’anthropologie et de
préparer les bases d’une nouvelle association
qui puisse relever ce fi, non pas seulement
par une défense d’intérêts sectoriels mais par
l’affirmation et la défense des valeurs
scientifiques qui sont les nôtres.
IV- EN ATTENDANT…..
Dans l’attente de cette éventualité (des
propositions claires pour une nouvelle
association), il est nécessaire de maintenir nos
activités régulières : la Lettre, la conférence
Robert Hertz, les journées d’étude. Les Assises
ont fait connaître des préoccupations et donné
lieu à des propositions très intéressantes que
nous pourrions reprendre dans nos journées
d’étude. L’une d’elles consiste à réfléchir sur
les compétences professionnelles de
l’ethnologue. Ceci a des conséquences sociales
et pratiques évidentes mais pose aussi des
questions intéressantes sur le plan
épistémologique. Je suggère donc que nous
organisions une journée sur ce thème en
collaboration éventuellement avec l’AFA et
d’autres associations. Dautres thèmes se
présentent dont celui de la langue (anglais et
français comme langue d’expression
professionnelle) que nous avions prévu
d’aborder en 2006. Il est essentiel que le CA et
le bureau continuent à se réunir et à ce que des
appels à cotisation permettent de se maintenir
en vie financièrement.
En attendant je dirais que la situation de
notre profession et de notre discipline n’est pas
du tout en déclin. L’APRAS a fortement
contribué à le montrer au cours de l’année qui
s’est écoulée et doit continuer à le faire.
Charles MacDonald, président
COMPTE-RENDU DU CONSEIL DADMINISTRATION
24 JANVIER 2008
Le CA de l’APRAS s’est réuni le jeudi
24 janvier de 11h00 à 13h00, à la MAE de
l’Universi de Nanterre-Paris X, Salle du
conseil.
Présents : Sophie Chevalier, Sophie
Houdart, Charles Macdonald, Birgit ller,
Emmanuelle Lallement., Nicole Revel.
Excusés : Sophie Blanchy, Pascale
Bonnemère, Maria Couroucli, Aurélie Névot
Etat des lieux du CA et de l’APRAS
APRAS : 36 membres sont à jour de leur
cotisation ; sur la liste, figurent les noms de 61
personnes. Pour l’AG, le quorum est des 2/3
des membres à jour de leur cotisation, in casu,
24 personnes (présentes ou procurations).
Birgit lancera un appel à cotisations pour 2007
et 2008.
On examine ensuite les procurations que
les membres du CA ont reçues : Charles a reçu
5 procurations, mais seules trois personnes
sont à jour de leur cotisation ; Sophie a reçu
deux procurations, mais seule une est valable ;
Irène a reçu une procuration dont la personne a
payé sa cotisation. Nous avons donc 5
procurations.
Il semblerait que certains membres
s’abstiennent de payer leur cotisation dans
l’attente de la création d’une nouvelle
association. Après discussion, le CA décide
que Birgit membre du Comité de Liaison et
de Travail (CLETAF) qui s’est mis en place
après les Assises proposera la chose
suivante : au cas la nouvelle association
verra le jour avant la fin de 2008, les membres
de l’APRAS qui souhaiteront en faire partie,
compléteront leur cotisation payée à l’APRAS
pour y adhérer. Cela devrait encourager les
gens à être à jour de leur cotisation.
Nous avons eu peu de nouvelles adhésions
durant ces trois dernières années (deux) : le CA
prend la décision de lancer une campagne de
recrutement pour attirer de nouveaux membres.
CA : quatre membres sont sortants :
Sophie Blanchy, Sophie Houdart, Charles
Macdonald, Emmanuelle Lallement : seul
Charles ne se représente pas.
Nous avons donc besoin d’une
candidature ; de même le poste de président est
à pourvoir. Sophie Chevalier est la seule
candidate. Si elle est élue, le poste de secrétaire
doit être repourvu : Emmanuelle Lallement qui
était secrétaire adjointe, le prendra. Pour le
bureau : Birgit ller est trésorière, Sophie
Houdart en charge de la Lettre, Sophie
Blanchy du site.
Budget
La trésorière nous informe que nous
vivons sur nos réserves ! L’APRAS dispose de
2.535 euros. Nous avons engagé 2.300 euros
pour les Assises (cf. rapport financier).
Conférence Robert Hertz (16ème)
La discussion s’engage sur le choix d’un
intervenant, dicté aussi par l’état de nos
finances qui n’autorise pas cette année à faire
venir un invité étranger. Le CA, après vote,
s’arrête sur la candidature de François
Laplantine (2ème : Christian Jacob ; 3ème Francis
Zimmerman).
Journées d’études
Charles Macdonald suggère que la journée
d’études de l’APRAS porte sur le thème
suivant : « Quelles sont les compétences de
l’anthropologue ? ». La proposition va être
faite à l’AG.
Après les Assises
Charles Macdonald fait remarquer que si
les Assises ont été un succès, y compris pour
l’APRAS qui était très présente, en revanche
les membres fondateurs de lAPRAS étaient
malheureusement absents.
Birgit ller et Irène Bellier sont les deux
seules membres de l’APRAS qui se sont
engagées dans le CLETAF : il serait bon que
d’autres membres participent à ses travaux. Le
CA s’engage à travailler en étroite
collaboration avec les autres associations et à
les mandater des décisions que nous pourrions
prendre.
Dans un premier temps, il convient de faire
taire les rumeurs qui parlent de fusion avec
l’AFA la nouvelle association ne se fera pas
en tête-à-tête avec cette association car de
nombreuses autres sont parties prenantes de
même que les bruits qui parlent de dissolution
prochaine de l’APRAS.
Le site des Assises : plusieurs membres du
CA pensent qu’une simple liste de diffusion
devrait suffire, ce qui réduirait
considérablement les frais de fonctionnement.
La séance est levée à 13h.
Sophie Chevalier, secrétaire
RAPPORT FINANCIER, 24 JANVIER 2008
Nous avons cu cette année
largement au-dessus de nos moyens. Nous
avons dépensé 2874.65 euros de plus que nous
avons reçu. Nos recettes sont issues
exclusivement des membres de l’Association.
La cotisation est restée au montant fi en
2002, à savoir 40 euros.
Au total, les recettes des cotisations
2007, dont certaines ont été versées pour
acquitter les droits de 2006, s’élèvent à 1520
euros.
Le compte sur livret au 31/03/07
affiche 2720,10 euros après que 1 000 euros
ont été versés sur le compte courant. Pour
honorer les derniers chèques, j’ai fait transférer
aujourd’hui (24.1.2008) encore une fois 1 000
euros du compte épargne au compte courant.
Les dépenses depuis février 2007
s’élèvent à 4394.65 euros, dont 2 000 euros de
contribution de l’APRAS au financement des
assises. L’APRAS s’est engagé à contribuer
pour 600 euros de plus s’il y a besoin.
Nous avons dépensé 360.99 euros pour
le pot de l’AG le 14 février 2007.
Nous avons dépensé 717.81 euros pour
la conférence Robert Hertz le 14 juin dont
349.06 euros pour le cocktail, 100 euros
pourboire et 268.75 euros pour notre part des
frais de traduction en langue de signes (l’autre
moitié est payée par l’EHESS).
Nous avons dépensé 793,60 euros pour
les trois déplacements de Charles Macdonald
et de Pascale Bonnemère d’Aix à Paris pour
les réunions du bureau.
La lettre de l’APRAS nous a coû 253
euros.
En résumé, le mouvement général du
compte s’établit comme suit :
Actif 2007
Solde du CC au 15/12/07 : 500,45
euros (dépenses et recettes actées par la
banque)
Moins -
764,74 euros pour lesquelles j’ai déjà fait le
chèque
Plus 80,-
euros chèque à déposer
Compte sur livret au 31/03/07 : 2720,10
euros
TOTAL : 2535.81
euros fin 2007 contre 5410,46 début 2007
Pour 2008, nous avons prévu de
réaliser la conférence Hertz, et comme
d’habitude les lettres d’information. Les fonds
paraissent suffisants pour organiser ces
activités.
Birgit Müller
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