Centre de formation à l`Ecoute, à l`Accompagnement et au Bien

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Bureau de dépôt :
Charleroi X
ASBL
Espace Santé
Bld Zoé Drion 1
6000 CHARLEROI
Centre de formation
à l’Ecoute, à l’Accompagnement
et au Bien-être
personnel et professionnel
Trimestriel : Janvier – Février - Mars 2017
Editeur responsable : Bernadette Wouters
Numéro d’agrément P505245
-1-
NOS OBJECTIFS
L'ASBL SARAH propose des journées de formation et de perfectionnement à l’Ecoute, à
l’Accompagnement et au Bien-être à tous ceux qui sont convaincus de l'urgence d'humaniser
les relations entre malades, soignants et familles. D’autre part, au programme aussi de
nombreuses formations sur la Communication et le Bien-être personnel et professionnel,
visant la qualité des relations humaines, au sein d’une équipe de travail ou à titre privé.
MEMBRES DU CONSEIL D’ADMINISTRATION
Présidente : Bernadette WOUTERS
Vice Président : Gérard DRUGMAND
Trésorière : Corinne DUVIVIER
Administrateur : Berthe GENARD
Administrateur : Muriel MAGHE
Infirmière, Enseignante
Infirmier
Expert Comptable
Infirmière
Psychologue
L’EQUIPE SARAH
Bernadette WOUTERS
Elena CECCARINI
Catherine LEFEVRE
Sylvie MARTIN
Programme et contenu des formations
Coordinatrice des formations chez SARAH et en Institutions
Secrétaire - Inscriptions aux formations SARAH
Secrétaire - Facturation
CONTACTS
La permanence du secrétariat de l'ASBL SARAH est assurée toute l’année, y compris durant les
vacances et congés scolaires, suivant l’horaire ci-après :
lundi, mardi et jeudi : de 09h00 à 16h30 – mercredi et vendredi : de 09h00 à 12h00
En dehors de ces heures, vos appels sont enregistrés.
Nous y donnons suite, ainsi qu’à vos courriels, dans les plus brefs délais.
INSCRIPTION AUX FORMATIONS
Via notre site internet : www.sarahformations.be
Vous y trouverez l’agenda chronologique de toutes nos formations et le feuillet
descriptif pour chacune d’elles (pour consultation et impression).
La réservation de votre participation est confirmée via mail par SARAH
et l’inscription est définitive après paiement de la facture
Veuillez svp indiquer en communication de votre paiement le n° de la facture.
Le nombre de places étant limité, les inscriptions sont attribuées par ordre d'arrivée.
Un prix spécial est accordé aux étudiants, sur présentation de la carte d’étudiant.
LA BROCHURE SARAH
Si vous ne souhaitez plus recevoir notre brochure, si vous préférez un envoi par mail ou si vos
coordonnées sont incorrectes, n’hésitez pas à nous le signaler au 071/37.49.32 ou par
courriel : [email protected]. Nous tiendrons compte de votre demande.
-2-
IN MEMORIAM
Christiane Wéry
Infirmière ISPPC,
Chef de service Gériatrie
Membre fondateur et
Vice-présidente de l’ASBL SARAH pendant 20 ans
Active dans plusieurs associations professionnelles
L’ASBL SARAH présente
ses plus sincères condoléances
à toute sa famille, ses proches et ses amis
Avec toi, nous avons partagé tant de projets et tant d’espoirs
Nous avons accompli tant de choses ensemble
Et voilà que maintenant tu nous quittes
Ton rire, ton sourire seront souvenirs
Pour toujours tu seras dans nos cœurs
Le souffle du vent t’a emportée dans les bras de la Lumière
Le ciel est à toi et tu parles désormais aux étoiles
Tu es partie vers l’univers mais tu seras toujours dans nos pensées
Notre affection, notre amitié, notre espérance ne s’éteindront pas
Il y a tant de moments encore que nous aurions voulu partager avec toi …
Mais voici que nous devons te dire AU REVOIR ….
-3-
L’ACTU SARAH
Source : Google
Nos meilleurs vœux pour l’an neuf
L’ASBL SARAH et ses partenaires
-
Toute l’équipe de l’ASBL SARAH
vous souhaite
une très heureuse année 2017.
Nous espérons qu’elle vous apportera
santé, bonheur,
les 1001 joies de la vie au quotidien
et la réalisation de vos vœux les plus chers.
L’ASBL SARAH est heureuse
de collaborer avec divers partenaires
tels que :
l’APEF,
FE.BI,
Le Fonds social des Maisons de Repos et
des Maisons de Repos et de Soins privés,
Les plateformes de Soins Palliatifs,
De nombreux CPAS,
Des Mutualités,
Des hôpitaux,
Des écoles,
Des Institutions, Maisons de Repos,
Maisons de Repos et de Soins
MERCI AUX DONATEURS
Toute l’équipe de l’ASBL SARAH
remercie vivement et très
chaleureusement ses donateurs.
Leur soutien, tant moral que financier,
nous est très précieux.
…
L’ASBL SARAH les remercie
pour leur contribution
et leur riche collaboration.
-4-
Des nouvelles du Québec
Les centres de soins palliatifs : l'ultime accompagnement
Maryse Dubé
Le premier centre de soins palliatifs a
été inauguré à Londres en 1960;
Montréal suivra en 1974 à l’Hôpital
Royal Victoria. Depuis plus de trente
ans, on a vu les centres de soins
palliatifs se multiplier un peu partout au
Québec. Certains sont logés dans une
section spécifique d’un hôpital ou d’un
CHSLD(1), d’autres ont pignon sur rue et
ont généralement des ententes avec des
organismes de santé.
Ces centres ont pour mandat
d’accompagner les personnes qui vont
mourir en exerçant un contrôle sur la
douleur, de manière à ce qu’elles
puissent vivre leurs derniers jours en
compagnie de leurs proches, dans
un environnement
apaisant et
respectueux
des
émotions
qui
surgissent.
centres de soins palliatifs. Les chambres
sont aménagées pour accueillir un
conjoint, un parent, ou un ami jour et
nuit. Habituellement, un petit salon est
disponible pour les visiteurs, ainsi
qu’une cuisinette pour les repas. Les
gens peuvent même apporter et
réfrigérer les plats favoris de l’être cher,
dans le but de les lui servir au moment
opportun.
Afin de soutenir ces organisations, il
existe une association qui regroupe plus
de 1200 membres comprenant des
professionnels et des bénévoles(2).
C’est beaucoup de monde pour une
tâche qui semble a priori rébarbative.
Sachant que cela implique de côtoyer
la tristesse et parfois même la colère
que suscite une mort imminente, quel
profil doit-on avoir pour être bénévole
auprès des mourants? Faut-il s’être
endurci à la souffrance d’autrui? Avoir
un vécu de deuil significatif? Être soimême un « ressuscité » qui a vu la mort
de près? Monsieur Gilles Cardinal,
président du conseil d’administration de
la coopérative Maska à Saint-Hyacinthe,
est lui-même bénévole depuis huit ans
pour un centre de soins palliatifs Les
Amis
du
Crépuscule(3).
Il
a
généreusement accepté de nous
rencontrer pour répondre à quelques
questions.
Le personnel infirmier et les bénévoles
sont en étroite collaboration avec la
famille afin de s’assurer qu’il y ait le
moins de souffrance possible. C’est un
accompa-gnement qui se fait en équipe,
afin que le passage de la vie à la mort ne
soit
pas
traumatisant.
Quand
on constate que le malade bouge plus
qu’à l’ordinaire, que son comportement
est inhabituel, qu’il semble inconfortable ou impatient, on est en droit de
croire que les médicaments ne font plus
effet. Les doses sont alors ajustées en
conséquence.
De prime abord, Monsieur Cardinal est
un homme paisible et serein. En sa
présence, on se sent bien. Son calme est
contagieux et, à l’écouter parler, on
comprend rapidement qu’il a le cœur à
la bonne place. Déjà, c’est plus qu’il n’en
faut pour y voir un modèle type de ceux
C’est important non seulement pour la
personne en fin de vie, mais aussi pour
les proches qui souffrent devant la
douleur de celle-ci.
Il n’y pas d’heures de visites dans les
-5-
qui choisissent ce genre de bénévolat...
à une chose près, car les hommes sont
plutôt rares. Tous ont cependant ce
même désir d’aider les autres dans
quelque chose de fondamental où le
contact humain est primordial, et se
disent privilé-giés d’accompagner une
personne en fin de vie.
plus particulièrement le cœur des
accompagnants. Il est très difficile de
voir un mourant attendre un fils ou une
fille avec qui il était en froid, et de
constater que l’ultime réconciliation ne
se fera pas. Certaines personnes
retardent leur mort dans l’espoir
de vivre ce moment, et terminent
finalement leur vie dans la tristesse et la
désolation de n’avoir pu échanger des
pardons.
Mais avant de s’impliquer auprès des
mourants, on doit d’abord avoir réglé
ses propres deuils, avoir vérifié sa
capacité à côtoyer la mort et avoir
évalué ses motivations, nous dira
monsieur Cardinal. Dans son cas, c’est la
mort d’un être cher qui a été
l’élément déclencheur. « J’ai été
fortement ébranlé par la mort de mon
frère. Je l’avais accompagné ses deux
dernières nuits. Ce fut un décès rapide
que j’ai vécu comme un choc. À partir de
là, j’ai décidé de quitter mon travail à 57
ans, et j’ai fait des démarches pour
suivre la formation d’accompagnement
aux soins palliatifs ».
D’une journée à l’autre, les bénévoles
ne savent jamais à quoi s’attendre.
Cependant, peu de gens sont dans le
déni et espèrent encore une guérison au
moment de mourir. Tous finissent par
accepter, quand ils se sentent très
faible, qu’ils n’ont plus la force de se
lever et plus le goût d’échanger avec les
autres. C’est à ce moment qu’une
transition se fait, qu’ils passent du déni
à l’acceptation. Plusieurs demandent
comment ça se passe quand on meurt. «
Je leur réponds qu’ils n’auront pas peur,
car j’ai pu constater que la
plupart tombent endormis au moment
où la mort vient les chercher. Ça se
passe toujours dans la douceur, il n’y a
rien de violent. » Néanmoins, ceux qui
sont les plus sereins devant la
mort sont les gens qui se sont
intériorisés, tels les religieux et certaines
personnes âgées, ajoutera Monsieur
Cardinal.
La
formation
offerte
par
les
organisations aborde habituellement la
capacité d’écoute des participants. Être
à l’écoute, c’est être capable de soutenir
les longues périodes de silence qui
entourent les mourants, sans vouloir à
tout prix provoquer une conversation. «
Toutefois, une simple petite question
comme : Trouvez-vous le temps long?
peut aider à démarrer un échange »,
précise Monsieur Cardinal. De façon
générale, les patients ont besoin de
jaser.
Principalement quand surviennent les
périodes de solitude. Ils attendent
quelqu’un qui ne vient pas, ou encore ils
ont des craintes, des regrets ou des
secrets à partager.
Et que fait-on devant la famille qui
refuse d’admettre que l’être cher va
mourir ? « On ne les confronte jamais. À
partir de l’évaluation que les médecins
ont
faite,
on
leur
demande
simplement à combien elles estiment les
chances que la personne s’en sorte. Ça
les aide à prendre conscience qu’une
guérison est peu probable. Souvent
s’installe alors une période de réflexion
et un cheminement se fait. Quand les
larmes se mettent à couler, c’est plus
difficile pour les hommes, car ils ne
Parfois les confidences sont lourdes à
recevoir. Parfois aussi des événements
touchent
-6-
savent pas pleurer. Il faut juste être
près d’eux et attendre, parce qu’ils
n’arrivent pas à parler, alors que chez
les femmes c’est différent. »
Bien que ce soit un lieu où la mort est
omniprésente, on y prend le temps de
vivre avec humanité. Les personnes qui
interviennent auprès des mourants sont
plus attentives aux besoins exprimés et
plus près des gens aussi. Devant la perte
et le chagrin, ce qu’il y a de plus noble
en l’humain cherche à s’exprimer, un
peu comme si l’on souhaitait laisser
pour dernière image celle de l’amour
pour son prochain.
Devant l’ensemble des émotions et des
situations difficiles qui se présentent,
comment peut-on se protéger d’un
trop-plein d’émotion quand on agit
comme accompagnateur ? « Malgré le
peu de temps passé avec ces gens, un
lien authentique se développe. On finit
par les aimer et on a de la peine quand
ils partent. Alors, on fait attention pour
ne pas s’épuiser et on fait ce qu’il faut
pour se ressourcer. » Aux Amis du
Crépuscule, des ateliers de ressourcement, des lectures et des symposiums
sont
proposés
aux
bénévoles
et abordent certains thèmes, tels le
pardon et la souffrance. Ce sont des
occasions qui permettent de socialiser
et qui offrent la possibilité de
s’améliorer en tant qu’individu.
Alors que la vie nous échappe, peut-on
se préparer à mourir ? « Quand on
apprend que nos jours sont comptés, on
doit tout d’abord absorber le choc.
Ensuite, on se retrousse les manches et
on est prêt à se battre pour gagner. Tout
le monde veut vivre. Mais en bout de
ligne, on le perd quand même, le
combat. L’important, c’est de dire tout
ce qu’on a à dire à ceux qu’on aime
avant de mourir. Échanger des
pardons… faire la paix ». Et le rôle des
accompagnateurs est essentiellement
de les diriger vers cette voie. Au
besoin, ils peuvent même les aider à
faire certaines démarches : écrire une
lettre, effectuer un appel, aviser un ami.
Au dire de monsieur Cardinal,
l’enrichissement personnel que procure
cette expérience ne se mesure pas.
Dans un centre de soins palliatifs, on ne
parle pas de curatif. C’est vraiment pour
les personnes dont l’état de santé se
détériore et qui ne sont plus en mesure
d’être soignées. L’espérance de vie est
de quelques semaines à trois ou quatre
mois. Se peut-il toutefois qu’une
émission survienne ? « Ce n’est pas
fréquent, mais ça arrive », dira
monsieur Cardinal. Les conditions ne se
détériorent pas à la vitesse prévue et
par conséquent, leur séjour risque
d’être prolongé jusqu’à 6 mois. Comme
ces centres sont réservés pour ceux
qui en ont besoin à court terme, ils sont
alors relocalisés. « Et là, les gens sont
déçus de quitter l’unité, parce que c’est
un lieu auquel on s’attache. » Sans
doute est-ce dû à cette chaleur humaine
qu’on ne retrouve pas souvent ailleurs.
Après le décès, les familles peuvent se
recueillir auprès du défunt le temps qu’il
faut pour faire leurs adieux de façon
plus intime. Certaines personnes en
profitent pour coiffer la personne
décédée ou même la vêtir de ses
vêtements préférés. C’est bénéfique
pour les proches de poser des gestes qui
traduisent leur affection, car ils
permettent d’enclencher le processus
de deuil en prenant la pleine mesure de
la perte qui les afflige.
© Maryse Dubé, 2012
-7-
Notes
(1) Centre hospitalier de soins de longue durée
(2) Réseau de soins palliatifs du Québec http://www.aqsp.org/
(3) Les Amis du Crépuscule, 650, rue Girouard Est, Saint-Hyacinthe (Québec) J2S 2Y2
http://agora.qc.ca/thematiques/mort/documents/les_centres_de_soins_palliatifs_lultime_ac
compagement
Source : Google
Trop de séniors meurent à l’hôpital
Selon un rapport, plus de 80% des Français souhaiteraient
pourtant passer leurs derniers instants chez eux.
Plus de 80% des Français souhaiteraient
passer leurs derniers instants chez eux
mais seulement 25,5% des décès
surviennent à domicile.
Mourir « chez soi » ou finir sa vie à
domicile, ce n’est pas la même chose,
souligne cependant l’Observatoire.
Ainsi, trente jours avant le décès, seuls
30% des patients sont à l’hôpital. C’est
au cours du mois qui précède la mort
que la proportion de personnes
hospitalisée double. « Seul un tiers des
personnes qui vivent à leur domicile un
mois avant leur décès y meurent
effectivement, résume le Pr Régis Aubry,
président de l’Observatoire. Plus le
moment de la mort s’approche, plus les
mouvements entre le domicile et
l’hôpital s’accélèrent. »
Comment expliquer ce décalage
comparable, voire supérieur, à celui
observé au début des années 1990,
s’interroge dans son dernier rapport,
l’Observatoire national de la fin de vie.
« D’autant plus que cet écart fait
aujourd’hui de la France l’un des pays
européens où l’on meurt le moins chez
soi », souligne le document qui exploite
des chiffres inédits de l’Ined et une
nouvelle enquête sur les aidants et les
soignants.
-8-
« Un déni de la mort »
Devant l’aggravation de la situation, les
personnes malades peuvent en effet
changer d’avis. « La plupart des
transferts à l’hôpital servent à soulager
la douleur ou à traiter un épisode aigu »,
rappelle l’Observatoire. C’est bien tout
le paradoxe de la fin de vie. Certes, les
Français expriment le souhait de
« partir » chez eux, dans le cocon d’un
environnement familier plutôt que dans
le cadre déshumanisé d’une chambre
d’hôpital. « Mais les progrès de la
médecine de ces dernières années
laissent penser qu’il y a toujours une
solution médicale à proposer. On en
arrive à un déni de la mort », décrypte le
Pr Aubry.
Notre système serait construit sur l’idée
d’une « fracture » entre la ville et
l’hôpital. En réalité, ce dernier « pourrait
être une formidable ressource pour le
maintien à domicile s’il était considéré
comme une étape avant le retour à la
maison » et « si le service des urgences
n’était pas souvent utilisé, faute
d’anticipation, comme un point de
passage obligé pour entrer à l’hôpital »,
avance le rapport. En 2010, près de la
moitié des patients décédés à la suite
d’une hospitalisation pour soins
palliatifs sont passés par un service
d’urgence.
à domicile d’un patient en fin de vie. Or,
ceux que l’on appelle les aidants ne
connaissent pas les aides existantes,
n’ont pas de solution de répit qui leur
permettrait d’éviter d’aller jusqu’à
l’épuisement. Un exemple : l’allocation
journalière d’accompagnement d’une
personne en fin de vie, une nouveauté
mise en place en 2011 et inconnue du
grand public.
Autre entrave : la difficile place du
généraliste.
Seuls 2,5% d’entre eux ont été formés
aux soins palliatifs et leur pratique reste
limitée puisqu’ils n’accompagnent que
un à trois cas par an. De plus, « une
prise en charge aussi complexe ne peut
pas graviter seulement autour du
médecin généraliste », insiste le rapport.
La complexité, c’est l’ultime mais non la
moindre des freins des fins de vie à
domicile. « L’offre de soins est devenue
de moins en moins lisible : les dispositifs
de prise en charge se sont
considérablement multipliés (…) Plus
personne ne s’y retrouve vraiment ! »,
dénonce l’Observatoire alors que la
France n’a pas encore mis en place de
guichet unique ni de dossier patient
pour améliorer la coordination des
professionnels et simplifier les parcours.
Alors que le dernier programme « soins
palliatifs » vient de s’achever et que le
gouvernement devrait se saisir de la
question de la fin de vie, l’Observatoire
conclut son travail sur la nécessité de
faire des soins palliatifs à domicile la
prochaine priorité.
La difficile place du médecin généraliste
Mais les principaux obstacles à la fin de
vie à domicile seraient ailleurs. En tête,
le rapport pointe l’importance d’un lieu
de vie adapté aux multiples contraintes
de cette situation et les lacunes de l’aide
aux aidants. Sans ces derniers, il est en
effet impossible d’envisager le maintien
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/03/18/01016-20130318ARTFIG00666-trop-deseniors-meurent-a-l-hopital.php
-9-
PROGRAMME DES FORMATIONS
CHEZ SARAH (aux dates indiquées)
ET EN INSTITUTION (à la demande)
Les formations SARAH sont reconnues par le SPF Santé Publique
dans le cadre du maintien d’un titre ou d’une qualification professionnelle particulière.
1. Formations sur le thème de la Personne âgée
(ouvertes à tous)
Accompagner au mieux l’entrée d’une personne âgée
en Maison de Repos et/ou de Soins (MR-MRS)
03/02/2017
Patricia Plasier, Psychologue clinicienne d’orientation analytique



Mesurer ce qui se joue dans ce passage d’un lieu de vie privé
vers un lieu de vie public et inconnu
Apprendre à trouver sa juste place de soignant et développer une intervention « juste »
tout en accueillant l’être humain dans ce moment d’extrême fragilité.
Comprendre le futur résident dans son contexte familial et médico-social
afin de mieux l’accueillir et de le soutenir dans son entrée dans l’institution
Personnes âgées : solitude, dépression et idées suicidaires
07/03/2017
Patricia Plasier, Psychologue clinicienne d’orientation analytique OU
Anne Raeymaekers, Assistante Sociale, licenciée en Sciences Familiales et Sexologiques,
Référente Démence




Comprendre le « sens » du vécu dépressif et des idées suicidaires chez la personne âgée
Discerner la tendance suicidaire chez la personne âgée
Développer des attitudes pouvant accueillir et soutenir la détresse de l’aîné
dans ce contexte de fragilité
Questions psychologiques, médicales et relationnelles
- 10 -
Comprendre et prévenir l’agressivité
de la personne âgée et/ou de sa famille
09/05/2017
Patricia Plasier, Psychologue clinicienne d’orientation analytique OU
Anne Raeymaekers, Assistante Sociale, licenciée en Sciences Familiales et Sexologiques,
Référente Démence



Comprendre le « sens » et la possible « finalité » d'une communication et/ou
d'un comportement d'agressivité chez la personne âgée ou la famille
Développer des outils et des attitudes positives afin d'installer une communication sereine
et respectueuse pour faire face et prévenir les comportements agressifs
Apprendre à trouver sa juste place de soignant tout en développant les attitudes et des mots
adéquats face au résident fragilisé
La vie affective et sexuelle de la personne âgée
12/09/2017
Denis Delle Monache, Psychopédagogue et Assistant Social, formé en Soins Palliatifs OU
Sabine Vassart, Assistante Sociale, licenciée en Sciences de la Famille et de la Sexualité OU
Anne Raeymaekers, Assistante Sociale, licenciée en Sciences Familiales et Sexologiques,
Référente Démence




Comprendre la vie affective et sexuelle de la personne âgée
Analyser nos réactions et nos mécanismes de défense face à cette sexualité : nos tabous
Dédramatiser, déstigmatiser les pulsions sexuelles de la personne âgée
Comprendre et savoir comment réagir face à leurs comportements, besoins et frustrations
Le vécu des pertes et des deuils de la personne âgée
21/11/2017
Denis Delle Monache, Psychopédagogue et Assistant Social, formé en Soins Palliatifs OU
Patricia Plasier, Psychologue clinicienne d’orientation analytique OU
Anne Raeymaekers, Assistante Sociale, licenciée en Sciences Familiales et Sexologiques,
Référente Démence




Définir les notions de perte et de deuil de la personne âgée
Identifier les pertes et les deuils liés au vieillissement ;
aspects physiques, psychologiques et sociaux
Les accompagner efficacement dans ce processus
Le deuil des accompagnants et du personnel soignant
« Vous n’êtes jamais trop vieux
pour vous fixer un autre but ou pour rêver un autre rêve »
Aristote
- 11 -
2. Formations sur le thème de l’Aide, l’Ecoute et
l’Accompagnement (ouvertes à tous)
Accompagnement – En faire trop ou pas assez :
entre culpabilité et responsabilité
17/01 et 27/01/2017
Isabelle Mertens, Assistante Sociale, formée en Analyse Transactionnelle




Décrire les origines et mécanismes d’installation de la culpabilité
Donner à chaque participant l’occasion de comprendre (ou d’explorer)
sa propre culpabilité, l’exprimer et mieux accueillir la culpabilité d’une autre personne
Explorer de nouvelles façons de gérer la culpabilité « toxique »
(la sienne et celle de l’autre) pour permettre la prise de responsabilité
Discerner les interventions adéquates et celles à éviter
Améliorer la communication avec les personnes atteintes
d’Alzheimer, confuses, démentes
24/01/2017
Patricia Scorneau, Assistante Sociale, licenciée en Sciences du travail, Référente Démence OU
Sabine Vassart, Assistante Sociale, licenciée en Sciences de la Famille et de la Sexualité OU
Anne Raeymaekers, Assistante Sociale, licenciée en Sciences Familiales et Sexologiques,
Référente Démence




Comprendre la personne démente
Permettre l’autonomie dans le travail avec des personnes souffrant de démence
Utiliser un langage adapté
Pouvoir gérer les difficultés dans la relation
La bientraitance : une bienveillance de soi à Soi
en passant par l’autre
13/02/2017
Paolo Doss, Formateur à l'Art d'expression, à la Communication et au Clown dans le milieu
médical, spécialisé dans le domaine des Soins Palliatifs. Auteur-metteur-en-scène-interprète.
Voir son site : www.paolodoss.be




Bientraitance ou bienveillance ?
Les raisons et les mécanismes qui nous éloignent de la bienveillance
Bienveillance bien ordonnée commence par Soi-même
La présence et l’écoute
- 12 -
A la re-découverte de son clown intérieur
20/02 et 21/02/2017
Paolo Doss, Formateur à l'Art d'expression, à la Communication et au Clown dans le milieu
médical, spécialisé dans le domaine des Soins Palliatifs. Auteur-metteur-en-scène-interprète.
Voir son site : www.paolodoss.be



Développer l’envie d’explorer ensemble de nouvelles voies où le rire et l’émotion se côtoient
Découvrir les rudiments du « travail » de clown
Développer des outils pratiques à utiliser dans tous les secteurs de la vie privée
et professionnelle, et en particulier pour le personnel soignant concerné par
l’accompagnement des personnes malades, en fin de vie et des familles
et de la relation d’aide Soignant-Soigné
Présence à soi, présence à l’autre
09/03/2017
Anne-Gaëlle Baudot, Assistante Sociale licenciée en Travail Social,
Massothérapeute, formée en Communication Non Violente




Acquérir des outils pour favoriser la confiance en soi, développer sa stabilité intérieure
face à la souffrance de l’autre
Favoriser l’écoute attentive, la présence et la « juste place »
Identifier, accepter et apaiser ses émotions dans une démarche d’accueil
et de bienveillance vis-à-vis de soi
S’ajuster au rythme de son corps, se centrer, se mettre à l’écoute de son ressenti
Les fleurs de Bach dans la maladie et la fin de vie
16/03/2017
Véronique Landolt, Kinésithérapeute formée en Soins Palliatifs et Oncologie et Conseillère
agréée en Fleurs de Bach



L’accompagnement d’un malade et de son entourage avec l’aide des Fleurs de Bach
Les Fleurs de Bach et la fin de vie
Leur mode d’utilisation, leurs effets et le Rescue
- 13 -
Le toucher relationnel dans l’accompagnement
et les Huiles Essentielles favorisant le bien-être
23/03/2017
Anne-Gaëlle Baudot, Assistante Sociale licenciée en Travail Social,
Massothérapeute, formée en Communication Non Violente



Acquérir un savoir-être et un savoir-faire
Prendre conscience de la communication par le toucher et des bienfaits
dʼun toucher attentif et bienveillant à tous les âges de la vie
Recevoir des informations pratiques et précautions d’emploi
quant à l’utilisation des huiles essentielles favorisant le bien-être
Accompagner le questionnement existentiel
de la personne en fin de vie
30/03/2017
Dominique Pinchart, formée en Analyse Transactionnelle, Thérapeute et Professeur de Yoga




Les besoins spirituels et les questionnements de la personne en fin de vie
La prise de conscience de nos propres croyances autour de la mort
Les différences entre la dimension spirituelle et religieuse
Les rituels d’accompagnement de la maladie et de la mort dans les différentes traditions
Groupe de parole : comment s’y préparer ?
31/03/2017
Patricia Plasier, Psychologue clinicienne d’orientation analytique




Réfléchir sur la pratique des espaces de parole en tant qu'outil thérapeutique
Comprendre et apprendre le fonctionnement d'un espace de parole
Décoder la dynamique des groupes
Évaluer la pertinence de la mise en place d'un espace de parole
Les huiles essentielles
dans la relation d’aide en Soins Palliatifs
Anne Françoise Malotaux, Formatrice en Aromathérapie



De la plante aromatique à l’huile essentielle
Critères de qualité, contre-indications et toxicité, voies d’administration
Monographie des huiles essentielles et formules ; actions sur les symptômes,
sur le bien-être physique, pour le massage « olfactif et émotionnel »
- 14 -
04/05/2017
Le toucher relationnel dans l’accompagnement
11/05/2017
Anne-Gaëlle Baudot, Assistante Sociale licenciée en Travail Social,
Massothérapeute, formée en Communication Non Violente



Acquérir un savoir-être et un savoir-faire
Prendre conscience de la communication par le toucher et des bienfaits
dʼun toucher attentif et bienveillant à tous les âges de la vie
Développer le sens du toucher dans l’écoute de soi et de l’autre
Le deuil chez l’enfant
16/10/2017
Dominique Pinchart, formée en Analyse Transactionnelle, Thérapeute et Professeur de Yoga
OU Chantal Wyns, Licenciée en Psychologie U.L.B. Formée en Analyse Transactionnelle, en
Théorie du développement et en Psychologie énergétique.




Comment parler de la mort avec des enfants et les accompagner ?
Comment leur annoncer la maladie grave et la mort d’un être cher ?
Aborder la mort en tenant compte de leur âge et de leur stade
de développement psychique
Aperçu des techniques à utiliser avec les enfants pour leur permettre de s’exprimer
Sensibilisation aux Soins Palliatifs
23/11/2017
Bernadette Wouters OU Claire Grignard OU Michèle BECK, Infirmières formées en Soins
Palliatifs OU Denis Delle Monache, Psychopédagogue, formé en Soins Palliatifs OU
Dorothée Gillon, Psychologue, formée Soins Palliatifs, en Gestalt-Thérapie et Sophrologue.




Soins Palliatifs : définition, organisation, concept
L’écoute
Accompagner les besoins du mourant
Les droits du patient
« Nous comptons bien qu’il sera surmonté
après un certain laps de temps,
et nous considérons qu’il sera inopportun et même nuisible
de le perturber »
Sigmeud Freud à propos du Deuil
« Deuil et Mélancolie » in Métaspychologie
- 15 -
3. Formations sur le thème du P.S.P.A.
« Projet de Soins Personnalisé et Anticipé » ou
« Penser au plus tôt à plus tard » (ouvertes à tous)
Le P.S.P.A. « Projet de Soins Personnalisé et Anticipé » est la traduction officielle du terme
« Advance Care Planning », fréquemment utilisé dans les pays anglo-saxons. « Reposant sur le
principe éthique de l’autonomie du patient et l’obligation légale de recueillir son consentement,
l’Advance Care Planning permet d’assurer que ce concept de consentement soit respecté si le
patient devient incapable de participer à la prise de décision pour les traitements ».
Ce processus peut aboutir à des directives anticipées qui sont « l’expression écrite par avance de la
volonté d’une personne sur le type de soins qu’elle souhaite recevoir ou non dans des situations
données et au cas où elle ne serait plus en mesure de s’exprimer par elle-même ».
Pour plus d’info, voir le site de la Fondation Roi Baudouin.
Le récit de vie… Peut-on revisiter sa vie ?
19/01/2017
Natacha Delmotte, Criminologue, Thérapeute systémicienne, Sexologue,
Médiatrice familiale agréée






Une approche théorique du récit de vie (contexte….)
Les différentes interprétations et intégrations du récit de vie
L’utilisation du récit de vie dans sa propre pratique professionnelle
Réflexions en lien avec l’éthique et la déontologie
Mise en forme du récit de vie
La place du narrateur – la place du tiers
P.S.P.A. – Présentation du projet, de la législation
et des souhaits pour la fin de vie – Jour 1
07/02/2017
Anne Raeymaekers, Assistante Sociale, licenciée en Sciences Familiales et Sexologiques,
Référente Démence



Présentation du P.S.P.A. et de son intérêt pour les patients, les soignants et les familles
Prendre conscience de ses propres mécanismes de défense face aux questions de fin de vie
Améliorer la prise en charge des patients âgés, confus ou non
P.S.P.A. – Analyse et mise en application – Jour 2
14/03/2017
Anne Raeymaekers, Assistante Sociale, licenciée en Sciences Familiales et Sexologiques,
Référente Démence



Elaboration d’un P.S.P.A. « type » : envisager différentes hypothèses (liste non exhaustive !)
Mise en application du P.S.P.A. au sein des unités de soins
Comment présenter le P.S.P.A. aux résidents et aux familles
- 16 -
Le génogramme
18/05/2017
Natacha Delmotte, Criminologue, Thérapeute systémicienne, Sexologue,
Médiatrice familiale agréée





Un outil thérapeutique qui met en perspective une vision
du groupe familial et du parcours de la personne
Une approche théorique du génogramme
Les différentes interprétations du génogramme
L’utilisation du génogramme dans sa propre pratique professionnelle
L’identification des facteurs de risques,…
4. Formations sur le thème de la Communication
(ouvertes à tous)
Modes de communication : les miens et ceux des autres
07/02/2017
Bernadette Wouters, Infirmière formée en Soins Palliatifs, Algologie et Ethique.
Maître Praticienne en PNL (Programmation-Neuro-Linguistique)



Identifier différents modes de communication verbale et me situer
Identifier ma communication non verbale et être attentif à celle de l’autre
(qu’il soit conscient, confus ou dément)
Développer des outils d’intervention en communication verbale et non verbale
10 outils de communication
avec les familles, le bénéficiaire et les collègues
28/03/2017
Denis Delle Monache, Psychopédagogue et Assistant Social, formé en Soins Palliatifs




Communiquer de manière appropriée avec l’équipe, les bénéficiaires et l’entourage
Identifier les éléments intervenant dans un acte de communication
et repérer les freins et les adjuvants à la communication
Caractériser et pratiquer l’écoute active et l’empathie
Utiliser des outils de communication qui permettent d’assister le bénéficiaire
et son entourage dans les moments difficiles
- 17 -
Gérer les différences culturelles pour mieux communiquer
21/04/2017
Samira Laâroussi, Aide-Soignante, Assistante Sociale et Spécialiste de l’Interculturalité



Intégrer les notions de surprise et de choc culturel ainsi que leurs manifestations
et les stratégies pour les surmonter
Comprendre l’autre dans sa différence avec ses spécificités culturelles
sociales, religieuses… L’accent sera mis sur la population maghrébine
Découvrir les aspects méthodologiques de la communication interculturelle
ainsi que ses obstacles
La communication sans violence
27/04 et 28/04/2017
Natacha Delmotte, Criminologue, Thérapeute systémicienne, Sexologue,
Médiatrice familiale agréée




Maîtriser les principaux concepts de la communication verbale, non-verbale et non violente
Sensibiliser au rôle et à la place de la théorie dans la compréhension
des phénomènes de communication
Sensibiliser au rôle et à la place de la communication dans les conflits
Sensibiliser au rôle et à la place de l’intervenant dans la communication
Entraînement à l’écoute active
19/06 et 20/06/2017
Dominique Pinchart, formée en Analyse Transactionnelle, Thérapeute et Professeur de Yoga
OU Chantal Wyns, Licenciée en Psychologie U.L.B. Formée en Analyse Transactionnelle, en
Théorie du développement et en Psychologie énergétique




Qu’est-ce que l’écoute active dans la relation d’aide ?
Les attitudes facilitantes et activantes
Les différents filtres
Les conditions d’une bonne écoute
La communication dans les équipes : des freins à l’harmonie
11/09/2017
Dominique Hardy, Coach, formée en PNL, Analyse systémique, Coaching d’équipe, Gestion
du changement et Consultante en Ressources Humaines




Qu’est-ce qu’une équipe ?
Les buts et les objectifs communs
Les états du moi
Les lois de la communication
- 18 -
5. Formations sur le thème du Bien-Etre personnel et
professionnel (ouvertes à tous)
Gestion du stress et des émotions
14/02 et 23/02/2017
Dominique Pinchart, formée en Analyse Transactionnelle, Thérapeute et Professeur de Yoga
OU Chantal Wyns, Licenciée en Psychologie U.L.B. Formée en Analyse Transactionnelle, en
Théorie du développement et en Psychologie énergétique





Identifier les mécanismes biologiques du stress et la gestion du stress
Agir sur les facteurs du stress
Augmenter les capacités internes de résistance
Comprendre la théorie des besoins pour améliorer le bien-être
Apprendre différentes techniques de gestion du stress
Apprivoiser et dépasser les conflits
06/03/2017
Dominique Hardy, Coach, formée en PNL, Analyse systémique, Coaching d’équipe, Gestion
du changement et Consultante en Ressources Humaines




Comprendre la source et les types de conflits
Décoder les attitudes face aux conflits
Prévenir les conflits
Développer l’empathie et la communication assertive
La motivation au quotidien
13/03/2017
Dominique Hardy, Coach, formée en PNL, Analyse systémique, Coaching d’équipe, Gestion
du changement et Consultante en Ressources Humaines




Etat des lieux de votre motivation
Les facteurs de satisfaction et insatisfaction
En quoi la motivation peut changer la vision des choses
Comment doper sa motivation et vivre mieux
Oser mettre mes limites pour éviter le burn-out
16/03/2017
Dominique Pinchart, formée en Analyse Transactionnelle, Thérapeute et Professeur de Yoga
OU Chantal Wyns, Licenciée en Psychologie U.L.B. Formée en Analyse Transactionnelle, en
Théorie du développement et en Psychologie énergétique



Identifier mes signaux précoces pour prévenir le burn-out
Apprendre à mettre des limites à ma disponibilité afin de garder une attitude positive
Expérimenter quelques outils de « recentrage »
- 19 -
Gestion de l’agressivité - Attitudes et Techniques
27/03/2017
Dominique Hardy, Coach, formée en PNL, Analyse systémique, Coaching d’équipe, Gestion
du changement et Consultante en Ressources Humaines




Distinguer les traits distinctifs des personnalités « difficiles »,
Identifier sa réaction aux stimuli externes de type agressif
Outils et techniques de systémique et autres pour faire face à l’agressivité
Escalade – désescalade de l’agressivité et du conflit
Prendre le temps de gérer son temps
20/04/2017
Dominique Pinchart, formée en Analyse Transactionnelle, Thérapeute et Professeur de Yoga
OU Chantal Wyns, Licenciée en Psychologie U.L.B. Formée en Analyse Transactionnelle, en
Théorie du développement et en Psychologie énergétique.





Comprendre ses propres mécanismes et ses faiblesses
Identifier ses voleurs de temps
Apprendre à définir ses objectifs et ses priorités
Appliquer de nouveaux comportements pour vivre mieux le temps donné
Améliorer sa perception du temps et les facteurs influençants
Assertivité : oser prendre sa place sans fuir ni manipuler
24/04/2017
Dominique Hardy, Coach, formée en PNL, Analyse systémique, Coaching d’équipe, Gestion
du changement et Consultante en Ressources Humaines




Réagir adéquatement aux comportements passifs, agressifs et manipulateurs
Savoir formuler une critique constructive
Oser demander et apprendre à dire « non »
S’entraîner à s’exprimer de façon assertive
Les huiles essentielles au quotidien
24/04/2017
Anne Françoise Malotaux, Formatrice en Aromathérapie


Comprendre comment et pourquoi les huiles essentielles…. Cela fonctionne !
Un peu de théorie pour bien « recadrer » ces remèdes naturels efficaces
que sont les huiles essentielles et sera parsemée de conseils pratiques
pour apporter des solutions aux petits soucis quotidiens
(stress, insomnie, inconforts digestifs,…) accessibles à tous
- 20 -
La colère, une émotion à apprivoiser
04/05/2017
Anne-Gaëlle Baudot, Assistante Sociale, licenciée en Travail Social,
formée en Communication Non Violente




Comprendre les mécanismes de la colère
De l’interdit de la colère à l’accueil des émotions et des besoins
Utiliser l’énergie de vie de la colère afin de préserver son intégrité, de pratiquer
une communication bienveillante et d’établir des relations positives
Transformer le stress et la colère en source d’énergie
Mon plaisir au travail
11/05/2017
Anne-Françoise Claes, Infirmière enseignante et Praticienne des outils de base
de la psychologie corporelle intégrative



Retrouver, retoucher la motivation dans le métier d’aide
Rechercher une motivation perdue ou en convalescence
grâce à un module axé sur une vision positive
Replacer le travailleur face à un potentiel d’humanité, à ses ressources, à son adaptabilité
Oser le changement
18/05/2017
Dominique Hardy, Coach, formée en PNL, Analyse systémique, Coaching d’équipe, Gestion
du changement et Consultante en Ressources Humaines





« Qui a piqué mon fromage ? »
Mes réactions face au changement
Freins et moteurs
Dépasser les peurs et appréhensions
Se projeter dans l’après changement
Source : Google
- 21 -
6. Formations techniques
(adressées à certaines professions seulement)
Secret professionnel - Secret partagé
02/02/2017
Dorothée Gillon, Psychologue, formée Soins Palliatifs, en Gestalt-Thérapie et Sophrologue.
Pour le personnel soignant en contact avec les patients/résidents




Explorer les textes officiels définissant le secret professionnel ou le devoir de discrétion
Adapter la transmission des informations dans le cadre du secret professionnel partagé
Trouver une manière d’intégrer les aspects déontologiques pour créer des relations
professionnelles, humaines et chaleureuses
Développer un questionnement éthique sur sa pratique
La kinésithérapie en Soins Palliatifs – Approfondissement
09/02/2017
Véronique Landolt, Kinésithérapeute formée en Soins Palliatifs et Oncologie et Conseillère
agréée en Fleurs de Bach
Pour les Kinésithérapeutes et Ergothérapeutes qui ont suivi la formation de base


L’application pratique des techniques de soins présentées lors des 2 premières journées
Approfondissement des techniques
La technicienne de surface : un travail relationnel
au patient, dans l’ombre d’une équipe de soins
23/02/2017
Anne-Françoise Claes, Infirmière enseignante et Praticienne des outils de base
de la psychologie corporelle intégrative OU
Natacha Delmotte, Criminologue, Thérapeute systémicienne, Sexologue, Médiatrice familiale
agréée
Pour les Techniciennes de surface



Redéfinir le cadre de travail et les limites professionnelles
Offrir des outils d’écoute
Offrir un lieu de parole
- 22 -
La douleur chronique : mise à niveau
25/04 et 09/05/2017
Bernadette Wouters, Infirmière formée en Soins Palliatifs, Algologie et Ethique.
Maître Praticienne en PNL (Programmation-Neuro-Linguistique)
Pour les Infirmiers(ères) non spécialisé(e)s et les Paramédicaux

Deux journées pour parcourir les données anatomophysiologiques, les classifications,
les méthodes thérapeutiques pharmacologiques et non pharmacologiques, les modes
d’évaluation, les caractéristiques des douleurs aiguës, chroniques.
Douleur et confort
27/04/2017
Bernadette Wouters OU Claire Grignard OU Michèle BECK
Infirmières formées en Soins Palliatifs
Pour le personnel soignant



Notions d’anatomie, physiologie, aspects psychologiques
Traitements pharmacologiques et non pharmacologiques
Mesures de confort : alimentation, hydratation, respiration
Le management d’équipe participatif
08/05 et 22/05/2017
Dominique Hardy, Coach, formée en PNL, Analyse systémique, Coaching d’équipe, Gestion
du changement et Consultante en Ressources Humaines
Pour les Superviseurs d’équipe






Clarifier les règles du jeu pour orienter l’équipe vers l’action
Détourner les situations difficiles pour développer son bien-être et celui de l’équipe
Prendre sa place et gagner le respect de l’équipe
Enrichir sa gestion d’équipe en fonction de sa personnalité, de la culture de l’institution
et du profil de l’équipe
Accompagner les travailleurs dans une démarche d’amélioration continue
Encourager son équipe à déployer ses compétences
Source : Google
- 23 -
Etre soignant, une course contre la montre…
Comment y faire face ?
01/06/2017
Véronique Landolt, Kinésithérapeute formée en Soins Palliatifs et Oncologie et Conseillère
agréée en Fleurs de Bach
Pour le personnel soignant




Mettre en lumière les situations stressantes
Réduire l’épuisement du soignant
Apprendre à faire face à son impuissance
Transformer sa propre réalité
Soins, culture et religion : un trio impossible ?
21/09 et 28/09/2017
Samira Laâroussi, Aide-Soignante, Assistante Sociale et Spécialiste de l’Interculturalité
Pour le personnel soignant



Comprendre les notions de choc culturel et de choc des cultures
Comprendre l’autre dans sa différence avec ses spécificités culturelles et religieuse
et adapter le plan de soins avec le patient si nécessaire
Découvrir les aspects méthodologiques de la communication interculturelle ainsi que le
développement du pouvoir d’agir
La kiné en Soins Palliatifs – Formation de base
21/09 et 19/10/2017
Véronique Landolt, Kinésithérapeute formée en Soins Palliatifs et Oncologie et Conseillère
agréée en Fleurs de Bach
Pour les Kinésithérapeutes et Ergothérapeutes





Comprendre le rôle du kinésithérapeute dans une situation de fin de vie
Adapter ses traitements
Expérimenter la Respiration Consciente comme outil de travail
Utiliser le massage LTouch
Le soignant face à la fin de vie de son patient
- 24 -
Comment trouver la juste place
dans la relation Soignant - Soigné
24/10/2017
Patricia Plasier, Psychologue clinicienne d’orientation analytique OU
Anne Raeymaekers, Assistante Sociale, licenciée en Sciences Familiales et Sexologiques,
Référente Démence
Pour le personnel soignant





Définir les concepts tels que : relation, écoute, deuil,…
Entendre efficacement et dans le confort le vécu des personnes malades et des familles
Appliquer l’écoute active et reconnaître sa place dans la relation Soignant - Soigné
Connaître les différents filtres et les principales techniques
Permettre au colérique de s’exprimer de façon plus satisfaisante
Ethique - Quelles décisions en fin de vie ?
(Euthanasie ? Acharnement ? Soins Palliatifs ?...)
12/12/2017
Bernadette Wouters, Infirmière formée en Soins Palliatifs, Algologie et Ethique.
Maître Praticienne en PNL (Programmation-Neuro-Linguistique) OU
Michèle BECK, Infirmière formée en Soins Palliatifs et enseignante, pratique professionnelle
de plusieurs années dans un service de Soins Palliatifs.
Pour le personnel soignant



Quels repères suivre ?
Quelles décisions prendre ? Les Soins Palliatifs ? Euthanasie ? NTBR ? Arrêt de l’alimentation ?
Comment prendre une décision ?
Source : Google
- 25 -
7. Formations sur le thème du handicap mental
(ouvertes à tous)
Observation, évaluation et prise en charge
de la personne handicapée mentale
03/10 et 17/10/2017
Anne Bindels, Infirmière Psychiatrique formée et expérimentée en Soins Palliatifs,
Gérontologie et Algologie, orientation "personnes handicapées mentales"



Mieux comprendre la douleur pour savoir mieux la décrypter, la prévenir et la soulager
Savoir prévenir la douleur par un nursing adapté
Professionnaliser cette prise en charge de la douleur, avec comme souci principal,
la qualité de vie de la personne
Accompagnement de la personne handicapée mentale
vieillissante et/ou en fin de vie
23/11 et 07/12/2017
Anne Bindels, Infirmière Psychiatrique formée et expérimentée en Soins Palliatifs,
Gérontologie et Algologie, orientation "personnes handicapées mentales"





Prendre conscience du vieillissement de la personne handicapée mentale
Différencier les aspects particuliers des vieillissements
Envisager les mesures de prévention
Reconnaître leurs besoins propres en tant que personnes vieillissantes
Trouver de nouvelles pistes d’accompagnement et de collaboration
8. Formations uniquement dispensées en Institutions
Conditions et contrat sur simple demande
Nos activités continuent aussi pendant les congés et vacances scolaires.
N’hésitez pas à demander des formations également durant ces périodes.
Gérontologie et handicap mental
2 journées à la demande
Anne Bindels, Infirmière Psychiatrique formée et expérimentée en Soins Palliatifs,
Gérontologie et Algologie, orientation "personnes handicapées mentales" OU
Denis Delle Monache, Psychopédagogue, formé en Soins Palliatifs




Aperçu général du vieillissement des personnes présentant un handicap mental
Evaluation et prévention du vieillissement
Travail d’accompagnement spécifique des éducateurs
Problèmes cliniques gériatriques
- 26 -
Sensibilisation aux Soins Palliatifs
dans le secteur du handicap mental
1 journée à la demande
Anne Bindels, Infirmière Psychiatrique formée et expérimentée en Soins Palliatifs,
Gérontologie et Algologie, orientation "personnes handicapées mentales" OU
Denis Delle Monache, Psychopédagogue, formé en Soins Palliatifs



Définition, organisation, concept des Soins Palliatifs
Accompagnement du résident en fin de vie, de la famille et de l’équipe
Deuil du patient et des familles
Sensibilisation au deuil
dans le secteur du handicap mental
2 journées à la demande
Anne Bindels, Infirmière Psychiatrique formée et expérimentée en Soins Palliatifs,
Gérontologie et Algologie, orientation "personnes handicapées mentales" OU
Denis Delle Monache, Psychopédagogue, formé en Soins Palliatifs




Définition et processus du deuil
Différents types de deuil
Les émotions dans le deuil
Accompagner les personnes endeuillées
Attention : les dates de formation indiquées sont susceptibles d’être modifiées
Dès qu’une formation est complète, une nouvelle session est planifiée
et la nouvelle date remplace la précédente sur le site. Veuillez vérifier en ligne par sécurité.
L’ASBL SARAH se réserve le droit d’annuler la formation
si le nombre minimun de participants n’est pas atteint.
Les inscriptions, chez SARAH, s’effectuent via notre site internet www.sarahformations.be
Les nouveaux tarifs de nos formations sont disponibles sur notre site internet.
Pour plus de détails sur une formation, cliquer sur son nom,
un feuillet explicatif s’ouvrira avec :
le programme, les objectifs, la méthode et quelques infos pratiques
- 27 -
NOS FORMATEURS
Anne-Gaëlle BAUDOT
Assistante sociale en milieu hospitalier, licenciée en sciences sociales, Anne-Gaëlle est formée
en communication non violente et à l’accompagnement des personnes malades et en fin de
vie. Massothérapeute, spécialisée en différentes approches psychocorporelles et en aromaolfactologie, elle forme le personnel soignant au toucher relationnel et à la Présence
notamment en MR/MRS.
Anne BINDELS
Infirmière psychiatrique spécialisée en Gérontologie, Soins Palliatifs et Algologie. Grâce sa
grande connaissance du handicap mental, son expérience personnelle et professionnelle, elle
s’est spécialisée dans l’accompagnement de fin de vie, la prise en charge de la douleur, le
suivi du deuil et le vieillissement de ces personnes. Elle coordonne depuis plusieurs années un
groupe de réflexion et d’étude du vieillissement des personnes handicapées mentales «
Brux’Ainés ».
Anne-Françoise CLAES
Infirmière, licenciée en éducation pour la santé. Elle enseigne aux adultes en réorientation
professionnelle dans le secteur de l’aide aux personnes et de la petite enfance. Nourrie de son
expérience professionnelle et de diverses formations, elle inscrit son approche dans la
philosophie de « l’humanitude », en prenant appui sur la relation Soignant-Soigné pour
favoriser le développement vers plus d'humanité. Elle est praticienne des outils de base de la
Psychologie Corporelle Intégrée. Au centre de cette approche, le corps et la relation qu’elle
intègre dans ses formations en proposant des expériences corporelles, créatives et ludiques.
Denis DELLE MONACHE
Titulaire d’une agrégation (AESS) en Psychologie et en Science de l’éducation, d’un Master en
Sciences de l’Education, d’un Bachelor Assistant social et formé aux Soins Palliatifs. Via son
mémoire de fin d’étude, il s’est spécialisé dans les pertes et les deuils des personnes âgées et
a travaillé en milieu hospitalier et dans un service d’aide à la jeunesse en milieu ouvert. Il est
professeur dans un établissement supérieur et plusieurs établissements secondaires de
promotion sociale pour adultes.
Michèle BECK
Infirmière spécialisée en Soins Palliatifs, elle bénéficie d’une expérience longue et diversifiée
en milieu hospitalier et dans l’enseignement. Elle est formée aux différentes approches
palliatives et a travaillé de longues années en hôpital. Elle enseigne dorénavant son
expérience de terrain dans la prise en charge des patients en fin de vie (promotion sociale) et
dans des formations ponctuelles autour de la problématique palliative.
- 28 -
Natacha DELMOTTE
Licenciée en criminologie et est formée à l’approche systémique familiale et institutionnelle.
Elle a été responsable pendant 10 ans du service des admissions d’une communauté
thérapeutique traitant de la problématique des personnes dépendantes. Dans ce cadre, elle a
travaillé dans le domaine carcéral et dirigé une unité mère-enfant. Elle est spécialisée dans la
prise en charge des assuétudes, la gestion des conflits et la communication non-violente. Elle
a complété son cursus par une formation en sexologie clinique et en médiation familiale. Elle
est formatrice, médiatrice et assure des supervisions depuis plusieurs années. Depuis 15 ans,
elle est expert judiciaire spécialisé en droit familial.
Paolo DOSS
Formateur à l'Art d'expression, à la Communication et au Clown dans le milieu médical,
spécialisé dans le domaine des soins palliatifs. Auteur-metteur-en-scène-interprète. Clown
professionnel en hôpital, en pédiatrie, psychogériatrie et en soins palliatifs depuis 1987.
Maître de conférence en Belgique et à l'étranger dans le monde médical et social. Voir son
site internet : www.paolodoss.be
Dorothée GILLON
Licenciée en Psychologie à l'UCL, elle travaille depuis 2001 dans l'accompagnement. Elle a
exercé en centre de santé mentale, en milieu hospitalier et à domicile, auprès des personnes
âgées et de leur entourage, ainsi qu'en Soins Palliatifs. Son approche se nourrit de la gestaltthérapie, de la sophrologie et de la pratique du récit de vie. Actuellement, elle partage son
activité entre l'accompagnement psychothérapeutique adulte, le bilan d'orientation socioprofessionnel par le récit de vie et la formation
Claire GRIGNARD
Infirmière formée et travaillant en Soins Palliatifs à domicile et en maison de repos au sein
d'une équipe de soutient en Soins Palliatifs. Depuis plusieurs années, formatrice au sein de
diverses associations, elle est en perpétuel mouvement pour améliorer les soins par
l'accompagnement des personnes en souffrance, dans le respect de l'autre, l’écoute, la qualité
de présence à l'autre et à soi.
Dominique HARDY
Coach et Consultante en Ressources Humaines. Après avoir travaillé 29 ans en entreprises et
ayant occupé des postes à responsabilité avec gestion d’équipes, elle a peu à peu dessiné un
nouveau parcours professionnel répondant à ses besoins et ses aspirations. Formée en
coaching (ICF), en PNL, Analyse systémique, Coaching d’équipe, Gestion du changement
notamment, elle a créé sa société et propose des formations actives, participatives et
réflectives orientées solutions. Pour ce faire, elle accompagne les participants à travailler avec
leurs propres ressources et richesses et à mettre en avant la contribution que chacun apporte
avec ses spécificités propres. Elle aime aborder les problèmes différemment afin de laisser
émerger le champ des possibles de chacun.
- 29 -
Samira LAAROUSSI
Aide-soignante, Assistante Sociale, certifiée pour l’accompagnement socioprofessionnel du
public précarisé depuis 13 ans. Gestionnaire et animatrice d’ateliers « Créations d‘orient »
proposant des animations originales afin de découvrir la culture maghrébine (cuisine, soin,
sensibilisation à la culture,…). Animatrice d’ateliers de développement personnel et
Formatrice dans le secteur social au sein d’établissements scolaires, ASBL, entreprises
d’insertion,….
Véronique LANDOLT
Kinésithérapeute spécialisée en Soins Palliatifs (Certification universitaire) et en Oncologie,
elle exerce en milieu hospitalier et en cabinet privé où l’essentiel de son travail est orienté sur
le confort physique, le bien-être émotionnel et la prise en charge de la douleur. Elle utilise
différentes techniques inspirées de la Pleine Conscience, associées à la respiration, à la
mobilisation globale et au toucher-massage. Conseillère agréée en Fleurs de Bach, Véronique
a été formée par la Fondation Bach. Son expérience personnelle et l’utilisation des Fleurs dans
le cadre de son travail de kinésithérapeute lui ont donné l’envie de partager ses résultats sous
forme de conférences et de formations.
Anne-Françoise MALOTAUX
Formatrice en Aromathérapie et en thérapies naturelles.
Isabelle MERTENS
Formée, entre autres, en Analyse Transactionnelle, Soins Palliatifs, Communication et
Relations Humaines, elle s'est spécialisée dans l'accompagnement des deuils et traversées de
crise. Assistante Sociale à l'Université de Namur depuis 1985, elle a également une expérience
de 5 ans en tant que volontaire S.A.R.A.H. dans un service d'oncologie. Depuis plus de 10 ans,
elle forme des professionnels et des volontaires de la relation d'aide et du secteur psychomédico-social, encadre des étudiants et futurs travailleurs sociaux et accompagne, en
consultation de guidance, des adultes en situation de perte, deuil, changement et/ou crise.
Riche de ses expériences professionnelles et personnelles, elle souhaite partager sa confiance
en l'humain et sa conviction que toute crise peut être une occasion de mieux se connaitre, de
grandir et de "rebondir".
Marie-Pierre PEETERS
Diplômée en Esthétique et en Podologie, elle est également formée en Analyse
Transactionnelle et en Massothérapie ainsi qu'aux techniques psychocorporelles.
Coordinatrice d'un centre de développement personnel, elle y pratique une consultation en
tant que Counselor (accompagnement aux crises de vie, deuils et traumas). Depuis plusieurs
années, elle est également formatrice pour deux ASBL (SARAH et P.S.D.D. de Namur)
spécialisées en accompagnement du personnel soignant de MR et MRS.
Dominique PINCHART
Licenciée en Philologie Romane et agrégation AESS, elle s’est formée en Analyse
Transactionnelle. Elle est également professeur de yoga diplômée et forme de futurs
professeurs de yoga au sein de l’Ecole ETY (Etude et Transmission du yoga). Depuis plus de 14
ans, elle est formatrice indépendante pour l’ASBL SARAH, l’EPE, l’ONE, Vivre son deuil – Nord
Pas de Calais et l’ASBL PSDD. Elle utilise ces différents outils psychocorporels en consultations
de guidance dans l’accompagnement des deuils et pertes, la gestion du stress et le
développement personnel.
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Patricia PLASIER
Psychologue clinicienne-Psychothérapeute. Son expérience professionnelle se situe autour de
la prise en charge de troubles et/ou affections psychologiques comme la dépression, les états
d’anxiété, les troubles du stress et du stress post-traumatique, les états affectifs liés à la
maladie grave, le deuil, les pertes en général, les problématiques liées à la maltraitance, etc.
Elle exerce depuis plusieurs années en tant que superviseur. L'espace de supervision aide à
soutenir la réflexion des groupes et des équipes confrontés à des conflits ou souffrances liés à
une crise ou institutionnelle. Dans le milieu hospitalier, elle a une expérience de plus de 15
ans au sein de services tels que l'Oncologie et les Soins palliatifs. A ce niveau, elle est à la base
de projets de mise en place de lieux d'accueil pour les enfants et les familles au sein de ces
services. Elle a aussi mis en place et anime depuis 17 ans des groupes de parole : maladies
graves, deuils, agressions, violences conjugales…
Anne RAEYMAEKERS
Assistante Sociale, Sexologue et Psychothérapeute, elle propose des supervisions d’équipes.
Dans le domaine de la santé, elle est chargée de cours dans un établissement de promotion
sociale et propose également des formations continues pour les soignants.
Sabine VASSART
Assistante sociale, licenciée en Sciences de la famille et de la Sexualité, formée à la thérapie
familiale et à l'intervention systémique, à la sexologie clinique. Elle a travaillé en psychiatrie et
partage aujourd’hui son activité entre l’enseignement au sein de la HELHA, section
assistant(e) social(e), et une pratique de psychothérapeute au centrEmergences à Louvain-laNeuve. Elle anime également plusieurs modules dans le cadre de la formation continue du
CERSO.
Bernadette WOUTERS
Infirmière, licenciée en Sciences Hospitalières et Médico-sociales, Agrégée de l’enseignement
secondaire supérieur, formée en Soins Palliatifs, Algologie, Ethique de la santé, et Maitre
praticienne en PNL. Elle travaille comme enseignante en formation de baccalauréat en soins
infirmiers et a donné des cours de Soins Palliatifs en Promotion Sociale. Engagée dans le
développement des Soins Palliatifs depuis 1983, elle a travaillé en Soins Palliatifs hospitaliers.
Chantal WYNS
Licenciée en Psychologie à l'ULB, elle a travaillé pendant 13 ans comme neuropsychologue
dans le service de revalidation de l'hôpital St Luc et s'est spécialisée dans le domaine de la
maladie d'Alzheimer. Formée en analyse transactionnelle, en théorie du développement et en
outils de psychologie énergétique, elle partage aujourd'hui son activité entre
l'accompagnement psychothérapeutique, la guidance parentale et les formations.
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"Tout ce qui n'est pas donné est perdu"
Notre vie est parsemée de jours heureux comme un mariage, une naissance, mais aussi de
jours tristes et sombres comme le décès d’un ami, d’un proche. A cette occasion, les
personnes concernées reçoivent fleurs ou cadeaux. Parfois, ils proposent à leurs
connaissances de faire un don à une association.
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