
Carttell : démarche inductive « lexical » visant à couvrir l’ensemble de la sphère de la personnalité. 
Modèle à 16 facteurs bipolaires, au départ 171 mots. 
Outils d’évaluation : 16 PF 
Facteur A, note basse : réservé et détaché, note élevée : ouvert et chaleureux 
 Il  s’aperçoit  qu’entre  ces  16  facteurs  il  y  a  des  corrélations,  donc  il  veut  faire  une  analyse 
factorielle  de  second  ordre  et  va  aboutir  à  5  facteurs généraux :  l’extraversion,  l’anxiété,  la 
dureté, l’indépendance et le contrôle de soi.  
 
Hill :  Personnalité  et  rêve,  certaines  personnes  se  souviennent  de  leur  reve  et  elles  presentent 
certaines caracteristiques 
- Plus sensible 
- Plus conservatrice 
- Plus timide        Attitudes positive    Rappel des rêves 
- Plus stable au plan émotionnel   à l’égard des rêves 
- Plus placide 
- Plus opportunistes  
 
Flegr  et  al :  Personnalité  et  santé,  toxoplasmose :  deux  groupe  de  femme  dont  le  premier  a  une 
forme asymptomatique de la maladie 
- Chez les jeunes mamans : liens entre facteurs A+G et de durée de l’infection 
- Chez les 230 jeunes femmes : Liens entre facteurs Q3+G et de durée de l’infection 
 Relation telle que serait l’infection qui agit sur les facteurs de personnalité.  
Spiro et all : Hyper-tension artérielle, Sur l’échantillon 38% (hommes) développe une hyper-tension 
Apres  contrôle  statistique  de  l’influence  d’autres  facteurs  (biomédicaux,  sociaux, 
comportementaux) :  on  observe  une  relation  significative  négative  entre  le  facteur  C  (stabilité 
émotionnelle) et de l’hyper-tension, 
 Les sujets les moins stables émotionnellement tendent à être les sujets à hyper-tension 
 
Kokkevi  et  Agathonos :  Maltraitance.  33  parents  maltraitants  (16  pères,  17  mères)  vs  groupe 
contrôle. On fait passer des tests d’intelligence te le 16PF. 
- Pas de différence de QI entre pères maltraitants et pères témoins 
- QI (verbal + performance) plus faible chez les mères maltraitantes que les mères témoins 
- QI plus faible chez les mères maltraitantes que chez les pères maltraitants 
- Les  mères  maltraitantes  apparaissent  plus  timides,  méfiantes,  repliées  sur  elles-mêmes 
(facteur H) que les mères témoins 
- Les  mères  maltraitantes  apparaissent  plus  ambivalentes,  impulsive  (facteur  Q3)  que  les 
mères témoins 
- Le  facteur  H  discrimine  également  entre  pères  maltraitants  et  témoins, mais  dans  le  sens 
opposé que ce qui est observé chez les mères.