1 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre Solutionnaire des exercices de fin de chapitre 10. a) Sodium. Chapitre 1 1. Calcium : Ca Fluor : F La forme des cristaux de fluorite peut être décrite comme des cubes entremêlés. Ainsi, la forme générale des cristaux indique que les ions sont disposés alternativement selon un arrangement cubique. 2. Les états de la matière sont : solide, liquide et gaz. Vous pouvez consulter la section 1.6.1 pour obtenir leur description. 3. L’apparence non uniforme du mélange nous indique que des échantillons prélevés à différents endroits de ce mélange auraient une composition différente. Cela est une caractéristique d’un mélange hétérogène. d) Phosphore. b) Potassium. e) Magnésium. c) Chlore. f) Nickel. 11. a) Ba d) Pb b) Ti e) As c) Cr f) Zn 12. a) Na est un élément ; NaCl est un composé. b) Le sucre est un composé ; le carbone est un élément. c) L’or est un élément ; le chlorure d’or est un composé. d) Le silicium est un élément ; le sable est un composé. 13. a) Propriétés physiques : l’état physique (liquide) et la couleur (incolore). Pour séparer le fer du sable, on peut faire passer un petit aimant à travers le mélange, ce qui attirera le fer magnétique et le séparera du sable. Propriété chimique : la réactivité (brûle en présence d’air). b) Propriétés physiques : la couleur (métal brillant, orange) et l’état physique (liquide). 4. Un composé est une substance pure composée d’au moins deux éléments différents alors qu’une molécule est la plus petite entité de matière, qui possède les propriétés de la substance. Par exemple, un composé telle l’eau est formé de molécules d’eau dont la formule chimique est H2O. Propriété chimique : la réactivité (réagit avec le brome). c) Propriétés physiques : l’état physique (solide), la couleur (blanc) et la masse volumique (2,71 g/cm3). Propriété chimique : la réactivité avec un acide (forme du dioxyde de carbone gazeux). 5. a) Propriété physique. b) Propriété chimique. d) Propriétés physiques : la couleur (métal gris, iode violet, blanc) et l’état physique (poudre, solide). c) Propriété chimique. Propriété chimique : la réactivité (réagit avec l’iode pour former…). d) Propriété physique. e) Propriété physique. f) Propriété physique. 1 cm3 14. 500 mL × 6. a) Changement chimique. × 1 mL 1,11 g 1 cm3 = 555 g b) Changement physique. c) Changement chimique. 15. 2, 00 g × d) Changement physique. 7. Liquides : le mercure et l’eau. Solide : le cuivre. Le mercure est la substance la plus dense alors que l’eau est la moins dense. 16. 1 tasse × 9. Observations qualitatives : état physique solide, couleur bleuvert. 237 mL × 1 tasse 1 cm3 1 mL = 237 cm3 205 g = 0, 865 g /cm3 237 cm3 8. Exothermique : le système perd de la chaleur au profit du milieu extérieur (la combustion du méthane produit de la chaleur). Endothermique : le système gagne de la chaleur fournie par le milieu extérieur (la glace absorbe de la chaleur lorsqu’elle fond). 1 cm3 1 mL × = 2, 79 mL (ou 2, 79 cm3 ) 3 0,718 g 1 cm 1 17. 37, 5 g (20,2 – 6,9) mL × 1 mL = 2, 82 g /cm3 1 cm3 La masse volumique de l’échantillon (2,82 g/cm3) se rapproche le plus de celle de l’aluminium (2,70 g/cm3). 18. T = t + 273,15 = 25 + 273,15 = 298 K Observations quantitatives : longueur de 4,6 cm, masse de 2,5 g et masse volumique de 2,65 g/cm3. 19. T = 5,5 × 103 + 273,15 = 5,8 × 103 K Propriétés extensives : longueur et masse. 20. a) t = T − 273,15 = 77 − 273,15 = -196 °C Propriétés intensives : état physique, couleur et masse volumique. b) 336 K c) 1180 °C © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 2 CHIMIE GÉNÉRALE 21. a) 42,195 km × b) 42,195 km × 22. 19 cm × 19 cm × 1000 m 1 km 1 mille × 1 Cal b) 3 CS g) 4 CS c) 3 CS h) 3 CS d) 2 CS i) 5 CS e) 5 CS j) 6 CS 30. a) 0,122 ; 3 chiffres significatifs permis. b) 0,0286 ; 3 chiffres significatifs permis. 1m = 0,19 m 100 cm 1000 cal f) 4 CS = 26, 22 milles 1,609 km 10 mm = 1, 9 × 102 mm 1 cm 23. 1200 Cal × 29. a) 3 CS = 42 195 m 31. a) 4,184 J 1 cal = 5,844 143 806 × 10−5 ∆R = (5,844 143 806 × 10−5)R = (5,844 143 806 × 10−5)(7,228 187 201) ⎛ 11, 8 cm ⎞ 2 24. Aire = π(rayon)2 = π ⎜ ⎟⎠ = 109 cm ⎝ 2 = 0,000422 qu’on arrondit à un chiffre significatif. 2 ⎛ 1m ⎞ –2 2 109 cm × ⎜ ⎟ = 1, 09 × 10 m ⎝ 100 cm ⎠ Résultat : 7,2282 ± 0,0004. 2 b) 250 mL × 1 cm3 1 mL b) Résultat : 16,43 ± 0,02. c) 3,302 + 13,60 = 16,902 1L 1000 mL 0,009 + 0,01 = 0,019 qu’on arrondit à 0,02. Somme : 16,90 ± 0,02 = 0, 250 L 3 ⎛ 1m ⎞ 3 –4 c) 250 mL × × ⎜ ⎟ = 250 × 10 m 100 cm 1 mL ⎝ ⎠ 26. a) 1, 5 L × b) 1, 5 L × 1L 1000 mL 1000 mL 1L 1000 mL 1L × 1 dm3 1L 1,5 L × 27. 2, 52 kg × 2, 52 kg × 16, 90 = 8, 407 960 199 2, 01 ∆R 0, 02 0, 05 = + = 0, 026 059 053 R 16, 90 2, 01 ∆R = (0,026 059 053)(8,407 960 199) = 0,219 Résultat : 8,4 ± 0,2. = 1, 5 × 103 mL 0, 200 g 32. 1, 50 carat × × 1 cm3 1 mL 1 × 106 µL 1L 1 µL 1 × 10 –6 L 1 carat × 1 cm3 = 0, 0854 cm3 3, 513 g = 1, 5 × 103 cm3 2 3 1 R = = 0, 250 dm3 ⎛ 1 dm ⎞ = 1, 5 dm3 c) 1, 5 × 103 cm3 × ⎜ ⎝ 10 cm ⎟⎠ d) 1,5 L × R = x − y = 38,01 − 21,58 = 16,43 ∆R = ∆x + ∆y = 0,01 + 0,01 = 0,02 = 250 cm3 1 cm3 d) 250 mL × x 40, 5270 = = 7, 228 187 201 y 5, 6068 ∆y ∆R ∆x 0, 0002 0, 0003 = + = + R x y 40, 5270 5, 6068 = 5, 021 × 106 J 2 25. a) 250 mL × R = ⎛ 2, 2 cm ⎞ 33. Volume = π(rayon)2(épaisseur) = π ⎜ (0,30 cm) ⎝ 2 ⎟⎠ = 1,1 cm3 1,1 cm3 × = 1, 5 × 10 µL ou 6 = 1, 5 × 106 µL 1000 g = 2, 52 × 103 g 1 kg 1 × 106 mg = 2, 52 × 106 mg 1 kg 3 ⎛ 100 cm ⎞ 7, 3 g 1 kg 3 × × ⎜ m3 28. ⎟ = 7, 3 × 10 kg /m 3 1000 g 1 cm ⎝ 1m ⎠ © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 34. 19, 3 g 1 cm3 = 22 g 1,77 lb 454 g 1 kg × × = 0, 804 kg /L 1L 1000 g 1 lb 0, 804 kg 1L × 7700 L = 6191 kg 22 300 kg − 6191 kg = 16 109 kg 16 109 kg × 1L = 20 036 L (200 × 102, en tenant 0, 804 kg compte des chiffres significatifs). 3 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre 35. La température normale du corps est de 37 °C. Le point de fusion du gallium est de 29,8 °C, aussi, tenu dans votre main, il devrait fondre. 36. T = t + 273,15 T = -248,6 + 273,15 = 24,6 K T = -246,1 + 273,15 = 27,1 K 37. 1, 97 Å × 1, 97 Å × 10−10 m 1Å 10−10 m 1Å 38. H2 O : 600 g × Pb : 600 g × × × 1 nm 10 –9 m 1 pm 10 –12 m = 0,197 nm = 197 pm 1 cm3 = 600 cm3 0,995 g 45. a) On pourrait faire évaporer l’eau en chauffant la solution, laissant le sel comme résidu. b) L’utilisation d’un aimant attirera la limaille de fer, la séparant du plomb. c) Ajouter de l’eau pour dissoudre le sucre. Filtrer la solution pour en séparer le soufre solide. Récupérer le sucre de la solution en évaporant l’eau par chauffage. 46. Épaisseur = 1 cm3 = 50 cm3 11, 34 g volume surface 1 cm3 1 mL × = 18, 0 mL 8,56 g 1 cm3 1 cm3 = 126 cm3 2,70 g 2 126 cm3 = 1,8 × 10−3 cm = 1,8 × 10−2 mm 7,0 × 104 cm2 47. 150 000 personnes × 40. La masse volumique de CCl4 étant plus élevée que celle du plastique, celui-ci flottera sur le solvant. L’aluminium, plus dense que le CCl4, se retrouvera au fond du récipient. × 67 g de Pb = 170 g de Pb 41. 250 g de matériau × 100 g de matériau b) 1 oz × ⎛ 30, 48 cm ⎞ 4 2 Surface en cm2 = 75 pi2 × ⎜ ⎟ = 7, 0 × 10 cm ⎝ 1 pi ⎠ Épaisseur = Si le volume d’eau augmente de 18,0 mL, le volume final sera de : 50 mL + 18,0 mL = 68 mL. 42. a) 28,4 g Volume en cm3 = 12 oz × À masse égale, la substance la moins dense, l’eau, occupera le plus grand volume. 39. 154 g × m V La masse volumique de l’urine augmente lorsque trop de sucre est éliminé (m augmente, donc ρ augmente). Par contre, elle diminue lorsque trop d’eau est éliminée (V augmente, donc ρ diminue). 44. ρ = 660 L d’eau 1 jour 1000 mL 1L × × × 1 cm3 1 mL 365 jours 1 annéée × 1, 00 g 1 cm 3 × 1 kg 1000 g 1 kg de fluorure 1 kg de NaF × 6 0, 45 kg de fluorure 10 kg d’eau c) = 8,0 × 104 kg de NaF/année 48. 500 mL × 1 cm3 1 mL × 1,285 g de solution 1 cm 3 × 38, 08 g d’acide sulfurique 100,00 g de solution = 245 g d’acide sulfurique d) e) f) Chapitre 2 1. Les trois particules fondamentales de l’atome sont l’électron (-1), le proton (+1) et le neutron (0). Ces deux dernières constituent le noyau d’un atome. Des trois particules fondamentales, l’électron est la particule la plus légère. 43. On pourrait sentir avec précaution l’odeur des vapeurs, s’il y en a. Déterminer si le point d’ébullition, le point de fusion et la masse volumique du liquide sont respectivement d’environ 100 °C, 0 °C et 1 g/mL (à la température ambiante). Pour vérifier la présence d’un sel en solution, faire évaporer complètement le liquide. S’il reste un résidu, il se peut que ce soit un sel, mais d’autres tests seraient nécessaires pour valider cette hypothèse. 1 2. L’unité de masse atomique est exactement le de la 12 masse d’un atome de carbone 12 possédant six protons et six neutrons. 3. Le numéro atomique d’un élément correspond au nombre de protons contenus dans son noyau, alors que la somme des protons et des neutrons contenus dans le noyau est le nombre de masse. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 1 2 4 CHIMIE GÉNÉRALE 4. La découverte de la radioactivité a montré que les atomes doivent être divisibles, ce qui implique qu’ils sont constitués de particules encore plus petites, des particules subatomiques. 5. Les valeurs approximatives des rayons des noyaux atomiques et des atomes sont données à l’exercice 2.1. Ainsi, on peut obtenir le rapport au fait qu’il émet des radiations, et le polonium, en l’honneur de son pays d’origine, la Pologne. Dans Internet, visitez le site de la fondation Nobel. 12. L’oxygène existe sous deux allotropes différents : O2, une molécule sans odeur, et O3 (ozone), un gaz avec une odeur âcre caractéristique. Le carbone existe sous forme de graphite, de diamant et de fullerènes (comme le buckminsterfullerène C60). Le graphite est formé de couches d’atomes de carbone rattachées faiblement l’une à l’autre. Le diamant, un solide très dur, a chacun de ses atomes de carbone relié à quatre autres atomes (voir la figure 2.9 ). 100 pm diamètreatome rayonatome = = 1 × 105 = diamètrenoyau rayonnoyau 0, 001 pm diamètreatome = 1 × 105 diamètrenoyau diamètreatome = (1 × 105)(6 cm) = 6 × 105 cm = 6 km 6. Élément Titane Le soufre possède plusieurs allotropes, mais le plus commun est le cycle à huit côtés ayant la forme d’une couronne. Thallium Symbole Ti Tl Numéro atomique 22 81 Masse atomique (u) 47,867 204,3833 Groupe 4B (4) 3A (13) Période 4 6 Nature métal métal 13. a) Mg : Z = 12, A = 12 + 15 = 27 b) Ti : Z = 22, A = 22 + 26 = 48 c) Zn : Z = 30, A = 30 + 32 = 62 14. a) 39 19 K b) 84 36 Kr c) 60 27 Co 7. La masse atomique du lithium est plus proche de 7 que de 6, donc l’isotope le plus abondant est 7Li. 8. a) Une mole de Na a une masse d’environ 23 g, alors qu’une mole de Si a une masse de 28 g. Donc, 0,5 mol de Si a une masse supérieure. 15. b) La masse de 0,5 mol de Na est d’environ 11,5 g, ce qui est plus élevé que 9,0 g. c) La masse atomique de K est d’environ 39 u, alors que celle de Fe est approximativement de 56 u. Un atome de fer étant plus lourd qu’un atome de potassium, 10 atomes de Fe seront plus lourds que 10 atomes de K. 9. Dans le tableau périodique de la figure 2.6, les métaux sont en mauve, les non-métaux, en jaune, et les métalloïdes, en vert. Nom a) Lithium 2 Symbole Groupe Période Élément a) 24 b) 119 c) 232 Mg Sn Th ( ( ( 27 12 Mg ) ) Zn ) 48 22 Ti 62 30 Électrons Protons Neutrons 12 12 12 50 50 69 90 90 142 99 16. Tc : nombre d’électrons = nombre de protons = Z = 43 ; nombre de neutrons = 99 − 43 = 56. 17. 241 18. 57 27 Am : nombre d’électrons = nombre de protons = Z = 95 ; nombre de neutrons = 241 − 95 = 146. Co (30 neutrons), 60 27 58 27 Co (31 neutrons) Li 1A (1) 2 Argent Ag 1B (11) 5 Plomb Pb 4A (14) 6 b) Carbone C 4A (14) 2 Phosphore P 5A (15) 3 Sélénium Se 6A (16) 4 Iode I 7A (17) 5 c) Silicium Si 4A (14) 3 (23,985 u × 0,7899) + (24,986 u × 0,1000) + (25,983 u × 0,1101) = 24,31 u Arsenic As 5A (15) 4 21. Soit x l’abondance de 69Ga et (1 − x), l’abondance de 71Ga. 10. Le nickel (Ni) est un élément de transition (tout comme ceux de la partie mauve foncé du tableau périodique de la figure 2.6). Les halogènes sont les éléments du groupe 7A (17) (ex. : F). Les gaz rares sont dans le groupe 8A (18) (ex. : Ne). Les métaux alcalins sont dans le groupe 1A (1) (ex. : Na). 11. Mme Marie Curie a découvert le radium (Ra, élément 88) et le polonium (Po, élément 84). Le radium doit son nom © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. et Co (33 neutrons). 19. La masse atomique du thallium, 204,3833 u, est plus près de 205 que de 203. Ainsi, l’isotope le plus abondant est 205 Tl. 20. Masse atomique = (masse 24Mg)(% abondance) + (masse 25 Mg)(% abondance) + (masse 26Mg)(% abondance) 69,723 u = (68,9257 u)x + (70,9249 u)(1 − x) x = 0,6012 L’abondance de 69Ga est égale à 60,12 % et celle de 71Ga est de 39,88 %. 22. L’abondance de 121Sb est représentée par x et celle de 123Sb, par (1 − x). 121,760 u = (120,9038 u)x + (122,9042 u)(1 − x) x = 0,5720 5 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre L’abondance de est de 42,80 %. 121 Sb est égale à 57,20 % et celle de 123 Sb b) Les quatrième et cinquième périodes contiennent 18 éléments. 27, 0 g = 68 g de Al 1 mol de Al 23. a) 2, 5 mol de Al × b) 1, 25 × 10 –3 mol de Fe × c) 0, 015 mol de Ca × d) 653 mol de Ne × 27. a) Les deuxième et troisième périodes contiennent 8 éléments. c) La sixième période contient 32 éléments. 55,85 g = 0,0698 g de Fe 1 mol de Fe 40,08 g = 0, 60 g de Ca 1 mol de Ca 20,18 g = 1, 32 × 104 g de Ne 1 mol de Ne 28. Il y a 27 éléments dans la septième période. Les actinides représentent la majorité de ces éléments et plusieurs sont préparés de façon synthétique. 58 29. Symbole 1, 9998 mol × 1 mol = 1,9998 mol de Cu 63,546 g de Cu 6, 022 × 1023 atomes 1 mol = 1,2043 × 1024 atomes de Cu b) 0, 012 g de Li × 0, 0017 mol × 1 mol = 0, 0017 mol de Li 6,941 g de Li = 1,0 × 1021 atomes de Li 1000 mg × 1 mol 243 g de Am = 2,1 × 10 mol de Am −5 2,1 × 10 –5 mol × 16 10 25 Nombre de neutrons 30 17 10 30 16 10 Nombre d’électrons 28 nickel 6, 022 × 1023 atomes 1 mol 1 mol = 0,250 mol de Al 26,98 g de Al 1 mol 63, 546 g 1 mol de Cu × 25. a) 1 mol de Cu 6, 022 × 1023 atomes b) Sodium, magnésium, aluminium, silicium, phosphore, soufre, chlore, argon. c) Carbone. f) Magnésium. g) Krypton. h) Germanium ou arsenic. 1 mol = 9,42 × 10−5 mol de Kr 83,80 g de Kr 32. 0, 007 89 g de Kr × 9, 42 × 10 –5 mol × 6, 022 × 1023 atomes 1 mol = 5,67 × 1019 atomes de Kr 33. 15 mg de Fe × 1g 1 mol × 1000 mg 55,85 g de Fe = 2,7 × 10−4 mol de Fe 2, 7 × 10 –4 mol × 6, 022 × 1023 atomes 1 mol = 1,6 × 1020 atomes de Fe 34. a) 0, 125 mol de Na × = 1,0552 × 10−22 g/atome 47,867 g 1 mol de Ti × 1 mol de Ti 6, 022 × 1023 atomes = 7,9487 × 10−23 g/atome 26. Le groupe 5A (15) contient cinq éléments. b) Arête = Métalloïdes : arsenic (As) et antimoine (Sb). 3 22,99 g 1 cm3 × = 2,96 cm3 1 mol de Na 0,971 g 2, 96 cm3 = 1, 44 cm 35. Volume = (0,015 cm)(15,3 cm2) = 0,23 cm3 0, 23 cm3 × Non-métaux : azote (N) et phosphore (P). Métal : bismuth (Bi). 25 manganèse 31. a) Béryllium, magnésium, calcium, strontium, baryum, radium. 6, 022 × 1023 atomes = 1,51 × 1023 atomes de Al b) soufre néon 30. La masse atomique du potassium, égale à 39,0983 u, est plus près de celle de l’isotope 39K que de celle de 41K. Ainsi, l’isotope le plus abondant est 39K. = 1,2 × 10 atomes de Am 0, 250 mol × Mn 28 19 d) 6, 75 g de Al × 55 e) Iode. 1 mol 1g Ne d) Soufre. 6, 022 × 1023 atomes c) 5, 0 mg de Am × 20 S Nombre de protons Nom de l’élément 24. a) 127, 08 g de Cu × 33 Ni × 7,19 g de Cr 1 cm 3 × 1 mol 52,00 g de Cr 6, 022 × 1023 atomes 1 mol = 1,9 × 1022 atomes de Cr © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 2 6 CHIMIE GÉNÉRALE 4. a) 3,0 × 1023 molécules représentent la moitié d’une mole d’adénine. La masse molaire de l’adénine, C5H5N5, étant 36. a) Dans P4O10, il y a 0,744 g de phosphore et (1,704 − 0,744) = 0,960 g d’oxygène. ⎛ 0, 744 ⎞ ⎜⎝ 4 ⎟⎠ g de P 1, 94 g de P = ⎛ 0, 960 ⎞ 1,,00 g de O ⎜⎝ 10 ⎟⎠ g de O de 135,1 g/mol, la masse de b) L’adénine est une des quatre bases constituant l’ADN. Ces bases ont toutes au moins un cycle à six atomes constitué d’atomes de carbone et d’azote. 5. Ion borate : BO33–. L’ion borate est un anion. 37. a) Massenoyau = 1,06 × 10−22 g (La masse des électrons est négligeable.) Rayonnoyau = 4, 8 × 10 –6 nm × 10−9 m 1 nm × 100 cm 1m ρnoyau ⎛ 4⎞ = ⎜ ⎟ π(4, 8 × 10 –13 cm)3 = 4,6 × 10−37 cm3 ⎝ 3⎠ 1, 06 × 10 –22 g = = 2, 3 × 1014 g /cm3 4, 6 × 10 –37 cm3 b) Rayonatome = 0,125 nm × 10 –9 m 1 nm = 1,25 × 10−8 cm × 16, 00 g de O = 0,8879 ou 88,79 % d’oxygène 18,02 g de H2 O Méthanol, CH3OH : 16, 00 g de O = 0,4994 ou 49,94 % d’oxygène 32,04 g de CH3 OH La fraction massique de l’oxygène est plus élevée dans l’eau. 100 cm 8. a) C7H16O 1m b) C6H8O6 ⎛ 4⎞ Volumeatome = ⎜ ⎟ π(1, 25 × 10 –8 cm)3 = 8,18 × 10−24 cm3 ⎝ 3⎠ Volumeoccupé par les électrons = 8,18 × 10−24 cm3 − 4,6 × 10−37 cm3 c) C14H18N2O5 9. a) 1 atome Ca, 2 atomes C et 4 atomes O. b) 7 atomes C, 6 atomes H et 1 atome O. c) 1 atome Co, 6 atomes N, 15 atomes H, 2 atomes O et 2 atomes Cl. = 8,18 × 10−24 cm3 (30)(9, 11 × 10−28 g) 8, 18 × 10 –24 cm3 = 3,34 × 10−3 g/cm3 ρespace occupé par les électrons = d) 4 atomes K, 1 atome Fe, 6 atomes C et 6 atomes N. e) 4 atomes C, 6 atomes H et 4 atomes O. c) Le noyau est beaucoup plus dense que l’espace occupé par les électrons. Chapitre 3 1. Le cisplatine, Pt(NH3)2Cl2, contient deux atomes d’azote et six atomes d’hydrogène. 6 atomes H 6, 022 × 1023 molécules × 1 molécule 1 mol 2 3 6. La formule empirique donne le rapport le plus simple entre les différents atomes dans le composé, alors que la formule moléculaire donne le nombre réel d’atomes. La formule empirique de l’éthane est CH3 et sa formule moléculaire est C2H6. 7. Eau, H2O : = 4,8 × 10−13 cm Volumenoyau mole est de 67,55 g, ce qui est supérieur à 40 g. 1, 94 g de P = 31, 0 u 1,00 g de O b) 16, 000 u × 1 2 = 3,6 × 1024 atomes H/mol de cisplatine. Masse molaire du cisplatine = 195,08 + (2 × 14,01) + (6 × 1,008) + (2 × 35,45) = 300,05 g/mol. 2. La partie H C O H de la molécule est dans le plan du papier. Les deux autres atomes H liés au carbone se trouvent au-dessous et au-dessus du plan. H O C H 11. La formule du toluène est C7H8. La partie cyclique, formée de six atomes de carbone, est plane. Cinq de ces six atomes sont liés à un atome H, le sixième atome de carbone est lié à un groupement CH3, dont deux H ne sont pas dans le plan de la molécule. 12. a) Mg2+ b) Zn2+ c) Ni2+ d) Ga3+ e) N3– H H 3. L’atome de strontium possède 38 électrons. Lorsqu’un atome de strontium forme un ion, il perd 2 électrons (Sr2+). Ainsi, il a le même nombre d’électrons (36) que le gaz rare krypton. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 10. La formule de l’acide sulfurique est H2SO4. La structure de cet acide n’est pas plane. Les atomes O, qui entourent l’atome de soufre, sont placés aux quatre coins d’un tétraèdre. Les atomes d’hydrogène sont liés à deux des quatre atomes d’oxygène. f) Fe2+, Fe3+ 13. a) Ba2+ b) Ti4+ c) PO43– d) HCO3– 7 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre e) S2– 24. Mg2+ et PO43– : Mg3(PO4)2 (phosphate de magnésium). f) ClO4– Mg2+ et NO3– : Mg(NO3)2 (nitrate de magnésium). 2+ Fe3+ et PO43– : FePO4 g) Co 2– 4 3+ [phosphate de fer (III)]. – 3 Fe et NO : Fe(NO3)3 h) SO – 4 14. a) MnO [nitrate de fer (III)]. 25. La force d’attraction est plus forte dans le composé NaF parce que la distance entre les ions est plus petite que celle de NaI. b) NO2– c) H2PO4– 26. CaO. L’attraction entre des ions ayant des charges +2 et -2 (CaO) est plus grande qu’entre des ions chargés +1 et -1 (NaCl). d) NH4+ e) IO3– f) SO32– 15. Ils gagnent deux électrons. O2– a le même nombre d’électrons (10) que Ne. S2– a le même nombre d’électrons (18) que Ar. O et S forment tous les deux des anions -2 et des composés binaires avec l’hydrogène (H2O, H2S). 3+ – 16. Co et F forment CoF3. 27. a) Pentoxyde de diazote. b) Trisulfure de tétraphosphore. c) Difluorure d’oxygène. d) Tétrafluorure de xénon. e) Iodure d’hydrogène. + 2– 17. a) Deux ions K et un ion S . 28. a) BrF3 b) Un ion Ti4+ et deux ions SO42–. + b) B2O3 – 4 c) Un ion K et un ion MnO . c) N2H4 (voir le tableau 3.10) d) Trois ions NH4+ et un ion PO43–. d) P2F4 e) Un ion Ca2+ et deux ions ClO–. e) C4H10 (voir le tableau 3.10) f) Un ion Al3+ et trois ions OH–. 2+ – f) SCl2 4+ 18. a) Pt et Cl : PtCl2 – Pt et Cl : PtCl4 b) Pt2+ et S2– : PtS 29. a) Fe2O3 Pt4+ et S2–: PtS2 19. a) AlCl2 devrait être AlCl3 (un ion Al3+ et trois ions Cl–). + – b) KF2 devrait être KF (un ion K et un ion F ). c) Ga2O3 est correct. d) MgS est correct. e) Fe2O5 devrait être FeO (un ion Fe2+ et un ion O2–) ou Fe2O3 (deux ions Fe3+ et trois ions O2–). 159,69 g/mol b) BCl3 117,17 g/mol c) C6H8O6 176,13 g/mol d) Fe(C6H11O7)2 446,14 g/mol 30. a) Ni(NO3)2 i 6 H2O 290,79 g/mol b) CuSO4 i 5 H2O 249,69 g/mol 1 mol = 0,0166 mol de C3H7OH 60,10 g 31. a) 1,00 g de C3H7 OH × f) SrBr2 est correct. 20. Mg2+ et O2– : MgO 3+ 2– Al et O : Al2O3 Mg2+ et PO43– : Mg3(PO4)2 Al3+ et PO43– : AlPO4 21. a) Acétate de calcium. b) Phosphate de nickel (II). c) Hydroxyde d’aluminium. d) Dihydrogénophosphate de potassium. e) Sulfure de potassium. f) Phosphate d’ammonium. 22. a) (NH4)2CO3 b) CaI2 c) CuBr2 d) AlPO4 e) AgCH3COO 23. a) Ca(HCO3)2 b) KMnO4 c) Mg(ClO4)2 d) K2HPO4 e) Na2SO3 b) 1,00 g de C11H16 O2 × 1 mol = 5,55 × 10–3 mol de 180,24 g C11H16O2 c) 1,00 g de C 9H8O4 × 1 mol = 5,55 × 10–3 mol de 180,15 g C9H8O4 32. 1,00 kg de SO3 × 1000 g 1 mol × = 12, 5 mol de SO3 1 kg 80,06 g de SO3 12,5 mol de SO3 × 6, 022 × 1023 molécules 1 mol de SO3 = 7,52 × 1024 molécules de SO3 7,52 × 1024 molécules de SO3 × 1 atome de S 1 molécule dee SO3 = 7,52 × 1024 atomes de S 3 atomes de O 7,52 × 1024 molécules de SO3 × 1 molécule de SO3 = 2,26 × 1025 atomes de O © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 3 8 33. a) CHIMIE GÉNÉRALE 38. Supposez 100 g de composé. 207, 2 g de Pb × 100 % = 86,59 % de Pb 239,3 g de PbS 32,1 g de S × 100 % = 13,41 % de S 239,3 g de PbS b) (3)(12, 01) g de C × 100 % = 81,71 % de C 44,096 g de C3 H8 1 mol = 8,19 mol de B 10,81 g de B 11,5 g de H × 1 mol = 11,4 mol de H 1,008 g de H 11,4 mol de H 7 = 1, 39 = 8,19 mol de B 5 (8)(1, 008) g de H × 100 % = 18,29 % de H 44,096 g de C3 H8 c) 88,5 g de B × Formule empirique : B5H7. 39. Supposez 100 g de composé. (10)(12, 01) g de C × 100 % = 79,95 % de C 150,21 g de C10 H14 O (14)(1, 008) g de H × 100 % = 9,395 % de H 150,21 g de C10 H14 O 36,84 g de N × 1 mol = 2,630 mol de N 14,007 g de N 63,16 g de O × 1 mol = 3,948 mol de O 15,999 g de O 16, 00 g de O × 100 % = 10,65 % de O 150,21 g de C10 H14 O d) 3,948 mol de O 3 mol de O = 1, 5 = 2,630 mol de N 2 mol de N 58,93 g de Co × 100 % = 24,77 % de Co 237,93 g de CoCl2 i 6 H2 O (2)(35, 45) g de Cl × 100 % = 29,80 % de Cl 237,93 g de CoCl2 i 6 H2 O (12)(1, 008) g de H × 100 % = 5,084 % de H 237,93 g de CoCl2 i 6 H2 O (6)(16, 00) g de O × 100 % = 40,35 % de O 237,93 g de CoCl2 i 6 H2 O 34. 10,0 g de PbS × 35. 750 g de Ti × 36. 207, 2 g de Pb = 8,66 g de Pb 239,3 g de PbS a) CH 26,0 b) CHO 116,1 c) CH2 112,2 Formule moléculaire 26, 0 =2 13,0 116,1 =4 29,0 C2H2 C4H4O4 C8H16 37. Supposez 100 g de composé. 1 mol 92,26 g de C × = 7,681 mol de C 12,01 g de C 3 7,74 g de H × 40. Supposez 100 g de composé. 63,15 g de C × 1 mol = 5,258 mol de C 12,011 g de C 1 mol = 5,26 mol de H 1,008 g de H 5,30 g de H × 31,55 g de O × 1 mol = 1,972 mol de O 15,999 g de O 5,258 mol de C 8 mol de C = 2, 667 = 1,972 mol de O 3 mol de O 157,72 g de FeTiO3 = 2,47 × 103 g de FeTiO3 47,87 g de Ti Formule Masse molaire empirique (g/mol) Formule empirique : N2O3. 1 mol = 7,68 mol de H 1,008 g de H 7, 681 mol de C =1 7,68 mol de H Formule empirique : CH. Masse formulaire de CH = 13,02 g/mol. 26, 02 g/mol =2 13, 02 g /mol Formule moléculaire : C2H2. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 5,26 mol de H 8 mol de H = 2, 667 = 1,972 mol de O 3 mol de O Formule empirique : C8H8O3. Masse formulaire de C8H8O3 = 152,14 g/mol = masse molaire du composé. Formule moléculaire de l’acide mandélique : C8H8O3. 41. 1,687 g de composé hydraté – 0,824 g de MgSO4 = 0,863 g de H2O 0,863 g de H2 O × 1 mol = 0,0479 mol de H2 O 18,02 g de H2 O 0,824 g de MgSO4 × 1 mol 120,4 g de MgSO4 = 0,00684 mol de MgSO4 0,0479 mol de H2 O =7 0,00684 mol de MgSO4 Il y a sept molécules d’eau par unité formulaire MgSO4. Formule : MgSO4 i 7 H2O. 42. 4,74 g de composé hydraté – 2,16 g de H2O = 2,58 g de KAl(SO4)2 9 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre 2,16 g de H2 O × 1 mol = 0,120 mol de H2 O 18,02 g de H2 O 2,58 g de KAl(SO4 )2 × d) 55 mg de capsaïcine × = 39 mg de C 1 mol 258,2 g de KAl(SO4 )2 = 0,00999 mol de KAl(SO4)2 47. a) 0,120 mol de H2 O = 12 0,00999 mol de KAl(SO4 )2 (14)(1,008) g de H × 100 % = 5,742 % de H 245,77 g de Cu(NH3 )4 SO4 i H2 O Formule : KAl(SO4)2 i 12 H2O. 32,07 g de S × 100 % = 13,05 % de S 245,77 g de Cu(NH3 )4 SO4 i H2 O 43. 0,678 g de composé – 0,526 g de Xe = 0,152 g de F 0,152 g de F × 1 mol = 0,00401 mol de Xe 131,3 g de Xe (5)(16,00) g de O × 100 % = 32,55 % de O 245,77 g de Cu(NH3 )4 SO4 i H2 O 1 mol = 0,00800 mol de F 19,00 g de F b) 10,5 g de Cu(NH3)4SO4 i H2O × 0,00800 mol de F =2 0,00401 mol de Xe Formule empirique : XeF2. × 1 mol 1,25 g de Ge × = 0,0172 mol de Ge 72,64 g de Ge 1 mol = 0,0688 mol de Cl 35,45 g de Cl 1 cm3 1 mL 6, 022 × 1023 molécules 1 mol × 3 × 1 mol × 18,02 g 310,18 kg de Ca 3 (PO4 )2 (2)(30,97) kg de P 1g 1 mol b) 55 mg de capsaïcine × 1000 mg × 305,42 g = 1,8 × 10–4 mol de capsaïcine (18)(12, 01) g de C = 0,7078 ou 70,78 % de C 305,42 g de C18 H27 NO3 1, 5 mol de H 3 mol de H 6 mol de H = = 1 mol de C 2 mol de C 4 mol de C 1, 25 mol de O 5 mol de O = 1 mol de C 4 mol de C Formule empirique : C4H6O5. = 2 × 1021 molécules de H2O 46. a) Masse molaire = 305,42 g/mol. c) 48. 15,0 kg de P × 49. 1,00 g 1 cm 18,02 g de H2O = 0,770 g de H2O 245,77 g de Cu(NH3 )4 SO4 i H2O = 75,1 kg de Ca3(PO4)2 0,0688 mol de Cl =4 0,0172 mol de Ge Formule empirique : GeCl4. 45. 0,05 mL de H2O × 25,86 g de Cu = 2,72 g de Cu 100,00 g de Cu(NH3 )4 SO4 i H2O 10,5 g de Cu(NH3)4SO4 i H2O 44. 3,69 g de GexCly – 1,25 g de Ge = 2,44 g de Cl 2,44 g de Cl × 63,55 g de Cu × 100 % = 25,86 % de Cu 245,77 g de Cu(NH3 )4 SO4 i H2 O (4)(14,01) g de N × 100 % = 22,80 % de N 245,77 g de Cu(NH3 )4 SO4 i H2 O Il y a douze molécules d’eau par unité formulaire KAl(SO4)2. 0,526 g de Xe × 70,78 mg de C 100,00 mg de C18 H27 NO3 50. 55,85 g de Fe × 100 % = 36,76 % de Fe 151,92 g de FeSO4 55,85 g de Fe × 100 % = 12,52 % de Fe 446,15 g de Fe(C6 H11O7 )2 La bouteille contenant du FeSO4 fournira le plus d’atomes de fer. 51. 0,109 g de composé × (27)(1, 008) g de H = 0,08911 ou 8,911 % de H 305,42 g de C18 H27 NO3 14, 01 g de N = 0,04587 ou 4,587 % de N 305,42 g de C18 H27 NO3 (3)(16, 00) g de O = 0,1572 ou 15,72 % de O 305,42 g de C18 H27 NO3 38, 82 g de Fe 1 mol × 100,00 g de composé 55,85 g de Fe = 7,58 × 10 –4 mol de Fe 0,109 g de composé × 61,18 g de C2O4 2 – 1 mol × 88,02 g 100,00 g de composé = 7,58 × 10–4 mol de C2O42– © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 3 10 CHIMIE GÉNÉRALE 7,58 × 10 –4 mol de Fe 1 mol de Fe = 2− –4 1 mol de C2 O4 2– 7,58 × 10 mol de C2 O4 Formule empirique : FeC2O4. 52. a) C10H15NO b) Masse molaire = 165,23 g/mol. (10)(12, 01) g de C = 0,7269 ou 72,69 % de C 165,23 g de C10 H15 NO c) 0,125 g de C10H15 NO × 1 mol 165,23 g d) 7,57 × 10–4 mol de C10H15NO 6,022 × 10 molécules = 4,56 × 10200 molécules 1 mol de C10H15 NO 23 4,56 × 1020 molécules × Anions O2− ClO4− PO43− Br− NO3− O2− CO32− Noms oxyde de fer (III) perchlorate de lithium phosphate d’aluminium bromure de lithium nitrate de baryum oxyde d’aluminium carbonate de fer (III) 10 atomes de C 1 molécule = 4,56 × 1021 atomes de C 53. Règle générale pour les composés ioniques: métal + non-métal. c) Li2S, sulfure de lithium. 93,71 g de C × 1 mol = 7,802 mol de C 12,011 g de C 6,29 g de H × 1 mol = 6,24 mol de H 1,008 g de H 7,802 mol de C 5 mol de C = 1, 25 = 6,24 mol de H 4 mol de H Formule empirique : C5H4. Masse formulaire de C5H4 = 64,08 g/mol. 128,16 g/mol =2 64,08 g/mol Formule moléculaire : C10H8. d) In2O3, oxyde d’indium. 58. Supposez 100 g de composé. g) CaF2, fluorure de calcium. 54. a) Trifluorure de chlore. 58,77 g de C × 1 mol = 4,893 mol de C 12,011 g de C 13,81 g de H × 1 mol = 13,70 mol de H 1,0079 g de H 27,40 g de N × 1 mol = 1,956 mol de N 14,007 g de N b) Trichlorure d’azote. c) Sulfate de chrome (III), ionique. d) Nitrate de calcium, ionique. e) Pentoxyde de diiode. f) Trichlorure de phosphore. g) Iodure de potassium, ionique. 4,893 mol de C 5 mol de C = 2, 5 = 1,956 mol de N 2 mol de N h) Sulfure d’aluminium, ionique. i) Difluorure d’oxygène. 13,70 mol de H 7 mol de H = 1,956 mol de N 1 mol de N j) Phosphate de potassium, ionique. 55. a) NaClO, ionique. = b) BI3 c) Al(ClO4)3, ionique. Masse formulaire de C5H14N2 = 102,2 g/mol = masse molaire du composé. e) KMnO4, ionique. f) (NH4)2SO3, ionique. Formule moléculaire : C5H14N2. g) KH2PO4, ionique. 59. 1,246 g de IxCly – 0,678 g de I = 0,568 g de Cl h) S2Cl2 0,678 g de I × i) ClF3 j) PF3 56. Cations NH4+ Ba2+ Fe2+ Pb2+ Al3+ Anions Br− S2− S2− F− CO32− Noms bromure d’ammonium sulfure de baryum sulfure de baryum fluorure de plomb (II) carbonate d’aluminium 14 mol de H 2 mol de N Formule empirique : C5H14N2. d) Ca(CH3COO)2, ionique. 3 Formules Fe2O3 LiClO4 AlPO4 LiBr Ba(NO3)2 Al2O3 Fe2(CO3)3 57. Supposez 100 g de composé. = 7,57 × 10–4 mol de C10H15NO × Cations Fe3+ Li+ Al3+ Li+ Ba2+ Al3+ Fe3+ Formules NH4Br BaS BaS PbF2 Al2(CO3)3 © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 1 mol = 0,005 34 mol de I 126,9 g de I 0,568 g de Cl × 1 mol = 0,0160 mol de Cl 35,45 g de Cl 0,0160 mol de Cl 3 mol de Cl = 0,005 34 mol de I 1 mol de I Formule empirique : ICl3. Masse formulaire de ICl3 = 233,3 g/mol. 11 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre 67. a) Volume = 0,0550 cm × 1,25 cm2 = 0,0859 cm3 467 g/mol =2 233,3 g/mol 0,0859 cm3 × Formule moléculaire : I2Cl6. 60. 2,04 g de V × 1,93 g de S × 0,765 g de Ni × 1 mol = 0,0602 mol de S 32,07 g de S 0,496 g de F × 0,0602 mol de S 1,5 mol de S 3 mol de S = = 0,0400 mol de V 1 mol de V 2 mol de V 62. a) Vrai. La masse molaire de C8H18 est de 114,2 g/mol, donc 57,1 g équivalent à 0,500 mol d’octane. (8)(12, 01) g de C = 0, 841 114,2 g de C8 H18 (18)(1, 008) g de H = 9,07 g de H 114,2 g de C8 H18 63. d) Na2MoO4 1 comprimé 0,169 g de U × 1 mol = 7,10 × 10 –4 mol de U 238,0 g de U 0,030 g de O × 1 mol = 1,9 × 10 –3 mol de O 16,00 g de O 1,9 × 10 –3 mol de O 2, 68 mol de O 8 mol de O = = –4 l de U 1 mo 7,10 × 10 mol de U 3 mol de U La formule empirique est U3O8, un mélange d’oxyde d’uranium (IV) et (VI). c) Vrai. 300 mg de C21H15 Bi3O12 × 1g 1000 mg b) La masse atomique de U étant de 238,0289 u, cela signifie que l’isotope 238U est le plus abondant. c) 0,865 g – 0,679 g = 0,186 g de H2O 0,186 g de H2 O × × (4)(35, 453) g de Cl = 0, 7475 65. masse molaire de MCl4 Masse molaire de MCl4 = 189,7 g. Masse atomique de M = 189,7 g – (4)(35,453) g = 47,9 g. M est le titane, Ti. 15, 9 g = 106 g/mol 0,15 mol 9,3 g Masse molaire de AZ2 = = 62 g/mol 0,15 mol 66. Masse molaire de A 2 Z3 = (masse atomique de A) + (2)(masse atomique de Z) = 62. A2Z3 : (2)(masse atomique de A) + (3)(masse atomique de Z) = 106. (2)[62 – (2)(masse atomique de Z)] + (3)(masse atomique de Z) = 106. Masse atomique de Z = 18 g/mol. Masse atomique de A = 26 g/mol. 1 mol = 0,0103 mol de H2O 18,02 g de H2 O 0,679 g de UO2 (NO3 )2 × (3)(209, 0) g de Bi = 0, 346 g de Bi 1086 g de C21H15 Bi3 O12 AZ2 : 1 mol = 0,0261 mol de F 19,00 g de F 68. a) 0,199 g de UxOy – 0,169 g de U = 0,030 g de O 339, 8 g de Sb2 S 3 = 148 g de Sb2 S 3 (2)(121, 8) g de Sb 64. 2 comprimés × 1 mol = 0,0130 mol de Ni 58,69 g de Ni c) Fluorure de nickel (II). 1000 g 10, 6 g de Sb × × 1 kg 100,0 g de minerai d) Faux. 57,1 g de C8 H18 × = 0,765 g de Ni 0,0261 mol de F 2 mol de F = 0,0130 mol de Ni 1 mol de Ni Formule empirique : NiF2. Formule empirique : V2S3. b) Vrai. 1 cm3 b) 1,261 g de composé – 0,765 g de Ni = 0,496 g de F 1 mol = 0,0400 mol de V 50,94 g de V 61. 1,00 kg de minerai × 8, 908 g 1 mol 394,0 g de UO2 (NO3 )2 = 0,001 72 mol de UO2(NO3)2 0,0103 mol de H2 O 6 mol de H2 O = 0,001 72 mol de UO2 (NO3 )2 1 mol de UO2 (NO3 )2 La formule du composé hydraté est : UO2(NO3)2 i 6 H2O. Chapitre 4 1. a) c = λν b) E = hν c) E n = - Rhc n2 2. L’énergie d’un photon, une particule de radiation sans masse, est proportionnelle à sa fréquence de vibration. E = hν, où h est la constante de proportionnalité. 3. Violet, indigo, bleu, vert, jaune, orange et rouge. 4. L’électron se comporte comme une onde et une particule. La structure moderne de l’atome se base sur les propriétés ondulatoires de l’électron et décrit des régions de probabilité de présence d’un électron donné autour du noyau. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 3 12 CHIMIE GÉNÉRALE 15. a) Les micro-ondes. 5. a) Oui. b) Non. L’intensité d’un rayonnement lumineux est indépendante de la fréquence et est plutôt liée à son nombre de photons. c) Oui. 6. Un photon est une particule sans masse, un « paquet d’énergie ». Pour déplacer un électron, il faut le faire entrer en collision avec une autre particule. Puisque des rayonnements lumineux dirigés sur certains métaux expulsent des électrons, la lumière doit donc être constituée de « particules » ou paquets d’énergie appelés photons. 7. Le modèle atomique de Bohr repose sur les hypothèses qu’un électron ne peut circuler que sur certaines orbites correspondant à des niveaux d’énergie définis où il est stable et où il reste tant qu’il n’est pas perturbé. 8. La série de Lyman se trouve dans l’ultraviolet et la série de Balmer, dans le visible. 9. c) L’émission d’énergie est observée sous forme de lumière et provient du déplacement des électrons d’un niveau d’énergie n donné vers un autre moins élevé. 10. Il est impossible de connaître simultanément avec précision la position d’un électron et son énergie, si celuici est décrit comme une onde. Ainsi, la théorie atomique moderne décrit des régions de haute probabilité de présence d’un électron donné autour du noyau. 11. n, nombre quantique principal, décrit la taille de l’orbitale, = 1, 2, 3, ... l, nombre quantique secondaire, décrit la forme de l’orbitale, = 0, 1, 2, ..., (n – 1). m, nombre quantique magnétique, décrit l’orientation de l’orbitale, = 0, ±1, ±2, ..., ±l. 12. Valeurs de l Types d’orbitales 3 f 0 s 1 p 2 d 13. Orbitale s b) La lumière rouge. c) L’infrarouge. 16. a) Comme la longueur d’onde est inversement proportionnelle à la fréquence, le signal vert a une plus haute fréquence que le signal ambre. b) 595 nm × ν = 17. a) λ = = 5, 95 × 10 –7 m 2, 998 × 108 m i s –1 c = = 261 m ν 1150 × 103 s –1 1 longueur d’onde = 0,863 longueurs d’onde 261 m 2, 998 × 108 m i s –1 c = = 3, 06 m ν 98,1 × 106 s –1 225 m × 18. 410 nm × ν = 1 nm 2, 998 × 108 m i s –1 c = = 5, 04 × 1014 s –1 λ 5, 95 × 10 –7 m 225 m × b) λ = 1 × 10 –9 m 1 longueur d’onde 3, 06 m 1 × 10−9 m 1 nm = 73, 6 longueurs d’onde = 4, 10 × 10 –7 m 2,998 × 108 m i s –1 c = = 7, 31 × 1014 s –1 λ 4,10 × 10 –7 m E = hν = (6,626 × 10−34 J i s )(7,31 × 1014 s−1 ) = 4,84 × 10-19 J/photon 4, 84 × 10 –19 J 6, 022 × 1023 photons × 1 photon 1 mol = 2,92 × 105 J/mol de photons. 19. a) 285,2 nm : région de l’ultraviolet ; 383,8 nm : à la limite de la région du visible ; 518,4 nm : région du visible. Orbitale px x b) 285, 2 nm × y ν = 1 × 10−9 m 1 nm = 2, 852 × 10 –7 m 2, 998 × 108 m i s –1 c = = 1, 051 × 1015 s –11 λ 2,852 × 10 –7 m c) 285,2 nm. L’énergie d’une radiation est inversement proportionnelle à sa longueur d’onde. 4 14. hc (6, 626 × 10 –34 J i s)(2, 998 × 108 m i s –1 ) × = λ 2, 852 × 10 –7 m Types d’orbitales Nombre d’orbitales dans une sous-couche donnée Nombre de surfaces nodales s 1 0 p 3 1 d 5 2 20. d) Les ondes radio FM. f 7 3 c) Les micro-ondes. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. d) E = 6, 022 × 1023 photons = 4, 197 × 105 J/mol 1 mol 13 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre 21. a) La lumière jaune. b) n = 4 à n = 3. e) UV c) n = 4 à n = 1. b) Les rayons X. d) n = 4 à n = 3. 200 kJ 1 mol 1000 J × × 1 mol 1 kJ 6, 022 × 1023 photons = 3,32 × 10−19 J/photon λ = (6, 626 × 10 –34 J i s)(2, 998 × 108 m i s –1 ) hc = E 3, 32 × 10 –19 J 27. 2, 5 × 108 cm 1m × = 2, 5 × 106 m i s –1 1s 100 cm λ = = 2,9 × 10−10 m ou 0,29 nm = 5,98 × 10−7 m (région du visible) 22. 540 nm × E = 28. λ = 1 × 10 –9 m = 5, 40 × 10 –7 m 1 nm 6, 626 × 10 –34 kg i m2 i s –1 h = mv (9,109 × 10 –31 kg)(2,5 × 106 m i s –1 ) 6, 626 × 10 –34 kg i m2 i s –1 h = mv (9,11 × 10 –31 kg)(1,3 × 108 m i s –1 ) = 5,6 × 10−12 m ou 0,0056 nm (6, 626 × 10 –34 J i s)(2, 998 × 108 m i s –1 ) hc = λ 5, 40 × 10 –7 m = 3,68 × 10−19 J/photon 29. 1,0 × 102 g = 0,10 kg λ = 6, 626 × 10 –34 kg i m2 i s –1 h = = 2, 2 × 10 –34 m –1 mv (0,10 kg )(30 m i s ) Non, cette lumière (540 nm et plus) n’a pas assez d’énergie (3,68 × 10-19 J/photon) pour activer l’interrupteur. 23. a) 410, 2 nm × ν = 1 × 10−9 m 1 nm 2, 2 × 10 –34 m × = 4,102 × 10 –7 m 2, 998 × 108 m i s –1 c = = 7, 309 × 1014 s –1 λ 4,102 × 10 –7 m 5, 6 × 10 –3 nm × v = 1 nm 1 × 10 –9 m 1 × 10 –9 m 1 nm = 2, 2 × 10 –25 nm = 5, 6 × 10 –12 m 6, 626 × 10 –34 kg i m2 i s –1 h 1, 2 × 10 –21 m i s –1 = mλ (0,10 kg )(5,6 × 10 –12 m) b) Violet. 30. a) Lorsque n = 4, l peut être 0, 1, 2, 3. c) ni = 6 et nf = 2. b) Lorsque l = 2, m peut être -2, -1, 0, +1, +2. 24. a) n = 3 à n = 2. b) n = 4 à n = 1. À mesure que les niveaux d’énergie augmentent, ils se rapprochent progressivement. La différence d’énergie entre n = 4 et n = 1 est donc plus grande que celle entre n = 5 et n = 2. ⎛ 1 1⎞ 25. ∆E = -1312 ⎜ 2 – 2 ⎟ kJ/mol n n ⎝ f i ⎠ 1166 kJ 1 mol 1000 J × × 1 mol 1 kJ 6, 022 × 1023 photons = 1,936 × 10−18 J/photon ν = 1, 936 × 10−18 J E = = 2, 922 × 1015 s –1 h 6, 626 × 10 –34 J i s λ = 2, 998 × 10 m i s c = ν 2, 922 × 1015 s –1 –1 = 1, 026 × 10 –7 m = 102,6 nm (région de l’ultraviolet) 26. a) De n = 4 à n = 3, 2 ou 1 31. a) Lorsque l = 2, l’orbitale est de type d. C’est une orbitale 4d. b) Lorsque n = 5, l = 0, 1, 2, 3 et 4. 1⎞ ⎛ 1 = -1312 ⎜ 2 – 2 ⎟ kJ/mol = -1166 kJ/mol ⎝1 3 ⎠ 8 c) Pour une orbitale 4s, n = 4, l = 0 et m = 0. d) Pour une orbitale 4f, n = 4, l = 3 et m peut être -3, -2, -1, 0, +1, +2, +3. 3 raies De n = 3 à n = 2 ou 1 2 raies De n = 2 à n = 1 1 raie Total 6 raies possibles l=0 Une orbitale s l=1 Trois orbitales p l=2 Cinq orbitales d l=3 Sept orbitales f l=4 Neuf orbitales g 2 Il y a un total de 25 ou n orbitales sur le niveau d’énergie n = 5. c) Sept orbitales ; m = -3, -2, -1, 0, +1, +2, +3. 32. La combinaison c) est permise. a) La valeur de l ne peut être plus grande que n − 1. Donc, lorsque n = 2, la valeur maximale de l est 1. b) et d) Lorsque l = 0, m ne peut être égal qu’à 0. e) La valeur de m ne peut se situer qu’entre -1 et +1. Donc, lorsque l = 3, m ne peut être égal qu’à -3, -2, -1, 0, +1, +2, +3. 33. a) Aucune. Lorsque l = 0, m ne peut être égal qu’à 0. b) Trois orbitales. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 4 14 CHIMIE GÉNÉRALE c) Onze orbitales. 34. 2d et 3f ne peuvent exister parce qu’elles ne suivent pas la règle l = 0, 1, 2, ..., (n − 1). Dans la couche n = 2, on ne trouve que les sous-couches s et p, alors qu’il n’y a que les sous-couches s, p et d dans la couche n = 3. 35. a) 2p b) 3d c) 4f E = 1 × 10 –9 m = 4,23 × 10−19 J/photon 2, 50 × 1014 J = 5, 92 × 104 photons 4, 23 × 10 –19 J/photon n l m 2 1 -1 2 l 0 2 l +1 3 2 -2 3 2 -1 3 2 0 3 2 +1 3 2 +2 41. a) Trois orbitales. e) Cinq orbitales. f) Sept orbitales. ⎛ 1 1⎞ 40. ∆E = -Z 2Rhc ⎜ 2 – 2 ⎟ kJ/mol n n ⎝ f i ⎠ 1⎞ ⎛ 1 = -(22 )(1312)⎜ 2 – 2 ⎟ kJ/mol = 5248 kJ/mol ⎝∞ 1 ⎠ L’énergie d’ionisation de He+ (5248 kJ/mol) est quatre fois plus grande que celle de H (1312 kJ/mol). 4 3 -3 b) Trois orbitales. 4 3 -2 c) Une orbitale. g) Vingt-cinq orbitales. 4 3 -1 d) Cinq orbitales. h) Une orbitale. 4 3 0 4 3 +1 4 3 +2 4 3 +3 36. d) 4d 37. 375 nm × (6, 626 × 10 –34 J i s)(2, 998 × 108 m i s –1 ) hc = λ 4, 70 × 10 –7 m 39. E = d) Une orbitale. 42. b), e), f), g) et j). Cependant, les atomes h) et les molécules i) peuvent être observés à l’aide d’un microscope électronique à effet tunnel. 43. 7, 8 × 107 km × 1000 m 1 km 1s × 2,998 × 108 m = 2,6 × 102 s ou 4,3 min = 3, 75 × 10 m –7 1 nm 44. a) la taille et l’énergie (6, 626 × 10 –34 J i s)(2, 998 × 108 m i s –1 ) hc × = λ 3, 75 × 10 –7 m 6, 022 × 1023 photons 1 kJ × = 319 kJ/mol de ph hotons 1 mol 1000 J 2, 998 × 108 m i s –1 c = = 0, 353 m 38. a) λ = ν 850 × 106 s –1 b) E = hν = (6,626 × 10 −34 c) plus d) 7 e) 1 f) Lettres : d s p l: 2 0 1 Surfaces nodales : 2 0 1 g) 0, 1, 2, 3 et 4 J i s )(850 × 10 s ) × 6 b) l −1 6, 022 × 10 photons = 0, 339 J/mol 1 mol h) 16 23 (6, 626 × 10 –34 J i s)(2, 998 × 108 m i s –1 ) hc × = c) E = λ 4, 20 × 10 –7 m 4 6, 022 × 1023 photons = 2, 85 × 105 J/mol 1 mol 2, 85 × 105 J/mol = 8, 40 × 105 0,339 J/mol Chapitre 5 1. n, nombre quantique principal, décrit la taille de l’orbitale, = 1, 2, 3, ... l, nombre quantique secondaire, décrit la forme des orbitales d’une sous-couche, = 0, 1, 2, ..., (n – 1). m, nombre quantique magnétique, décrit l’orientation de l’orbitale d’une sous-couche assignée à un électron, = 0, ±1, ±2, ..., ±l. s, nombre quantique de spin, décrit la rotation de l’électron sur lui-même, = + Une mole de photons de lumière bleue a une énergie de 285 kJ/mol, soit environ 840 000 fois plus qu’une mole de photons provenant du signal téléphonique. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 1 2 1 2 ou - . 2. Deux électrons dans un atome ne peuvent avoir les quatre mêmes nombres quantiques n, l, m et s. 15 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre 3. Li Notation spdf 13. a) Sm : [Xe]4f 55d 16s 2 (configuration réelle : [Xe]4f 66s 2). 2 1s 2s 1 b) Yb : [Xe]4f 146s 2 (symétrie sphérique). Cases quantiques 14. Am : [Rn]5f 77s 2 (symétrie sphérique). 1s 2s 4. L’arrangement le plus stable des électrons occupant des orbitales de même énergie est celui qui possède le maximum d’électrons non appariés, tous possédant le même spin. La configuration du carbone est , 1s 2s non 2p 15. a) Mg2+ 1s 2s 2p 3s 3p c) Remarquez que Cl− et K+ ont la même configuration électronique. Ils sont isoélectroniques avec Ar. Cl− 2p 5. La notation abrégée remplace la configuration électronique correspondant au gaz rare par son symbole mis entre crochets. Par exemple, Li : [He]2s 1. 6. Les éléments du groupe 3A (13) sont B, Al, Ga, In et Tl. Prenons l’exemple du bore. Le numéro de groupe, 3A, nous indique que le bore possède trois électrons périphériques. 7. Le rayon atomique diminue dans une période et augmente dans un groupe. En général, l’énergie d’ionisation et l’affinité électronique augmentent dans une période, et diminuent dans un groupe. 8. Phosphore Notation spdf 2p 3s 3p Chlore Cases quantiques 1s 2s 2p [Ar] 3d 4s 2+ b) V est paramagnétique ; il a trois électrons non appariés. [Ar] 4s c) V a une configuration électronique équivalant à celle de l’argon. Il est diamagnétique, puisque tous ses électrons sont appariés. [Ar] 3d 3s 3p Le chlore, qui se trouve dans le groupe 7A, possède sept électrons périphériques. 9. Cr : 1s 22s 22p 63s 23p 63d 54s 1 Fe : 1s 22s 22p 63s 23p 63d 64s 2 10. a) As : [Ar]3d 104s 24p 3 b) Kr : [Ar]3d 104s 24p 6 (ou [Kr]). 11. a) Sr : [Kr]5s 2 b) Zr : [Kr]4d 25s 2 4s [Ar] 3d 4s 3d 4s [Ar] 2+ 2p 2p 3p 16. a) V est paramagnétique ; il a trois électrons non appariés. 17. a) Mn 1s 22s 22p 63s 23p 5 1s 2s 1s 2s 3s e) Al3+ Le phosphore, qui se trouve dans le groupe 5A, possède cinq électrons périphériques. Notation spdf 2p 5+ Cases quantiques 1s 2s 1s 2s d) O2− 3d 1s 22s 22p 63s 23p 3 b) Mn c) Cinq électrons non appariés. d) Oui, il est paramagnétique, puisqu’il a au moins un électron non apparié. 18. Cu+ 2+ Cu [Ar] 3d 4s 3d 4s [Ar] 2+ c) Rh : [Kr]4d 75s 2 (configuration réelle : [Kr]4d 85s 1). d) Sn : [Kr]4d 105s 25p 2 14 2p b) K+ . 1s 2s 1s 2s 3 12. a) Ta : [Xe]4f 5d 6s 2 b) Le platine est le huitième élément des métaux de transition de la sixième période. Ses électrons périphériques correspondent donc à 5d 86s 2. Ainsi, la configuration électronique du platine devrait être [Xe]4f 145d 86s 2. Par contre, la configuration réelle (tableau 5.3) est [Xe]4f 145d 96s 1. L’ion Cu est paramagnétique. 19. a) Le nombre quantique de spin, s, ne peut être égal à 0. La combinaison est permise si s = + 1 2 ou - 1 . 2 b) Les valeurs permises pour m doivent se retrouver dans l’intervalle -l et +l. La combinaison est permise si m = -1, 0 ou +1. c) La valeur maximale pour l est (n − 1). La combinaison est permise si l = 1 ou 2 (ne peut être égal à 0 dans ce cas en raison de la valeur de m). © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 5 16 CHIMIE GÉNÉRALE 20. a) Quatorze électrons. b) Ho : [Xe]4f 116s 2 (voir le tableau 5.3 ). b) Deux électrons. [Xe] c) Aucun, parce que l ne peut être égal à n. La valeur maximale pour l est (n − 1). d) Un électron. 4f Ho 3+ : [Xe]4f 5d 6s 5d 6s 10 [Xe] 21. Phosphore 4f [Ne] 3s 32. a) Numéro atomique = (2 + 8 + 8 + 2) = 20. 3p b) Nombre total d’électrons s = (2 + 2 + 2 + 2) = 8. 1 n = 3, l = 0, m = 0, s = + 2 n = 3, l = 0, m = 0, s = n = 3, l = 1, m = n = 3, l = 1, m = n = 3, l = 1, m = c) Nombre total d’électrons p = (6 + 6) = 12. 1 2 d) Nombre total d’électrons d = 0. 1 -1, s = + 2 1 0, s = + 2 1 +1, s = + 2 e) Cet élément, le calcium (Ca), est un métal. 33. a) 4 (Z = 71 = Lu ; [Xe]4f 145d 16s 2). b) 3 (Cu : [Ar]3d 104s 1). 34. a) P, phosphore. 22. Ordre croissant de taille : C < B < Al < Na < K. b) Be, béryllium. 23. Ordre croissant de taille : P < Ge < Ca < Sr < Rb. c) N, azote. 24. a) Cl− > Cl d) Tc, technétium. b) Al > O c) In > I d) Cs > Rb 25. c) Li < Si < C < Ne f) Zn, zinc. 26. K < Li < C < N 27. a) Na a le plus grand rayon. b) O a l’affinité électronique la plus négative. c) Na < Mg < P < O 28. a) S < O < F. L’énergie d’ionisation diminue dans un groupe (S < O) et augmente généralement dans une période (O < F). 35. Cl− < Cl < Ca2+. Ca2+ (20 protons) et Cl− (17 protons) sont isoélectroniques (18 électrons). Il est donc plus difficile d’ioniser le cation, car ses électrons sont plus fortement attirés par le noyau, que Cl−. Celui-ci est plus facilement ionisable que son élément neutre en raison de la répulsion électron-électron (effet d’écran). 36. a) A est un métal alcalino-terreux. b) O. L’énergie d’ionisation diminue dans un groupe parce l’électron est de plus en plus éloigné du noyau. b) B, un halogène, est un non-métal. c) Cl. L’affinité électronique diminue dans un groupe (Br < Cl) et augmente généralement dans une période (Se < Br). d) B a le plus petit rayon atomique. d) O2−. Les anions sont toujours plus gros que leur atome neutre (F− > F). O2− et F− sont isoélectroniques (10 électrons), mais O2− a seulement 8 protons pour attirer les 10 électrons alors que F− en a 9 (O2− > F−). 29. Rf : [Rn]5f 146d 27s 2 [Rn] 30. U 4+ U 5f 6d 7s 5f 6d 7s [Rn] L’uranium et l’ion uranium (IV) sont paramagnétiques. 5 e) Cl, chlore (voir la figure 5.10). 1 1 31. a) Ce : [Xe]4f 5d 6s 2 [Xe] 4f 5d 6s 37. In4+ L’indium n’a pas tendance à former un ion +4 parce qu’il ne possède que trois électrons périphériques. Fe6+ Les ions qui possèdent une charge de +3 ou +4 ont peu tendance à perdre des électrons. Sn5+ L’étain n’a pas tendance à former un ion +5 parce qu’il ne possède que quatre électrons périphériques. 38. Ordre décroissant de taille : S2− > Cl− > K+ > Ca2+. Ces ions sont isoélectroniques, mais ils n’ont pas le même nombre de protons. 39. a) Se b) Br− c) Na. Extraire un électron périphérique (Na ([Ne]3s1) Na+) requiert beaucoup moins d’énergie que l’extraction d’un électron interne (Na+ ([Ne]) Na2+). d) N Ce3+ : [Xe]4f 1 [Xe] 4f c) B devrait avoir la plus grande énergie d’ionisation. 5d 6s © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. e) N3−. Pour des espèces isoélectroniques, moins il y a de protons, moins les électrons sont attirés par le noyau, plus grand est le rayon. 17 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre 40. a) Ordre croissant de taille : Ca2+ < K+ < Cl−. c) Énergie d’ionisation la plus faible : S. − + Plus petit rayon : O. 2+ b) Ordre croissant d’énergie d’ionisation : Cl < K < Ca . c) Ordre croissant d’affinité électronique (valeur de plus en plus négative) : Cl− < K+ < Ca2+. 41. Mn et Co. Mn3+ : [Ar]3d 4 et Co3+ : [Ar]3d 6 42. L’énergie d’ionisation diminue dans un groupe parce que, l’électron étant de plus en plus éloigné du noyau, la force d’attraction noyau-électron diminue. d) S < S2− Chapitre 6 1. Li : un électron périphérique. Ti : quatre électrons périphériques. Zn : deux électrons périphériques. Si : quatre électrons périphériques. 43. a) Co, cobalt. 45. Li, lithium. Des quatre éléments, seul Li fait partie du groupe 1A (1). Au cours de la première ionisation, c’est l’électron (périphérique) provenant de l’orbitale 2s qui est enlevé, formant ainsi un ion avec une couche remplie ([He]). Extraire un deuxième électron, cette fois d’une couche remplie, requiert beaucoup plus d’énergie. 46. L’électron acquis par les éléments du groupe 4A (14) se retrouve dans une orbitale p vide donnant une symétrie sphérique à cet élément. Par contre, les éléments du groupe 5A (15) acquièrent un électron dans une orbitale p déjà occupée. Les répulsions électron-électron causent une diminution de l’affinité électronique, ce qui n’est pas prévu par la tendance. 47. Pour former CaF3, le calcium devrait être un cation +3, ce qui n’est pas le cas puisqu’il appartient au groupe 2A. Comme il forme un cation +2 (configuration électronique d’un gaz rare), la formation de Ca3+ est hautement défavorisée énergétiquement. 48. Puisque la masse des éléments augmente de K à V et que leur rayon atomique diminue, la masse volumique (masse/ volume) augmente. 49. En général, puisque la charge nucléaire effective augmente dans une période, l’énergie d’ionisation augmente aussi. Toutefois, pour le bore, il est plus facile d’extraire un électron non pairé situé dans une orbitale 2p de plus haute énergie qu’un électron de l’orbitale 2s du Be qui est complètement remplie. 50. En général, puisque la charge nucléaire effective augmente dans une période, l’énergie d’ionisation augmente aussi. Toutefois, pour le soufre, deux de ses quatre électrons 2p sont appariés. Ceux-ci subissent une répulsion électronélectron plus forte que s’ils étaient seuls dans une orbitale p. Cette répulsion plus importante rend la première ionisation plus facile. 51. a) S 1s 2s 2p 3s 3p 1 b) n = 3, l = 1, m = + 1, s = - 2 K F – La liaison est ionique. 3. Ioniques : a) KI et b) MgS. Covalents : c) CS2 et d) P4O10. 4. L’énergie réticulaire est l’énergie de formation d’une mole de composé ionique à l’état solide à partir de ses ions considérés à l’état gazeux. Comme l’ion lithium est plus petit que l’ion césium, l’énergie réticulaire de LiF devrait donc être plus négative que celle de CsF. 5. Cl Cl A B A Cl Cl Cl A B A Cl H A N A H A 44. La diminution de la taille des atomes dans une période est attribuée à l’augmentation de la charge nucléaire effective Zeff , ce qui contracte les nuages électroniques. 2. K F A c) L’ion +3 sera formé par la perte des deux électrons 4s et d’un électron 3d, laissant quatre électrons non appariés. Cl : sept électrons périphériques. A b) Paramagnétique, parce qu’il a trois électrons non appariés. H 6. NH3 et SO3 respectent la règle de l’octet. NO2 et O2− ont un nombre impair d’électrons. 7. Le benzène possède deux formes limites de résonance qui diffèrent par le positionnement des liaisons doubles. 8. Indice de liaison = 9. C F<C O<C 3 doublets liants = 1,5. 2 liaisons C O N<C C<C B 10. L’énergie de liaison est la variation d’enthalpie accompagnant le bris d’une liaison dans une molécule, les réactifs et les produits se trouvant à l’état gazeux, dans les conditions normales de température et de pression (T = 273,15 K, P = 101,325 kPa). Le bris d’une liaison requiert toujours de l’énergie, la variation d’enthalpie est donc a), toujours positive. 11. Plus l’indice de liaison est élevé, plus la liaison est courte et plus l’énergie de liaison est élevée. 12. L’électronégativité est la capacité d’un atome situé dans une molécule à attirer un électron. L’affinité électronique est la variation d’énergie lorsqu’un atome en phase gazeuse capte un électron. 13. L’électronégativité augmente généralement dans une période et diminue dans un groupe. 14. Le principe d’électroneutralité stipule que, dans une molécule, les électrons sont distribués de manière à ce que les charges sur des atomes soient les plus proches possible de zéro. En outre, si une charge négative se crée, elle doit être placée sur l’atome le plus électronégatif. De la même façon, une charge positive se trouve sur l’atome le moins électronégatif. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 5 6 18 CHIMIE GÉNÉRALE Ce principe permet d’exclure la forme limite suivante, car un atome d’oxygène a une charge de +1 et l’autre, une charge de -1, situation qui s’éloigne du principe d’électroneutralité. De plus, une charge de +1 se trouve sur un atome très électronégatif. 0 O C 2 OOSOO A O -1 O 15. La théorie RPE constitue un modèle permettant de prévoir la géométrie des molécules covalentes et des ions polyatomiques. Elle repose sur le fait que les doublets liants et les paires d’électrons libres se repoussent et cherchent à être aussi éloignés que possible. 16. La molécule d’eau comporte quatre paires d’électrons autour de l’atome d’oxygène. La géométrie des paires d’électrons est la géométrie adoptée par ces quatre paires d’électrons. La géométrie de la molécule est la forme décrite par les atomes de la molécule. La géométrie des paires d’électrons de l’eau est tétraédrique, alors que sa forme est coudée. 23. a) CHClF2 Vingt-six électrons périphériques. F A Cl O C O F A H b) CH3COOH Vingt-quatre électrons périphériques. H O A H O C O C O O OH A H c) CH3CN 17. a) Si Groupe 4A (14) quatre électrons périphériques. Seize électrons périphériques. b) B Groupe 3A (13) trois électrons périphériques. c) Na Groupe 1A (1) un électron périphérique. d) Mg Groupe 2A (2) deux électrons périphériques. H A HO C OC W N A H e) F Groupe 7A (17) sept électrons périphériques. f) Se Groupe 6A (16) six électrons périphériques. Moins négative : a) NaCl. 20. Ordre croissant de leur énergie réticulaire : RbI < LiI < LiF < CaO. 21. Lorsque la distance entre deux ions diminue, la force d’attraction augmente, ce qui rend le réseau plus stable. Ainsi, le point de fusion est plus élevé puisqu’il faut plus d’énergie pour faire fondre le composé. Trente-six électrons périphériques. FO F O CPCO O F F 24. a) SO2, 18 électrons périphériques. OOSPO Vingt-six électrons périphériques. FONOF A F OPSOO b) HNO3, 24 électrons périphériques. O A OP N O O O H O O O O N O O OH SPCPN 25. a) BrF3, 28 électrons périphériques. F A F O Br OF b) HOBr Quatorze électrons périphériques. b) I3−, 22 électrons périphériques. I OI O I HOOOBr c) ClO3− c) XeO2F2, 34 électrons périphériques. Vingt-six électrons périphériques. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. O ON P O OH c) SCN−, 16 électrons périphériques. S W CON 22. a) NF3 OOClOO A O CF2 P 19. Plus négative : b) MgS. d) F2C P 18. b) P, e) Cl, g) Se, et h) Sn peuvent s’entourer de plus de quatre paires d’électrons périphériques parce qu’ils se trouvent dans la troisième période et au-delà. 6 Vingt-six électrons périphériques. P +1 d) SO32− O A F O Xe O F A O SOC W N 19 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre d) XeF3+, 28 électrons périphériques. F A F O Xe O F ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢4 + ⎜ × 4 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 N = 5 – ⎢2 + ⎜ × 6 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ H 26. a) H N N H H ⎡ ⎞⎤ ⎛1 H = 1 – ⎢ 0 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 N = 5 – ⎢2 + ⎜ × 6 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ 3– O b) P O ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢6 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = -1 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ F c) F ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢6 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = -1 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 P = 5 – ⎢0 + ⎜ × 8⎟ ⎥ = +1 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ – H H B F ⎡ ⎞⎤ ⎛1 F = 7 – ⎢ 6 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ 0 H N ⎡ ⎞⎤ ⎛1 N = 5 – ⎢2 + ⎜ × 6 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ O O c) b) OPNOO 0 +1 0 d) HOOONPO A O- 1 ⎡ ⎞⎤ ⎛1 H = 1 – ⎢ 0 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢4 + ⎜ × 4 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 N = 5 – ⎢0 + ⎜ × 8⎟ ⎥ = +1 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ H ⎡ ⎞⎤ ⎛1 H = 1 – ⎢ 0 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢4 + ⎜ × 4 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 B = 3 – ⎢0 + ⎜ × 8⎟ ⎥ = -1 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢6 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = -1 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ H d) H N 28. La flèche pointe vers le pôle négatif du dipôle. O H ⎡ ⎞⎤ ⎛1 H = 1 – ⎢ 0 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 N = 5 – ⎢2 + ⎜ × 6 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢4 + ⎜ × 4 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ 27. a) O N O ⎡ ⎛1 ⎞⎤ O = 6 – ⎢4 + ⎜ × 4 ⎟ ⎥ = 0 ⎝ ⎠⎦ 2 ⎣ ⎡ ⎛1 ⎞⎤ N = 5 – ⎢0 + ⎜ × 8⎟ ⎥ = +1 ⎝ ⎠⎦ 2 ⎣ a) C + O - La liaison C b) P Cl + - La liaison P c) B O + - La liaison B d) B F + - La liaison B C N + - O est la plus polaire. P Br + - Cl est la plus polaire. B S + - O est la plus polaire. B I + - F est la plus polaire. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 6 20 CHIMIE GÉNÉRALE 32. a) Oui, ils sont isoélectroniques, car ils contiennent tous les deux 24 électrons périphériques. b) CO32− a trois formes limites et BO33− en a quatre. b) La liaison C O est la plus polaire et l’atome O est le plus électronégatif. 30. a) Même si la charge formelle est -1 sur B et 0 sur F, le fluor est beaucoup plus électronégatif. Puisque les liaisons B F sont polaires, la charge négative est répartie sur tous les atomes de fluor. 2 c) La charge formelle est -1 sur O et 0 sur H. Cela est cohérent avec l’électronégativité de l’oxygène qui est supérieure à celle de l’hydrogène. La liaison O H est polaire. 31. a) NONW O A -1 +1 0 0 +1 NW NOO B C 0 O(1) 0 0 -1 0 -1 O(2) -1 0 -1 O(3) -1 O A O O BO O O A O P BO O 0 -1 -1 -1 O(1) -1 0 -1 -1 O(2) -1 -1 0 -1 O(3) -1 -1 -1 0 ⎡ ⎞⎤ ⎛1 N = 5 – ⎢0 + ⎜ × 8⎟ ⎥ = +1 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ c) La forme limite prépondérante est C : les charges sont les plus petites possible et l’élément le plus électronégatif, O, porte la charge négative. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droit de reproduction restreint. P O A HO C P O HO C O O ⎡ ⎞⎤ ⎛1 H = 1 – ⎢ 0 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 H = 1 – ⎢ 0 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 C = 4 – ⎢ 0 + ⎜ × 8⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 C = 4 – ⎢ 0 + ⎜ × 8⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢4 + ⎜ × 4 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢6 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = -1 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢6 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = -1 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢4 + ⎜ × 4 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ L’ion H+ se lie à l’atome d’oxygène. 34. Espèces a) H2CO Forme C ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢6 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = -1 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ O P ⎡ ⎞⎤ ⎛1 N = 5 – ⎢4 + ⎜ × 4 ⎟ ⎥ = -1 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ 6 3 O OB O O 33. Forme B ⎡ ⎞⎤ ⎛1 N = 5 – ⎢0 + ⎜ × 8⎟ ⎥ = +1 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ 0 3 O A O OBP O O ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢2 + ⎜ × 6 ⎟ ⎥ = +1 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 N = 5 – ⎢2 + ⎜ × 6 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ -1 3 d) L’ion H se lie à un atome d’oxygène. ⎡ ⎞⎤ ⎛1 N = 5 – ⎢0 + ⎜ × 8⎟ ⎥ = +1 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢4 + ⎜ × 4 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ OOC OO + b) Forme A ⎡ ⎞⎤ ⎛1 N = 5 – ⎢6 + ⎜ × 2⎟ ⎥ = -2 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ 2 O A OOC PO C B -1 NPNPO 2 O 3 d) La liaison C O est la plus polaire avec δ– porté par l’atome le plus électronégatif, l’oxygène. +1 O(3) O A O PC OO b) Même si la charge formelle est -1 sur B et 0 sur H, l’hydrogène est légèrement plus électronégatif. Ainsi, la charge négative est répartie sur tous les atomes d’hydrogène. -2 +1 O(2) c) O(1) P 29. a) Les liaisons C H et C O sont polaires ; les liaisons C C et C C sont non polaires. Types de liaisons Indices de liaison Deux liaisons simples C Une liaison double C 2– 3 b) SO c) NO + 2 d) NOCl Trois liaisons simples S H. O. 2 O. Deux liaisons doubles N 1 O. 1 2 Une liaison double N O. 2 Une liaison simple O Cl. 1 35. a) B Cl c) P O b) C O d) C O Solutionnaire des exercices de fin de chapitre 36. Espèces NO2+ NO Types de liaisons Indices de liaison Deux liaisons doubles N − 2 O. Une liaison simple N O. Une liaison double N O. NO Deux liaisons simples N Une liaison double N Géométrie des paires d’électrons : linéaire ; forme : linéaire. 2 Géométrie des paires d’électrons : tétraédrique ; forme : coudée. 3/2 O. O. – Trois formes limites de résonance. 41. a) OOClOO 4/3 Les liaisons azote-oxygène de NO3− sont les plus longues (indice de liaison le plus faible), alors que celles de NO2+ sont les plus courtes (indice de liaison le plus élevé). 37. La liaison carbone-oxygène dans le formaldéhyde est double avec un indice de liaison 2. Dans le monoxyde de carbone, cette liaison est triple, indice de liaison 3. Le monoxyde de carbone possède donc la liaison CO la plus courte et la plus forte. 38. CO (g) + Cl2 (g) d) HOOOF Deux formes limites de résonance. − 3 c) SPCPN Géométrie des paires d’électrons : tétraédrique ; forme : coudée. b) Cl A Cl O Sn O Cl c) O A O OP O O A O Cl2CO (g) Au moment de cette réaction, une liaison triple C O et une liaison simple Cl Cl sont brisées, alors qu’une liaison double C O et deux liaisons simples C Cl sont formées. 3 + 1 mol × DCl ) − (1 mol × DC 2 mol × DC Cl O + ) Cl ∆H = (1 mol × 1046 kJ/ mol + 1 mol × 242 kJ/ mol ) − (1 mol × 745 kJ/ mol + 2 mol × 339 kJ/ mol ) 0 O 39. O3 (g) + O (g) O P b) O ON O O 2 O2 (g) ∆H 0 = ΣD (liaisons rompues) − ΣD (liaisons formées) ∆H 0 = 2 mol × Doo (ozone) − 2 mol × DO Géométrie des paires d’électrons : trigonale plane ; forme : trigonale plane. OOC O O ∆H 0 = 1288 kJ − 1423 kJ ∆H 0 = -135 kJ O O A O O S OO d) O A O O Cl O O Géométrie des paires d’électrons : tétraédrique ; forme : pyramidale trigonale. Doo (ozone) = 301 kJ/mol O = 146 kJ/mol DO O = 498 kJ/mol On estime que l’énergie de liaison des liens oxygèneoxygène dans l’ozone se situe entre celles des liaisons simples et des liaisons doubles oxygène-oxygène. Pour l’ozone, l’indice de liaison est 1,5, valeur comprise entre les indices d’une liaison simple (= 1) et d’une liaison double (= 2). Par conséquent, l’énergie de liaison oxygène-oxygène dans l’ozone est cohérente avec l’indice de liaison. 40. a) ClONOH Géométrie des paires d’électrons : tétraédrique ; forme : pyramidale trigonale. b) ClOOOCl Géométrie des paires d’électrons : tétraédrique ; forme : coudée. A H Géométrie des paires d’électrons : trigonale plane ; forme : trigonale plane. 2 c) -394 kJ = 2 mol × Doo (ozone) − 2 mol × 498 kJ/ mol DO Géométrie des paires d’électrons : tétraédrique ; forme : tétraédrique. 2 42. a) P O Géométrie des paires d’électrons : tétraédrique ; forme : pyramidale trigonale. Géométrie des paires d’électrons : linéaire ; forme : linéaire. d) S P C P S ∆H 0 = ΣD (liaisons rompues) − ΣD (liaisons formées) ∆H 0 = (1 mol × DC 21 Géométrie des paires d’électrons : tétraédrique ; forme : pyramidale trigonale. Les ions a) et b) sont isoélectroniques (24 électrons périphériques) et leur géométrie de paires d’électrons et leur forme sont identiques. Les ions c) et d) sont aussi isoélectroniques (26 électrons périphériques) et ont une géométrie des paires d’électrons et une forme identiques. 43. a) FOClOF b) FOClOF A F Géométrie des paires d’électrons : bipyramidale trigonale ; forme : linéaire. Géométrie des paires d’électrons : bipyramidale trigonale ; forme : en T. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droit de reproduction restreint. 6 22 CHIMIE GÉNÉRALE F F F B S O théorique dans SO2 = 120°. F dans BF3 : 120°. c) Cl C Cl dans Cl2CO : 120°. d) H C H = 109,5° et C C ∆χ O H = 3,5 − 2,1 = 1,4 CS2 S C = 2,5 − 2,5 = 0 CCl4 Cl PCl3 ClF b) c) L’atome F dans ClF est le plus négatif (il est l’atome le plus électronégatif). Géométrie de la molécule H B = 2,1 – 2,0 = 0,1 F B = 4,0 – 2,0 = 2,0 linéaire Polarité de la molécule non polaire trigonale plane polaire La charge négative du dipôle se situe entre les 2 F ; l’extrémité positive est sur le H. Cl C = 3,0 – 2,5 = 0,5 C H = 2,5 – 2,1 = 0,4 S = 3,5 – 2,5 = 1,0 b) NPNPN 6 NO N W N C W NO O -1 1 – C P NP O -1 -2 1 – 0 C ON W O -3 1 – 1 La première forme limite est prépondérante parce que la charge formelle négative se trouve sur l’oxygène (atome le plus électronégatif). c) Le carbone, élément le moins électronégatif dans cet ion, a une charge formelle négative. De plus, les trois formes limites ont une distribution défavorable des charges. 53. a) Angle 1 = 120° ; angle 2 = 180° ; angle 3 = 120°. b) Le lien double C C C. C est plus court que le lien simple c) Le lien double C C C. C est plus fort que le lien simple d) La liaison C N (∆ χ = 3,0 − 2,5 = 0,5) est légèrement plus polaire que les liaisons C H (∆ χ = 2,5 − 2,1 = 0,4). polaire trigonale plane non polaire b) Les deux doublets libres du chlore (voir la figure 6.14, page 206) occupent les positions équatoriales. Même raisonnement qu’en a). tétraédrique OOC W O 48. a) OPCPO + 2 mol × DC O + 3 mol × DO O) – (4 mol × DC O + 6 mol × DO H) 54. a) Les trois doublets libres du xénon (voir la figure 6.14, page 206) occupent les trois positions équatoriales à 120° l’un de l’autre, de manière à ce qu’il y ait moins de répulsion entre eux. La charge négative du dipôle est sur le Cl ; les trois H représentent l’extrémité positive. O H ∆H 0 = 4688 kJ − 5758 kJ P = 3,0 − 2,1 = 0,9 HBF2 2 CO2 (g) + 4 H2O (g) ∆H 0 = (6 mol × 413 kJ/ mol + 2 mol × 358 kJ/ mol + 3 mol × 498 kJ/ mol ) – (4 mol × 745 kJ/ mol + 6 mol × 463 kJ/ mol) Cl = 4,0 − 3,0 = 1,0 Be = 3,0 - 1,5 = 1,5 F = 180° H sont conservés durant la réaction. ∆H 0 = (6 mol × DC F Cl Cl ∆H 0 = ΣD (liaisons rompues) − ΣD (liaisons formées) Cl BeCl2 F ClF a un angle de liaison plus grand en raison de la présence d’une paire supplémentaire d’électrons libres autour de l’atome central. 52. a) ∆χ F = 109° − 2 C = 3,0 − 2,5 = 0,5 47. Molécule Cl F O Cl O F ∆H 0 = -535 kJ/mol de CH3OH. b) CS2 et CCl4 sont des molécules non polaires. SO3 F – ∆H 0 = -1070 kJ pour la combustion de 2 mol de CH3OH. a) H2O a les liaisons les plus polaires. La différence d’électronégativité est la plus grande entre les atomes O et H. CH3Cl F O Cl O F Deux liens O N = 180°. b) La chaîne CH2 CH(NH2) COOH ne peut être linéaire parce que les deux premiers atomes de carbone ont des angles de liaison de 109,5°, et le troisième atome de carbone a des angles de liaison de 120° avec C et O. H2O ClF2– 51. 2 CH3OH (g) + 3 O2 (g) 45. a) Angle 1 = 120° ; angle 2 = 109,5° ; angle 3 = 120° ; angle 4 < 109,5° ; angle 5 < 109,5°. 46. Molécule ClF2+ 50. Géométrie des paires d’électrons : octaédrique ; forme : pyramidale à base carrée. 44. a) Angle O b) F (110 pm) est celle ayant l’indice de liaison le plus élevé (NO2+), alors que les liaisons N O dans NO2− sont plus longues (124 pm). Géométrie des paires d’électrons : octaédrique ; forme : plane carrée. AA F F A Cl AA d) F A FOClOF A F c) O W COO N W NON c) OPCPN OO C W N O W CON Ces trois espèces sont linéaires et comportent 16 électrons périphériques. 49. Les liaisons N O dans NO2− ont un indice de liaison 1,5 alors que dans NO2+ il est 2. La liaison la plus courte © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. ⎡ ⎞⎤ ⎛1 55. a) S = 6 – ⎢4 + ⎜ × 4 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝ 2 ⎣ ⎡ ⎞⎤ ⎛1 O = 6 – ⎢4 + ⎜ × 4 ⎟ ⎥ = 0 ⎠⎦ ⎝2 ⎣ b) Angle 1 < 109,5° ; angle 2 = 109,5° ; angle 3 = 120°. c) La liaison C O est la plus polaire. 23 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre d) La molécule est polaire. OM liante OM antiliante e) L’atome d’oxygène est dans le même plan que les quatre atomes de carbone, puisque chacun d’eux a une forme trigonale plane. 56. a) Deux liens C H et un lien O O ont été brisés et deux liens C O et deux liens O H ont été formés. ∆H 0 = ΣD (liaisons rompues) – ΣD (liaisons formées) ∆H 0 = (2 mol × DC H + 1 mol × DO ) − (2 mol × DC 2 mol × DO O + ) H O ∆H 0 = (2 mol × 413 kJ/ mol + 1 mol × 498 kJ/ mol ) − (2 mol × 358 kJ/ mol + 2 mol × 463 kJ/ mol) 7. Dans la théorie ÉL, les électrons sont toujours partagés par paires et localisés entre deux atomes pour former les liaisons σ et π alors que, dans la théorie des OM, les électrons appartiennent à l’ensemble de la molécule, non à des atomes en particulier. 8. Dans les isolants, on trouve une bande interdite entre les bandes de valence et de conduction. Dans les métaux, il n’y a pas de séparation. ∆H 0 = 1324 kJ −1642 kJ ∆H = -318 kJ 0 b) Exothermique (∆H 0 est négatif ). 9. c) L’acétone est une molécule polaire. d) Les atomes d’hydrogène liés aux atomes d’oxygène ont une charge partielle positive plus élevée que les atomes d’hydrogène liés aux atomes de carbone, car l’oxygène est plus électronégatif. 57. a) La liaison C C est plus forte que la liaison C b) La liaison simple C double C C. La géométrie des paires d’électrons est tétraédrique et la forme est pyramidale trigonale. L’atome N est hybridé sp 3 et trois de ses quatre orbitales sont recouvertes chacune par une orbitale 2p du fluor pour former trois liaisons σ N F. C. C est plus longue que la liaison 10. C sont conservés au ∆H 0 = ΣD (liaisons rompues) − ΣD (liaisons formées) ∆H 0 = 1 mol × DC O − (1 mol × DC C + 1 mol × DC F O Cl O F Cl A HOCOCl A Cl ) O ∆H 0 = 1 mol × 1046 kJ/ mol − (1 mol × 346 kJ/ mol + 1 mol × 745 kJ/ mol ) 11. ∆H 0 = 1046 kJ − 1091 kJ La géométrie des paires d’électrons et la forme de la molécule sont tétraédriques. L’atome C est hybridé sp 3 et trois de ses quatre orbitales sont recouvertes chacune par une orbitale 3p du chlore pour former trois liaisons σ C Cl. La liaison σ C H provient du recouvrement de la quatrième orbitale hybridée du carbone par une orbitale 1s de l’hydrogène. ∆H 0 = -45 kJ La réaction est exothermique. Chapitre 7 1. Pour une liaison sigma (σ ), la densité électronique se trouve le long de son axe alors que, pour une liaison pi (π), elle se trouve au-dessus et au-dessous de l’axe de liaison. 2. Le carbone peut former deux, trois ou quatre orbitales hybrides parce qu’il a quatre orbitales sur sa couche électronique périphérique, soit une orbitale s et trois orbitales p. Ainsi, il peut former deux orbitales sp ou trois orbitales sp 2 ou quatre orbitales sp 3. 12. a) BBr3 : sp 2 d) CO32− : sp 2 13. a) CSe2 : sp c) CH2O : sp 2 b) SO2 : sp 2 d) NH4+ : sp 3 14. a) C : sp 3 O : sp 3 b) CH3 : sp 3 4. Il reste deux orbitales p non hybridées sur un atome hybridé sp. Ainsi, il peut former deux liaisons π. c) N : sp 3 5. Tétraédrique : sp Linéaire : sp 3 Octaédrique : sp d 2 c) CH2Cl2 : sp 3 b) CO2 : sp 3. sp : 180° ; sp 2 : 120° ; sp 3 : 109,5°. 3 d) C C : sp 2 15. Trigonale plane : sp 2 F 0 a) F A Si A F 0 F C central : sp 2 CH2 : sp 2 CH2 : sp 3 COOH : sp 2 C N : sp Géométrie des paires d’électrons Forme Hybridation octaédrique octaédrique Si : sp3d 2 Bipyramidale trigonale : sp3d 6. L’OM liante est caractérisée par une densité électronique située directement sur l’axe de la liaison et l’OM antiliante possède un plan nodal (densité électronique nulle) entre les deux noyaux. La géométrie des paires d’électrons est tétraédrique et la forme est coudée. L’atome Cl est hybridé sp 3 et deux de ses quatre orbitales sont recouvertes chacune par une orbitale 2p du fluor pour former deux liaisons σ Cl F. c) L’éthylène est non polaire, mais l’acroléine est polaire. d) Quatre liens C H et un lien C moment de cette réaction. FONOF A F 2 F F © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 6 7 24 CHIMIE GÉNÉRALE Géométrie des paires d’électrons bipyramidale trigonale 0 c) Hybridation ∗ )2(σ )1 19. Li2+ : (σ 1s )2(σ 1s 2s Indice de liaison = Se : sp3d tétraédrique déformée Indice de liaison = bipyramidale Le lien dans Li2 est plus fort (indice de liaison = 1) que celui dans les deux ions (indice de liaison = 0,5). I : sp3d linéaire trigonale *2p F F octaédrique *2p Xe : sp3d 2 plane carrée Énergie A Xe A Géométrie des paires Forme Hybridation F A Br F F 0 0 F F 2p 2s octaédrique F pyramidale à base carrée 3 2 Xe : sp d L’ion C22− a 10 électrons périphériques (isoélectroniques avec N2). b) Il y a une liaison σ et deux liaisons π, ce qui donne un F 0 0 b) O A Xe 2p *2s d’électrons a) – 3) = 0,5. Indice de liaison = (4 – 2) = 1. 16. F 1 (4 2 1 2 0 F 0 d) – 2) = 0,5. ∗ )2(σ )2 Li2 : (σ 1s )2(σ 1s 2s 20. a) F 1 (3 2 ∗ )2(σ )2(σ ∗ )1 Li2– : (σ 1s )2(σ 1s 2s 2s F A F b) Se A F F Cl A I A Cl Forme octaédrique F 0 F A F c) O O S A F F pyramidale à base carrée indice de liaison de Br : sp3d 2 1 (8 2 − 2) = 3. c) Oui, car la molécule C2 a deux électrons de moins et 1 2 un indice de liaison de (6 − 2) = 2. bipyramidale trigonale d) Non, il est diamagnétique, car tous les électrons sont appariés. S : sp3d bipyramidale trigonale 21. a) NO+ a 10 électrons périphériques : [électrons internes] d) Br O Br O Br bipyramidale trigonale O A 17. P F O H OO 0 F 32 électrons périphériques ; b) σ2p O A P F O 0 O F 32 électrons périphériques ; forme tétraédrique. forme tétraédrique. P : sp 3 P : sp 3 O ClO C O Cl 7 c) Diamagnétique. d) Il y a une liaison σ et deux liaisons π, pour un indice de P 18. ∗ )2(π )4(σ )2 (σ2s)2(σ 2s 2p 2p sp3d linéaire L’atome C est hybridé sp 2 et deux de ses trois orbitales sont recouvertes chacune par une orbitale 3p du chlore pour former deux liaisons σ C Cl. La troisième orbitale hybridée du carbone est utilisée pour former une liaison σ C O par recouvrement d’une orbitale sp 2 de l’oxygène. L’orbitale 2p non hybridée du carbone est recouverte latéralement par une orbitale 2p de l’oxygène pour former une liaison π C O. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 1 2 liaison égal à (8 − 2) = 3. 22. Si un atome de magnésium peut contribuer, par son orbitale 3s et ses trois orbitales 3p, à la liaison métallique et former quatre orbitales moléculaires, 100 atomes conduisent à 400 OM. Sachant qu’une orbitale peut accueillir deux électrons, il y aura 100 OM occupées complètement, puisque chaque atome de magnésium fournit deux électrons périphériques pour un total de 200 électrons. F O Cl O F 23. Géométrie des paires d’électrons Forme Angle F Cl F Hybridation de Cl – F O Cl O F tétraédrique bipyramidale trigonale coudée linéaire < 109,5° 180° sp 3 sp 3d 25 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre 24. OPNOO OONPO A F O 0 H H b) Géométrie des paires d’électrons : trigonale plane. Forme : coudée. Angle de liaison O N La forme de cet ion est coudée et l’atome F est hybridé sp 3. O : 120°. 31. a) La liaison C Indice de liaison : 1,5. NPNPO NW NOO B C A c) Oui, l’isomère cis est : H L’atome central N est hybridé sp dans chacune des formes limites. L’autre atome N est hybridé sp 3, sp 2 et sp respectivement dans les structures A, B et C. Dans ces mêmes structures, l’atome O est hybridé sp, sp 2 et sp 3. Les deux orbitales hybrides sp de l’atome central sont recouvertes par les orbitales hybrides des atomes voisins pour former les liaisons σ N O et σ N N. Les deux orbitales 2p non hybridées de l’azote central sont latéralement recouvertes par des orbitales 2p de l’oxygène et/ou de l’azote pour former des liaisons π N O et/ou π N N. 26. a) Les trois composés sont des isomères : ils ont la même formule moléculaire (C2H4O), mais des structures différentes. b) Oxyde d’éthylène : les deux atomes C sont hybridés sp 3. Acétaldéhyde : l’hybridation du carbone CH3 est de type sp 3 et celle de l’autre atome C, sp 2. Alcool vinylique : les deux atomes C sont hybridés sp 2. Angle H c) O est la plus polaire. b) Il y a 18 liaisons σ et 5 liaisons π. Hybridation de l’atome N : sp 2. 25. NONW O + Oxyde d’éthylène 109,5° Acétaldéhyde 109,5° Alcool vinylique 120° C H H C H C C C C C H H CPC C O H H d) Tous les atomes de carbone sont hybridés sp 2. e) Les trois angles sont de 120°. 32. OO Xe 0 O O OO O A Xe 0 O O Géométrie des paires d’électrons tétraédrique tétraédrique Forme pyramidale trigonale tétraédrique sp 3 sp 3 Hybridation de Xe ∗ )2(π )4(σ )2 33. N2 [électons internes] (σ 2s )2(σ 2s 2p 2p H ∗ )2(π )4(σ )1 N2+ [électons internes] (σ 2s )2(σ 2s 2p 2p ∗ )2(π )4(σ )2(π ∗ )1 N2– [électons internes] (σ 2s )2(σ 2s 2p 2p 2p e) L’alcool vinylique a la liaison C C la plus forte (liaison double) et l’acétaldéhyde a la liaison C O la plus forte (liaison double). 27. a) Il y a 11 liaisons σ et 1 liaison π. N2− N2+ N2 a) d) Les trois molécules sont polaires. diamagnétique paramagnétique paramagnétique b) Liaisons π 2 2 1,5 c) Indice de liaison 3 2,5 2,5 d) N2 < N2+ ≈ N2− b) C(1) = sp 3 ; C(2) = sp 2 ; O(3) = sp 3. c) Le lien C O est le plus court et le plus fort des liens CO de cette molécule. d) Angle A = 109,5° ; angle B < 109,5° ; angle C = 120°. 28. a) C(1) = sp 2 ; O(2) = sp 3 ; N(3) = sp 3 ; C(4) = sp 3 ; P(5) = sp 3. b) Angle A = 120° ; angle B = 109,5° ; angle C = 109,5° ; angle D = 109,5°. c) Les liaisons P O et O H sont les plus polaires (∆ χ = 1,4). 29. a) La géométrie autour de l’atome B est trigonale plane dans BF3 et tétraédrique dans H3N BF3. 2 b) L’hybridation du bore est de type sp dans BF3 et sp dans H3N BF3. 3 30. a) L’hybridation de l’antimoine est de type sp 3d dans SbF5 et sp 3d 2 dans SbF6−. * Dans l’énoncé de l’exercice, on aurait dû lire Ne2+, qui lui est paramagnétique. ⎯ Longueur de liaison e) N2+ ≈ N2− < N2 ⎯ Force de liaison 34. a) Paramagnétique. b) Diamagnétique*. d) Paramagnétique. e) Diamagnétique. c) Diamagnétique. 35. a) Atomes de carbone du cycle : sp 2 ; atomes de carbone de la chaîne : sp 3 ; atome d’azote : sp 3. b) Angle A = 120° ; angle B = 109,5°; angle C < 109,5°. c) Vingt-trois liaisons σ et trois liaisons π. d) La molécule est polaire. 7 e) L’atome H forme une liaison avec N, l’atome le plus électronégatif de la molécule. 36. a) Tous les atomes C sont hybridés sp 3. b) L’angle de la liaison C O H < 109,5°. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 26 CHIMIE GÉNÉRALE c) Oui, la molécule est polaire. d) Le cycle à six carbones n’est pas plan. Le cycle pourrait être plan seulement si les atomes de carbone étaient hybridés sp 2 (angles de liaison de 120°) comme le benzène. 37. Dans un conducteur, la bande de valence est partiellement remplie, ce qui permet aisément la promotion d’électrons vers des niveaux d’énergie légèrement plus élevés (bande de conduction). Par contre, dans un isolant, la bande de valence est complètement remplie et la bande interdite entre la bande de valence et la bande de conduction est trop importante pour permettre ces promotions. 38. Le silicium est un meilleur conducteur parce que sa bande interdite est moins large que celle du diamant. 39. Le germanium devrait être un meilleur conducteur que le diamant parce que sa bande interdite est beaucoup plus petite, mais il devrait être moins conducteur qu’un métal tel le lithium. 40. a) Les formes énol et céto ne sont pas des formes limites de résonance parce qu’il y a un réarrangement des atomes. b) Dans la forme énol, les deux atomes de carbone terminaux sont hybridés sp 3, les trois atomes de carbone centraux sont hybridés sp 2 et l’atome d’oxygène OH est hybridé sp3. Dans la forme céto, l’atome de carbone central est hybridé sp 3 et les deux atomes d’oxygène sont hybridés sp 2. c) Pour l’ensemble des atomes de carbone, la forme correspond à la géométrie des paires d’électrons puisqu’il n’y a pas de doublets libres sur ces atomes. Dans la forme énol, la géométrie des atomes de carbone CH3 est tétraédrique et celle des atomes centraux est trigonale plane. Dans la forme céto, le carbone central a maintenant une géométrie tétraédrique. d) Il n’y a pas d’isométrie cis-trans dans la forme céto, mais il est possible, théoriquement, pour la forme énol. 41. a) Même si tous les atomes sont hybridés sp 3, les angles de liaison dans un cycle à trois atomes sont de 60°. b) sp 3 3 c) L’hybridation sp prévoit des angles de liaison d’environ 109°, ce qui est significativement plus grand que les angles observés. Le cycle est donc tendu et facile à briser. (Molécule réactive) Chapitre 8 1. Forces de Keesom (dipôle-dipôle), forces de Debye (dipôle-dipôle induit), forces de dispersion de London (dipôle instantané-dipôle induit), liaison hydrogène. 7 8 2. Des interactions dipôle-dipôle induit (Debye) peuvent se manifester entre H2O et CO2 en plus des forces de dispersion de London. L’eau est une molécule polaire et le dioxyde de carbone est une molécule non polaire, même si elle comporte des liaisons polaires. Le pôle négatif du dipôle de la molécule d’eau interagit avec le pôle positif du dipôle de la liaison carbone-oxygène. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 3. N, O et F. Ce sont les atomes du tableau périodique qui possèdent la plus forte électronégativité, alors que H est très peu électronégatif. Les liaisons N H, O H et F H sont donc très polaires, ce qui permet la formation des liaisons hydrogène. 4. En passant de 4 °C à 0 °C, les molécules d’eau adoptent graduellement la structure de la glace dans laquelle se forment des cages (et des cavités) en raison des liaisons hydrogène, d’où la plus faible densité de la glace. 5. Après un exercice relativement intense, le corps transpire et élimine le surplus de chaleur par vaporisation de la sueur. Dans ce processus naturel, le corps se refroidit. 6. Les longues chaînes hydrocarbonées bougent de façon aléatoire et s’emmêlent, ce qui augmente la viscosité du liquide. Le benzène possède une masse molaire beaucoup plus faible et une structure cyclique. Les forces entre les molécules de benzène sont donc beaucoup plus faibles, ce qui lui confère une faible viscosité. 7. Cubique simple : huit atomes, molécules ou ions identiques, situés aux huit sommets d’un cube. Cubique centré : semblable à cubique simple, en ajoutant une particule au centre du cube. Cubique à faces centrées : semblable à cubique simple, en ajoutant une particule au centre de chaque face du cube. 8. Les solides ioniques possèdent des points de fusion très élevés. 9. a) Liaison hydrogène, forces de Keesom, Debye et London. b) Forces de dispersion de London. c) Liaison hydrogène, forces de Keesom, Debye et London. 10. Iode solide : forces de dispersion de London. CH3OH : liaison hydrogène, forces de Keesom, Debye et London. CH3OH et I2 en solution homogène : forces de Debye (dipôle-dipôle induit) et forces de dispersion de London. 11. a) Forces de dispersion de London. b) Forces de dispersion de London. c) Forces de Keesom, Debye et London. d) Liaison hydrogène, forces de Keesom, Debye et London. e) Forces de dispersion de London. 12. À première vue, l’ordre serait : Ne < CH4 < CO < CCl4 (même si Ne a une masse molaire plus élevée que celle de CH4, Ne est moins polarisable que la molécule ayant quatre liaisons), mais dans les faits on observe les points d’ébullition dans l’ordre suivant : Ne (-246 °C) < CO (-192 °C) < CH4 (-162 °C) < CCl4 (77 °C). 27 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre 13. He < CH4 < CH3CH2CH2CH3 < CH3OH. L’hélium (He), le méthane (CH4) et le butane (CH3CH2CH2CH3) sont gazeux à 25 °C et à 101,3 kPa. 14. c) HF, d) CH3COOH et f) CH3OH peuvent former des liaisons hydrogène à l’état liquide. 15. 0,500 mL × 13, 53 g 1 mL 1 mol 59,11 kJ × = 1,99 kJ 200,59 g 1 mol × 4 O2 – sur des faces × 1 2 = 2 ions O2 – . 2 O2− à l’intérieur de la maille = 2 ions O2−. Total = 2 Ti4+ et 4 O2− Il y a donc deux unités TiO2 dans une maille élémentaire. 24. a) Cubique à faces centrées. b) Sites tétraédriques. c) (8 Ca2+ aux sommets × 16. a) Environ 47 kPa. 1 8 ) + (6 Ca2+ sur des faces × 1 ) 2 = 4 Ca2+ b) Éthoxyéthane < éthanol < eau. 8 F− à l’intérieur = 8 F–. c) L’éthoxyéthane est gazeux, alors que l’éthanol et l’eau sont à l’état liquide. La formule est CaF2. 17. a) Lorsque l’eau se refroidit, sa pression de vapeur diminue, ce qui réduit la pression dans le contenant en plastique. Le contenant sera comprimé lorsque la pression interne sera inférieure à la pression ambiante. b) Le point d’ébullition normal de l’éthoxyéthane est de 34,6 °C, ce liquide s’évapore donc complètement à la température du corps (37 °C). 18. a) NH3 (liaison hydrogène). b) SO2 (molécule polaire). c) HF (liaison hydrogène). d) NOCl (masse molaire la plus élevée). 19. CH4 < CO < NH3 < SCl2 CO < CH4 < NH3 < SCl2 (prédiction basée sur l’ordre croissant de la masse molaire et de la présence de liaisons hydrogène dans NH3). (ordre croissant réel de température d’ébullition). 25. a) (8 C aux sommets × 1 ) 8 1 2 + (6 C sur des faces × ) + (4 C dans la maille) = 8 atomes de carbone. b) Système cubique à faces centrées avec certains atomes de carbone sur des sites tétraédriques. 26. a) Forces de dispersion de London. b) Les forces intermoléculaires entre les couches de carbone dans le graphite sont faibles. Ces couches glissent donc facilement les unes contre les autres, ce qui permet à une pointe de crayon de glisser sur une feuille de papier et d’y laisser une marque noire. 27. a) Non. La pente positive de la courbe d’équilibre solideliquide signifie que CO2 (l) est moins dense que CO2 (s). b) Gazeux. c) 31 °C 28. a) Le xénon est gazeux à température ambiante et à une pression de 101 kPa. b) Le xénon est liquide à 76 kPa et à -114 °C. b) moins c) Lorsque la pression d’un échantillon de xénon liquide est de 51 kPa, sa température se situe entre -117 °C et -119 °C. c) ne change pas d) 25 kPa d) augmente e) Le solide est plus dense que le liquide parce que la courbe d’équilibre solide-liquide a une pente positive. 20. a) plus 21. La température critique du propane se situe bien au-dessus de la température ambiante, il peut donc être liquéfié. Le propane liquéfié est couramment utilisé pour le chauffage et la cuisson. 22. Deux mailles élémentaires possibles : 29. a) Forces de dispersion de London. b) Liaison hydrogène. 30. a) 101,325 Pression (kPa) LIQUIDE Chaque maille élémentaire contient un carré A et huit carrés B. La formule empirique est donc AB8. 23. 8 Ti4+ aux sommets × 4+ 1 8 = 1 ion Ti4+ . 1 Ti au centre du cube = 1 ion Ti . GAZ 8 Point triple 0 50 4+ Téb normal SOLIDE Tfus normal 60 70 80 90 100 Température (K) © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 28 CHIMIE GÉNÉRALE b) La masse volumique de l’oxygène liquide est moins élevée que celle de l’oxygène solide parce que la courbe d’équilibre solide-liquide a une pente positive. c) T = -196 + 273,15 = 77 K. À cette température, la pression de vapeur est de 20 à 25 kPa environ. 31. L’huile n’étant pas miscible avec l’eau, ces deux substances n’ont pas les mêmes forces intermoléculaires. Puisque l’eau est polaire et forme des liaisons hydrogène, on peut déduire que les composés contenus dans l’huile végétale sont peu polaires et ne forment pas de liaison hydrogène. 32. L’acétone forme des liaisons hydrogène avec l’eau, c’est pourquoi elle l’absorbe si facilement. Liaison hydrogène O P - - OO H HO c) (diagonale du cube)2 = (longueur de l’arête)2 + (diagonale de face)2 2 (diagonale du cube) = (longueur de l’arête)2 + 2(longueur de l’arête)2 Diagonale du cube = 3 × (longueur de l’arête) Diagonale du cube = 3 × 316,5 pm Diagonale du cube = 548,2 pm Rayon = 548, 2 pm = 137,0 pm 4 41. Les forces intermoléculaires sont plus fortes dans le propanol (liaisons hydrogène) que dans le méthoxyéthane (dipôle-dipôle). 42. C2H6 (forces de dispersion) < HCl (Keesom) < CH3OH (liaison hydrogène). CO H3C O CH3 43. a) Environ -27 °C. 33. La viscosité de l’éthylène glycol est plus grande en raison de sa plus grande capacité à faire des liaisons hydrogène avec ses deux groupements OH (contre un pour l’éthanol). 34. a) ICl (molécule polaire). b) Krypton (Kr) (masse molaire plus élevée). c) CH3CH2OH (liaison hydrogène). 35. Le ménisque est concave en raison des forces d’adhésion entre le méthanol et le silicate du verre. 36. a) 48 kPa b) Éthanol (plus faible pression de vapeur à toutes les températures). c) 83 °C d) CS2 : 46 °C C2H5OH : 78 °C C7H16 : 99 °C e) CS2 : gaz. C2H5OH : gaz. C7H16 : liquide. 37. a) Il y a plus de liaisons hydrogène dans l’eau (deux liaisons O H et deux doublets d’électrons libres sur O). L’éthanol, qui ne contient qu’une liaison O H, donne lieu à moins de liaisons hydrogène et a donc une température d’ébullition plus basse. b) Les interactions entre les molécules d’éthanol et d’eau sont très fortes (liaisons hydrogène), ainsi le volume est légèrement plus petit que la somme des deux volumes. b) 660 kPa c) Au début, le jet est rapide parce que le liquide s’évapore pour former la quantité maximale de vapeur à cette température avec une pression d’environ 660 kPa. Quand le gaz s’échappe de la bonbonne, d’autre liquide s’évapore afin d’atteindre l’équilibre liquide-vapeur. Ce sont les molécules les plus énergétiques, donc les plus chaudes, qui s’évaporent, ne laissant que les moins énergétiques. Cela fait baisser la température de la bonbonne, d’où la formation de givre sur les parois extérieures. Cette plus basse température diminue également la pression de vapeur, ce qui ralentit le jet. d) ii) Refroidir la bonbonne à -78 °C dans de la glace sèche et ouvrir la valve. Refroidir le cylindre fera condenser la vapeur et permettra ainsi de vider la bonbonne plus facilement. 44. Volume de la maille élémentaire : 4 atomes de Ir maille × 192,22 g 1 cm3 × × 22,56 g 1 mol 1 mol 6,022 × 1023 atomes de Ir Longueur des arêtes de la maille : V = 5,659 × 10−23 cm3 = (longueur de l’arête)3. 38. CO2 < CH3Cl < HCOOH Longueur de l’arête = 39. 15,5 g × 8 1 mol de C6 H6 9,95 kJ × = 1,97 kJ d’énergie 78,11 g 1 mol Diagonale de face = La quantité d’énergie requise pour la fusion est de 1,97 kJ (+1,97 kJ). Rayon = 40. a) Cubique centrée. 3 5,659 × 10 –23 cm3 = 3,839 × 10−8 cm. Rayon : (diagonale de face)2 = 2(longueur de l’arête)2 libérée (-1,97 kJ) b) (8 W aux sommets × = 5,659 × 10 –23 cm3 2 × longueur de l’arête = 4 × rayon. 2 × 3,839 × 10 –8 cm 4 = 1,357 × 10 –8 cm = 135,7 pm 1 ) 8 + (1 W au centre) = 2 atomes W par maille élémentaire. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 45. Calculez la masse d’un atome de fer et comparez-la à la masse d’une mole de fer. 29 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre ⎛ 1m 102 cm ⎞ V = ⎜ 286, 65 pm × 12 × ⎟ ⎜⎝ 10 pm 1 m ⎟⎠ 3 c) 1,34 bar × 7, 874 g 1 cm3 × 1 maille 2 atomes de Fe = 9,273 × 10−23 g/atome de Fe 55, 845 g /mol de Fe 9,273 × 10 –23 g /atome de Fe = 6,022 × 1023 atomes de Fe/mol Chapitre 9 1. Dans les conditions normales de température et de pression (TPN), T = 273,15 K (0 °C) et P = 101,325 kPa. Le volume occupé par une mole de gaz à TPN est de 22,414 L. 1 bar 7. 363 mm de Hg × 101, 325 kPa = 48, 4 kPa 760 mm de Hg 0,256 atm × 101, 325 kPa 0,523 bar × 100 kPa 1 atm 0,256 atm < 363 mm de Hg < 0,523 bar < 363 kPa 8. V 2 = 56, 5 mm de Hg × 125 mL P1V1 = = 113 mL P2 62, 3 mm de Hg 9. V 2 = T2V1 310,15 K × 3, 5 L = = 3, 7 L T1 295,15 K 10. a) 150 mL de NO × Pour la réaction 2 H2 (g) + O2 (g) 2 H2O (g), 3 mol de H2 à TPN (67,2 L) nécessitent 1,5 mol de O2 (33,6 L) pour produire 3 mol de H2O (67,2 L). b) 150 mL de NO × 3. a) La pression d’un mélange de gaz (Ptot) est égale à la somme des pressions partielles de chacun des gaz constituant le mélange (PA, PB, PC, etc.). 11. a) 5,2 L de C2 H6 × b) PO2 4. La vitesse d’effusion d’un gaz est inversement proportionnelle à la racine carrée de sa masse molaire. vitesse d’effusion du gaz A = vitesse d’effusion du gaaz B MB MA Posons H2 = B. 1 = 4 2, 02 g/mol MB MB = 32,3 g/mol Ce gaz pourrait être O2. 5. 440 mm de Hg × 440 mm de Hg × b) 5,2 L de C2 H6 × 12. P2 = 6 L de H2 O = 16 L de H2 O 2 L de C2 H6 État final Pf = ? Vi = 135 mL Vf = 252 mL ni nf = ni Ti = 22,5 + 273,15 = 295,65 K Tf = 0,0 + 273,15 = 273,15 K Pi T V = i × f Pf Tf Vi 650 kPa est la pression la plus élevée. 7 L de O2 = 18 L de O2 2 L de C2 H6 Pi = 22,0 kPa 101, 325 kPa = 58, 7 kPa 760 mm de Hg 101, 325 kPa = 71,2 kPa b) 534 mm de Hg × 760 mm de Hg 2 mL de NO2 = 150 mL de NO2 2 mL de NO 13. État initial Pi = 0,754 bar est la pression la plus élevée. 1 mL de O2 = 75 mL de O2 2 mL de NO P1T2 48 kPa × 268,15 K = = 43 kPa T1 298,65 K 1 atm = 0,579 atm 760 mm de Hg 101, 325 kPa 1 bar × = 0,712 bar 6. a) 534 mm de Hg × 760 mm de Hg 100 kPa = 25,9 kPa = 52,3 kPa 1 bar 2. La loi d’Avogadro stipule que des volumes égaux de gaz, dans les mêmes conditions de température et de pression, contiennent le même nombre de molécules. = χ O2 Ptot = 0,21 × 100 kPa = 21 kPa = 134 kPa 934 kPa est la pression la plus élevée. = 2,3554 × 10−23 cm3 2,3554 × 10 –23 cm3 × 100 kPa n i RTi Vi Pf = Pi Pf = n f RTf n RT = i f Vf Vf ⎛ 273,15 K ⎞ ⎛ 135 mL ⎞ Tf V i = (22, 0 kPa)⎜ ⎟⎜ ⎟ = 10,9 kPa TV ⎝ 295, 65 K ⎠ ⎝ 252 mL ⎠ i f 14. 1,25 g de CO2 × 750 mL × 1 mol 44,01 g = 0,0284 mol de CO2 1L = 0,750 L 103 mL © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 8 9 30 CHIMIE GÉNÉRALE P = 0, 0284 mol × 8, 314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 295, 65 K nRT = V 0, 750 L = 93,1 kPa 8,0 g de Ar × 1000 g 15. 30,0 kg de He × 1 kg × 1 mol 4,003 g = 7494 nRT (7,49 × 103 mol )(8,314 kPa i L i mol –1 i K −1 )(295,15 K ) = P 122 kPa = 1,51 × 105 L 251 cm3 × 1 mL 1 cm 46, 07 g 1L × 3 103 mL = 0, 0326 mol de C2 H5 OH 1 mol = 0,20 mol de Ar 39,95 g Ptot = ntot RT 0,70 mol × 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 300,15 K = V 3,0 L = 5,8 × 102 kPa PA = χAPtot PH2S = 0,045 × 4661 kPa = 2,1 × 102 kPa PCO2 = 0,030 × 4661 kPa = 1,4 × 102 kPa = 0,251 L 0,0326 mol × 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 523,15 K nRT P = = V 0,251 L PN2 = 0,925 × 4661 kPa = 4,31 × 103 kPa 24. a) = 564 kPa 17. n = = 0,50 mol de H2 23. χ N2 = 1 – (0,045 + 0,030) = 0,925 1 mol 16. 1, 50 g de C2 H5 OH × 1 mol 2,016 g ntot = 0,50 mol + 0,20 mol = 0,70 mol = 7,49 × 103 mol de He V = 22. 1,0 g de H2 × 111 kPa × 5, 0 L PV = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 298,15 K mol d’halothane 23 kPa = = 0, 30 mol de O2 76 kPa b) 160 g de O2 × 1 mol 32,00 g × 0, 30 mol d’halothane 197, 37 g × 1 mol de O2 1 mol d’halothane = 0,22 mol de He 0,22 mol de He × 18. ρ = 4,003 g 1 mol = 3,0 × 102 g d’halothane = 0,90 g de He. 25. a) n = 31,1 kPa × 74,12 g i mol –1 PM = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 298,15 K = 0,930 g/L 19. M = ρRT 1,25 g i L–1 × 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 298,15 K = P 26,0 kPa = 119 g/mol 20. ρ = M = i K –1 × 296,15 K 9 M = 1 mol = 2,07 g de He. 0,517 mol × 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 294, 65 K nRT = V 26,0 L χ He = 48,7 kPa = 0, 481 101, 3 kPa χ O = 52,6 kPa = 0, 519 2 101, 3 kPa 12,5 mg 21. ρ = = 0,100 g/L 125 mL 760 mm de Hg b) P = 4,003 g d) PA = χAPtot –1 = 57,6 g/mol 24,8 mm de Hg × 0,517 mol de He × c) PO2 = Ptot – PHe = 101,3 kPa – 48,7 kPa = 52,6 kPa ρRT 2,23 g i L × 8,314 kPa i L i mol = 95,3 kPa P 101, 325 kPa = 0,517 mol de He = 48,7 kPa 1, 007 g = 2,23 g/L 0,452 L –1 101, 3 kPa × 12, 5 L PV = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K −1 × 294, 65 K = 3,31 kPa ρRT 0,100 g i L–1 × 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 298,15 K = P 3,31 kPa = 75,0 g/mol d) B6H10 (M = 74,946 g/mol) © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 26. La masse molaire de l’argon (40 g/mol) est supérieure à celle de l’azote (28 g/mol). Ainsi, pour des échantillons de masses égales, il y a plus de moles de N2 que de moles de Ar. a) Vrai. Comme il y a plus de moles de N2 que de Ar, il y a donc plus de molécules aussi. b) Faux. La pression est directement proportionnelle au nombre de moles de gaz présent. La pression est donc plus élevée dans le flacon contenant l’azote. 31 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre c) Faux. Le gaz ayant la masse molaire la plus petite (N2) aura une vitesse moyenne plus élevée. n = d) Vrai. Les molécules d’azote, ayant une vitesse moyenne plus élevée que les molécules d’argon et étant en plus grand nombre, entrent en collision plus souvent avec les parois du flacon. 27. v2 = 3RT = M = 29,1 mol de CO2 29,1 mol de CO2 × 3(8,314 kg i s −2 i m2 i mol –1 i K –1 )298,15 K 28,01 × 10 –3 kg i mol –1 115 kPa × 628 L PV = RT 15 K 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 298,1 33. T2 = 44,01 g 1 mol = 1,28 × 103 g de CO2 V 2T1 21,5 mL × 363,15 K = = 306 K = 33 °C V1 25,5 mL = 265 493 m2 i s −2 = 515 m/s 2 399, 95 g/mol v CO 3RT /M CO v de CO M Ar = = = = = 1,194 M v de Ar 2 3RT /M Ar 28, 01 g/mol CO v Ar 34. v2 = 3(8,314 kg i s −2 i m2 i mol –1 i K –1 )240,15 K 3RT = M 4, 003 × 10 –33 kg i mol –1 = 1,22 × 103 m/s Nouvelle vitesse = (1,22 × 103 m/s)(1,10) = 1,35 × 103 m/s 28. Ordre croissant de la vitesse moyenne : CH2F2 < Masse molaire (g/mol) : 51 Ar < 40 N2 1,35 × 103 m/s = < CH4 28 b) N2 (28 g/mol) effuse plus vite que O2 (32 g/mol). c) C2H4 (28,1 g/mol) effuse plus vite que C2H6 (30,1 g/mol). T = 290,58 K = 17 °C 35. n2 = d) CFCl3 (137 g/mol) effuse plus vite que C2Cl2F4 (171 g/mol). vitesse d’effusion de He 1 (vitesse d’effusion de He) 3 masse2 = =3= M inconnu 4, 003 g/mol vitesse d’effusion de I2 = vitesse d’effusion du fluorure d’uranium ⎞ ⎟ ⎟⎠ V 2×V 2 atm 296,15 K 1 atm 268,15 K (2 atm)(V ) PV ( R )(296,15 K ) nHe = RT = (1 atm)(2 × V ) PV n H2 RT (R )(268,15 K ) M fluorure d’uranium M I2 M fluorure d’uranium = 253,, 8 g/mol M fluorure d’’uranium (0,003 34)2(M fluorure d’uranium )2 = b) Si le ballon d’hydrogène contient 1 mol (2,02 g) de H2, le ballon d’hélium contient 0,9 mol (4,003 g/ mol × 0,9 mol = 3,6 g) de He. Ainsi, le ballon rempli d’hélium contient la plus grande masse. 253, 8 g/mol Mfluorure d’uranium = 353 g/mol ⎛ 100 cm ⎞ 5 3 32. V = πr 2l = π(10,0 cm)2 ⎜ 20,0 m × ⎟ = 6,28 × 10 cm 1m ⎠ ⎝ 1 mL 3 × 1L 1000 mL = 628 L 0,9 mol de He 268,15 = 296,15 1 mol de H2 Il y a plus de molécules de H2 que de He. 37. T = 1 cm Ballon d’hydrogène = ⎛ 0,0177 g ⎞ 1 × ⎜ ⎟ M fluorure d’uranium ⎠ ⎝ 1h V = 6,28 × 105 cm3 × Ballon d’hélium Pression Température a) ⎛ 0,0150 g 1 mol × ⎜ ⎜⎝ 1 h 253,8 g ⎛ 300,15 K ⎞ masse1T1 = 12, 0 g ⎜ ⎟ = 12,9 g de O2 T2 ⎝ 278,15 K ⎠ Volume Minconnu = 36 g/mol 31. masse (g) n1T1 et n de O2 = 32, 00 g/mol T2 36. vitesse d’effusion de He vitesse d’effusion du gaz inconnu = 4, 003 × 10 –3 kg i mol –1 16 29. a) F2 (38 g/mol) effuse plus vite que CO2 (44 g/mol). 30. 3(8,314 kg i s −2 i m2 i mol –1 i K −1 )T 735 kPa × 1, 52 L PV = nR 0,406 mol × 8,314 kPa i L i mol –11 i K −1 = 331 K = 58 °C 38. 100,00 % – (11,79 % de C + 69,57 % de Cl) = 18,64 % de F Supposez 100 g de composé. 11,79 g de C × 1 mol 12,01 g 9 = 0,9816 mol de C © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 32 CHIMIE GÉNÉRALE 1 mol 69,57 g de Cl × 18,64 g de F × 35,453 g 1 mol 18,998 g Comme la masse molaire de l’argon est largement supérieure aux masses molaires de H2 et de He, l’échantillon b) est le plus lourd (0,045 mol × 39,9 g/ mol = 1,8 g). = 1,962 mol de Cl = 0,9812 mol de F 41. He : P2 = 19, 3 kPa × 3, 0 L P1V1 = V2 5, 0 L = 12 kPa Ar : P2 = 47, 3 kPa × 2, 0 L P1V1 = V2 5, 0 L = 19 kPa 0,9816 mol de C 1 mol de C = 0,9812 mol de F 1 mol de F Ptot = 12 kPa + 19 kPa = 31 kPa 1,962 mol de Cl 2 mol de Cl = 0,9812 mol de F 1 mol de F 42. 7 × 10 –5 mg de PH3 × La formule empirique est CCl2F M = ρRT = P ⎛ 0,107 g ⎞ –1 –1 ⎜ ⎟ × 8,314 kPa i L i mol i K × 298,15 K ⎝ 0, 458 L ⎠ P = = 204 g/mol × 1 mol 33,99 g –9 –1 –1 nRT (2 × 10 mol )(8,314 kPa i L i mol i K )(298,15 K ) = 1L V = 5 × 10−6 kPa Masse de la formule empirique (CCl2F) : 102 g/mol. La formule moléculaire est C2Cl4F2. 1000 mg = 2 × 10−9 mol de PH3 2,84 kPa 204 g/mol =2 102 g/mol 1g 43. 3,17 kPa n P = = V RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 298,15 K = 1,28 × 10−3 mol/L 39. a) 0,95 g de (NH4 )2 Cr2 O7 × 1 mol 252,10 g × 1,28 × 10 –3 mol 1L 5 mol de gaz = 0, 019 mol de gaz formé. 1 mol de (NH4 )2 Cr2 O7 P = ntot RT 0,019 mol × 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 296,15 K = V 15,0 L = 3,1 kPa ⎛ 1 mol de N2 ⎞ b) PN2 = ⎜ ⎟ 3,1 kPa = 0,62 kPa ⎝ 5 mol de gaz ⎠ ⎛ 4 mol de H2 O ⎞ PH2O = ⎜ ⎟ 3,1 kPa = 2,5 kPa ⎝ 5 mol de gaz ⎠ 40. a) 1,0 L de H2 × b) 1,0 L de Ar × c) n = d) n = 9 1 mol 22,414 L 1 mol 22,414 L = 0,045 mol de H2 × 6, 022 × 1023 molécules 1 mol × 1L 1000 mL × 1 mL = 7,70 × 1017 molécules de H2 O/cm3 1 cm3 44. a) NO2 (46 g/mol) < O2 (32 g/mol) < NO (30 g/mol) b) 20 kPa × 1 mol de O2 = 10 kPa 2 mol de NO c) 20 kPa × 2 mol de NO2 = 20 kPa 2 mol de NO 45. a) La masse molaire de O2 (32 g/mol) est inférieure à celle de CO2 (44 g/mol). Ainsi, pour des échantillons de masses égales, il y a plus de moles de O2, ce qui exerce une plus grande pression. b) Oui, parce que O2 est plus léger que CO2. c) L’énergie cinétique moyenne est la même pour les deux gaz, car ils sont à la même température. = 0,045 mol de Ar 101 kPa × 1, 0 L PV = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 300,15 K = 0,040 mol de H2 120 kPa × 1, 0 L PV = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 273,15 K = 0,053 mol de He Le nombre de molécules étant proportionnel au nombre de moles, l’échantillon d) contient le plus de molécules et l’échantillon c) en contient le moins. © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 46. Les forces intermoléculaires deviennent plus importantes lorsque les molécules se rapprochent. a) Oui. b) Oui. c) Non, car le volume doit augmenter. 47. 165 g de CO2 × a) P = 1 mol 44,01 g = 3,75 mol de CO2 3,75 mol × 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 298,15 K nRT = 12,5 L V = 743 kPa 33 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre 2 ⎛ ⎡n ⎤ ⎞ b) ⎜ P + a ⎢ ⎥ ⎟ (V – bn ) = nRT ⎣V ⎦ ⎠ ⎝ P = P = nRT ⎛n⎞ − a⎜ ⎟ ⎝V ⎠ V – bn b) 65 mol de CO × 2 3, 75 mol × 8, 314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 298,15 K 12, 5 L – (0, 0427 L i mol –1 × 3,75 mol ) – ⎛ 3, 75 mol ⎞ (364 kPa i L2 i mol –2 )⎜ ⎟ ⎝ 12, 5 L ⎠ 2 mol de Fe = 43 mol de Fe 3 mol de CO 6. Dissoudre dans l’eau une masse connue d’un échantillon du minerai. Y ajouter une solution de AgNO3 pour faire précipiter tous les ions chlorure sous forme de AgCl, filtrer, sécher et peser. Convertir la masse de AgCl en moles, calculer le nombre de moles de NaCl 2 P = 720 kPa b) Cu2S (s) + O2 (g) 1. Une équation chimique équilibrée donne la formule chimique, l’état physique et la quantité relative des réactifs et des produits. 2. a) N2 (g) + 3 H2 (g) 2 NH3 (g) b) Le rapport stœchiométrique ⎛ 2 mol de NH3 ⎞ ⎜ ⎟ ⎝ 1 mol de N2 ⎠ . 4 H2O (l) + 7 CO2 (g) d) 2 Cr (s) + 3 Cl2 (g) 2 CrCl3 (s) Si (s) + 2 CO (g) f) 3 Fe (s) + 4 H2O (g) Fe3O4 (s) + 4 H2 (g) g) BF3 (g) + 3 H2O (l) 3 HF (aq) + H3BO3 (l) 4. a) À l’aide de la masse molaire de Zn, convertir la masse de zinc en moles. Calculer le nombre de moles de ZnI2 en utilisant le rapport stœchiométrique : b) AlCl3 (s) + 3 H2O (l) 3 MgO (s) + 2 Fe (s) Réactif : oxyde de fer (III). Produit : oxyde de magnésium. Al(OH)3 (s) + 3 HCl (aq) Réactifs : chlorure d’aluminium et eau. Produits : hydroxyde d’aluminium et acide chlorhydrique (ou chlorure d’hydrogène). c) 2 NaNO3 (s) + H 2SO4 (l) Convertir les moles de ZnI2 à l’aide de sa masse molaire. b) Le rendement d’une réaction = × 100 % 5. a) Dans le mélange il y a : = 2,6 mol de CO 1 mol de Fe2 O3 La réaction requiert 3 mol de CO pour 1 mol de Fe2O3, mais le mélange n’en contient que 2,6 mol. Donc, CO est le réactif limitant. Une autre façon de déterminer le réactif limitant est de calculer le nombre de moles nécessaires d’un des réactifs : 25 mol de Fe2 O3 × 3 mol de CO 1 mol de Fe2 O3 Produits : sulfate de sodium et acide nitrique. (ou : 65 mol de CO × 1 mol de Fe2 O3 3 mol de CO = 22 mol de Fe2O3 nécessaires. On voit bien que Fe2O3 est en excès avec 25 mol.) Ni(NO3)2 (aq) + CO2 (g) + H2O (l) Réactifs : carbonate de nickel (II) et acide nitrique. Produits : nitrate de nickel (II), dioxyde de carbone et eau. e) 4 NH3 (aq) + 5 O2 (g) 4 NO (g) + 6 H2O (l) Réactif : ammoniaque. Produits : oxyde d’azote et eau. 9. a) 6,0 mol de Al × b) 6,0 mol de Al × 3 mol de O2 = 4,5 mol de O2 4 mol de Al 2 mol de Al2 O3 101,96 g × 4 mol de Al 1 mol dee Al2 O3 = 3,1 × 102 g de Al2O3 = 75 mol de CO nécessaires. Puisque le mélange ne contient que 65 mol de CO, celui-ci est le réactif limitant. Na 2SO4 (s) + 2 HNO3 (l) Réactifs : nitrate de sodium et acide sulfurique. d) NiCO3 (s) + 2 HNO3 (aq) Ainsi, il manque la masse de ZnI2 réellement obtenue à la suite de la réaction. 65 mol de CO 25 mol de Fe2 O3 2 Cu (s) + SO2 (g) e) SiO2 (s) + 2 C (s) 8. a) Fe2O3 (s) + 3 Mg (s) masse réelle masse théorique 2 Cr2O3 (s) c) C6H5CH3 (l) + 9 O2 (g) 3. a) et b) Utilisez les coefficients stœchiométriques de l’équation équilibrée : 2000 atomes de Al réagissent avec 3000 molécules de Br2 pour former 1000 molécules de Al2Br6. ⎛ 1 mol de ZnI2 ⎞ ⎟. ⎜ ⎝ 1 mol de Zn ⎠ et convertir en grammes. La masse de NaCl divisée par la masse de l’échantillon × 100 % donne la teneur en NaCl dans le minerai. 7. a) 4 Cr (s) + 3 O2 (g) Chapitre 10 ⎛ 1 mol de NaCl ⎞ ⎜ ⎟ ⎝ 1 mol de AgCl ⎠ 10. a) Al(OH)3 (aq) + 3 HCl (aq) b) 0,750 g de Al (OH)3 × AlCl3 (aq) + 3 H2O (l) 1 mol de Al(OH)3 78,00 g × 3 mol de HCl 36,46 g × = 1, 05 g de HCl 1 mol de Al(OH)3 1 mol de HCl © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 9 10 34 CHIMIE GÉNÉRALE c) 0,750 g de Al(OH)3 × 1 mol de Al(OH)3 × 78,00 g 15. n = 3 mol de H2 O 18,02 g = 0,520 g de H2 O × 1 mol de Al(OH)3 1 mol de H2 O 11. a) 4 Fe (s) + 3 O2 (g) b) 2,68 g de Fe × 55,85 g × 2 mol de Fe2 O3 × 4 mol de Fe 159,7 g = 3,83 g de Fe2 O3 1 mol de Fe2 O3 c) 3,83 g de Fe2O3 − 2,68 g de Fe = 1,15 g de O2. 12. a) CH4 (g) + 2 O2 (g) CO2 (g) + 2 H2O (l) 1 mol de CH4 16,04 g × 2 mol de O2 × 1 mol de CH4 32, 00 g = 102 g de O2 1 mol de O2 c) 25,5 g de CH4 + 102 g de O2 = 128 g de réactifs = 128 g de produits. 13. a) 0,095 g de C8 H18 × 4 mol de KO2 71,10 g × = 52,6 g de KO2 2 mol de CO2 1 mol 0,370 mol de CO2 × 2 Fe2O3 (s) 1 mol de Fe b) 25,5 g de CH4 × 102 kPa × 8, 90 L PV = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 295,15 K = 0,370 mol de CO2 1 mol 114,22 g = 8,3 × 10−4 mol de C8H18 16. a) (NH4)2CO3 (aq) + Cu(NO3)2 (aq) 2− 3 CO 2+ (aq) + Cu (aq) CuCO3 (s) + NH4NO3 (aq) CuCO3 (s) b) Pb(OH)2 (s) + HCl (aq) PbCl2 (s) + H2O (l) − + Pb(OH)2 (s) + 2 H (aq) + 2 Cl (aq) 17. a) CH3COOH (aq) + NaOH (s) PbCl2 (s) + 2 H2O (l) NaCH3COO (aq) + H2O (l) Acide acétique; hydroxyde de sodium; acétate de sodium; eau. b) 2 HNO3 (aq) + Ba(OH)2 (s) Ba(NO3)2 (aq) + 2 H2O (l) Acide nitrique; hydroxyde de baryum; nitrate de baryum; eau. 18. a) Ba(OH)2 (s) + 2 HCl (aq) BaCl2 (aq) + 2 H2O (l) Réaction acidobasique. b) 2 HNO3 (aq) + CoCO3 (s) Co(NO3)2 (aq) + H2O (l) + CO2 (g) Réaction avec dégagement gazeux. c) 2 Na3PO4 (aq) + 3 Cu(NO3)2 (aq) Cu3(PO4)2 (s) + 6 NaNO3 (aq) Réaction de précipitation. 8,3 × 10 –4 mol de C8 H18 18 mol de H2 O × 2 mol de C8 H18 = 0,0075 mol de H2O PH2O = nH2O RT = V 0,0075 mol × 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 303,15 K 4,75 L 20. 2,335 g de K 2 Cr2 O7 × = 4,0 kPa b) 8,3 × 10 –4 mol de C8 H18 × 25 mol de O2 2 mol de C8 H18 [K 2Cr2O7] = = 0,010 mol de O2 PO2 = nO2 RT V = 0,010 mol × 8,314 kPa i L i mol 19. a) Cr2O72− est l’espèce réduite et l’agent oxydant ; Sn2+ est l’espèce oxydée et l’agent réducteur. b) FeS est l’espèce oxydée et l’agent réducteur; NO3− est l’espèce réduite et l’agent oxydant. –1 i K –1 × 295,15 K 4,75 L 47,5 kPa × 5, 20 L PV = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 298,15 K = 0,0996 mol de SiH4 0,0996 mol de SiH4 × V = 10 2 mol de O2 = 0,199 mol de O2 1 mol de SiH4 0,199 mol × 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 298,15 K nRT = 56,7 kPa P = 8,71 L de O2 © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. = 0,007 937 mol de K 2Cr2O7 294,18 g 0, 007 937 mol = 0, 0159 mol/L 0, 500 L Concentration des ions : [K+] = 2 × [K 2Cr2O7] = 2 × 0,0159 mol/L = 0,0318 mol/L [Cr2O72−] = [K 2Cr2O7] = 0,0159 mol/L = 5,4 kPa 14. n = 1 mol 21. 25,0 g de NaOH × 1 mol 40, 00 g × 1L × 0,123 mol de NaOH 1000 mL 1L 22. 0,250 L × 0,15 mol de H2 C2 O4 1L × 90,04 g 1 mol = 5,08 × 103 mL = 3,4 g de H2C2O4 Peser 3,4 g de H2C2O4 et les transférer dans une fiole jaugée de 250 mL. Ajouter une petite quantité d’eau distillée et agiter jusqu’à dissolution complète. Ajouter de nouveau 35 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre de l’eau jusqu’à ce que le bas du ménisque coïncide avec le trait de jauge de la fiole. Boucher la fiole et agiter pour rendre la solution homogène. 23. 50,0 mL × 1L × 1000 mL 0,125 mol de HNO3 1L × 1 mol de Na 2 CO3 106,0 g = 0,331 g de Na2CO3 × 2 mol de HNO3 1 mol de Na 2 CO3 b) 112 g de CaO × 1L × 1000 mL 0, 546 mol de NaOH 1L 1 mol 16, 04 g = 62,0 mol de CH4 Quantité de H2O = 2510 g de H2 O × 1 mol 18, 02 g = 139,3 mol de H2 O 139, 3 mol de H2 O 2,25 mol de H2 O 1 mol de H2 O = > 62, 0 mol de CH4 1 mol de CH4 1 mol de CH4 CH4 est le réactif limitant. b) 62,0 mol de CH4 × 3 mol de H2 2, 016 g × 1 mol de CH4 1 mol de H2 = 375 g de H2 180, 2 g = 130 g d’aspirine 1 mol de C 9 H8 O4 100 g de C4 H6 O3 × 1 mol C4 H6 O3 1 mol de C 9 H8 O4 × × 102,1 g 1 mol de C4 H6 O3 180, 2 g = 176 g d’aspirine 1 mol de C 9 H8 O4 La quantité maximale d’aspirine pouvant être formée est de 130 g (C7H6O3 est le réactif limitant). 28. Rendement = masse réelle 16,3 g × 100 % = × 100 % = 24,0 % masse théorique 68,0 g 29. a) 10, 0 g de CH3 SH × 77,3 mol de H2 O × 26. a) 112 g de CaO × 18,02 g 1 mol = 1,39 × 103 g de H2 O 1 mol de CaO 56,08 g × 2 mol de NH3 × 1 mol de CaO 17,03 g = 68,0 g de NH3 1 mol de NH3 224 g de NH4 Cl × 1 mol de NH4 Cl 53, 49 g × 2 mol de NH3 × 2 mol de NH4 Cl 17,03 g = 71,3 g de NH3 1 mol de NH3 La quantité maximale de NH3 pouvant être formé est de 68,0 g (CaO est le réactif limitant). 1 mol de CH3 SH 48,11 g × 1 mol de CH3 COSCH3 90,15 g × 2 mol de CH3 SH 1 mol de CH3 COSCH3 = 9,37 g de CH3COSCH3 b) Rendement = c) Sachant que 1 mol de CH4 réagit avec 1 mol de H2O, 139,3 mol de H2O − 62,0 mol de H2O ayant réagi = 77,3 mol de H2O en excès. 2 mol de NH4 Cl × 1 mol de CaO 1 mol de C7 H6 O3 1 mol de C 9 H8 O4 × × 1 mol de C7 H6 O3 138,1 g 25. a) Quantité de CH4 = 995 g de CH4 × × 224 g de NH4Cl − 214 g de NH4Cl ayant réagi = 10 g de NH4Cl en excès. × 1 mol de H2 C2 O4 1L = 0,0769 L (76,9 mL) × 2 mol de NaOH 0,125 mol de H2 C2 O4 56,08 g 53,49 g = 214 g de NH4 Cl ayant réagi. 1 mol de NH4 Cl 27. 100 g de C7 H6 O3 × 24. 35,2 mL × 1 mol de CaO 30. 10, 0 g de CuSO4 × 8,65 g × 100 % = 92, 3 %. 9,37 g 1 mol de CuSO4 159, 6 g × 1 mol de [Cu(NH3 )4 ]SO4 × 1 mol de CuSO4 227, 7 g = 14,3 g de [Cu(NH3)4]SO4 1 mol de [Cu (NH3 )4 ]SO4 Masse réelle = Rendement × masse théorique. Masse réelle = 0,88 × 14,3 g = 12,6 g de [Cu(NH3)4]SO4 31. 1,245 g de mélange − 0,832 g de mélange déshydraté = 0,413 g de H2O. 0, 413 g de H2 O × 1 mol de H2 O 18, 02 g × 1 mol de CuSO4 i 5 H2 O × 5 mol de H2 O 249, 7 g = 1,14 g de CuSO4 i 5 H2 O 1 mol de CuSO4 i 5 H2 O 1,14 g de CuSO4 i 5 H2 O × 100 % = 91,9 % de CuSO4 i 5 H2O 1, 245 g de mélange © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 10 36 CHIMIE GÉNÉRALE 32. Tl2SO4 (aq) + 2 NaI (aq) 0,1964 g de TlI × 2 TlI (s) + Na2SO4 (aq) 1 mol de TlI 331,29 g × 1 mol de Tl2 SO4 × 2 mol de TlI 504, 83 g = 0,1496 g de Tl2 SO4 1 mol de Tl2 SO4 0,1496 g de Tl2 SO4 × 100 % = 1,467 % de Tl2 SO4 . 10, 20 g d’échantillon 1 mol de Al2 O3 33. 0,127 g de Al2 O3 × × 102,0 g 2 mol de Al × 1 mol de Al2 O3 26,98 g = 0,0672 g de Al 1 mol de Al 0,0672 g de Al × 100 % = 8,79 % d’aluminium. 0,764 g d’échantillon 34. a) 0, 364 g de CO2 × 1 mol de CO2 × 44, 01 g 1 mol de C 1 mol de CO2 = 0,00827 mol de C 0, 0596 g de H2 O × 1 mol de H2 O 18, 02 g 2 mol de H × 1 mol de H2 O = 0,00661 mol de H 0, 008 27 mol de C 1, 25 mol de C 5 mol de C = = 0, 006 61 mol de H 1 mol de H 4 mol de H La formule empirique est C5H4. Formule moléculaire : C10H8. 35. a) 0,263 g de SxCly − 0,125 g de S = 0,138 g de Cl 1 mol 32,07 g 0,138 g de Cl × 1 mol 35, 45 g = 0,003 90 mol de S 44, 01 g = 0, 003 89 mol de Cl = 2,27 × 10−3 mol de CO 2, 27 × 10 –3 mol de CO 4 mol de CO = 1 mol de Ni 5, 70 × 10 –4 mol de Ni La formule empirique est Ni(CO)4. 37. 1,45 g de NaOH × 1 mol de NaOH 40, 00 g 1L 1000 mL × = 44, 6 mL de HCl 0, 812 mol de HCl 1L 38. 2,150 g de Na 2 CO3 × 1 mol de Na 2 CO3 105,99 g × 2 mol de HCl × 1 mol de Na 2 CO3 1 = 1, 052 mol/L de HCl 0, 038 55 L 39. a) CO2 (g) + 2 NH3 (g) NH2CONH2 (s) + H2O (l) b) 2 NaBH4 (s) + H2SO4 (aq) B2H6 (g) + 2 H2 (g) + Na2SO4 (aq) c) TiO2 (s) + 2 Cl2 (g) + 2 C (s) TiCl4 (l) + 2 Mg (s) TiCl4 (l) + 2 CO (g) Ti (s) + 2 MgCl2 (s) d) Ca3(PO4)2 (s) + 2 H2SO4 (aq) e) (NH4)2Cr2O7 (s) Ca(H2PO4)2 (aq) + 2 CaSO4 (s) N2 (g) + 4 H2O (l) + Cr2O3 (s) Mg(NO3)2 (aq) + 2 NO2 (g)+ 2 H2O (l) b) Acide nitrique, nitrate de magnésium, dioxyde d’azote, eau. c) Mg (s) + 4 H+ (aq) + 2 NO3− (aq) Mg2+ (aq) + 2 NO2 (g) + 2 H2O (l) d) Mg est le réducteur et HNO3 est l’oxydant. Zn(OH)2 (s) + 2 HCl (aq) ZnCl2 (aq) + 2 H2O (l) Lorsque la réaction est complète, évaporez l’eau pour isoler le ZnCl2. ZnCO3 (s) + 2 HCl (aq) c) Réaction d’oxydoréduction. Zn(s) + 2 HCl (aq) La formule moléculaire est S2Cl2. ZnCl2 (aq) + H2O (l) + CO2 (g) Zn(s) + Cl2 (g) ZnCl2 (aq) + H2 (g) ou ZnCl2 (s). 42. a) (NH4)2PtCl4 (aq) + 2 NH3 (aq) 10 1 mol de HCl × 1 mol de NaOH × b) Réaction avec dégagement gazeux. La formule empirique est SCl. b) Masse formulaire de SCl = 67,52 g/mol. 36. 0, 0426 g de NiO × 1 mol de CO 1 mol de CO2 × 41. a) Réaction acidobasique. 0, 003 90 mol de S 1 mol de S = 0,003 89 mol de Cl 1 mol de Cl 135 g/mol =2 67,52 g/mol 1 mol de CO2 40. a) Mg (s) + 4 HNO3 (aq) b) Masse formulaire de C5H4 : 64,09 g/mol, soit la moitié de la masse molaire de CxHy. 0,125 g de S × 0,100 g de CO2 × 1 mol de NiO 74, 69 g × 1 mol de Ni 1 mol de NiO = 5,70 × 10−4 mol de Ni © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. Pt(NH3)2Cl2 (aq) + 2 NH4Cl (aq) b) Masse de (NH4)2PtCl4 = 12,50 g de Pt(NH3 )2 Cl2 × 1 mol de Pt(NH3 )2 Cl2 300,05 g × 37 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre 1 mol de (NH4 )2 PtCl4 372,97 g × 1 mol de Pt(NH3 )2 Cl2 1 mol de (NH4 )2 PtCl4 = 15,54 g de (NH4)2PtCl4 masse réelle masse théorique d) Rendement = Rendement en TiO2 = 6,43 g 10, 2 g × 100 % × 100 % = 63, 0 % Volume d’ammoniaque = 12,50 g de Pt(NH3 )2 Cl2 × 1 mol de Pt(NH3 )2 Cl2 300,05 g 45. a) Réactifs : Na (+1), I (-1), Mn (+4), O (-2), H (+1), S (+6). × 2 mol de NH3 1L × 1 mol de Pt(NH3 )2 Cl2 0,125 mol de NH3 = 0,667 L d’ammoniaque 43. Rendement = Rendement = Produits : Na (+1), S (+6), O (-2), Mn (+2), I (0), H (+1). b) NaI (I−) = réducteur = espèce oxydée (I passe de -1 à 0 dans I2). MnO2 = oxydant = espèce réduite (Mn passe de +4 à +2). c) 20,0 g de NaI × 1 mol de NaI 149, 9 g masse réelle × 100 % ou masse théorique 10,0 g de MnO2 × 1 mol de MnO2 86,94 g Donc le rendement peut aussi être égal à : × 100 %. 1 mol de CaC2 64,10 g × 1 mol de C2H2 1 mol de CaC2 46. a) Selon l’exemple 10.10 (voir la page 354), O2 est le réactif limitant. 750 g de O2 × Nombre de moles réel de C2H2 : 1 mol de O2 98,02 kPa × 0, 795 L PV = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 298, 35 K 0,0314 mol 0,0413 mol 32, 00 g b) 750 g de NH3 × × 100 % = 76, 0 %. 1,73 g 1 mL × 1 mol de TiCl4 189,7 g × 17, 03 g 1,73 g 1 mL × 1 mol de TiCl4 189,7 g × 1 mol de TiO2 79,87 g = 10, 2 g de TiO2 × 1 mol de TiCl4 1 mol de TiO2 14,0 mL de TiCl4 × 1,73 g 1 mL × 1 mol de TiCl4 189,7 g × 4 mol de HCl 36, 46 g × = 18, 6 g de HCl 1 mol de TiCl4 1 mol de HCl × 5 mol de O2 × 4 mol de NH3 32,00 g = 1,76 × 103 g de O2 1 mol de O2 47. Quantité de Si = 2,25 g de Si × 2 mol de H2 O 18,02 g = 4,60 g de H2 O × 1 mol de TiCl4 1 mol de H2 O c) 14,0 mL de TiCl4 × 6 mol de H2 O 18,02 g × 5 mol de O2 1 mol de H2 O 1 mol de NH3 44. a) Chlorure de titane (IV), eau, oxyde de titane (IV) et acide chlorhydrique (chlorure d’hydrogène). b) 14,0 mL de TiCl4 × × = 507 g de H2 O = 0,0314 mol de C2H2 Rendement = 1 mol de I2 × 1 mol de MnO2 La masse maximale de I2 pouvant être obtenue est de 16,9 g (NaI est le réactif limitant). = 0,0413 mol de C2H2 n = × 253,8 g = 29,2 g de I2 1 mol de I2 Nombre de moles théorique de C2H2 : 2,65 g de CaC2 × 1 mol de I2 × 2 mol de NaI 253,8 g = 16,9 g de I2 1 mol de I2 nombre de moles réel × M × 100 % nombre de moles théorique × M nombre de moles réel nombre de moles théorique × 1 mol = 0,0801 mol de Si 28,09 g Quantité de CH3Cl = nCH3Cl = 78,0 kPa × 6, 56 L PV = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K −1 × 298,15 K = 0,206 mol de CH3Cl. 2 mol de CH3 Cl 0,206 mol de CH3 Cl 2,58 mol de CH3 Cl > = 1 mol de Si 1 mol de Si 0,0801 mol de Si Si est le réactif limitant. Masse de (CH3)2SiCl2 = 0,0801 mol de Si × 129,1 g 1 mol de (CH3 )2 SiCl2 = 10,3 g × 1 mol de (CH3 )2 SiCl2 1 mol de Si © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 10 38 CHIMIE GÉNÉRALE 50. Quantité de N2 = Pression de (CH3)2SiCl2 = P = –1 –1 nRT 0,0801 mol × 8,314 kPa i L i mol i K × 368,15 K = V 6,56 L 95,1 kPa × 0, 295 L PV = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 294,15 K = 0,0115 mol de N2 = 37,4 kPa Masse de NaNO2 = 48. a) Quantité d’aluminium = 2,05 g de Al × n = 1 mol = 0, 0760 mol de Al 26,98 g 0,0115 mol de N2 × 69,00 g 1 mol de NaNO2 × 1 mol de NaNO2 1 mol de N2 = 0,792 g de NaNO2 Quantité de KOH = 185 mL × 1L 1000 mL 1, 35 mol de KOH × 1L = 0,250 mol de KOH 0,250 mol de KOH 3,29 mol de KOH 1 mol de KOH > = 0,0760 mol de Al 1 mol de Al 1 mol de Al Comme Al est le réactif limitant, il ne restera pas d’aluminium non dissous à la fin de la réaction. b) 0,0760 mol de Al × 2 mol de KAl(OH)4 2 mol de Al = 0,0760 mol de KAl(OH)4 49. FeCl3 (aq) + 3 NaOH (aq) a) Quantité de FeCl3 = 25,0 mL × 1L 1000 mL × Fe(OH)3 (s) + 3 NaCl (aq) 0,234 mol 1L = 0,005 85 mol de FeCl3 Pourcentage massique de NaNO2 = 0,792 g de NaNO2 × 100 % = 64,2 % 1, 232 g de mélange 51. 0,2070 g de BaSO4 × 1 mol de BaSO4 × 233,39 g 1 mol de S 1 mol de saccharine × × 1 mol de BaSO4 1 mol de S 183,19 g = 0,1625 g de saccharine 1 mol de saccharine 0,1625 g de saccharine = 0, 7592 (ou 75, 92 %) 0, 2140 g d’échantillon 52. 0,422 g de B2 O3 × 1 mol de B2 O3 69,62 g Quantité de NaOH = 42,5 mL × 1L 1000 mL × 0,453 mol 1L NaOH est le réactif en excès. b) 0,005 85 mol de FeCl3 × 1 mol de Fe(OH)3 × 1 mol de FeCl3 106, 9 g = 0,625 g de Fe(OH)3 1 mol de Fe(OH)3 c) Quantité de NaOH ayant réagi avec FeCl3 = 0,005 85 mol de FeCl3 × 3 mol de NaOH = 0,0176 mol de NaOH 1 mol de FeCl3 ⎛ 1L 0,453 mol ⎞ × ⎜ 42,5 mL × ⎟ mol de NaOH − 0,0176 mol 1000 mL 1L ⎠ ⎝ de NaOH ayant réagi = 0,0017 mol de NaOH en excès. 0,148 g de BxHy − 0,131 g de B = 0,017 g de H Quantité de B = 0,131 g de B × 1 mol de B 10,81 g = 0,0121 mol de B Quantité de H = 0,017 g de H × 1 mol de H 1, 008 g = 0,017 mol de H 0, 017 mol de H 1,4 mol de H 7 mol de H = = 0, 0121 mol de B 1 mol de B 5 mol de B La formule empirique est B5H7. 53. Quantité de C = 0,257 g de CO2 × 1 mol de CO2 44,01 g 10 © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. × 1 mol de C 1 mol de CO2 = 0,005 84 mol de C [NaOH en excès] = 0,0017 mol = 0,025 mol/L (25, 0 + 42, 5) × 10−3 L 2 mol de B × 1 mol de B2 O3 10, 81 g = 0,131 g de B 1 mol de B = 0,0192 mol de NaOH 0,0192 mol de NaOH 3,28 mol de NaOH 3 mol de NaOH = > 1 mol de FeCl3 1 mol de FeCl3 0,005 85 mol de FeCl3 × 0,005 84 mol de C × 12, 01 g 1 mol = 0,0701 g de C 39 Solutionnaire des exercices de fin de chapitre Quantité de H = Pureté de l’échantillon = 1 mol de H2 O 0,0350 g de H2 O × 18,02 g × 2 mol de H 1 mol de H2 O = 0,003 88 mol de H 0,003 88 mol de H × 1, 008 g 1 mol 3,13 g de Na 2 S 2 O3 × 100 % = 96,8 % 3,232 g d’échantillon 57. 8,63 g de Ag × 1 mol de Ag 107,9 g = 0,003 91 g de H 1 mol de Ag 2 MoS 4 × 2 mol dee Ag × 439,9 g = 17,6 g de Ag 2 MoS 4 1 mol de Ag 2 MoS 4 Masse de O = masse de quinone − masse de C − masse de H = 0,105 g – 0,0701 g – 0,003 91 g = 0,031 g de O 0,031 g de O × 3,36 g de Mo × 1 mol de Mo 95,94 g 1 mol = 0,0019 mol de O 16, 00 g 1 mol de Ag 2 MoS 4 × 1 mol de Mo 439,9 g = 15,4 g de Ag 2 MoS 4 1 mol de Ag 2 MoS 4 0,005 84 mol de C 3 mol de C = 0,0019 mol de O 1 mol de O 4,81 g de S × 0,003 88 mol de H 2 mol de H = 0,0019 mol de O 1 mol de O 1 mol de S 32,07 g × 1 mol de Ag 2 MoS 4 × 4 mol de S 439,9 g = 16,5 g de Ag 2 MoS 4 1 mol de Ag 2 MoS 4 La formule empirique est C3H2O. 54. nCO = nMCO = 2 3 × 9,31 kPa × 0, 285 L PV = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 298,15 K = 1,07 × 10−3 mol de MCO3 La masse maximale de Ag2MoS4 pouvant être obtenue est de 15,4 g (Mo est le réactif limitant). 58. CH4 (g) + 2 O2 (g) CO2 (g) + 2 H2O (g) 0,158 g de MCO3 = 148 g/mol 1, 07 × 10 –3 mol de MCO3 Considérez une période de une minute. Quantité de CH4 = 148 g/mol = M métal + M CO3 = M métal + 60,01 g/mol nCH4 = Mmétal = 88 g/mol Le métal est probablement Sr (87,6 g/mol). 103 kPa × 5, 0 L PV = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 301,15 K = 0,21 mol de CH4 Quantité de O2 = 55. 1,598 g de TiO2 × 1 mol de TiO2 79,866 g × 1 mol de Ti 1 mol de TiO2 0,21 mol de CH4 × 2 mol de O2 = 0,41 mol de O2 1 mol de CH4 = 0,020 01 mol de Ti ⎛ 47,867 g ⎞ 1,438 g de Ti x O y – ⎜ 0,020 01 mol de Ti × 1 mol de Ti ⎟⎠ ⎝ = 0,480 g de O 0,480 g de O × 1 mol 16, 00 g = 0,0300 mol de O 3 mol de O 0,0300 mol de O 1,5 mol de O = = 2 mol de Ti 0,020 01 mol de Ti 1 mol de Ti 1L 1000 mL × 0, 246 mol de I2 1L 0,41 mol × 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 299,15 K nRT = P 98,9 kPa = 10 L de O2 Le brûleur doit être alimenté en oxygène à un taux de 10 L/min. 59. 0,301 g de BaSO4 × 1 mol de BaSO4 233,4 g × 1 mol de S × 1 mol de BaSO4 370,6 g 1 mol de thioridazine × × 2 mol de S 1 mol de thioridazine La formule empirique est Ti2O3 56. 40,21 mL × V = × 2 mol de Na 2 S 2 O3 158,12 g × = 3,13 g de Na2S2O3 1 mol de I2 1 mol de Na 2 S 2 O3 1000 mg 1g = 239 mg de thioridazine 239 mg de thioridazine = 19,9 mg de thioridazine par comprimé. 12 comprimés 10 © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. 40 CHIMIE GÉNÉRALE 60. a) 10,8 g de produit – 2,0 g de Fe = 8,8 g de Br2 b) 2,0 g de Fe × 8,8 g de Br2 × 1 mol 55,85 g 1 mol 159,8 g 4,5 mg de Tc × = 0,036 mol de Fe = 0,055 mol de Br2 iii) Faux. iv) Faux. 61. a) Groupe 7B (7) et cinquième période. 1 MeV × 1, 60 × 10−19 J 1 eV = 2,26 × 10−14 J 2, 26 × 10−14 J E ν = = = 3,40 × 1019 s –1 h 6, 626 × 10 –34 J i s –1 λ = 2, 998 × 10 m i s c = ν 3, 40 × 1019 s –1 8 –1 d) i) HTcO4 (aq) + NaOH (aq) ii) Masse de NaTcO4 = 4,5 mg de Tc × 1g 1000 mg × × 1 mol de HTcO4 1 mol de NaOH 40,00 g × × 1 mol de Tc 1 mol de HTcO4 1 mol de NaOH – b) OOClOO O O O e) Quantité de NaClO2 = 15,6 g de NaClO2 × b) n = 5, l = 0 et m = 0. 106 eV 97,91 g d) L’ozone possède le plus grand angle de liaison parce que son atome central est hybridé sp2. 2 FeBr3 (s) e) Bromure de fer (III). c) 0,141 MeV × 1 mol de Tc c) Le chlore est hybridé sp3. La forme de cet ion est coudée. La formule empirique est FeBr3. ii) Faux. 1000 mg × 62. a) 7 + 2(6) = 19 électrons périphériques. 1, 5 mol de Br2 2 mol de Br 3 mol de Br × = c) 1 mol de Fe 1 mol de Br2 1 mol de Fe f) i) Vrai. 1g = 1,8 × 10 –3 g de NaOH. 0,055 mol de Br2 1,5 mol de Br2 = 0,036 mol de Fe 1 mol de Fe d) 2 Fe (s) + 3 Br2 (l) Masse de NaOH = = 8,80 × 10−12 m 1 mol 90,44 g Quantité de Cl2 = n = 140, 0 kPa × 1, 45 L PV = RT 8,314 kPa i L i mol –1 i K –1 × 295,15 K = 0,0827 mol de Cl2 0,172 mol de NaClO2 2,08 mol de NaClO2 = > 0,0827 mol de Cl2 1 mol de Cl2 2 mol de NaClO2 1 mol de Cl2 NaTcO4 (aq) + H2O (l) 1 mol de Tc 97,91 g × 1 mol de NaTcO4 184,90 g × = 8,5 × 10−3 g de NaTcO4 1 mol de Tc 1 mol de NaTcO4 10 © Groupe Beauchemin éditeur 2005, solutionnaire – Chimie générale. Document reproductible. Droits de reproduction restreints. = 0,172 mol de NaClO2 Cl2 est le réactif limitant. Masse de ClO2 = 0,0827 mol de Cl2 × 2 mol de ClO2 67,45 g × = 11,2 g de ClO2 . 1 mol de Cl2 1 mol de ClO2