Les croyances "La croyance n'est qu'un mot, une pensée, c'est une chose absolument destructrice. Celle-ci divise les gens, les endurcit, les pousse à se haïr réciproquement, à cultiver la guerre d'une façon détournée." Jiddu Krishnamurti - 1895-1986 Les croyances sont ce qui à fait le monde le monde qu’il est; pensez vous vraiment que Christophe Colomb à fait son gros trajet pour découvrir le Nouveau Monde juste parce que ça lui tentait, non, il a fait ce trajet car il a crus qu’en traversant l’océan Atlantique il auraient la chance de découvrir le jamais vue. Il ne faut pas être confuses avec les croyances de la religion; elles ne peut pas être considéré dans la catégorie de croyance ou ils se basent sur rien car les différentes religion qui existe ont tellement ‘‘d’information’’ (bible, livre) à propos d’elle qu’elle n’est pas une juste croyance farfelue. Les croyances simples se font déjouer très facilement mais la religion est autour depuis le début du temps et est encore vivante aujourd'hui alors il ne faut pas juste la mettre sur le côté. L’être humain a besoin de religion comme de nourriture pour donner une raison au mystère de son existence et l’espoir d’une vie meilleure après sa mort.1 Mais nos croyances ne sont pas toujours la vérité; on peut croire que quelque chose et actuelle mais en réalité il n’y a rien qui peut appuyer notre croyance, voici des exemples de ceci: Les chats noirs: Depuis le moyen âge ils sont associés avec de la malchance. Lors du Moyen âge si tu voyais un chat noir il ne fallait pas s’approcher à cause de la croyance que le chat était une sorcière déguisée. Craquer ses doigts: Plusieurs ont la croyance que s’il craque ses articulations (doigts) il va provoquer l'arthrose. Mais faire craquer ses articulations ne provoque ni arthrose ni arthrit; Il s’agit en réalité de l’explosion de petites bulles de gaz dans la synovie. Souhaitez bonne chance à un chasseur: Ceci va porter malheur au chasseur; il va retourner main vide à cause de la malchance qu’il c’est fait donner. La mousse qui pousse sur les arbres indique le Nord: Tristement si vous êtes perdu dans la forêt, ceci ne va pas vous aider car systématiquement, le mousse ne va pas vous montrez ou le nord est. La mousse pousse grâce à l’humidité et cela n'arrive pas toujours au Nord. La croyance est le fait de croire, c'est-à-dire de tenir quelque chose pour véritable ou réelle, d'être persuadé ou intimement convaincu qu'elle est vraie ou qu'elle existe.2 Pour conclure, avec les croyances, ont peut aussi expliquer la mesure dans laquelle les théories philosophiques du passé sont toujours d'actualité; chaque théorie de la philosophie sont basées sur des croyances. Dans l’antiquité, Aristote n'avaient pas wikipedia pour chercher ses réponses alors il s’est créer ces propres réponses. De nos jours, ces croyances sont encore presque tous d’actualité; les croyances antiques ne sont pas nécessairement les croyances modernes mais dans la modernité, le passé est retransformé pour plaire aux autres qui n’ont jamais vécu en antiquité. 1 http://phmailleux.e-monsite.com/pages/l-origine-des-croyances-le-soleil-mithra-bouddha-krishna-horusla-bibliotheque-d-alexandrie.html 2 http://www.toupie.org/Dictionnaire/Croyance.htm La connaissance Chronologiquement, aucune connaissance ne précède en nous l’expérience et c’est avec elle que toutes commencent. - Emmanuel Kant Les connaissances sont acquissent, cela est un fait, mais lorsqu'on essaye de comprendre comment ont les acquis; peut ont actuellement trouvé la réponse exacte? La notion la plus importante pour l’épistémologie et la philosophie des sciences est la notion de la connaissance. Depuis toujours, les philosophes se sont préoccupés des questions concernant la nature, la portée, les limites et l’origine de la connaissance. Aussi, ils ont tenté de trouver des réponses à la question de la connaissance humaine- et de la façon que acquiert la connaissance. Cette notion fait partie d’un débat continuelle de comment elle devrait nous donner les réponses qu’on cherche pour. Il ne faut pas oublier une partie importante de la connaissance; le constructivisme, en épistémologie, est une approche de la connaissance reposant sur l'idée que notre image de la réalité, ou les notions structurant cette image, sont le produit de l'esprit humain en interaction avec cette réalité, et non le reflet exact de la réalité elle-même. Ce courant philosophique répond le mieux aux grandes questions épistémologiques. Il existe différents courants de pensée constructivistes, selon les disciplines auxquelles cette approche est appliquée et selon les perspectives envisagées. Selon Kuhn, la science est une construction sociale, c’est-à-dire un corps de connaissance qui est construit et qui influencent profondément l’économie, la société, la politique ainsi que la culture de race, de la classe et du sexe qui dominent dans une société donnée. Les types de connaissance Dans leur étude de la nature, de la portée, des limites et de l’origine de la connaissance, les épistémologues ont établit des systèmes de classification des divers types de connaissance. Même s’il faut présenter leurs argument de différentes manières et d’utiliser des différents termes pour les différentes types, chacun poursuive le même objectif: découvrir comment nous connaissons ce que nous connaissons. La connaissance indirecte et la connaissance directe jouent un rôle important dans nos vies puis les épistémologues de nombreuses traditions considèrent qu’il est essentiel de bien distinguer entre les deux. La connaissance directe s'agit d’une connaissance des choses telles qu’elles sont. Elle fait appel ès une expérience immédiate et ne dépend de rien d’autre. De plus, la connaissance indirecte et celle qu’on acquiert par l’usage de la raison pour rassembler différents éléments de connaissance directe. La connaissance directe ne dépend pas de la connaissance indirecte mais dans l’autre sens; la connaissance indirecte dépend de la connaissance directe. Pour ajouter, la plupart des philosophes constate que la connaissance indirecte n’est pas toujours fiable. Ensuite, il y a la connaissance par fréquentation et la connaissance par description; ses termes sont utilisés pour faire la distinction entre la connaissance directe et la connaissance indirecte. La connaissance directe fait appel qu'à seulement les sens; alors par conséquent, la connaissance par fréquentation est la sœur jumelle de la perception sensorielle. Bertrand Russell soutient l’idée que toute connaissance par description dépendait d’une connaissance par fréquentation; aussi, la connaissance par description pouvait se fonder sa propre connaissance par fréquentation ou sur celle d’une autre personne. Russell considérait que la connaissance par fréquentation n’avait pas besoin de justifications à cause qu’elle était capable de s’expliquer elle-même et par conséquent, nous comme personne ne pouvait la considérer comme vraie ou fausse. Finalement, il y a la connaissance de compétence et la connaissance propositionnelle. La connaissance de compétence s'agit d’une connaissance qu’on est capable d'acquérir plus facilement en voyant une démonstration ou écouter un discours à propos du sujet. La connaissance propositionnelle implique plutôt le fait qu’on possède certaines informations que le langage lui seul peut transmettre; principalement, si on s’exclame avec trois différentes phrases qu’ils veulent tout dire la même chose mais le sens et les mots de la phrase sont différent, les trois énoncés expriment alors la même proposition ou idée. Les conditions nécessaires à la connaissance On considère les énoncés de connaissance comme plus fiables que les énoncés d’opinion et les énoncés de croyances. Mais pourquoi? Bien dans la tradition philosophique occidentale, depuis Platon, les épistémologues ont fait valoir qu’au moins deux conditions doivent être atteintes pour que n’importe qui dit qu’il a la connaissance puisse prouver que ce qu’il connaît est vrai. Ces deux condition sont la vérité et la croyance; mais la croyance vraie et ses conditions se fait refuser par le philosophe célèbre Platon. Platon explique que quand ce que nous croyons est vrai, on pourrait supposer que nous avons réussi à connaître ce que nous croyons. Alors on peut voir qu’une croyance qui conforme la vérité n’est pas équivalente à la connaissance, lorsqu’elle est déduite d’une croyance erronée. À la suite de l’antiquité, la croyance vraie justifiée est ensuite la méthodologie employée afin de t’assurer de la fiabilité des sources de connaissance. Celui ci requiert trois conditions pour que ta croyance est vrai mais lui encore, se fait réputée comme possiblement ne pas bien jugées si la vérité de la connaissance. Edmund Getter et certains autres philosophes font l’argument qu’il y a certains moments ou qu’une croyance vrai justifiée peut être fausse. Le doute présent dans la croyance vraie justifiée et la croyance vrai et normale; il n’y a pas une seule méthodologie de n’importe lequel sujet dans le monde qui est 100% justifiée à être parfaite. {Douter}, c’est croire implicitement à l’existence de la vérité et en désirer la connaissance. -Augustin d’Hippone En parlant de doute, Les réponses des philosophes aux questions d’ordre épistémologique et scientifique, sont convaincantes même avec le doute qu’elle peut présenter; les questions qui préoccupent les philosophes des sciences et l'épistémologie sont les questions qui peuvent actuellement être répondre. Depuis le XVIIe siècle, la science, ainsi que tous les autres domaines de la connaissance, a développé des moyens plus rationnels et efficaces pour expliquer le monde et acquérir des connaissances. Avec un approche comme ceci envers répondre les questions, les réponses sont convaincantes. Aussi, lorsqu’on demande une question authentique, qui est motivée par les désirs sincère de connaître les raisons des convictions de l’autre personne, alors elle pourrait être profondément épistémologique. L’authenticité assure que le philosophe puisse répondre et être convaincants. L’authenticité ne promet jamais que la connaissance qui a répondu la réponse a aucun doute d’en elle. À la fin de la journée lorsqu’on pense à: D’où nous viennent nos connaissances? Nous sommes capables de répondre avec certitude; car avec l’information présentée dans cette capsule; nous sommes capables de mettre les morceaux du casse-tête ensemble pour finalement savoir comment on acquiert nos connaissance, qu’elle sorte cette connaissance elle est puis si la démarche méthodologique employée afin de t’assurer de la fiabilité des sources de connaissance est actuellement efficace. Nos croyances dans un sens sont nos connaissances donc n’oublie jamais tes croyances lors de ta recherche envers ta connaissance. BIBLIOGRAPHIE Paquette, Paul et Gini-Newman, Laura, La philosophie; approches et problématiques, Montréal, Chenelière, 2004, 459 p. Groupe TVA, Quelques superstitions et croyances populaires, (en ligne), http://yoopa.ca/famille/familles-daujourdhui/quelques-superstitions-et-croyancespopulaires, Consulté le 1er Novembre 2016. Out Of The Box, 3 Croyances populaires démystifiées, (en ligne), http://www.out-the-box.fr/3-croyances-populaires-demystifiees/, Consulté le 1er Novembre 2016.