la malo pour la malo pour - Institut Oenologique de Champagne

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maxiflore
gamme de ferments
malolactiques
Et s i vou s fa is ie z
l a m alo pour
les bonnes
Maxiflore : et s’il y avait
d’autres raisons de faire la malo ?
Longtemps nié en œnologie, l’impact sensoriel spécifique à chaque bactérie lactique est
une réalité qu’aujourd’hui il serait vain d’ignorer. Les preuves scientifiques et techniques
ne cessent de s’accumuler grâce aux travaux de nombreux instituts de recherche.
Au-delà de la simple désacidification biologique, nos ferments MAXIFLORE sont ainsi à
même de répondre à vos exigences en termes de style de vins.
Maxiflore Elite et Maxiflore Satine :
deux atouts pour différencier vos styles de vin
MAXIFLORE ELITE
MAXIFLORE SATINE
Complexité aromatique
et structure
Pureté du fruit et
enrobage de l’astringence
Production de
2-phényléthanol et
de terpénols (arômes
floraux, épicés et
balsamiques)
Production de diacétyle
pouvant éclipser certaines
notes végétales et
contribuer aux notes de
pain grillé et fruits secs
Production très faible et tardive
de diacétyle : pas de masquage
du fruité par le beurré/lacté
Production d’esters fruités
(notamment décanoate et
laurate d’éthyle) : arômes de
fruits rouges et fruits noirs
Consommation de l’hexanol et
limitation des notes herbacées
Mise en avant
de la charpente
et du corps des
vins rouges
Quelques
pistes pour
choisir votre
Maxiflore
Typologie
du vin
orientation
spécifique
bactérie
œnologique
et timing
d’inoculation
préférentiels
Rondeur et diminution
de l’astringence
vins complexes et structurés
vins intenses
et fruités
épicé, floral
et balsamique
fruité pur
et rondeur
souplesse et
exaltation du fruité
maxiflore elite
maxiflore satine
maxiflore satine
Inoculation 2/3 FA
ou post FA
Inoculation 2/3 FA
ou post FA
Co-inoculation
immédiate
En quoi une bactérie œnologique
peut-elle orienter le style d’un vin ?
les notes de fruits rouges et fruits noirs :
selon leurs activités estérases, certaines bactéries
lactiques peuvent dégrader des composés d’arômes
fruités, les esters d’acétate et d’acides gras, tandis que
d’autres peuvent en libérer dans des teneurs significatives
(Bartowski et al, 2009; Knoll et al, 2011).
les arômes terpéniques d’épices et de fleurs :
quelques bactéries œnologiques possèdent des activités
glycosidasiques spécifiques, permettant la libération
d’arômes comme l’alpha-terpineol, le linalol et leurs
esters dérivés, responsables en vins rouges d’arômes
épicés, résineux, ou encore floraux.
le caractère végétal : Vestner et al (2012)ont montré
que quelques bactéries œnologiques pouvaient dégrader
plus fortement l’hexanal et l’hexanol, responsables
d’arômes herbacés. D’après nos travaux, certaines
pourraient également être capables de transformer les
acides gras (C6 et C8), à odeur végétale, en leurs esters
fruités.
les notes boisées : plus récemment (Bartowsky
& Hayasaka, 2009), il a été prouvé que l’activité
enzymatique des bactéries œnologiques interagit
avec les composés aromatiques issus des barriques.
De ces interactions naissent de fortes modulations,
selon la bactérie employée, des arômes boisés lors de
fermentations malolactiques réalisées en fûts ou en
présence d’alternatives bois.
l’astringence et le volume en bouche : nos
travaux montrent une contribution de Maxiflore Satine à
la rondeur et à la diminution de l’astringence des vins.
Cette participation pourrait être due à la production de
polysaccharides par cette bactérie.
Intensité des notes beurrées/lactées
Analyse sensorielle sur vins d’essais - 22-26 dégustateurs
merlot
cabernet franc cabernet franc
Bactérie sélectionnée témoin
merlot
Maxiflore Satine
Gains en esters fruités obtenus avec Maxiflore Satine
(par rapport à Maxiflore Elite) - 2 essais sur grenache
27%
32%
Dodécan
cale
d’é
thy
le
Décanc
ale
d’é
th
Acélat
ed
e
les notes beurrées : la contribution la plus évidente
des bactéries œnologiques concerne le potentiel de
production de diacétyle, responsable d’arômes beurrés à
haute concentration (Rankine et al, 1969).Autrefois jugée
comme étant un passage obligé de la FML, et souvent
comme un masque du fruité, la production de diacétyle
dépend en réalité de la bactérie œnologique à l’œuvre.
Quelques rares bactéries n’en produisent que faiblement
(Bartowski et al - AWRI, 2010), et très tardivement,
permettant via un bon timing de sulfitage post FML
d’éviter toute présence de diacétyle.
yle
hyle
ényt
ph
37%
46%
22%
Essai 1
Essai 2
Gains en arômes floraux obtenus avec Maxiflore Elite
Grenache 2010 - Châteauneuf-du-Pape
Variations des
concentrations
obtenues avec
Maxilore Elite
par rapport
à Maxiflore
Satine
2-phényléthanol (rose)
25%
Linalol (fleurs,
bergamole)
20%
15%
10%
5%
Intensité de l’astringence
Analyse sensorielle sur vins d’essais - 22-26 dégustateurs
merlot A 3
2
merlot B
cabernet
franc A
1
cabernet franc B
Bactérie sélectionnée témoin
Maxiflore Satine
Loin d’être négligeables ni exhaustifs, ces impacts
sensoriels peuvent être aujourd’hui maîtrisés grâce
à la caractérisation fine de nos bactéries œnologiques.
Le process MAXIFLORE
en pratique
Bénéficiant des avancées de la recherche Lallemand sur
l’optimisation de la production des bactéries œnologiques
(procédé 1-Step®), les kits MAXIFLORE sont des outils robustes
de gestion de la fermentation malolactique (FML).
• En inoculation séquentielle, une simple phase d’acclimatation
de 18-24 heures permet d’adapter la population bactérienne
aux conditions spécifiques de vos vins.
• En co-inoculation cette adaptation se fait directement dans le
moût en fermentation.
Résistantes aux conditions difficiles rencontrées dans les vins
rouges, les MAXIFLORE permettent d’envisager la FML sous
d’autres angles que la seule sécurité fermentaire.
Institut Œnologique de Champagne
ZI de Mardeuil - Allée de Cumières
BP 25 - 51201 EPERNAY Cedex France
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