Philo et Société - Université Paris 1 Panthéon

publicité
2. Spécialité « Philosophie et Société »
2.1. Organisation des enseignements et horaires
Clairement ancrée dans la pensée contemporaine, mais soucieuse également de situer
dans leur histoire les problématiques qui y sont développées, la spécialité « Philosophie et
société » regroupe d’une part les enseignements de philosophie juridique, politique,
économique et sociale (y compris l’éthique appliquée) et d’autre part des enseignements de
science sociale (sociologie, anthropologie). Les enseignements proposés sont d’abord des
enseignements donnés dans le cadre de l’UFR de philosophie de Paris1 (pour une part
mutualisés avec les autres spécialités du master), ensuite des enseignements assurés par
d’autres composantes de cette université ou dans d’autres établissements. La nécessité de
coopérations fortes avec d’autres disciplines (droit, sciences économiques, sciences sociales)
découle de la nature même de la spécialité. Les projets de cursus bi-disciplinaires sont
accueillis de manière en principe favorable, lorsqu’ils sont cohérents.
SEMESTRE 1
A/ U.E. 1 «Tronc commun » Semestre 1
1/ Deux matières à choisir dans l’une des trois autres spécialités du Master 1
2/ Langue vivante SEGLA
B/ U.E. 2 « Enseignements spécifiques » Semestre 1
(Choisir 2 matières sur 4 proposées)
Philosophie du droit
P.Y. QUIVIGER
MARDI 12 H 30 - 14 H 30
Salle LALANDE
Philosophie économique et sociale
S. LEGRAND
JEUDI 13 H - 15 H
Salle CAVAILLÈS
Méthodes en sociologie et anthropologie
Mme BOULHABELVILLAC
JEUDI 8 H - 10 H
Salle 214 (Panthéon)
MERCREDI 8 H - 10 H
Salle LALANDE
Philosophie politique
C. LARRÈRE
SEMESTRE 2
A/ U.E. 1 « Tronc commun » Semestre 2
1/ Deux matières à choisir dans l’une des trois autres spécialités du Master 1
2/ Langue vivante (SEGLA)
B/ U.E. 2 « Enseignements spécifiques » Semestre 2
(Choisir une matière sur trois proposées)
Philosophie et théorie du droit
P.Y. QUIVIGER
MARDI 12 H 30 - 14 H 30
Salle LALANDE
Sociologie et anthropologie des techniques
S. POIROT-DELPECH
LUNDI 18 H – 20 H
Salle HALBWACHS
Philosophie économique sociale et politique
S. GUERARD DE LA
TOUR
JEUDI 14 H – 16 H
Salle R1(Centre Panthéon)
C/ TER Semestre 2
• 104MM05 : TER - Séminaire de présentation de mémoire (obligatoire)
coordonné par Xavier Guchet, avec la participation des directeurs de mémoire de
la spécialité.
Le nombre des séances sera affiché à la rentrée
Les étudiants présenteront une esquisse ou une partie du mémoire qu’ils rédigent au S2 dans
une séance animée par leur directeur de mémoire.
2.2. Présentation des cours
PREMIER SEMESTRE
Philosophie du Droit
MARDI 12 H 30 – 14 H 30 (Salle LALANDE)
Enseignant : Pierre-Yves QUIVIGER
Thème : Droit, éthique et bioéthique
Les questions d’éthique médicale font désormais presque systématiquement l’objet d’un
traitement juridique (législatif, réglementaire et jurisprudentiel). On s’interrogera, au-delà du
« conflit des facultés », sur le sens d’une telle évolution, sur les difficultés qu’elle présente et
sur la reconfiguration des champs du droit, de l’éthique et de la philosophie que cette
juridicisation (qui débouche aussi sur une judiciarisation) des enjeux éthiques de l’action
médicale engage. En prenant appui sur des cas pratiques, on élargira la réflexion à
l’articulation générale de la philosophie et du droit dans le domaine de l’éthique appliquée.
Bibliographie de base :
(Elle sera complétée lors des premières séances)
F. Bellivier, C. Noiville, C. Labrusse-Riou, Contrats et vivant, LGDJ, 2006.
C. Crignon-De Oliveira, M. Gaille-Nikodimov, A qui appartient le corps humain ? Médecine,
Politique et droit, Les Belles Lettres, 2004
D. Folscheid, B. Feuillet-Le Mintier, J.F. Mattei, Philosophie, éthique et droit de la médecine,
PUF, coll. Thémis, 1997.
E. Hirsch, L’éthique au cœur des soins, Vuibert, 2006.
E. Hirsch, Éthique médicale, soin et recherche, Vuibert, 2007.
C. Labrusse-Riou, Écrits de bioéthique, PUF « Quadrige », 2007.
P. La Marne, Vers une mort solidaire, PUF, 2005.
T. Martin, P.Y. Quiviger (éds.), Action médicale et confiance, Presses de l’Université de
Franche-Comté, coll. AGON, 2007.
M. Marzano (éd.), Dictionnaire du corps, PUF, 2007.
C. Pelluchon, L’autonomie brisée, PUF, 2008.
Évaluation :
Épreuve écrite sur table (dissertation), en quatre heures, à la fin du semestre. Des exposés sont
possibles pendant le semestre, donnant lieu à évaluation.
Philosophie économique et sociale
JEUDI 13 H - 15 H – (Salle CAVAILLÈS)
Enseignant : Stéphane LEGRAND
Thème : Biopolitique, biopouvoir
Biopouvoir et biopolitique
Les notions de « biopouvoir » et de « biopolitique » furent élaborées par Michel
Foucault à un moment charnière de son parcours philosophique (1975-1976), dans le but de
construire un modèle théorique permettant d'analyser des phénomènes et des pratiques
politiques qui restaient largement ignorées par les théories existantes, faute de pouvoir être
appréhendées adéquatement au moyen de l'outillage conceptuel dont elles disposaient ; à
savoir des stratégies de pouvoir portant, non pas sur les individus pris isolément, mais sur les
populations saisies comme entités autonomes, et surtout envisagées du point de vue des
processus vitaux et biologiques (en un sens très large de ce terme) qui les affectent – natalité,
mortalité, morbidité, fécondité, nuptialité, etc. En somme, une politique qui, selon une
formule fameuse, ne reposerait plus sur le droit de donner la mort (ou de laisser vivre)
caractéristique de l’ancienne patria potestas, mais sur le pouvoir de faire vivre (ou de laisser
mourir). Une telle inscription de la vie humaine dans les stratégies du pouvoir marquerait, à
cet égard, l’entrée dans un nouvel âge du politique.
Mais surtout, ces deux concepts connexes ont connu un large écho au-delà de l’œuvre
de Foucault, et de nombreux philosophes marquants, de Giorgio Agamben à Toni Negri en
passant par Roberto Esposito ou Etienne Balibar, les ont repris pour se les approprier, les
retravailler ou les critiquer, tout en en faisant des usages très contrastés, sinon même
contradictoires. Et ils sont de surcroît fréquemment mobilisés et discutés en dehors du strict
domaine philosophique, chez les anthropologues, les sociologues et même les économistes
(particulièrement aux Etats-Unis).
Ce cours se propose un triple objectif. Tout d’abord présenter ces deux notions de la
manière la plus détaillée possible, dans la variété et la complexité de leurs significations
plurielles, afin d’en évaluer la pertinence épistémologique et la portée théorique. D’autre part,
tenter de dégager leur généalogie, car si l’on crédite souvent Foucault de les avoir tout
simplement « inventées », il n’en reste pas moins qu’elles ont leurs racines dans des
problématiques antérieures, notamment celles du marxisme et de l’utilitarisme. Enfin, essayer
de brosser un tableau le plus complet possible des débats qu’elles suscitent depuis une
trentaine d’années, et des différentes manières dont elles ont été mobilisées et interprétées.
Bibliographie provisoire
M. FOUCAULT, La Volonté de savoir, Gallimard, 1976 (notamment le chapitre V) ;
« Il faut défendre la société ». Cours au Collège de France (1976), Gallimard-Seuil, 1997
(notamment la dernière leçon) ; Naissance de la biopolitique. Cours au Collège de France
(1978-1979), Gallimard-Seuil, 2004.
G. AGAMBEN, Homo Sacer tome I, Seuil, 1998
T. NEGRI et M. HARDT, Empire, 10 X 18, 2004 ; Multitudes : Guerre et démocratie
à l’âge de l’Empire, 10 X 18, 2006
R. ESPOSITO, Communauté, immunité, biopolitique, Les Prairies Ordinaires, 2010
Méthodes en Sociologie et anthropologie
JEUDI 8 h – 10 h – salle 214 (Panthéon)
Enseignant : Yeza BOULHABEL-VILLAC
Thème : Représentations sociales ? Regards croisés entre cultures
Ce cours se propose d’étudier les représentations sociales et notamment la représentation de
l’autre à partir de deux approches complémentaires :
•
L’exemple du port du voile pour les femmes et les questions qui sont évoquées
dans les débats engagés sur cette question : aspects politiques, religieux, laïcité,…
tant du côté de ceux qui souhaitent encadrer ces pratiques que de ceux qui en font
un signe d’affirmation de l’identité ;
•
La représentation de l’autre à partir des œuvres des peintres, notamment en ce qui
concerne la représentation des femmes entre exotisme, contrainte vestimentaire et
érotisme.
Ces deux aspects vont être étudiés à partir des éléments de débat présents dans la presse et les
différentes prises de position et à partir d’une analyse de quelques œuvres.
Éléments de bibliographie :
Emile Durkheim, Les formes élémentaires de la vie religieuse (1912), Ed. PUF, collection
Quadrige ;
Pierre Bourdieu, le sens pratique, Ed. Minuit, 1980 ;
Serge Moscovici, La machine à faire des dieux, Ed. Artheme Fayard ;
Bruno Péquignot, Sociologie des arts, sociologie des sciences, Ed. L’Harmatan, collection
« Logiques sociales » ;
D. Jodelet, Représentation sociale : phénomènes, concepts et théories, in Serge Moscovici,
Psychologie sociale, Ed. PUF.
Philosophie politique
MERCREDI 8 H – 10 H (Salle LALANDE)
Enseignante : C. LARRÈRE
Thème : La société civile
Nous étudierons la notion de société civile, en tant qu’elle est distinguée de l’État ou du
gouvernement. Elle peut alors être conçue de deux façons. Dans la tradition hégélienne et
marxiste, qui est aussi celle du courant anglo-écossais, la société civile est conçue
principalement dans sa dimension économique, celle d’une société de marché, sous contrôle
du droit privé. Plus récemment, elle a été envisagée comme étant constituée par les relations
non-économiques et non-gouvernementales et les associations volontaires. Nous explorerons
quelques aspects de ces deux conceptions.
Bibliographie
Bernard Mandeville, La fable des abeilles (1705-1729)
Montesquieu, De l’esprit des lois (1748)
David Hume, Traité de la nature humaine (1739-1740)
Essais moraux et politiques (1741-1752)
Adam Ferguson, Essai sur l’histoire de la société civile (1767)
Adam Smith, Théorie des sentiments moraux (1759-1790)
Enquête sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776)
Benjamin Constant, De la liberté chez les modernes (textes réunis et présentés par Marcel
Gauchet, Paris, Hachette, 1980)
G. W. F. Hegel, Principes de la philosophie du droit (1821)
Karl Marx, L’Idéologie allemande (1847)
Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique (1835-1840), Paris, GF, 1981.
Ralph Waldo Emerson, Self-Reliance (1841) (trad. fr. in Essais 1, Michel Houdiard éditeur,
2004)
Henry David Thoreau, Civil Disobedience (1849-1866) (traduction française in Herny D.
Thoreau, Essais, Marseille, Le mot et le reste, 2007)
John Dewey, Le public et ses problèmes (1927) (traduction française, Publications de
l’Université de Pau, 2003)
Michael Walzer, « The concept of civil society », in M. Walzer (dir.), Toward a Global Civil
Society, New York, 1995.
Une fiche de synthèse d’une dizaine de pages rédigée à la maison, portant
sur un article ou un chapitre de livre ayant rapport au thème du cours.
SECOND SEMESTRE
Philosophie et théorie du droit
Mardi 12 H 30 – 14 H 30 (salle LALANDE)
Enseignant : Pierre-Yves QUIVIGER
Thème : Philosophie du droit administratif
Le système juridique français est marqué par un dualisme juridictionnel surprenant qui voit
cohabiter un ordre judiciaire et un ordre administratif. Ce dernier pose de nombreux
problèmes théoriques.
En effet, comment l’administration doit-elle concilier les droits des individus et le
fonctionnement normal de l’administration ? Non pas en défendant tout intérêt privé contre
l’action l’administrative (vision angélique de la justice administrative comme défenseur
intransigeant des droits fondamentaux contre l’oppressante machine d’État), non pas en
permettant à l’intérêt « public » de l’emporter quoi qu’il arrive sur l’intérêt privé (vision
diabolique de la justice administrative comme protecteur exclusif des intérêts de
l’administration, représentant d’une juridiction d’exception inique), mais plutôt en mettant en
place un équilibre axé sur deux idées fortes : celle, ancienne, de la singularité du fait public
dans l’ordre juridique, et celle, plus récente, du respect des libertés publiques des individus,
respect particulièrement vif dans le cadre européen.
Bibliographie sommaire :
Grégoire Bigot, Introduction historique au droit administratif depuis 1789, PUF
François Burdeau, Histoire du droit administratif, PUF
René Chapus, Droit administratif général, deux tomes, Montchrestien
René Chapus, Droit du contentieux administratif, Montchrestien
Lucien Jaume, L’individu effacé, Fayard
Bruno Latour, La fabrique du droit, La découverte
Pierre Legendre, Trésor historique de l’État en France, Fayard
Jean-Louis Mestre, Un droit administratif à la fin de l’Ancien Régime : le contentieux des
communautés de Provence, LGDJ
Jean-Louis Mestre, Introduction historique au droit administratif français, PUF
Bernard Pacteau, Le Conseil et la fondation de la justice administrative au XIXe siècle, PUFLéviathan
Pierre-Yves Quiviger, Le principe d’immanence, Honoré Champion
Stéphane Rials, Le juge administratif français et la technique du standard, LGDJ
Katia Weidenfeld, Les origines médiévales du contentieux administratif (XIVè-XVe siècles),
De Boccard
Les grands arrêts de la jurisprudence administrative, Dalloz
Évaluation : un exercice sur table en 4h, à la fin du semestre. Des exposés sont possibles
pendant le semestre, donnant lieu à évaluation.
Philosophie économique et sociale
JEUDI 13 H - 15 H – (Salle CAVAILLÈS)
Enseignant : Sophie GUERARD DE LA TOUR
Thème : La tolérance, une « vertu insaisissable »?
Dans les démocraties modernes, de plus en plus marquées par la diversité des valeurs, des
modes de vie et des identités culturelles, le principe de tolérance semble à première vue jouer
un rôle essentiel pour régler les relations sociales. Reste à déterminer, toutefois, dans quelle
mesure précisément une société juste dépend d’un tel principe.
Cette question se pose avec d’autant plus d’acuité que la tolérance, après avoir été défendue à
l’origine sur la base de raisons pragmatiques et prudentielles, est de plus en plus justifiée en
vertu de raisons morales, comme un mode de traitement légitime de la diversité dans les
démocraties libérales. Or, défendre la tolérance en tant que vertu sociale et/ou politique
soulève un certain nombre de problèmes qui méritent examen.
Pour tenter de les résoudre, le cours s’attachera à éclaircir les relations qu’entretient la
tolérance avec d’autres concepts, comme ceux de respect et de reconnaissance. Il s’agira de
comprendre, à partir des modèles théoriques qui s’affrontent dans les débats philosophiques
contemporains, si les trois termes s’inscrivent dans une continuité logique, où la tolérance
constituerait la forme négative du respect et la reconnaissance sa forme positive, ou bien s’ils
s’inscrivent dans des régimes de normativité indépendants. A cette occasion, on s’intéressera
à la façon dont ces catégories morales sont transférées et appliquées au champ des relations
sociales et des rapports politiques, afin de préciser qui les met en œuvre (des individus, des
groupes, des institutions?), ce à quoi elles s’appliquent, et selon quelles justifications.
MODALITÉS D’EXAMEN :
L’évaluation se fera sur la base d’un mini-mémoire à rendre en fin de semestre.
BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE :
Une bibliographie détaillée sera distribuée lors de la première séance
Castiglione, D. - McKinnon, C. (eds), Toleration, Neutrality and Democracy, Dordrecht,
Springer 2003.
Habermas J., « De la tolérance religieuse aux droits culturels », Cités, 2003.
Habermas, J et J. Rawls, J., Discours sur la justice politique, Paris, Cerf, « Humanités », 1997.
Heyd, D. (ed.), Toleration: An Elusive Virtue, Princeton, Princeton University Press, 1996.
Honneth, A., La lutte pour la reconnaissance, (trad. P. Rusch), Paris, Les Éditions du Cerf,
2000.
Kant, Critique de la raison pratique, Paris, PUF, « Quadrige », 1997.
Locke, J., Lettre sur la tolérance et autres textes, Paris, G.-F. Flammarion, 1992.
Mill, J.S., De la liberté, Paris, Presses Pocket, « Agora », 1990.
Rawls, J., Libéralisme politique, (trad. C. Audard), Paris, P.U.F., « Philosophie morale »,
1995.
Taylor, C., Multiculturalisme. Différence et démocratie, Paris, Champs Flammarion, 1997.
Walzer, M., Traité sur la tolérance, Paris, Gallimard, « NRF Essais», 1998.
Sociologie et Anthropologie des techniques
LUNDI 18 H – 20 H (Salle HALBWACHS)
Enseignante : Sophie POIROT-DELPECH
Thème : Les techniques comme problème.
À travers l’étude d’un certain nombre de thèses sur la modernité, l’enseignement portera sur
les manières dont les techniques sont appréhendées dans la considération du lien social.
H. Arendt La condition de l’homme moderne- Calmann-Lévy
H. Arendt, La crise de la culture, Calmann-Lévy
Jean Baudrillard, Le système des objets.
C. Castoriadis, L’institution imaginaire de la société,
Philippe Descola, Par-delà nature et culture, Gallimard, 2005
Mary Douglas, De la souillure. Paris, La Découverte
Nicolas Dodier, Les hommes et les machines. Gallimard.
E. Durkheim, Les formes élémentaires de la vie religieuse, PUF
A. Gras (avec S.Poirot-Delpech), Grandeur et dépendance- PUF
A. Gras, Fragilité de la puissance, Paris, Fayard, 2003
M. Halbwachs, Les cadres sociaux de la mémoire,
F. Jullien, Traité de l’efficacité, Seuil
B. Latour, & Lemonnier (dir.) De la préhistoire aux missiles balistiques, La Découverte
B. Latour, Nous n’avons jamais été modernes, La Découverte
Claude Lévi-Strauss, - Anthropologie structurale I, Plon ; De l’origine des manières de table,
Plon,
M. Mauss, Sociologie et Anthropologie, PUF
M. Mauss, Essai sur la nature et la fonction du Sacrifice, in Œuvres T1, Eds. De Minuit
M. Serres, Statues, Paris, François Bourin, 1987.
Gilbert Simondon, Du mode d’existence des objets techniques,
Shirley Strum, Presque Humains, Point-Seuil
Contrôle des connaissances
L’enseignement sera validé par un exposé au cours du semestre ou par un oral portant sur la
bibliographie.
Téléchargement