Chapitre 2 : diversité, parentés et unité des êtres vivants.
Dans notre environnement, nous avons trouvé : des arbres (baobab ?), des araignées
(mygales ?), des insectes (mouche tsétsé ?).
Comment nommer précisément les êtres vivants de notre environnement ?
I/ Les êtres vivants ont un nom : celui de leur espèce, qui peut être trouvé à l’aide
d’une clé de détermination.
Pour nommer un être vivant, il nous faut utiliser une clé de détermination établie par les
scientifiques. Voir activité 1.
Des êtres vivants font partie de la même espèce s’ils se ressemblent, s’ils peuvent se reproduire
entre eux et avoir une descendance qui se reproduit à son tour. Ils ont alors le même nom, celui
de leur espèce.
Attention, certaines espèces sont protégées ! Leur protection permet d’éviter leur disparition et de
lutter contre la baisse de la biodiversité (nombre d’espèces vivant dans un milieu).
Comment peut-on regrouper les espèces entre elles ?
II/ Les espèces sont regroupées entre elles à partir des attributs qu’elles ont en
commun.
Voir activité 2 et 3 et 4.
Pour regrouper des espèces, il faut tout d’abord trouver les attributs qu’elles possèdent en
commun (pattes, vertèbres, nageoires, antennes…)
Les « groupes » (ex : groupe des animaux à nageoires, à vertèbres …) sont ensuite placés les
uns dans les autres, en partant du groupe le plus grand vers le groupe le plus petit. On constitue
ainsi des groupes emboîtés.
Les espèces sont ensuite placées dans les boîtes en fonction des attributs qu’elles possèdent.