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Mes remerciements vont avant tout à Philippe Steiner, qui a suivi ce travail dès sa
genèse et qui a lu avec précision, rigueur et bienveillance les chapitres successifs qui lui parvenaient. Ils
vont aussi à Patrick Le Galès et Marco Oberti qui m’ont passé la commande d’un manuel pour la
collection qu’ils dirigent, manuel dont le manuscrit constitue la base de ce volume.
Ce mémoire d’habilitation fut pour moi l’occasion de faire retour sur les lieux qui,
depuis sept ans, m’ont accueilli dans mon travail de chercheur. Je remercie avant tout ici le Centre de
sociologie des organisations, l’ensemble de ses chercheurs et doctorants, qui m’on offert depuis mon entrée
au CNRS un environnement intellectuel et amical incomparable. Ma gratitude va tout particulièrement
à E. Friedberg, qui m’a proposé d’y venir, et à C. Musselin, qui lui a succédé à la direction du
laboratoire sans toutefois rechigner à la lecture de certaines des (longues) pages qui suivent. Mes voisins
de bureau et collègues de laboratoire m’ont été d’un très précieux secours, à accepter de relire les bribes
qui, progressivement, se sont agrégées pour constituer ce volume, et notamment J. Barrier, F. Barthélémy,
F. Dedieu, S. Dubuisson, P. Ravinet, D. Segrestin, et D. Younes. La partie III de ce volume doit
beaucoup au séminaire « labels » qui se tient depuis 2005 au sein du CSO et qui réunit, outre S.
Dubuisson, D. Segrestin et C. Musselin, F. Accominoti, G. Anzalone, P. Barraud, C. Champenois,
P.-M. Chauvin, B. Cret, Y. Dalla Pria, M. Drouet, C. Ollivier. Leurs discussions et leurs remarques
me furent précieuses. Je suis également redevable au groupuscule réuni autour de la vaillante figure du
professeur Plexi-Glass, rassemblant notamment D. Benamouzig, P. Bezes, F. Champy, C. Lemercier,
F. Keck, F. Pierru et P. Simay. Ma gratitude va enfin à F. François qui a accepté de se livrer, une
nouvelle fois, au rôle ingrat de la relecture finale du manuscrit.
La dette que j’ai contractée à l’égard de Carine au cours de ce travail est immense.
L’affection et l’exigence intellectuelle que je trouve auprès d’elle chaque jour me sont d’un secours
inestimable. Qu’elle soit ici remerciée pour sa présence, son attention, ses lectures (nombreuses) et ses
remarques (plus nombreuses encore) : ce travail lui doit plus qu’il n’est possible de le dire.
Je remercie enfin mes deux fils, Baptiste et Tristan, pour leur présence, leur
inépuisable énergie, et leurs questions récurrentes et curieuses sur l’état d’avancement de mon manuscrit.