1.1 Présentation générale
L'association Ouédidé est régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901.
Cette association est né le 6 février 2011. Ouédidé a pour but de participer au développement de
pays du tiers monde à travers un soutien financier et la création et mise en place de projet de
développement.
Le conseil d'administration de l'association est dirigé par trois membres élus pour une année. La
composition du CA pour 2011 est une présidente (Rossille Abighaël), une trésorière (Claire Gonguet)
et un secrétaire (Sylvain revertegat). Le CA se réunit régulièrement et les décisions sont prises à la
majorité des voix.
L'association est aussi composée de membres actifs ou d'adhérents qui ont pris l'engagement de
participer à la vie de l'association et/ou de verser une cotisation fixé à 16 euros ?
Les ressources de l’association vont donc comprendre, les cotisations des membres, des dons de
particulier mais également les subventions éventuelles de l'Etats, des régions, des départements et
des communes et d'autres financements.
Notre association n'ayant pas une année d'existence, nous ne sommes pas encore en mesure de
présenter des comptes annuels néanmoins nous présenterons une comptabilité faisant apparaître
annuellement un compte de résultat, un bilan et une annexe dès le mois de novembre 2012.
Le siège social de Ouédidé est fixé au 6 rue des Capucins, 69001 Lyon chez Mlle Rossille Abighaël.
2 Présentation des fondateur de l'association
La création de cette association est la suite logique de la rencontre entre les créateurs ayant
des parcourts individuels variés.
Abighaël Rossille – Présidente de OUEDIDE - 24 ans – étudiante
Elle a effectué une licence en Sociologie et Ethnologie à l'université Paul Valery de
Montpelier. C'est durant ces années, qu'elle s'est intéressé au « Tiers-Monde ». En effet, en étudiant
l'histoire, les traditions et l'évolution des sociétés dites « traditionnelles » qui constitue ce que l'on
appelle vulgairement « le tiers monde » elle s'est préoccupé des lien entre les déterminants ethnique
et la pauvreté des individus.
En réalisant, en dernière année de licence, un mémoire sur le développement durable elle s'est
intéressée aux modes de développement alternatifs qui ont été pensées au cours de ces dernières
décennies. Il s'agissait d'allier croissance économique, avancés sociales et respect de
l'environnement au niveau mondial.
Les pays du sud étant les plus touché en terme notamment d'inégalité économique et sociale, elle à
décidé de s'investir concrètement.
C'est ainsi qu'elle décida de découvrir la véritable altérité culturelle en effectuant une mission de
développement au Bénin dans une ONG (Survie) qui fait entre autre de la microfinance.