Au plus les demandeurs sont nombreux au plus les
risques sont dilués, au plus le coût de la garantie
baisse
Pour une entreprise, le coût d’une garantie s’intègre
très bien dans sa politique de pricing, à la différence
d’un risque de défaillance.
Pour le public, il s’agit simplement d’une réallocation
partielle de certains fonds et de renforcer le
pouvoir de la Sowlafin en RW et du FBG à Bruxelles
En leur donnant mandat pour discuter directement
avec les entreprises et ne devant plus être
exclusivement mobilisés par les organismes
bancaires (qui rechignent à bosser avec eux car
coûts plus élevés et frais de traitement)
o Les fonds de garantie publics doivent donc faire l’objet
d’une meilleure promotion auprès des PME et être
systématiquement activés par les banques et les IF qui
souvent rechignent à l’exploiter
Idem pour la garantie des projets à l’étranger cf
ducroire
o Le solde des garanties demandées et non couvert par les
institutions publiques devrait être couvert par 1
(préférence) ou plusieurs (bof bof) Fonds de
cautionnement mutuel.
1 seul fonds réduit les coûts et les risques de par
son caractère multi-filières.
Des fonds thématiques (par métier par exemple) ne
permettent pas de réduire les risques car on ne
balance pas suffisamment les variance de cycles
économiques entre les filières.
Des fonds géographiques ne nous semblent pas non
plus idéaux d’un point de vue macro-économique,
même si leur fonctionnement permet de générer
des coopérations plus simples entre les entreprises
membres ce qui serait un plus indéniable par
rapport à un fonds global
Les TPE en croissance ont besoin de Besoin en Fonds de
Roulement (BFR)
o Les TPE doivent disposer d’un procédé de soutien
spécifique car elles sont plus vulnérables que les PME,
moins installées, et, souvent, font face à de fortes
variabilisation de leurs résultats en raison de modèles
économiques non établis, de clients infidèles (car