Physiographie et géomorphologie

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LISTE DES FIGURES
Figure 5.1
Vues en coupe de la zone d’étude ...........................................................5-7
LISTE DES CARTES
Carte 5.1
Grandes unités morphologiques de la Nouvelle-Calédonie .....................5-3
LISTE DES PHOTOGRAPHIES
Photo 5.1
Massif du Koniambo .................................................................................5-9
Photo 5.2
Phénomène d’érosion par ruissellement des eaux...................................5-9
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Projet Koniambo
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- ii 20199
5.
PHYSIOGRAPHIE ET GÉOMORPHOLOGIE
La Nouvelle-Calédonie présente l’aspect d’une île montagneuse, allongée et étroite. Un
grand nombre de sommets, situés tout le long de l’axe de l’île, ont une altitude de 1000 à
1600 mètres. Ils ont été fortement disséqués par une longue érosion et montrent ici et là,
des replats ou surfaces pénéplanées. Les côtes Est et Ouest montrent une asymétrie
marquée, avec un relief très doux du côté ouest, comparé à des escarpements abrupts du
côté est (ORSTOM, 1981; Latham et al., 1978).
Les traits physiques que nous observons actuellement en Nouvelle-Calédonie résultent
d’une
part,
d’une
histoire
géologique
particulière
que
nous
avons
présentée
antérieurement. Le bilan de cette évolution géologique est un amalgame de domaines
présentant chacun des caractéristiques particulières, tant au niveau de la nature des unités
présentes que de leur agencement structural.
D’autre part, le climat qui a prévalu, en particulier depuis la mise en place des péridotites, a
agi de façon différentielle sur les unités géologiques, et a contribué largement à façonner
les formes du paysage que nous observons aujourd’hui. On parle ici des phénomènes
d’érosion, d’altération chimique et de transport des matériaux érodés qui sont, bien sûr,
encore actifs actuellement.
Les caractéristiques géomorphologiques de la Nouvelle-Calédonie sont donc le fruit de la
superposition des influences climatiques sur une trame géologique définie. À ces grands
phénomènes, s’ajoute plus récemment l’influence des interventions reliées à l’activité
humaine (développements miniers, déforestration, etc.).
5.1
TRAITS PHYSIOGRAPHIQUES
Le développement des traits physiographiques de la Nouvelle-Calédonie témoigne des
divers événements qui se sont produits depuis la mise en place des nappes de péridotites
qui,
rappelons-le,
ont
recouvert
une
partie
importante
de
l’île.
Les
études
géomorphologiques réalisées dans les différents secteurs de la Nouvelle-Calédonie tendent
à démontrer que depuis la mise en place des nappes, les événements suivants ont eu lieu
(Latham, 1976 et 1978; ORSTOM, 1981; Trescases, 1969) :
a) Période d’accalmie favorisant l’érosion et l’aplanissement. Le résultat est la formation
d’une vaste pénéplaine et le développement d’une épaisse couche latéritique.
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b) Surrection générale, progressive et hétérogène de l’île. Les conséquences de cette
surrection par étapes furent l’entaillage progressif des surfaces de la pénéplaine
ancienne et son démantèlement au fur et à mesure que le système hydrographique
creuse des vallées de plus en plus profondes. Les périodes d’accalmie durant cette
phase de surrection ont généré localement de nouvelles surfaces d’aplanissement à de
moindres altitudes. Cette surrection résulte, soit d’un bombement de la plaque portant
l’île (Cluzel, 1998), soit d’un ajustement isostatique conséquent à l’allégement de l’île
(érosion des péridotites). Le sud-ouest de l’île est alors plus soulevé que le nord-est.
c) Remontée du niveau de la mer, ennoiement des vallées basses et création des rias1 au
sud et à l’est de l’île.
d) Baisse du niveau de la mer, provoquant l’émersion des alluvions déposées lors de la
période précédente.
e) Situation actuelle, où on observe une lente transgression marine.
Les impacts de ces événements sur les formations géologiques ont conduit à distinguer,
dans l’ensemble du territoire de la Nouvelle-Calédonie, quatre grandes unités
morphologiques (carte 5.1 adaptée de Latham, 1978) :
a) Les roches ultramafiques : Ces roches sont présentes sur environ le tiers de l’ensemble
de la superficie de l’île. Le principal massif, dit du Sud, couvre une grande partie de la
pointe sud de la Nouvelle-Calédonie. On y observe un relief escarpé, entaillé de vallées
profondes.
b) Le massif métamorphique de la côte nord-est : Ces roches sédimentaires
métamorphisées montrent également un relief escarpé, témoignent d’une longue phase
d’érosion et sont disséquées par des failles N.-O./S.-E. générant des chutes et des
cascades.
c) La Chaîne centrale : Elle est formée de roches sédimentaires et volcano-sédimentaires
très ravinées par l’érosion, mais présentant des collines d’altitudes moyennes.
1
Vallée fluviale envahie par la mer en partie ou en totalité.
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d) La plaine de la Côte Ouest : Il s’agit d’un milieu hétérogène constitué de plaines
alluviales séparées par des massifs escarpés de roches ultramafiques ou des collines
volcaniques et sédimentaires. On y observe d’importantes étendues de terrasses
anciennes et quelques-unes récentes.
La zone d’étude du projet Koniambo couvre une portion des unités c et d, tandis que la
zone d’étude spécifique est entièrement comprise à l’intérieur de l’unité d.
5.2
TOPOGRAPHIE
Les zones d’étude élargie et spécifique débutent à l’ouest par les plaines côtières. Le relief
s’accroît graduellement vers l’intérieur à la faveur des collines de basaltes dont les
élévations sont de l’ordre de 200 mètres. Le long des rivières Pouembout et Koné, dans la
partie centrale de la zone élargie, ce relief s’enfonce vers l’est sur une dizaine de
kilomètres.
Dans les parties nord et sud de la zone élargie, le long de la Côte Ouest, les collines
basaltiques cèdent rapidement la place aux massifs de péridotites. Ces derniers montrent
des reliefs très abrupts, alors que les élévations grimpent rapidement de 200 à près de 900
mètres (figure 5.1). La zone spécifique ne comprend, à cet égard, que le massif de
Koniambo (photo 5.1).
Du côté est des massifs, on note une baisse des élévations, le long d’une vallée
d’orientation
N.-O./S.-E.,
qui
correspond
à
une
structure
majeure,
l’accident
ouest-calédonien. Il s’agit également de la limite de la zone d’étude spécifique. Cette
vallée, dans laquelle les élévations retombent à 200 mètres, est l’hôte d’un réseau de
ruisseaux qui alimentent en aval les rivières Témala au nord, Koné et Pouembout au sud
(figure 5.1).
Plus à l’est, on entre rapidement dans le domaine de la Chaîne centrale, et les élévations
remontent assez rapidement à des niveaux de 1000 mètres, dans une topographie un peu
moins abrupte que celle des massifs de péridotite, mais tout de même assez accidentée.
La limite est de la zone d’étude correspond à une ligne de crête délimitant un bassin
versant vers l’ouest.
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5.3
DÉPÔTS MEUBLES
5.3.1
Origine
Les dépôts meubles, présents dans l’ensemble de la zone d’étude, sont le fruit d’une
combinaison des phénomènes d’altération chimique agissant sur les roches exposées, et
des différents mécanismes de transport des particules érodées (éboulis, charriage, mise en
solution ou en suspension). Ainsi, on retrouve en Nouvelle-Calédonie les dépôts suivants :
a)
Altération latéritique
Le climat tropical a permis le développement d’importantes couches d’altération chimique,
qui se sont développées en place, engendrées par l’exposition des formations consolidées
aux pluies et aux solutions oxydantes. Les profils d’altération les plus prononcés sont
développés sur les péridotites, et ils ont été amplement décrits dans la section de ce
rapport portant sur la géologie. Ce processus chimique affecte également les autres
formations géologiques, et engendre des couches d’altération plus ou moins développées,
selon la facilité de la roche à s’altérer. Les produits d’altération diffèrent selon les endroits,
en fonction de la constitution chimique de la roche originale (ex. : sols ferrallitiques sur
roches basiques et ultrabasiques versus sols fersialitiques sur roches sédimentaires).
b) Érosion et transport mécanique
Les phénomènes d’érosion, provoqués en majeure partie par le ruissellement des eaux,
creusent graduellement les vallées, engendrant du même coup des reliefs instables
(photo 5.2). Il peut en résulter des formations de versants, des éboulis de roches plus ou
moins altérées, et des accumulations détritiques souvent hétérogènes.
c) Érosion et transport en milieu hydrique
Le transport ou charriage des matériaux par les eaux de ruissellement ou qui s’échappent
de la nappe phréatique, amène des éléments dissous et des particules en suspension dans
l’eau. Le matériel transporté se déposera, en fonction de sa granulométrie, aux endroits
correspondant à des baisses dans la vitesse des courants, pour donner naissance à divers
types de sédiments. Nous y référerons de manière générale en tant que dépôts d’origine
fluviatile.
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Figure 5.1
Vues en coupe de la zone d’étude
Source :
Roche (2000)
Photo 5.1
Source :
Massif du Koniambo
Roche (2000)
Photo 5.2
Phénomène d’érosion par ruissellement des eaux
d) Déposition à la marge côtière
Finalement, dans la marge côtière, on note la présence de dépôts littoraux. Les sédiments
fluviatiles rencontrent alors des conditions de très bas relief et subiront l’influence de
l’envahissement par la mer.
5.3.2
Stratigraphie
Les niveaux les plus anciens, et perchés aux altitudes les plus élevées, sont les profils
latéritiques développés sur les massifs de péridotites (Latham, 1976). La stratigraphie de
ces dépôts développés sur place a été présentée à la section sur la géologie. Ces
anciennes pénéplaines sont actuellement en voie d’érosion et, par conséquent, les
couches inférieures constituées de saprolites sont exposées sur les versants de ces
massifs.
Le démantèlement de ces profils latéritiques génère des formations de versants,
constituées, soit d’éboulis de saprolite/péridotite, soit d’un mélange des différentes couches
du profil d’altération (blocs de cuirasse, grenaille, saprolite).
Plus en aval, les eaux de ruissellement entraînent, en particulier, les particules fines et
forment des zones d’accumulation de dépôts fluviatiles, progressivement plus importantes
vers l’aval. Ce phénomène de transport des matériaux fins a généré la formation de plaines
ou terrasses alluviales. On observe actuellement deux niveaux stratigraphiques distincts de
dépôts fluviatiles. Le plus ancien est actuellement en surplomb par rapport aux dépôts
actuels (Carroué, 1972a, b, c) en raison d’une baisse récente du niveau de la mer (voir
événement d, section 5.1 ci-dessus).
Enfin, dans les niveaux inférieurs, on retrouve les dépôts de littoral. Compte tenu que le
niveau de la mer s’est abaissé depuis quelques milliers d’années, mais qu’actuellement il
remonte, on peut imaginer que les dépôts du littoral et les dépôts fluviatiles sont entremêlés
dans la zone qui marque la transition de l’un à l’autre (Carroué, 1972a, b, c).
5.3.3
Nature des dépôts
a) Les sols latéritiques développés sur place
Ces sols, décrits à la section sur la géologie, sont repérés dans les secteurs de faible pente
par la présence d’un niveau ferrugineux induré et/ou gravillonnaire en surface, dans lequel
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la fraction argileuse devient graduellement prédominante avec la profondeur. Ils évoluent
en profondeur vers les latérites (plus de 80 % argiles) rouges, puis jaunes, et se terminent
par les saprolites.
b) Sols de pentes
Les sols de pentes ou formations de versant résultent surtout de l’érosion mécanique
constante. Ils sont bien développés sur les pentes fortes des massifs de péridotite où ils
exposent la saprolite. Il s’agit alors de sols qui montrent un lien direct avec la roche mère
(Baltzer et Trescases, 1971), qui sont donc formés d’éboulis de roches saines auxquelles
sont mêlés des blocs de silice caverneuse.
On trouve également ce type de formation sur les basaltes, où ils sont moins abondants, et
sur les formations sédimentaires de la Chaîne centrale.
On englobe dans cette catégorie d’importantes accumulations de blocs de silice qui se
forment localement et qui proviennent de l’altération superficielle des massifs de
péridotites. Ces accumulations apparaissent notamment sur les basaltes de la péninsule de
Pinjen (Carroué, 1972b).
c) Sols de piémont
Les sols de piémont sont générés par le ruissellement des eaux sur les surfaces plus
élevées. Ils sont donc constitués du matériel des sols de pentes, entraîné par
colluvionnement vers le bas. Ces sols sont toutefois différents parce qu’ils sont enrichis par
la silice et le magnésium (Beltzer et Trescases, 1971) qui proviennent des eaux d’exhaure
de la nappe phréatique et des latérites. L’action de l’eau provoquera également des
accumulations plus importantes de particules résistantes à l’érosion, comme la chromite.
d) Terrasse fluviatile ancienne
Mise en place, il y a environ 120 000 ans (Latham, 1976), cette terrasse est désormais en
surplomb de la terrasse fluviatile actuelle par environ 3 à 10 mètres, selon les endroits. Elle
est constituée (Carroué, 1972a, b, c) d’argiles noires en surface, suivies d’argiles vertes
(nontronites) et plastiques, qui reposent, soit directement sur le roc, soit sur des niveaux de
galets peu altérés. Dans les argiles, on rencontre localement de petits niveaux de gravillons
ferrugineux, ainsi que des horizons à giobertite ou à gypse. Leur épaisseur totale est de
l’ordre de 5 à 10 mètres.
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e) Terrasse fluviatile récente (actuelle)
Dans la plaine actuelle, les lits des cours d’eau sont constitués de sédiments provenant de
l’érosion en cours. Les particules sont de granulométrie moyenne en amont, et évoluent
vers une fraction très fine en aval et dans la mangrove. On remarque une augmentation du
contenu en silice vers l’aval. Des sondages (Carroué, 1972a, b, c) ont montré une
séquence formée de 1 à 3 mètres de limons ou d’argiles noires, qui font place à plusieurs
mètres de sables et graviers, plus en profondeur.
Plus en amont, près de la source des sédiments, on remarque que ces derniers sont
représentatifs de leur environnement immédiat. Ainsi, si on compare les sédiments
provenant des péridotites avec ceux provenant des roches de la Chaîne centrale, on note
un contenu nettement supérieur en fer, nickel, magnésium, manganèse et chrome dans les
sédiments issus des péridotites (Beaudoin, 1979). La silice et l’aluminium y sont par contre
moins élevés.
f)
Littoral actuel
Les marais côtiers sont constitués de dépôts de particules très fines, limoneuses à
argileuses, de couleur noire à verdâtre et dans lesquelles on retrouve des fragments de
coquillages, ainsi que des débris végétaux. Ces dépôts sont interdigités (Carroué, 1972a,
b, c) avec les dépôts fluviatiles récents. En certains endroits, des sondages à la tarière ont
confirmé leur présence sous les dépôts fluviatiles. Dans cette portion de la côte, une
portion des produits déposés dans les sédiments fins provient de la cristallisation des
éléments dissous dans l’eau douce qui entre en contact avec l’eau de mer (Baltzer et
Trescases, 1971).
Dans l’ensemble, on pourrait résumer la répartition des dépôts meubles des zones d’étude
élargie et spécifique comme suit. La zone spécifique est marquée par la présence du
massif de péridotite de Koniambo, lequel, suite à son altération, est responsable
d’importants dépôts de latérites et de saprolite. Cette altération du roc provoque, en
cascade, des formations de versants et de piedmont, qui alimentent à leur tour les cours
d’eau en alluvions. La zone d’étude spécifique est donc une zone dans laquelle les dépôts
meubles sont importants.
La zone d’étude élargie comprend, au départ, la zone d’étude spécifique. Les conditions
énoncées ci-dessus s’appliquent donc, et s’étendent vers le sud, tant que l’on demeure
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dans le domaine de la Côte Ouest. Dans cette portion plus au sud, les massifs de
péridotites de Kopéto et de Thiéa génèrent des conditions similaires à celles du Koniambo.
La principale différence entre la zone d’étude élargie et la zone d’étude spécifique est la
partie est de la zone d’étude élargie située dans la Chaîne centrale. À cet endroit, les
micaschistes et grauwackes, plus siliceux, génèrent des produits d’érosion plus limités et
plus résistants. Les formations de versants et de piedmont y sont beaucoup moins
répandues et les alluvions, moins importantes.
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RÉFÉRENCES
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