Il n`y a que les chansons de variété qui disent la vérité

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Dossier de presse
Il n’y a que les chansons de
variété qui disent la vérité
Trilogie d’après Platonov d’Anton Tchekhov,
mise en scène Alexandre Doublet
Du jeudi 3 au dimanche 13 mai - Théâtre / Création
Perfect day (épisode 1) ma 8 et ve 11 à 19h, trilogie : di 13 à 11h
Sweet Dreams (épisode 2) me 9 et sa 12 mai à 19h, trilogie : di 13 à 14h30
Sunday Morning (épisode 3) du je 3 au di 6 mai et je 10 mai à 19h, trilogie :
di 13 à 18h
A la Maison de Quartier de Chailly, Av. de la Vallonnette 12, Lausanne
Création en collaboration avec l’Arsenic
Jeu Valéria Bertolotto, Vincent Fontannaz, Adrien Knecht, Diane Muller,
Charlotte Nagel, Aurélien Patouillard, Jacqueline Ricciardi, Adrien Rupp,
Emilie Vaudou.
Invités spéciaux Laurent Waeber, Lionel Rupp, Nicolas Fleury
Lumière Aurélie Cibrario
Son Thomas Sillard
Régie générale Chico Viva
Coach vocal Charlène Martin
Création Musicale Vivian Pavillon et Laurent Weaber
Administration Michaël Monney, Milena Buckel
Partenaire Théâtre Les Halles, Batie, festival de Genève, Prairie, Pour-cent
culturel Migros, Loterie Romande, Ville de Lausanne, Pro Helvetia, Théâtre
pro Valais, région Poitou, Charentes, Artephila Stiftung
www.compagniealexandredoublet.wordpress.com
Résumé de la pièce
Il n’y a que les chansons de variété qui disent la vérité est une recherche sur
plusieurs années, une recherche formelle et une recherche textuelle. Un
travail d’ensemble qui m’oblige à explorer, à découvrir et reconstruire chaque
fois.
Au départ, il y a un texte, un acte tiré de Platonov d’Anton Tcheckhov, une
équipe artistique, toujours la même, et la volonté chevillée au corps
d’emmener le public dans un univers qui nous est encore inconnu. Mettre en
scène, pour moi, c’est d’abord parler au théâtre des relations entre les gens.
Mathias Langhoff écrit dans Mettre en scène, aux éditions Actes Sud –
Papiers : « J’apprends peu à peu à faire de la mise en scène, avec le temps,
avec l’expérience. J’acquiers de la technique, du métier. En vérité, une mise
en scène n’existe pas en soi, un spectacle est un objet sans contours et sans
limites, un work in progress qui évolue constamment, qu’on ne peut pas
enfermer dans une définition. ».
Il n’y a que les chansons de variété qui disent la vérité est, dans un sens, une
recherche architecturale. Chaque épisode représente la pièce d’une maison
qui existerait déjà, une maison assez grande pour contenir une famille, des
amis et des morts. Perfect Day (épisode 1) est le jardin, le dehors. Sweet
Dreams (épisode 2) est la salle à manger, la cuisine, l’étage du bas, le
dedans. Sunday Morning (épisode 3) est la salle de bain, l’étage du haut, une
pièce intime. Les épisodes de Il n’y a que les chansons de variété qui disent la
vérité réunis représentent cette maison.
Platonov et Anton Tchekhov
« J’ai dans la tête toute une armée de gens qui demandent à sortir et qui en
attendent l’ordre. Tout ce que j’ai écrit jusqu’ici ne vaut rien en comparaison de
ce que j’aurais voulu écrire et que j’aurais écrit avec enthousiasme. » Anton
Tcheckhov.
La malléabilité de ce texte est extrêmement intéressante. Grâce à la nature de
ce matériau, je peux chercher librement une manière de raconter, au moyen
d’une fable simple, l’histoire de l’être humain et sa volonté d’agir sur
l’autre, son semblable.
Platonov est apparemment le centre de la pièce. Qu’il disparaisse, elle n’a
plus lieu : elle s’arrête quand il meurt. C’est pourtant par suite d’un abus, qui
n’est pas sans intérêt en soi, que son nom lui a été attribué pour titre. Autant
qu’on puisse le savoir, puisque la page de titre du manuscrit s’est perdue,
Tcheckhov ne l’avait pas fait. Son frère Alexandre ne parle pas de Platonov
mais de Bezotsovchtchina, néologisme intraduisible sinon par approximations:
« Sans père », « Le fait d’être sans père », « L’absence de pères » (peut-être
la traduction la moins approximative serait-elle « L’ère des enfants sans
pères»).
Platonov ne joue pas exclusivement le rôle de centre de la pièce : il n’est pas
un « caractère » mais une absence de caractère, comme il le dit lui-même : on
ne peut rien contre son caractère – encore moins contre son manque de
caractère. Tous les regards convergent vers lui et ne rencontrent qu’une
image décevante. C’est lui qui juge et critique, qui semble détenir la vérité : il
détient la clé de la pièce, mais c’est une clé qui n’ouvre rien. Absence de père,
absence de titre et, pour finir, absence de personnage centrale : il faut poser
d’entrée de jeu cette gêne. Et ce rôle d’acteur impossible, qui consiste à
décevoir en séduisant.
Une série théâtrale
Dans chaque épisode d’une série, il y a une histoire avec un début et une fin.
Nous avons effectué le même travail pour chaque acte de Platonov. Dans
chaque épisode de notre série, il y a des récurrences, des indications
familières (générique, introduction...) pour aider le spectateur à retrouver le fil
de l’histoire et pour permettre à ceux qui n’ont jamais lu Platonov, de
comprendre l’histoire qui est racontée, même si cela ne correspond qu’à un
acte de la pièce. Que ce soit le premier, le deuxième ou le troisième, chaque
épisode raconte une histoire à part entière. Et tant mieux si elle donne le goût
de voir l’épisode suivant ! Peter Stein, metteur en scène allemand, écrit dans
Mon Tchekhov, éditions Actes Sud-Papiers : « Platonov est une pièce
extrêmement intéressante. On peut en faire un spectacle remarquable. Mais je
crois que je ne pourrais la monter que si je la joue en entier, durant huit
heures, or, jouer pendant huit heures Platonov à la lettre serait probablement
très ennuyeux. Il faudrait sans doute inventer un texte dramatique spécial que
Tchekhov lui-même, en son temps, aurait pu écrire. Sur le plan dramatique,
Platonov est une pièce très faible, mais elle est infiniment intéressante dans
les détails ».
Ce sont ces détails qui m’intéressent en tant que metteur en scène. Ils me
permettent de construire avec les acteurs une trame pour chaque épisode,
une histoire qui n’existe de toute façon pas, puisque la pièce est inachevée.
Ce qui incite mon envie de monter ce texte, c’est le « comment » on y arrive.
En ce sens, chaque partie, par sa différence, participe à ce cheminement. Ce
qui m’intéresse, ce n’est pas l’événement final, mais la cascade
d’événements. Ce sont ces drames du quotidien, ces humiliations régulières,
ces découragements, cette incroyable capacité que l’homme peut avoir à ne
pas être au cœur de sa vie et de ses émotions.
Les personnages rythment leur existence au travers de leurs frustrations, de
leurs regrets, de leurs chagrins. Il s’agit donc de leur inventer un cadre
étrange, presque surréaliste : créer le quotidien d’une famille, d’une
microsociété. Prendre le temps, comme une bonne série peut le faire, d’écrire
cette longue histoire, cette comédie humaine... Oser prendre ce temps-là et se
laisser faire.
Les chansons de variété
Dans La femme d’à côté, de François Truffaut, Fanny Ardant passe son temps
à écouter la radio et quand Gérard Depardieu lui pose cette simple question :
« Pourquoi ? », Fanny Ardant répond : « Parce qu’il n’y a que les chansons de
variété qui disent la vérité. Les chansons tristes disent toujours la vérité, plus
elles sont bêtes plus elles sont vraies, d'ailleurs elles ne sont pas bêtes...
Qu'est-ce qu'elles disent ? Elles disent : Ne me quitte pas, Ton absence a
brisé ma vie, Oh, je suis une maison vide sans toi, Laisse-moi devenir l'ombre
de ton ombre, ou bien, Sans amour, on n’est rien du tout ».
Ces chansons ont un pouvoir, celui de nous émouvoir, de nous toucher, de
nous permettre de nous identifier. Lier Platonov aux chansons de variété lui
confère une sphère en relation avec l’émotionnel, avec la vulnérabilité, parfois
grotesque (Tchekhov a toujours été persuadé d’écrire des comédies), parfois
pathétique, parfois violente, parfois obscène, qui montre « l’homme » dans ce
qu’il a de pire et de plus beau à la fois. Faire chanter les protagonistes de
Platonov, c’est tenter de leur faire livrer un secret, une émotion.
Notre travail autour de Platonov
En novembre 2007, au terme de sa formation à la Manufacture, Haute école
de théâtre de Suisse romande à Lausanne, le Poitou-Charentais Alexandre
Doublet fonde sa compagnie. Sa première création, Scievilisation ou
Bienheureux celui qui s’assoit réuni dix comédiens et trente amateurs en
attente d’un spectacle macabre et divertissant qui ne viendra jamais. Ce
spectacle est présenté dans le cadre de festivités organisées par l’ERACOM à
Lausanne.
C’est à l’automne 2007, qu’il entreprend son travail de création et de
recherche sur Platonov d’Anton Tchekov. Cette oeuvre de jeunesse,
Alexandre Doublet la décortique en 3 épisodes, réunies sous le titre Il n’y a
que les chansons de variété qui disent la vérité une première présentation
courte du premier épisode remporte le prix Premio, en 2008. En juin, ces
mêmes 20 minutes participent aux platesformes des journées «Matière
Première» à l’Arsenic à Lausanne et, en septembre 2008, à l’événement «The
Open Saison» à la Gessnerallee à
Zurich. La version finale de ce premier épisode, Perfect Day, est coproduite
par le Centre Dramatique Poitou-Charentes à Poitiers, Le Théâtre Populaire
Romand à La Chaux-de-Fonds, l’Arsenic à Lausanne, le Moulin Neuf à Aigle,
le Nouveau Monde à Fribourg.
En 2010, la compagnie créé Sweet Dreams, le deuxième épisode de la série Il
n’y a que les chansons de variété qui disent la vérité. Cet opus est joué au
Théâtre du Moulin Neuf à Aigle, à L’Arsenic à Lausanne, à La Poudrière à
Neuchâtel dans le cadre de la saison du Pommier, au Nouveau Monde à
Fribourg. Il est par ailleurs coproduit par le TPR de La Chaux-de-Fonds. Cette
création est soutenue par la Ville de Lausanne, la Loterie Romande, le Pourcent culturel Migros, la Fondation Ernst Goehner, et la Corodis.
En 2012, la Cie Alexandre Doublet créera l’épisode 3 de la série. Intitulé
Sunday Morning, ce dernier opus – et les présentations de l’intégrale des 3
épisodes – est soutenu par le programme PRAIRIE du Pourcent culturel
Migros en faveur des compagnies théâtrales innovantes. Le projet est par
ailleurs coproduit par l’Arsenic de Lausanne, et le Théâtre Les Halles de
Sierre, en Suisse.
La Maison Maria Casarès à Alloue a proposé à la Cie Alexandre Doublet une
résidence de création accompagnée d’un stage de médiation. Cette étape
sera la première phase de travail du troisième épisode de la série Il n’y a que
les chansons de variété qui disent la vérité.
Perfect Day - épisode 1
Le début des aventures de Anne, Sophie, Nicolas, Marie, Serge, Sarah,
Michel, Grégory, Dylan et Kathy qui, par une belle journée d’été, s’ennuient à
mourir. Ils sont réunis pour fêter le retour de Michel, le mariage de Serge et
Sophie, l’arrivée de Marie dans la famille. Sur sa terrasse 100% plastique,
Anne reçoit ce petit monde qui ressemble étrangement à celui de Platonov de
Tchekhov.
Un cadre à la hauteur de cette épopée humaine où un certain héros est
attendu. Dans ce premier épisode qui inaugure une série théâtrale en trois
parties, tous se pressent au portillon de l’héroïsme ; tous cherchent à nous
séduire par des représentations narcissiques d’eux-mêmes. A tour de rôle, ils
viendront chanter des tubes pour exprimer ce qu’ils ressentent. Car, comme le
dit si bien le titre générique de cette série fleuve, Il n’y a que les chansons de
variété qui disent la vérité.
Sweet Dreams – épisode 2
La nuit tombe sur Voïnitsevka, pour Anne, Sophie, Nicolas, Marie, Serge,
Sarah, Michel, Grégory, Dylan et Kathy la soirée ne fait que commencer et
chacun profite de la fraîcheur de l’obscurité. Tous sont là, mangent, parlent,
chantent et dansent en même temps que leurs destins se tissent. Sweet
Dreams reflète ce désir d’amusement et de futilité qui ne fait que cacher
l’essentiel : les blessures laissées par le temps et le besoin de combler un vide
permanent.
Sweet Dreams est ainsi l’histoire d’une fête qui n’en finit pas, où une bande de
trentenaires attend que quelque chose se passe enfin. L’histoire d’une nuit où
tout bascule, où la chair prend le pas sur la raison, où les masques se fendent,
où les êtres s’épuisent. Une nuit où la vitalité se transforme en inertie, laissant
la sensation que rien ne sera plus jamais comme avant.
Sunday Morning - épisode 3
Sunday Morning, troisième et ultime épisode de la série théâtrale Il n’y a que
les chansons de variété qui disent la vérité, sonne l’heure des adieux. Pour
Sophie, Marie, Anne, Sarah, Kathy, Serge, Dylan et Nicolas tout avait si bien
commencé. D’abord les retrouvailles en terrasse (Perfect Day, épisode 1),
puis les plaisirs de la fête (Sweet Dreams, épisode 2).
En ce dimanche matin, la radio de la salle de bain est allumée. On entend les
premières notes mélancoliques d’un piano, et puis les mots d’une chanson
populaire qui font peur quand ils ne font pas rire, qui sont dans tant de films,
de chansons et de livres.
En ce dimanche matin, tous se préparent à fêter le plus beau jour de leur vie.
Tous se préparent à se marier avec Michel ! Seul et unique homme de leur
vie. Tous aiment Michel et Michel les aime tous. Et puis ces mots « Allez,
quand on boit, on boit... Si on boit, on crève, mais si on ne boit pas, on crève
aussi… alors, buvons. » comme pour ne pas regarder, ne pas écouter
l’absurdité de ces mariages impossibles.
Sunday Morning raconte l’histoire d’une bande de trentenaire traversée par le
désir puissant d’aimer et d’être aimé, sonnant ainsi la fin de cette comédie
humaine aux accents « tchekhoviens ».
Alexandre Doublet - Metteur en scène
Après avoir suivi les cours Florent à Paris, en classe libre, entre 2000 et 2004,
il poursuit sa formation à la Haute école de théâtre de Suisse romande (La
Manufacture) et décroche un diplôme de comédien en 2007.
Il est codirecteur du théâtre Les Halles à Sierre avec Denis Maillefer. Il a
travaillé en tant que comédien avec Jacques Lassalle, Thomas Condemine et
Marianne Serra, Jean-Louis Benoit, Claire Lasne Darcueil, Eric Vignier,
Nicolas Fleury.
Création de la compagnie Alexandre
Doublet
En 2007, elle crée Scievilisation et en 2008 Il n’y a que les chansons de
variété qui disent la vérité Les vingt minutes. D’après Platonov d’Anton
Tchekho. Puis entre 2009 et 2010 La jeune fille que rien ne pouvait consoler.
Rien!! De rien!! De rien!! de Claire Lasne Darcueil, Il faut être solidaire comme
l’épi de maïs, fort comme le baobab et courageux comme le lion. Une création
collective avec des étudiants de la Manufacture. Il n’y a que les chansons de
variété qui disent la vérité Episode 1 : Perfect Day. D’après Platonov d’Anton
Tchekhov. En 2010, elle crée les pièces ; Bienheureux celui qui s’assied. Un
chantier de création avec des acteurs amateurs et professionnels. Il n’y a que
les chansons de variété qui disent la vérité Episode 2: Sweet Dreams. D’après
Platonov d’Anton Tchekhov.
Compagnie Alexandre Doublet
En novembre 2007, au terme de sa formation à la Manufacture, Haute école
de théâtre de Suisse romande à Lausanne, Alexandre Doublet fonde sa
compagnie. Sa première création, Scievilisation ou Bienheureux celui qui
s’assoit réuni dix comédiens et trente amateurs en attente d’un spectacle
macabre et divertissant qui ne viendra jamais. Ce spectacle est présenté dans
le cadre de festivités organisées par l’ERACOM à Lausanne.
A l’automne 2007, Alexandre Doublet soumet un dossier au concours
PREMIO, qui vise à soutenir la jeune création en Suisse. En février et mai
2008, la compagnie présente 20 minutes d’un projet qui sera le point de départ
pour les années à venir,!et remporte le premier prix du concours! PREMIO. Il
n’y a que les chansons de variété qui disent la vérité est sur les rails.
En juin 2008, ces mêmes 20 minutes participent aux plates-formes des
journées «Matière Première» à l’Arsenic à Lausanne et, en septembre 2008, à
l’événement «The Open Saison» à la Gessnerallee à Zurich.
En juin 2009, comme un prélude de ce qui attend la compagnie, Alexandre
Doublet participe au Festival de la Cité à Lausanne avec Il faut être solidaire
comme l’épi de maïs, fort comme le baobab et courageux comme le lion!, une
création collective avec des étudiants de la Manufacture, qui se joue sous
forme de match politico satirique face à Marielle Pinsard et ses comédiennes.
Dès l’été 2009, Alexandre Doublet créé Perfect Day, le premier épisode d’Il n’y
a que les chansons de variété qui disent la vérité, coproduit par le Centre
Dramatique Poitou-Charentes à Poitiers, Le Théâtre Populaire Romand à La
Chaux-de-Fonds, l’Arsenic à Lausanne, le Moulin Neuf à Aigle, le Nouveau
Monde à Fribourg et soutenu par la Ville de Lausanne, la Loterie Romande,
Corodis et le Pour-cent culturel Migros.
À partir de ce premier projet «épisodique» apparaît pour la jeune compagnie la
volonté de travailler à long terme et d’appuyer sur l’écriture théâtrale d’Anton
Tchekhov, l’écriture d’une série fleuve, la leur, intitulée: Il n’y a que les
chansons de variété qui disent la vérité.
En 2010, la compagnie commence à créer Sweet Dreams, le deuxième
épisode de la série Il n’y a que les chansons de variété qui disent la vérité. Cet
opus est joué par au Théâtre du Moulin Neuf à Aigle, à L’Arsenic à Lausanne,
à La Poudrière à Neuchâtel dans le cadre de la saison du Pommier, au
Nouveau Monde à Fribourg. Il est par ailleurs coproduit par le TPR de La
Chaux-de-Fonds. Cette création est soutenue par la Ville de Lausanne, la
Loterie Romande, le Pour-cent culturel Migros, la Fondation Ernst Goehner, et
la Corodis.
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