de la lumière est proportionnelle à l’énergie de l’électron ou photon, c’est-à-dire : plus
d’énergie = plus de lumière.
Comment le ECAL a-t-il été bâti ?
Photo 1: La croissance d’un cristal de PbWO4 prend environ deux jours.
Photo 2: Après coupe et polissage, la qualité des cristaux est contrôlée.
Photo 3: Les photo-détecteurs sont collés sur les cristaux et insérés dans les structures
de support.
Photo 4: 1700 cristaux sont regroupés.
Photo 5: L’électronique, les systèmes de monitorage, de sécurité et de refroidissement
sont rajoutés > Prêts à être installés.
Photo 6: Des groupes de cristaux pris 5 à 5 sont montés sur un bouchon.
Photo 7: Les capteurs en silicium du détecteur de pied de gerbe sont soudés sur
l’électronique de lecture.
Photo 8: Un demi-disque du détecteur de pied de gerbe prêt à être installé.
Le calorimètre électromagnétique (ECAL) contient 75848 cristaux de tungstate de plomb
(PbWO4, à 86% métallique mais complètement transparent) qui permettent de mesurer
précisément l’énergie des électrons et des photons dans le tonnea u et les bouchons de
CMS. Les dimensions des cristaux sont, dans le tonneau, 2,2 x 2,2 x 23 cm3, et dans
les bouchons, 2.9 x 2.9 x 22 cm3. Un détecteur de pied de gerbe, comportant 4288
capteurs en silicium mesurant chacun 6,1 x 6,1 x 0,03 cm3, permet d’identifier les
particules dans les bouchons.
POSTER 5
Sous-détecteur CMS
Calorimètre hadronique (HCAL)
Photo 1: Les fibres optiques transportent les signaux des particules détectées par le
HCAL
Photo 2: Les modules de lecture formés de photomultiplicateurs en silicium (SiPM)
amplifient le signal
Photo 3: Tonneau du HCAL
Photo 4: Bouchon du HCAL
Photo 5: Calorimètre sur l’avant du HCAL
Comment le HCAL fonctionne ?
(Photo caption: …vers le photo detecteur)
Les scintillateurs plastiques ou les fibres de quartz intercalés entre les couches
d’absorbeur dense (laiton ou acier) sont utilisés pour déterminer l’énergie des hadrons
provenant des collisions du LHC. Les matériaux scintillants produisent un signal
proportionnel au nombre de particules chargées qui les traversent. Quand une particule
hadronique rencontre une plaque d’absorbeur, de nombreuses particules secondaires