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Ce travail n’aurait pas été possible sans l’aide de plusieurs personnes, que je tiens ici à
remercier :
Ma directrice, Christine Hamon-Siréjols pour ses précieux conseils, dispensés au cours de cinq
années d'une disponibilité constante, pour sa patiente relecture des multiples étapes de ma
production, et pour avoir stimulé ma réflexion en la poussant dans ses retranchements.
Luc Boltanski, qui a bien voulu porter son regard aigu sur ce travail, qui lui doit immensément tant
dans sa construction d’ensemble que dans ses analyses de détail.
Hélène Kuntz, qui a été non seulement ma « tutrice » officielle dans le monde universitaire, mais
aussi un guide pour mes premiers pas dans le monde de la recherche.
Pour leur générosité, leur disponibilité et leur talent, les metteurs en scène Géraldine Bénichou,
Nicolas Lambert, Dorcy Rugamba, ainsi que les membres du FITA.
Les membres du groupe de recherche « Théâtre et Politique » : Frédérique Aufort, Nicolas
Kerzenbaum, Armelle Talbot pour ses conseils en dramaturgie. Je remercie tout particulièrement
pour leurs remarques et leurs encouragements Léonor Delaunay et Marine Bachelot. Et ma gratitude
va à Marjorie Gaudemer, pour ses relectures fouillées, ses conseils attentifs qui ont stimulé en
profondeur, et pour son amitié qui a été une aide inestimable durant ces années.
Je remercie également pour leurs conseils par-delà les mers, les membres du groupe de recherche
Political Performances, et particulièrement Avraham Oz, Susan Haedicke, et Carl Laverly.
Pour leur aide et leur compréhension des besoins de la doctorante que j’étais, pour leur gentillesse et
leur extrême compétence, Claude Chauvineau, directrice de la Bibliothèque Gaston Baty et Claire
Ruffin, archiviste du Théâtre du Soleil.
Pour leurs avis professionnels, Cathy Bouvard, Elodie Bersot et Marion Blangenois des Subsistances,
Gilbert Caillat, ancien conseiller au Théâtre à la DRAC Rhône-Alpes, Xavier Lucas (de la Ville de
Lyon). Je remercie tout particulièrement Henri Taquet, directeur de la scène nationale de Belfort.
Ma gratitude émerveillée va à Xavier Cailly, sans qui une grande partie de ce travail aurait tout
bonnement disparu dans les limbes informatiques.
Pour leur écoute, leur soutien et leurs conseils amicaux, je remercie Marie-Aude Hemmerlé, Eric
Lerouge, Séverine Ruset et Julie Sermon.
Pour leur soutien psychologique, affectif et logistique infaillible, je remercie Kim Kech Meng et Rosa
Kim.
Pour ses patientes relectures aussi innombrables que minutieuses, je ne remercierai jamais assez
Marie-Christine Hamidi. Je remercie également Violaine Hamidi pour son aide et ses
encouragements. Pour les inflexions profondes de ma réflexion intellectuelle, je remercie Armand
Hamidi. Et, pour son regard aiguisé, sa grande rigueur et pour m’avoir ouvert aux champs de la
sociologie et de la science politique, ma gratitude va à Camille Hamidi.
Et puis, plus que tout, un immense merci à Xavier Kim et Pollux Hamidi-Kim, pour l’énergie qu’ils
m’insufflent, et pour la patience et la compréhension dont ils ont dû et su le plus souvent faire preuve
au cours de ces cinq belles, mais éprouvantes, années de travail et de vie quotidienne.