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REMERCIEMENTS
Le travail présenté dans cette thèse a été effectué entre les instituions INRS-ÉMT et le
laboratoire de biophotonique de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Je tiens tout d’abord à
remercier sincèrement Tsuneyuki Ozaki de m’avoir accueilli facilement depuis la France et
donner les moyens de travailler sur ce doctorat dont le sujet autant physique que médical fut
passionnant. Merci pour ta sagesse, ta disponibilité et ton écoute. Merci aussi à ma co-directrice
de doctorat Isabelle Brunette pour son aide scientifique en ophtalmologie, sa rigueur et sa bonne
humeur.
Je remercie le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), les
Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) et le Fonds de recherche du Québec - Santé
(FRQS) pour leur soutien financier.
Je souhaite également remercier les membres du jury pour juger ce travail. Merci à José Azaña
d’avoir accepté de présider ce jury et à Guy Lamouche et Paul Charrette pour avoir accepté
d’être les examinateurs externes.
À l’INRS je remercie les professeurs François Vidal et François Légaré pour leurs discussions
sur certains résultats. Sur les questions de mécanique, je remercie Claude Sirois qui a réalisé
plusieurs pièces opto-mécaniques pour ce projet et Guy Lebrun pour ses conseils en électronique.
À l’HMR, je remercie particulièrement kanwarpal Singh avec qui j’ai travaillé sur
l’automatisation du microscope. Je remercie également Arnaud Brocas pour les premières
expériences et l’aide à la mise en place de notre laboratoire à l’HMR. Je remercie également les
personnes suivantes avec qui j’ai travaillé : Luis Alvarez Ferré, Anca Marian, Predrag Corluka,
Caroline Dion, Santiago Costantino. Merci également à tout le personnel du département
d’ophtalmologie de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont. Je remercie aussi Stéphanie Proulx,
dynamique et passionnée, du Laboratoire d'Organogénèse Expérimentale (LOEX) avec qui j’ai
eu plaisir à travailler sur le projet d’imagerie de cornée reconstruite par génie tissulaire.
Un gros merci aussi à l’administration de l’INRS et en particulier à Hélène Sabourin.
Enfin, merci à Google et Wikipedia sans lesquels, nous ne pourrions pas faire grand-chose !