Les Sciences de l`information et de la communication toujours

Les Sciences de l’information et de la communication
toujours à la recherche de leur(s) spécificité(s)
Fabien Granjon
« Dis-moi comment l’on te cherche, je te dirai qui tu es. »
Gaston Bachelard
Comme l’indique l’appel à communications, les axes de questionnement proposés pour ce treizième
congrès des sciences de l’information et de la communication reprennent des questions vives qui
reviennent inlassablement au sein des débats, colloques et journées d’études divers que les
membres de la SFSIC organisent depuis une période maintenant plus que vicennale. Certes, il en va
de notre légitimité scientifique que d’essayer de rendre plus lisible nos champs d’intervention et de
démontrer l’heuristique de nos démarches. Néanmoins, ce qui est encore trop souvent et
spécieusement présenté comme une saine réflexivité cacherait en fait un embarras profond, source
de ces cogitations récursives. Il nous semble ainsi légitime, d’avoir à nous interroger sur cette
récurrence qui ne saurait être seulement attribuée à la jeunesse d’une « discipline » qui,
nécessairement, aurait à construire volens nolens son manifeste inaugural.
Nous nous proposons donc de voir en ces questionnements itératifs le symptôme d’une crise
existentielle permanente dont les sciences de l’information et de la communication auraient héri
dès leur origine. Nous tenterons de défendre l’idée que cette indisposition épistémique trouverait,
pour partie, son origine dans la difficulté que nous avons à répondre à certaines des injonctions
doctrinales censées définir les principes fondamentaux de notre « champ scientifique », principes au
nombre desquels l’impératif interdisciplinaire serait plus particulièrement problématique. Au regard
du peu de place qui nous est ici impartie nous ne pourrons qu’esquisser brièvement quelques
arguments. Mais sans doute pourront-ils alimenter de plus substantielles discussions lors de la tenue
du congrès.
Les SIC : un champ « disciplinaire » sans nomos ?
Comme l’indique Pierre Bourdieu, « chaque discipline (comme champ) est définie par un nomos
particulier, un principe de vision et de division, un principe de construction de la réalité objective
irréductible à celui d’une autre discipline » 1. Quel est donc le nomos spécifique des SIC ? La
réponse la plus communément apportée à cette question consacre l’interdisciplinarité comme une
des spécificités effectives des sciences de l’information et de la communication. Les SIC ont été en
partie fondées pour jouer le rôle de terre d’accueil provisoire des « exilés » disciplinaires à la
recherche de nouveaux territoires à explorer, leur permettant de tester la pertinence des questions
qui leur ont fait choisir l’exil. D’abord « structure de soutien au transit interdisciplinaire » 2, elles
se sont peu à peu institutionnalisées tout en faisant le pari de la transmission d’une certaine «
marginalité créatrice » 3 par un recours de principe à l’interdisciplinarité. Frappées au coin de la
transversalité, les SIC trouveraient ainsi une partie de leur cohérence et de leur autonomie dans cette
capacité supposée à établir des ponts entre des champs disciplinaires séparés à partir de domaines
d’étude spécifiques (la communication interpersonnelle, les médias de masse, les NTIC, etc.). Il
existerait alors une approche communicationnelle des phénomènes de communication fondée sur un
« polythéisme méthodologique », identifiable comme tel et irréductible aux approches disciplinaires
dites « classiques ». Cette tentative de faire du projet interdisciplinaire une des marques privilégiées
du nomos des sciences de l’information et de la communication nous semble discutable. Tout
d’abord parce qu’il ne saurait constituer une prérogative exclusive de la 71e section universitaire. Il
est bien évidemment trop simple d’affirmer péremptoirement que les disciplines « traditionnelles »
feraient oeuvre de clôture, se contenteraient de porter un regard convenu sur des objets somme toute
communs et produiraient des savoirs insulaires, tandis que les novatrices sciences de l’information
et de la communication décriraient un espace inédit de connexion, de confrontation et de synthèse
des divers apports des sciences humaines et sociales. Force est de constater que si les SIC exercent
un droit de suite par rapport aux autres disciplines en leur empruntant le plus souvent leurs concepts
et leurs cadres théoriques, ces dernières s’immiscent aussi sur le terrain des recherches en
communication en s’intéressant à leurs objets. Comme le fait remarquer Bernard Miège, ce serait «
une erreur théorique et stratégique d’opérer un repli sur le périmètre et de revendiquer (avec quels
arguments et quels moyens) un monopole du traitement universitaire de l’information et de la
communication » 4.
De surcroît, les sciences humaines et sociales ont également amendé leurs postulats théoriques,
partageant de plus en plus avec les SIC une épistémologie de la complémentarité qui prend forme
au sein d’un constructivisme social prônant l’étude des médiations plutôt que celle des choses. Cette
attitude épistémologique est en effet partagée par beaucoup des « nouvelles sociologies » 5 avec
lesquelles les sciences de l’information et de la communication entretiennent parfois des conflits de
territoire et sur lesquelles elles ont pu prendre appui pour émerger. La proposition de postures
théoriques dépassant les antinomies traditionnelles (paired-concepts) entre idéalisme et
matérialisme, micro et macro, collectif et individuel, sujet et objet, etc., ne peut donc être présentée
comme un trait caractéristique exclusif des sciences de l’information demande, il est vrai, de se
dégager a minima des épistémologies binaires au profit d’une pragmatique étudiant des relations de
sujet à sujet et posant le primat de la relation (praxis) sur le contenu (tekhnè), ce programme
d’action n’est toutefois pas réservé aux SIC 6 et ces dernières ne peuvent être considérées comme le
lieu privilégié de réalisation de ce programme.
Si l’on s’accorde sur le fait que le principe de pertinence d’une discipline naît très exactement de la
rencontre d’un ensemble plus ou moins homogène d’objets de recherche travaillés par des
dispositifs conceptuels originaux dont les autres disciplines ne peuvent réclamer la paternité, l’on ne
peut conclure qu’à l’hétéronomie scientifique des SIC qui ont du mal à se démarquer des axiomes et
héritages disciplinaires dont elles sont d’ailleurs issues. Rien n’est réalisé en sciences de
l’information et de la communication qui ne puisse être également effectué au sein d’une des
disciplines-mères de l’alma mater. Ce serait même peut-être un critère valable de jugement pour
évaluer la qualité d’une recherche estampillée « SIC ». Un bon travail en sciences de l’information
et de la communication devrait ainsi pouvoir être soutenu dans une autre discipline.
Il serait donc sans doute préférable « que le savoir dispensé (et les recherches menées
ajoutons-nous) tiennent compte des points de vue fondateurs… » 7. Cela permettrait notamment
d’éviter que soient attribuées aux SIC des postures hégémoniques qu’elles ne sauraient assumer,
comme celle de jouer un rôle prépondérant dans l’irrigation des disciplines voisines ! Considérant
l’interdisciplinarité comme une propriété distinctive faisant l’originalité des SIC, certains auteurs
ont été ainsi conduits à tenter de mettre en cycle le savoir à partir de la communication.
Daniel Bougnoux en vient par exemple à affirmer que la raison communicationnelle devrait servir «
de cadre et d’ambition à nos actuelles sciences humaines » 8, présentant ainsi la recherche en
communication comme une sorte d’épistémé au « carrefour des humanités ». Il nous semble
qu’emportées par le voeu pieu de trouver l’improbable unité complexe des savoirs multiples et
diasporés, ces vues de l’esprit tendent à effectuer une dangereuse « sursimplification réductrice au
tout ».
De la nécessité des « systèmes d’habitudes intellectuelles »
La tentative d’élaboration d’un formalisme interdisciplinaire comme fondement épistémique
conduit également trop souvent à quelques égarements méthodologiques. Les sciences de
l’information et de la communication ne devraient pourtant pas se distinguer par leur procès de
formation des connaissances (comment la communication vient à la raison). Or, « resurgissent
régulièrement des théories et des discours savants qui positionnent la communication comme un
fait échappant au “social”, ou du moins comme ne relevant pas légitimement des sciences sociales,
de leurs méthodologies et de leurs outils conceptuels » 9. Le cadre d’exercice particulier que
constitue le vaste champ de la communication doit donc, plus que jamais, être passé au crible de
l’esprit scientifique. Prétendre réaliser un travail de recherche de qualité, en SIC comme ailleurs,
nécessite ainsi de relever un ensemble de gageures de natures diverses. La plus importante
d’entre-elles consiste sans doute en l’acquisition de cette disposition mentale, condition tant de
l’invention que de la preuve dont parle Pierre Bourdieu et dont l’exigence ne s’accommode pas
nécessairement au mieux avec le fait « d’aller et venir (…) dans la multiplicité théorique, de
pratiquer la science buissonnière, la chasse aux paradigmes, les croisements et un métissage actif
entre les champs du savoir et les niveaux d’explication » 10.
Pour reprendre le célèbre apophtegme bachelardien, la science a vocation à produire des
connaissances scrupuleusement conquises, construites et constatées. Effectuer un authentique
travail de recherche dont le dessein consiste en l’estimation de faits singuliers (rendre intelligible,
faire signifier) appelle donc nécessairement la mise en place de dispositifs globaux d’investigation
récusant « à la fois l’empirisme qui réduit l’acte scientifique à un constat et le conventionnalisme
qui lui oppose seulement le préalable de la construction » 11 Ces tendances à l’empirisme sectoriel
et à l’élaboration théorique généralisante, pourtant maintes fois dénoncées par Bernard Miège 12,
se présentent encore trop souvent comme une malfaçon récurrente des travaux relevant des sciences
de l’information et de la communication. En réponse aux manques d’élaboration théorique (travaux
à finalité instrumentale, montée de l’empirisme) et à l’absence de validations empiriques (essais in
abstracto et productions essentiellement spéculatives), la recherche en communication doit se livrer
à un incessant effort de positionnement épistémologique. Sans doute devrions-nous alors faire notre
le souhait d’Érik Neveu : « S’il est une “logie” dont je ressente la besoin, c’est essentiellement
d’une socio-logie, pensée non comme une chapelle ou une discipline bunker mais comme démarche
et legs intellectuel unifiant, partagé par des chercheurs de toutes les disciplines au sens
académique et institutionnel du terme qui visent à analyser les faits sociaux les plus divers du
présent et du passé à partir d’une double visée d’enquête empirique et d’explication causale et
compréhensive » 13.
Les recherches en communication doivent définir avec pertinence les registres théoriques au sein
desquels elles s’efforcent d’inscrire leur domaine d’étude, permettant dans le même temps une
qualification précise de celui-ci. Un objet de recherche n’existe, rappelons-le, qu’en rapport à une
médiation théorique qui joint le phénomène observé et les hypothèses de l’observateur. La vertu
théorique des concepts « ne réside pas dans le système de termes qu’ils stabilisent, mais dans le
travail de description et de mesure qu’ils imposent, de quelque manière qu’ils y invitent » 14, à la
fois par leur adéquation et leur inadéquation aux phénomènes étudiés. L’objet communicationnel en
tant qu’objet « sociologique » usuel doit donc émerger d’un agencement conceptuel original que
l’on confronte au réel. Et comme le souligne Brigitte Dumas, c’est un leurre de croire que l’objet
lui-même permet d’enchâsser des apports théoriques variés car « ce sont les théories qui président à
la construction de l’objet. Elles le font par réduction de la réalité à ses déterminations les plus
essentielles » 15.
Afin de faire la preuve du respect des impératifs épistémiques il serait donc souhaitable que les
travaux de recherche en SIC rendent autant compte de leur processus d’élaboration scientifique que
de la présentation de résultats stricto sensu. Si dans un article, un ouvrage ou une thèse, il s’agit
d’abord de mettre en avant un produit fini, conçu et présenté pour être évalué à partir des éléments
originaux qu’il aura éventuellement su faire émerger, il faut cependant éviter d’en faire une boîte
noire à partir de laquelle l’on ne pourrait qu’entrevoir, sans preuves tangibles, la façon dont il a été
conçu. Dans un souci de transparence vis-à-vis des opérations de conceptualisation effectuées, il
semble nécessaire de faire apparaître les conditions d’émergence du bénéfice scientifique apporté.
Comme le souligne Pierre Bourdieu, l’opus operatum, ne doit pas cacher le modus operandi : « la
connaissance des conditions de production du produit fait partie, en toute rigueur, des conditions
d’une communication rationnelle du résultat de la science sociale » 16.
Conclusion
Malgré la continuité des explications, polémiques et autres controverses sur ce que sont, pourraient
ou devraient être les SIC, force est de constater que la communauté des chercheurs que nous
sommes n’a pas véritablement réussi à désenchevêtrer l’opaque Inforcom. Une inflation d’objets
(de recherche) travaillés par des perspectives scientifiques, professionnelles ou spéculatives fort
variées continue à faire des sciences de l’information et de la communication un champ théorique «
dysmélique ». Les SIC se trouvent de facto dans l’inconfortable position d’avoir
institutionnellement à assumer une position académique de type disciplinaire, tout en défendant par
ailleurs un statut cognitif qui les place du côté des « ensembles pluriels (…) et flous (CNÉ 17, 1993,
12) et leur assigne une place du côté des frontières définies comme zones de contact, intersections,
interfaces et lieux d’échange (avec qui et à propos de quoi, cela reste bien entendu à préciser) » 18.
In fine, cette autonomisation académique (existence de diplômes, d’une société savante, de
départements universitaires, de laboratoires, de revues, etc.) n’apporte cependant qu’une timide
réponse aux problèmes d’autonomisation scientifique : « si la discipline contribue à l’émergence
d’une science, elle ne suffit pas à la constituer » 19. Comme a pu l’être la sociologie française dans
les années soixante, les SIC apparaissent donc, encore aujourd’hui, comme une discipline paria «
fortement dispersée qui, dans sa définition sociale autant que dans la population qu’elle attire,
professeurs, chercheurs ou étudiants, offre une image ambiguë, voire déchirée » 20. Autrement dit,
les sciences de l’information et de la communication peinent à produire « un capital collectif de
méthodes et de concepts spécialisés dont la maîtrise constitue le droit d’entrée tacite ou implicite
dans le champ » 21.
Orphelines de quelques paradigmes qui auraient pu leur conférer une pleine autonomie scientifique,
les SIC n’ont donc pas réellement su construire de matrices conceptuelles originales susceptibles
d’étayer leur projet interdisciplinaire. En conséquence, les sciences de l’information et de la
communication se présentent avant tout comme « un carrefour de disciplines,(mais) ne sauraient
selon nous viser à former une nouvelle discipline… » 22.
Parce qu’il est forcément vain de croire que l’on peut être à compétence égale sociologue,
psychologue ou historien, considérons donc avec bienveillance « l’effort pour réintroduire de
l’unité » 23 et osons « rediscipliner » les SIC. Sans abandonner le projet propédeutique d’avoir
idéalement à nous positionner par rapport à des travaux ayant des identités disciplinaires variées
(afin d’en connaître le plus parfaitement possible certains des apports spécifiques), sans doute
serait-il plus aisé d’appliquer cette prétention à l’ingérence depuis des socles épistémologiques plus
clairement identifiés, condition de possibilité d’une appropriation contrôlée d’apports théoriques
variés. Loin de constituer un recul d’ordre épistémologique, nous pensons que le recentrage
disciplinaire permettrait notamment aux sciences de l’information et de la communication de
s’assurer de saines conditions sociales de reproduction et d’éviter tant les écueils de l’empirisme
sans concepts que ceux du théoricisme sans données.
1 Bourdieu, Pierre, 2001 : 103. Science de la science et réflexivité. Paris : Raisons d’agir.
2 Baudouin, Jurdant, 2000 : 11. « Avec n’importe qui, mais pas avec n’importe quoi ! ». La Lettre d’Inforcom. 58 (hiver). Paris :
SFSIC.
3 Neveu, Érik, Rieffel, Rémy, 1991 : 25. « Les effets de réalité des sciences de la communication ». Réseaux. 50
(novembre-décembre). Issy-les-Moulineaux : CNÉT.
4 Miège, Bernard (entretien), 1996 : 30. MEI. Nº 4. Université de Paris VIII.
5 Voir Corcuff, Philippe, 1995. Les nouvelles sociologies. Paris : Nathan.
6 On peut toutefois lire sous la plume de certains auteurs des allégations allant directement à l’encontre de ce principe «
médiationniste » :
« D’une part, les SIC seraient des sciences de l’objet et non des phénomènes. De ce point de vue, elles se rapprocheraient de
sciences comme la gestion (par opposition à l’économie), mais aussi de l’ethnologie (par opposition à la sociologie). En revanche,
elles se distingueraient des sciences de l’éducation qui traitent plutôt de processus. » Davallon, Jean, Le Marec Joëlle, Brochu,
Danièle, 2000 : 12. « Le sens commun des SI C : multiculturalisme ou intégration ». La Lettre d’Inforcom. 0 (hiver), nouvelle
formule. Paris : SFSIC.
7 Ghiglione, Rodolphe (entretien), 1996 : 12. MEI. 5. Université de Paris VIII. Par « points de vue fondateurs », il faut ici
entendre les points de vue des fondateurs (Robert Escarpit, Roland Barthes, Jean Meyriat, etc.), mais surtout les approches relevant
plus généralement des sciences sociales et humaines qui étaient peu présentes à l’origine des SIC. Sur ce point, voir Miège, Bernard,
2000 : 547-568. « Les apports à la recherche des sciences de l’information et de la communication ». Réseaux. 100. Paris : CNÉT
& Hermès Sciences Publications.
8 On peut lire sous la plume de Jean Caune d’identiques allégations. Il espère ainsi «… faire des sciences de l’information et de la
communication, dans leur diversité et leurs références multiples, le fondement théorique et pratique des humanités contemporaines.
», Caune, Jean, 1995 : 11. « Stabilisation ou extension des enseignements en communication », La Lettre d’Inforcom. automne.
Paris : SFSIC.
9 Miège, Bernard, 1998 (mise en ligne nov. 1999). « Le communicationnel et le social : déficits récurrents et nécessaires
(re)-positionnements théoriques ». Loisir et société. Vol. 21, 1, Québec : PUQ. Disponible en ligne :
http://www.u-grenoble3.fr/les_enjeux/n1/miege/miege.pdf.
10 Bougnoux, Daniel, 2000 : 15. « Affronter la communication ». La Lettre d’Inforcom. Nº 0 (hiver). Op. cit.
11 Bourdieu, Pierre, Chamboredon, Jean-Claude, Passeron, Jean-Claude, 1983 : 24. Le métier de sociologue. Paris : Mouton.
12 Voir par exemple : Miège, Bernard, 1992 : 124. « La (nécessaire) voie étroite de la recherche », CinémAction. 63 (mars) :
SFSIC, Corlet & Télérama.
13 Neveu, Érik, 1998 : 289. « Pour une réflexion in-disciplinée sur les média », Les cahiers de médiologie, 6 (second semestre).
Paris : Gallimard.
14 Passeron, Jean-Claude, 1982 : 554. « L’inflation des diplômes. Remarques sur l’usage de quelques concepts analogiques en
sociologie ». Revue française de sociologie. Vol. XXIII, nº 14.
15 Dumas, Brigitte, 1999 : 53. « Les savoirs nomades ». Sociologie et sociétés. Vol. XXXI, nº 1 (printemps).
16 Bourdieu, Pierre, 1984 : 65. Questions de sociologie. Paris : Minuit.
17 Comité national d’évaluation des universités, 1993. Les sciences de l’information et de la communication. Paris : CNÉ.
18 Boure, Robert. 2002 : 20-21. « Quelle histoire pour les sciences de l’information et de la communication ? » in Boure, Robert
(dir.). Les origines des sciences de l’information et de la communication. Regards croisés. Paris : Presses universitaires du
Septentrion.
19 Boure, Robert, 1992 : 20. « La communication à la recherche de son objet ». CinémAction 63. Paris : SFSIC, Corlet &
Télérama.
20 Bourdieu, Pierre, 2001 : 193-194. Op. cit.
21 Bourdieu, Pierre, 2001 : 129. Ibid.
22 Miège, Bernard, 1998 (mise en ligne nov. 1999). Art. cit.
23 Jeanneret, Yves, 2000 : 10. « Le désir de disciplinarité ». La Lettre d’Inforcom. Nº 58 (hiver). Op. cit.
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