Ouverture de la Semaine dans l’entreprise FlashLab à Illkirch-Graffenstaden dans le Bas-Rhin Dossier de presse Sommaire Page 1 : Communiqué de presse Pages 2 à 4 : Portrait de l’entreprise Page 5 : Evènements dans la région Grand Est Page 6 : Focus de l’édition 2017 : « L’industrie aussi, c’est écologique ! » Pages 7 - 8 : Panorama de l’industrie régionale Page 9 : Une organisation partenariale Invitation presse Stéphane Fratacci, Préfet de la région Grand Est, Préfet du Bas-Rhin, l’évènement d’ouverture de la Semaine de l’Industrie qui se déroulera vous invite à participer à vendredi 17 mars 2017 à 8h30 dans l’entreprise 38 rue de l’Industrie à Illkirch-Graffenstaden La visite de cette jeune entreprise montrera les ressorts sur lesquels s’appuient son dirigeant et son équipe pour son développement, avec une ambition de passer du stade de la PME à celui d’une ETI de plus de 1000 salariés, présente sur tout le marché européen, mais aussi ancrée dans le territoire local notamment pour ses recrutements. Chaque année, depuis 2011, la Semaine de l’Industrie permet de faire découvrir toute la richesse du tissu industriel de notre pays, de rencontrer les dirigeants d’entreprise, leurs salariés, au travers d’évènements organisés dans tous les territoires. L’angle particulier choisi cette année est « l’industrie aussi, c’est écologique ! » Cette semaine va être l’occasion d’échanger avec des professionnels, de découvrir la diversité des métiers, de susciter des vocations auprès des jeunes, les sensibiliser à l’esprit d’initiative et enfin lutter contre les clichés. Près de 200 évènements organisés dans la région Ce nombre significatif correspond à la place de l’industrie dans le Grand Est. Troisième région industrielle de France, elle compte des secteurs traditionnels et en pointe à la fois, comme l’agroalimentaire, l’automobile, la chimie, les matériaux, la biologie et les écotechnologies… Toutes les manifestations sont gratuites et ouvertes au grand public, aux jeunes scolaires et à leur famille, aux enseignants, aux demandeurs d’emploi. Visite d’entreprise, conférence, débat, atelier pratique, exposition, forum des métiers, intervention en classe par des professionnels, les évènements sont en effet divers. Toutes les informations pratiques sur le site : www.semaine-industrie.gouv.fr Contacts presse Préfecture : Viviane Chevallier – 03 88 21 68 77 Direccte : Philippe Lalanne - 03 88 15 43 28 – 06 98 04 43 74 [email protected] 1 Une start up, déjà fleuron de l’industrie régionale « Notre objectif est de passer d’une PME à une ETI de plus de 1 000 salariés » Un positionnement sur un secteur porteur avec des atouts forts FlashLab est un acteur innovant du monde des laboratoires d’analyses chimiques, physiques et biologiques « air, eau sol, déchets », ayant des obligations légales imposant la réalisation de multiples analyses. FlashLab répond à l’ensemble des besoins en analyses de multiples secteurs : bâtiment, travaux routiers, agro-alimentaire, industrie et environnement public et privé. Son métier est aussi de concevoir les analyses qui seront indispensables dans le futur autour des nanomatériaux, l’ADN, les drogues, les toxines, les contaminants, etc. A moyen terme, FlashLab souhaite devenir en France, et dans un deuxième temps à l’échelle internationale, un acteur incontournable spécialisé dans l’expertise chimiques, et les microbiologiques analyses et physiques, nanoparticules. L’entreprise est basée sur deux sites : l’un à Longjumeau en région parisienne et l’autre à IllkirchGraffenstaden. Sa force repose sur : • une capacité de production industrielle des analyses grâce à des équipements de dernière génération en microscopes optiques et électroniques, chromatographie, spectrométrie de masse, mis entre les mains d’équipes longuement formées en interne et provenant des meilleures écoles et universités dans leur domaine ; • une digitalisation des processus aussi bien industriels que commerciaux ; • et un service au client très orienté réactivité, respect des engagements, écoute et relations humaines. FlashLab en chiffres Création en décembre 2013 et premières embauches en juillet 2014 2 établissements : Longjumeau et Illkirch Effectif total de 120 salariés CA de 4,5 M€ en 2015, 11 M€ en 2016 et un prévisionnel 2017 de 18 M€ Investissements : 4,5 M€ depuis la création et 2 M€ prévus pour 2017 CICE 120 k€ - Mesure du suramortissement 210 k€ Mesures de soutien à l’embauche : 50 AFPR, 16 CUI et 20 aides embauche PME. 2 Un entrepreneur visionnaire et bien entouré A l’origine de la création, Esber ESBER, son actuel président qui n’en est d’ailleurs pas à son premier coup d’essai. Il a été un des pionniers des analyses de matériaux et tout spécialement de l’amiante dans les années 90 en créant plusieurs laboratoires dont l’un à Saverne. Ceux qui le connaissent le décrivent « comme un visionnaire, un formidable entrepreneur et un homme de projet ». Ainsi, observant l’évolution des réglementations et toujours en contact avec les acteurs majeurs de la profession, il anticipe une demande grandissante du marché qui est à l’origine du lancement commercial de FlashLab en juillet 2014. La croissance des effectifs est depuis rapide et constante : 120 salariés à ce jour et 50 nouvelles embauches programmées cette année. Son chiffre d’affaires atteint désormais le million et demi d’euros par mois. Pour le dirigeant « les nouveaux enjeux économiques, sanitaires et réglementaires intensifient de façon exponentielle la demande en diagnostics et les types d’analyses. L’objectif est donc de passer d’une PME à une ETI de plus de 1 000 salariés et d’être présent sur tout le marché européen et plus loin encore ! Nous allons aussi travailler avec des petits labos de proximité en Europe et avec un futur labo on line.» L’autre savoir-faire du président est de dénicher des collaborateurs ou collaboratrices de haut niveau. C’est le cas particulièrement de Stéphanie Baillet, la directrice du laboratoire. Cette dynamique femme, ingénieur et docteur en chimie, a suivi depuis l’origine tout le processus de création. Elle peut être fière du résultat même si elle admet cependant que « ce n’est pas toujours aisé au quotidien. On a tous plusieurs fonctions en plus de notre métier d’origine. Il faut encore monter en compétences. » C’est d’ailleurs pour cette raison que le président a eu cette idée originale de faire suivre une formation d’excellence à HEC aux techniques du management pour les cadres et responsables de la société. Les effectifs se caractérisent par leur jeunesse d’une part et par une majorité de femmes, d’autre part, y compris au niveau de l’encadrement supérieur. Une majorité du personnel est employée comme aides de laboratoire et techniciens. 3 L’entreprise s’appuie pour ses recrutements sur les différentes aides publiques. Plus d’une dizaine de recrutements ont bénéficié de l’aide embauche PME et les nouvelles embauches en profiteront prochainement. Elle s’est rapprochée de Pôle emploi, avec qui elle développe un véritable partenariat, et utilise pleinement les dispositifs d’appui à la formation comme l’AFPR (action de formation et préalable au recrutement) ou d’insertion comme le CUI (contrat unique d’insertion). Elle bénéficie par ailleurs du CICE et de la mesure de suramortissement qui vient d’être prolongée. En effet, la société investit massivement : 7 millions d’euros depuis 2014 et 5 autres millions le seront dans les mois qui viennent. Ainsi, elle a un projet d’extension de ses locaux sur Illkirch. Entreprise citoyenne : du contenu derrière les mots L’entreprise a déjà reçu plusieurs trophées dont le prix de l’innovation de la Région Ile de France et la Palme d’Or de l’innovation du Medef. Mais ce qui est tout aussi essentiel pour ce chef d’entreprise est l’éthique du projet qu’il veut faire partager à tous ses collaborateurs. « C’est un projet sociétal, de territoire, que j’ai souhaité engager dès l’origine, et je l’ai fait notamment avec le directeur de l’agence de Pôle emploi en privilégiant l’embauche des jeunes, qu’ils soient de différents niveaux de qualification, qu’ils sortent de leur parcours d’études ou qu’ils soient demandeurs d’emploi… L’avantage est de pouvoir les former "Maison". Et dans l’immense majorité des cas, tout se passe bien même si pour quelques-uns, qui s’accordent leur propre flexibilité, un recadrage est opéré. » « Par ailleurs, notre projet d’entreprise n’est pas à finalité financière. Je ne distribue pas de dividendes aux actionnaires et tous les bénéfices sont réinvestis. Enfin un autre projet est d’associer financièrement les cadres. » A propos du soutien des pouvoirs publics, « c’est donc un contexte que je perçois comme favorable pour le développement d’une entreprise comme FlashLab. Les difficultés rencontrées tiennent plus à certaines subtilités administratives à comprendre et à des lourdeurs de procédures. Ainsi, on nous a fait part de certaines aides, mais nous n’avons pas forcément le temps, voire toutes les capacités en interne, pour remplir les dossiers. C’est donc un frein à desserrer ». « Nous sommes heureux que FlashLab ait été retenue pour accueillir l’évènement d’ouverture de la Semaine de l’Industrie, avec la participation du représentant de l’Etat, des grands élus. C’est à la fois une reconnaissance d’une entreprise encore peu connue dans la région et un encouragement à poursuivre » tient à conclure le dirigeant. 4 Près de 200 évènements dans la région Grand Est avec une grande diversité Exemples d’événement Tous les évènements sont directement labellisés par le Ministère de l’Economie et des Finances. 20-24 mars, au cœur du FOCUS 2017, VALODEA à Charleville Mézières propose de découvrir ses sites de traitement des déchets. Un « job dating industrie » se déroulera dans les 4 départements champardennais le 22 mars. Les 24 et 25 mars, au CFA de Muizon dans la Marne, les compagnons du devoir ouvrent leurs ateliers. A l’ENSIC Nancy, le 23 mars, « l’industrie chimique du futur » visite des laboratoires et conférence débat. Les 23 et 24 mars, à Pôle emploi Briey en Meurthe-et-Moselle, « l’industrie c’est écologique », exposition de photos prises par des demandeurs d’emploi. 20-23 mars, journée portes ouvertes dans l’entreprise SOMETO, à Charny sur Meuse, qui participe depuis l’origine à la Semaine de l’Industrie. 21 mars, « journée itinéraire plasturgie » au lycée polyvalent Felix Mayer à Creutzwald : découverte des métiers en parcourant l’itinéraire d’un plastique de sa formation jusqu’à son recyclage. 17-18 mars à Haguenau, « plongez au cœur de l’industrie » un showroom des industries du bassin d’emploi. 23 mars, forum de recrutement à Clemessy Mulhouse destiné à 100 demandeurs d’emploi. 22 et 24 mars à Epinal, le syndicat mixte pour la gestion des déchets des Vosges ouvre son centre de tri des déchets recyclables : une façon d’apprendre les bons gestes du tri ! 5 Le focus de l’année 2017 L’industrie aussi, c’est écologique ! Les entreprises industrielles s’emploient, chaque jour, à trouver des solutions innovantes afin de prévenir et traiter les pollutions (eau, air, sol) et réussir la transition énergétique. Traitement de l’eau et des déchets, énergie, économie circulaire, efficacité énergétique…les entreprises françaises font parties des meilleures au monde. Quelques définitions pour y voir plus clair L’efficacité énergétique désigne un système pour lequel la consommation d’énergie est minimisée. Elle concerne notamment les transports et les bâtiments. Les énergies renouvelables proviennent de sources que la nature renouvelle en permanence par opposition à une énergie non renouvelable dont les stocks s’épuisent. Surnommés « énergies propres » ou « énergies vertes » leur exploitation engendre très peu de déchets et d’émissions polluantes. Exemples d’énergies renouvelables : énergie hydroélectrique, énergie éolienne, énergie de biomasse, énergie solaire, la géothermie, les énergies marines. Recycler et valoriser les déchets…l’économie circulaire a pour objectif de produire des biens et des services tout en limitant la consommation et le gaspillage des matières premières, de l’eau et des sources d’énergies. L’économie circulaire est porteuse d’emploi. En France, le secteur de la gestion des déchets représente plus de 135 000 emplois. Ambassadrice de la Semaine de l’Industrie La Semaine de l’Industrie s’attaque encore cette année aux stéréotypes qui persistent. Ainsi, les femmes d’aujourd’hui pensent encore que l’industrie est faite pour les hommes et qu’elles n’y ont pas leur place (elles représentent 28% de l’emploi industriel). Pour tordre le cou à ce cliché, 4 ambassadrices de la Semaine de l’Industrie ont été choisies au niveau national pour témoigner de leur parcours au sein de l’Industrie, dont Cécile Cantrelle, PDG de l'entreprise Alsapan, dans le département du Bas-Rhin. Son encouragement est : « battez-vous ! Etre une femme ne doit pas être un atout ou un frein professionnel ! » 6 L’INDUSTRIE EN GRAND EST La filière bois s’articule autour de trois pôles (la sylviculture et les exploitations forestières, le sciage et le travail du bois, l’industrie du papier et du carton) et emploie près de 55 000 salariés. 220 scieries sont implantées, ce qui représente 13% des entreprises françaises pour un volume scié de 17%. L’industrie en Grand Est a un poids économique important au regard des autres régions, avec 19,6% de la valeur ajoutée pour 14,0 % en moyenne nationale. Le Grand Est est la 2ème région la plus industrielle de France, hors Ile-de-France. En aval de la filière, l’ameublement constitue également un atout fort de la région. Six secteurs structurent particulièrement l’industrie régionale. Dans le domaine automobile, la région Grand Est est un acteur prédominant au niveau national, avec plus de 80 000 salariés. L’ensemble du tissu d’entreprises présente une grande diversité d’activités, une forte présence de sous-traitants de rang 2 et une absence de concurrence directe entre les différents sites de production. Les presque 40 000 salariés travaillant dans l’agroalimentaire représentent 14,5% des effectifs de l’industrie manufacturière. Le secteur se situe dans la moyenne française en termes de poids de l’effectif salarié agro-alimentaire comme d’ailleurs de chiffre d’affaires réalisé. Le cumul des ressources technologiques et académiques du territoire représente une expertise particulièrement forte, couvrant des aspects allant de la qualité de la production amont agricole jusqu’au bien-être et à la santé du consommateur, en passant par la plupart des problématiques relevant de l’industrie de transformation (procédé, sécurité alimentaire, packaging, etc.). En particulier le territoire partage avec le Nord-Pas-de-Calais-Picardie un des pôles de compétitivité les plus performants de France, sur la thématique des agro-ressources (Industries&Agro-Ressources). Le Pôle réunit toutes les étapes d’extraction, de transformation jusqu’au développement industriel en partant de la matière première végétale. Dans le sillage du pôle, le site de Pomacle-Bazancourt au Nord de Reims est devenu le premier pôle de recherche agro-industriel de France ; il est dédié à la valorisation non alimentaire du végétal et plus largement à la chimie verte. Un pôle de compétitivité est consacré essentiellement à la filière automobile (Pôle Véhicule du Futur) et le pôle Matéralia aborde, entre autres, la thématique des matériaux liée à cette filière. L’Institut de Recherche Technologique (IRT) M2P (Matériaux, Métallurgie et Procédés) intervient notamment sur les problématiques d’allègement. Les activités de la chimie sont également bien représentées en Grand Est, avec des entreprises de taille hétérogène (une majorité de petite taille) et une concentration des effectifs dans quelques établissements importants, mais pour lesquels le centre de décision n’est pas situé sur le territoire. Les zones boisées représentent 35% du territoire du Grand Est (contre 28% du territoire métropolitain). 7 La région s’appuie sur un écosystème très développé en matière de recherche académique : le «Centre International de Recherches aux frontières de la Chimie» à Strasbourg, dispositif de recherche faisant cohabiter une recherche publique importante et plusieurs laboratoires de recherche dépendant de groupes nationaux ou internationaux. Les entreprises peuvent également s’appuyer sur les ressources du Pôle IAR décrites précédemment pour introduire des bio-molécules dans leurs productions. L’importance du domaine des matériaux dans l’économie du Grand Est est illustrée par le fait que la métallurgie représente 155 000 emplois, soit plus de 11 % des emplois nationaux dans le secteur. De plus, il existe de grands pôles de recherche qui bénéficient d’une forte reconnaissance dont attestent les labellisations au titre du Programme des Investissements d’Avenir et qui travaillent en forte interaction avec les activités économiques. Le Grand Est possède de réels atouts dans le domaine de la santé-biologie. La recherche couvre en effet l’ensemble du spectre de la molécule au malade, et de production de nouveaux médicaments ou de dispositifs médicaux de nouvelle génération (imagerie médicale, robotique chirurgicale). Elle dispose de centres hospitaliers universitaires de référence (Strasbourg, Nancy, Reims) auxquels sont rattachés de nombreux instituts et laboratoires de recherche. Le pôle de compétitivité Alsace BioValley développe d’intéressantes activités dans ce secteur confronté à des enjeux économiques et industriels majeurs. Les territoires convergent dans plusieurs domaines de compétence, tels que le marché du dispositif médico-chirurgical, domaine stratégique qui figure à la fois dans les pôles de compétitivité Alsace BioValley, Materalia et la grappe d’entreprises Nogentech. Le positionnement de la région est conforté en matière d’écotechnologies par la présence de cinq pôles de compétitivité complémentaires : Fibres-Energivie, Hydréos, Matéralia, Véhicule du Futur et IAR. Les complémentarités se retrouvent sur un ensemble de thématiques: chimie verte, bâtiment durable, matériaux biosourcés, qualité et gestion des eaux, industrie durable (y compris écologie industrielle, valorisation des déchets et éco-conception) et mobilité durable. Pour mémoire les écotechnologies servent «à mesurer, prévenir, limiter ou corriger les atteintes à l’environnement (pollution de l’eau, de l’air, des sols), et au climat ainsi que les problèmes en rapport avec les déchets, le bruit, la dégradation des paysages, la perte de biodiversité et l’épuisement des ressources (énergies, matières premières…)». Les écotechnologies sont développées, produites ou vendues par des «éco–entreprises ». En outre, dans les secteurs décrits précédemment, le Grand Est possède des potentialités pour le développement d’innovations liées au numérique. Plusieurs territoires ont répondu aux appels à projet French-Tech et ont obtenu le label en 2015 et 2016 en tant que Métropole ou membre d’un réseau thématique : LORnTECH, porté par le Sillon Lorrain, French Tech Alsace, porté par le pôle métropolitain Strasbourg-Mulhouse, NOGENTECH à Nogent et FABRIK-DU-SPORT à Reims. Si cette labellisation ne débouche pas sur l’attribution directe de financements, elle permet de donner de la visibilité et de valoriser l’excellence des écosystèmes de start-up. Ces dispositifs ont également une ambition transfrontalière forte, vers le Luxembourg, l’Allemagne et la Suisse, pour permettre à leurs start-up d’accéder au niveau international. De manière transversale la région possède des atouts en matière d’écotechnologies et de numérique. http://www.entreprises.gouv.fr/semaine-industrie 8 Une organisation partenariale dans le Grand Est La Semaine de l’Industrie est pilotée au niveau national par le ministère de l’Économie et des Finances via la Direction Générale des Entreprises (DGE). Mais c’est plus largement une initiative interministérielle qui réunit les ministères de l’Éducation nationale de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, de l’Agriculture, de l’Agro-alimentaire et de la Forêt, de la Culture et de la Communication. Et naturellement multipartenariale puisque le Comité national de Pilotage réunit aussi les organisations professionnelles comme l’UIMM, CCI France, la CGPME… Son rôle étant de réfléchir à l’organisation et à la coordination de la Semaine sur tout le territoire et de faire des bilans pour progresser à chaque nouvelle édition. En région Grand Est, trois comités d’animation locaux assurent la nécessaire proximité et réunissent tous les partenaires concernés afin qu’il y ait des évènements de grande qualité dans tous les départements. Une coordination régionale est assurée par la Direccte. En région Grand Est, l’UIMM est un acteur majeur de la réussite de la Semaine. L’Education Nationale a une place également essentielle puisque l’un des objectifs principaux est de faire connaître l’industrie aux jeunes (interventions dans les classes, visites d’entreprises par les élèves ou de centres de formations…). De même que Pôle Emploi qui apporte aussi tout son appui pour informer les demandeurs d’emploi, faire connaître les postes à pourvoir dans le milieu industriel et les formations existantes et organiser par exemple des « jobs dating » ou des forums de recrutement. Informations pratiques Site internet : www.semaine-industrie.gouv.fr Sur Facebook : https://www.facebook.com/semaine.industrie/ Sur twitter avec le #semaineindustrie Dossier de presse réalisé par la Direccte avec le concours d’Aurélie End et Anne Dufoir 9