Ce que peut faire le visiteur
" Préparer la topographie avant impact (i.e. placer la farine pour faire une
montagne ou un bassin)
" Lancer la bille dans le tuyau
" Faire deux impacts avec deux angles d’impacts différents
Enregistrement (sur CASIO EX-ZR200 NOIR)
Lorsque le dispositif est prêt
" Allumer l’appareil photo
" Juste avant de lancer la biller, appuyer sur le bouton
d’enregistrement vidéo
" Faire lancer la bille par le visiteur
" Rappuyer sur le bouton d’enregistrement vidéo pour arrêter l’enregistrement
" Appuyer sur le bouton pour lancer la vidéo sur l’écran
NB: essayer de réduire au maximum le temps d’enregistrement. L’enregistrement se
fait à 400 images par seconde et la lecture sur l’écran se fait au ralenti à 25 images
par seconde. L’impact ne dure qu’une fraction de seconde. Limiter au maximum le
temps d’enregistrement permet de ne pas attendre l’impact trop longtemps lors de la
retransmission sur l’écran.
Pour ceux qui se sentent de faire un peu de montage en direct, il est possible de
rogner les parties inutiles de la vidéo (avant et après l’impact). Pour cela, il suffit de
lancer la lecture. Juste avant l’impact, appuyer sur le bouton SET pour mettre la
lecture en pause. Puis appuyer sur la partie inférieure du bouton rond entourant le
bouton SET. Sélectionner “Couper” pour supprimer le début de la séquence en
appuyant sur SET. Rappuyer sur la partie inférieure du bouton rond entourant le
bouton SET et sélectionner OUI. La partie du film où on attend la bille est ainsi
supprimée. Il est possible de faire de même avec la fin de l’enregistrement pour
supprimer la séquence après impact.
Pédagogie
Ce stand permet d’illustrer partiellement les processus se déroulant lors des impacts
météoritiques. Il ne met pas en évidence le caractère explosive de l’impact. En effet,
les vitesses sont beaucoup plus faibles que dans la réalité (~ 1 km/h au lieu de
plusieurs km/s). Ainsi les énergies mises en jeu son infiniment plus faibles (E~mV2).
Le matériel impacté est ici plus facilement déformable que de la roche, il n’y a pas de
déformation de l’impacteur, il n’y a pas de fusion du matériel impacté, le rebond
illustré dans la figure suivante ne se produit pas car il n’y a pas de rebond élastique
après le passage de l’onde de choc.