
Chapitre 5 
Geoffroy Kaisin   Résumé de chimie organique    17
radicaux et la  réaction va s’auto entretenir jusqu’au moment ou la production  de  radicale 
sera insuffisante et la réaction va donc s’arrêter. 
  3. La terminaison. 
 
5.5. Réactions polaires           117-119 
 
La  polarisabilité  mesure,  grosso  modo,  la  capacité  qu’ont  les  électrons  périnucléaires 
(localisés autour du noyau) à répondre aux effet d’un solvant ou d’autres réactifs polaires. 
 
Plus un atome est « gros », plus sa polarisabilité sera importante. 
 
N.B.  Il  ne  faut  pas  confondre  la polarité et  la  polarisabilité.  En  effet, une  liaison  C—I 
n’est pas polaire mais l’iode est néanmoins polarisable. 
 
Il y aura réaction polaire si les sites riches en électrons des groupes fonctionnels d’une 
molécule réagissent avec les sites pauvres en électrons des groupes fonctionnels d’une autre 
molécule. 
ATTENTION : La flèche indique un mouvement d’électron DU site riche AU site pauvre 
et non un déplacement d’atomes. 
 
Les nucléophiles possèdent des sites riches en électrons et peuvent former des liaisons en 
donnant une paire d’électrons à un site pauvre en électrons. 
 
Les électrophiles possèdent des  sites  pauvres en électrons  et  peuvent former des liaisons 
en acceptant une paire d’électrons provenant d’un nucléophile. 
 
 N.B. Les termes électrophiles et nucléophiles sont utilisés uniquement quand des 
liaisons avec le carbone sont concernées. 
 
5.6. Exemple de réaction polaire        120-121 
 
5.7. Description des réactions : vitesse et équilibre    122 
 
5.8. Description des réactions : Energie de dissociation  123-124 
 
Energie  de liaison : énergie  nécessaire  pour  rompre une  liaison  donnée  d’une  molécule, 
en phase gazeuse à 25°C, en 2 fragments radicalaires. 
 
5.9. Description des réactions : Diagramme d’E et états de transition   125-127 
 
∆Gŧ elevée  réaction lente 
 
∆Gŧ faible  réaction rapide 
 
5.10. Description des réactions : les intermédiaires    128-131