Le remède à la crise

JOURNAL DE L’ARBORICULTURE FRUITIÈRE
NUMÉRO 18 / AUTOMNE 2010
L A NATURE QUI STIMULE L A NATURE.
solutions évidentes. Quelles sont alors
ces clés, qui existent bel et bien !
La Physiologie Végétale
C’est là que la physiologie végétale entre
en scène. “Les plantes, les arbres en
particulier, sont actifs pour s’alimenter
et fructifier. Ces mécanismes physio-
logiques restent encore sous-exploités
car trop peu connus, reprend Paul Héry.
Pourtant, ce sont de puissants leviers
d’influence sur les récoltes, en particulier
la qualité des récoltes si déterminante sur
le résultat économique en arboriculture.”
Or, c’est justement sur la maîtrise de
ces mécanismes que Goëmar a bâti son
expertise. « Bientôt 40 ans d’expérience
de l’activation des plantes nous ont permis
d’établir les fondements scientifiques de
l’action de nos produits. Nous avons ainsi
développé une expertise technologique
unique pour élaborer des filtrats exclusifs,
actifs sur les mécanismes physiologiques
des plantes, insiste Paul Héry ».
Au regard des gains agronomiques
engendrés, on mesure l’impact sur les
points clés du résultat d’exploitation :
selon des critères objectifs de sécurité
du rendement, de calibre, de 1er choix,
et de main-d’œuvre lorsqu’il est question
d’éclaircissage.
Retrouver de la sérénité dans la conduite
de l’exploitation ne peut pas laisser
indifférent. C’est tout l’enjeu de ce
numéro de l’Arboricole.
• Physio Activateurs,
ça marche ! pages 2 et 3
• Physio Activateurs :
Interview page 3
• La vision partagée d’une
agriculture innovante page 4
ÉDITORIAL
COCKTAIL
GAGNANT
L’arboriculture aspire à retrouver le
sourire. Facile à dire, me direz-vous !
Mais il existe des solutions pour
entrevoir de nouvelles perspectives et
se jouer des aléas. Des solutions pour
permettre à chacun de générer de
la valeur…
Il s’agit en fait de prendre conscience
de l’ensemble de vos atouts ; d’abor-
der certaines voies que vous n’avez
peut-être pas encore véritablement
exploitées. C’est l’enjeu de ce numéro
de L’Arboricole : redistribuer les cartes
pour vous ouvrir à de nouvelles sources
de valeur additionnelle.
Et ces cartes, c’est vous, producteurs,
qui les maîtrisez et qui en parlez le
mieux ! C’est pourquoi nous laissons la
parole aux professionnels qui ont intégré
ces sources de valeur additionnelle, les
Physio Activateurs, dans leur stratégie de
production. Un cocktail gagnant dont ils
témoignent pour vous démontrer qu’il
est aujourd’hui possible de trouver des
solutions contribuant à plus de sérénité…
Daniel Jobbe Duval
• Physio Activateur Technologie
Le remède à la crise ?
Le constat est sans appel : l’agriculture
traverse actuellement une période
extrêmement délicate. Dans ce contexte,
alors que l’équilibre économique des
entreprises est particulièrement précaire,
chaque gain de productivité peut apporter
un ballon d’oxygène salutaire. “Ce sont
les derniers gains de productivité qui font
le revenu de l’agriculteur”, souligne Paul
Héry, directeur marketing de Goëmar.
Mais où se situent donc ces sources de
valeur additionnelle ? Pas dans la protec-
tion, que l’on maîtrise déjà bien. Pas dans
la génétique non plus, qui au-delà de la
controverse, ne semble pouvoir apporter
une réponse qu’à moyen ou long terme.
Sans doute plus dans la fertilisation où
l’on peut à l’évidence revisiter certaines
approches. Les vraies clés sont peu
nombreuses. On entend parler du retour
à l’agronomie… La vie des sols, la relation
sol-plante sont des sujets de nouveau
abordés sans que l’on entrevoie de
Dans une situation
économique
fluctuante pour
l’arboriculture, les
solutions Goëmar
apportent des
réponses qui
peuvent faire la
différence.
Explications.
)

• Physio Activateurs
Ça marche !
“La réussite d’une récolte, c’est un tout, lance Régis
Samuel, arboriculteur en fruits à pépins – Goldens
surtout, mais aussi Gala, Fuji, Rouges américaines
et poires – à Mison et Trescléoux (05). Il faut du
tonnage et, globalement, des pommes avec un
beau potentiel d’aptitude à la conservation et de
résistance aux coups pendant la récolte.”
Tout en tenant compte des enjeux spécifiques à
chaque variété. Pierre Iltis, responsable du verger
chez Jouffruit à Cavaillon (84) le confirme : “Il
faut composer avec la précocité des Gala et des
Elstar, augmenter les capacités d’accrochage de la
Pink Lady et sa résistance mécanique aux coups,
régler aussi les problèmes de bitter pit sur Golden…”
Sans compter que le terroir a aussi une grande
importance : la chaleur emmagasinée par les
sols caillouteux, par exemple, peut très vite faire
évoluer la maturité et entraîner une baisse de
qualité. Ce qui est vrai pour les fruits à pépins l’est
aussi du côté des noyaux : “Le premier point clé
de la réussite est la qualité, avec le calibre comme
critère principal, puis la coloration, la tenue du fruit
et le goût, confirme Yves Pagès qui exploite le
verger des Feixes à Eus (66) et adhère à la
coopérative La Paysanne de Prades. L’autre point
clé est le rendement. Un objectif à lier au calibre :
ce qu’il faut c’est avoir le maximum de rendement
dans les bons calibres.”
Moins d’éclaircissage manuel
Pour obtenir ces résultats, les réponses sont
connues : taille, éclaircissage et irrigation. “De
bonnes conditions de floraison, de nouaison et
de démarrage du fruit sont primordiales, ajoute
Yves Pagès. À ce titre, sur pêches et abricots, le
programme Goëmar BM Start et Cinetis apporte
une réponse intéressante : l’arbre est en meilleure
forme au sortir de l’hiver avec une feuille plus verte,
il résiste mieux aux à-coups de nutrition… Et le
jeune fruit démarre mieux !” Toujours selon Yves
Pagès, coupler BM Start et Cinetis permet aussi de
sécuriser la nouaison en conditions stressantes tout
en favorisant le calibre. Sur pépins, Régis Samuel,
qui réalise deux à trois applications sur l’ensemble
du verger en encadrement de floraison, partage cet
avis sur l’effet “sécurité” du BM Start sur la floraison
et la nouaison : “Mais c’est aussi un élément clé
pour réussir l’éclaircissage chimique car il permet de
bien différencier le fruit dominant.” Un argument que
reprend d’ailleurs Pierre Iltis qui trouve également là
une amélioration de la qualité de nouaison des Pink
Lady. On touche à un aspect tout à fait fondamental
car il est lié à l’économie du verger : “Il est plus
économique d’apporter du BM Start que de passer
du temps à éclaircir manuellement, souligne Pierre
Iltis. L’éclaircissage manuel a un coût bien trop
élevé !” On sait bien que la main-d’œuvre est un
poste toujours difficile à maîtriser !
Pas d’impasse…
Pour sa part, Régis Samuel intègre également du
Foliphos à son programme, notamment pour
améliorer la résistance aux coups des Goldens :
“Cette année, je n’ai pas apporté de phosphore
au sol. Même présent, il ne migre pas. D’où les
apports foliaires. Nous appliquons le Foliphos sur
Dans le contexte économique très dégradé de cette année 2010, les Physio Activateurs ont apporté
un vrai plus… Ce sont les arboriculteurs qui le disent !
critère principal, puis la coloration, la tenue du fruit
et le goût, confirme Yves Pagès qui exploite le
verger des Feixes à Eus (66) et adhère à la
coopérative La Paysanne de Prades. L’autre point
clé est le rendement. Un objectif à lier au calibre :
ce qu’il faut c’est avoir le maximum de rendement
dans les bons calibres.”
Pierre Iltis
Yves Pagès
Régis Samuel
dans les bons calibres.”
élevé !”
poste toujours difficile à maîtriser !
Pas
Pour sa part, Régis Samuel intègre également du
Foliphos à son programme, notamment pour
améliorer la résistance aux coups des Goldens :
“Cette année, je n’ai pas apporté de phosphore
au sol. Même présent, il ne migre pas. D’où les
apports foliaires. Nous appliquons le Foliphos sur
dans les bons calibres.”

Crédit photo Le Verger de la Blottière
lodus 2 CS
SUR LA SCÈNE
INTERNATIONALE…
On dit souvent que la France se repose en août…
Ce n’est pas le cas des arboriculteurs dont certaines
productions arrivent à maturité à cette période. Ni de certains
scientifiques… Tous les quatre ans, en effet, un séminaire
international est organisé sur le feu bactérien. Cette année, du
16 au 20 août, c’est à Varsovie qu’une centaine de spécialistes
de la question a pu échanger quatre jours durant sur les
derniers travaux en cours. Goëmar était bien sûr présent et a
pu détailler son dossier Laminarine, la matière active de Iodus
2 CS. Homologué dans un certain nombre de pays, souvent
sous le nom Vacciplant, ce produit est utilisé contre cette
bactériose en France depuis trois saisons ainsi qu’en Grèce,
en Allemagne, au Maroc, en Belgique et en Slovaquie.
Un sujet très intéressant pour les participants puisque
certaines cultures sont confrontées à des Pseudomonas ou
autre Xanthomonas dans le bassin méditerranéen ou aux
États-Unis. Or, lodus 2 CS est un outil efficace pour renforcer
naturellement l’immunité de la plante et réduire
significativement l’impact négatif de tels pathogènes.
Pour en savoir plus, il suffit de consulter le site Internet
(en anglais) du séminaire sur www.fireblight2010.pl.
les Goldens pour diminuer les mâchures
qui est le fléau numéro un sur cette
variété.” Si Pierre Iltis traite lui aussi ses
Goldens, il étend pour les mêmes raisons
l’application du Foliphos aux Pink Lady.
“Mais il est aussi intéressant de
pouvoir passer tôt sur les Goldens avec
le Folical. On lutte ainsi plus facilement
contre le bitter pit. L’apport de
calcium est plus efficace !”, précise-t-il.
Globalement, tous se disent conquis par
l’efficacité des Physio Activateurs. Pierre
Iltis qui utilisait Foliphos et BM Start chez
son employeur précédent a d’ailleurs
favorisé l’introduction des produits
Goëmar chez Jouffruit : “Il y a de nombreux
phénomènes que nous ne maîtrisons pas,
à commencer par le climat. Nous essayons
de sécuriser au maximum notre récolte
grâce à l’emploi des Physio Activateurs”,
indique-t-il, en ajoutant qu’il envisage de
renforcer l’emploi de BM Start sur d’autres
variétés comme la Smoothee, du fait de
sa propension à l’alternance. “L’apport des
Physio Activateurs est essentiel pour
sécuriser la mise à fruit et pour la qualité
du démarrage du jeune fruit”, insiste Yves
Pagès. Des aspects qui apparaissent
d’autant plus fondamentaux dans une
période économiquement difficile,
comme le remarque Régis Samuel : “Vu la
conjoncture, on ne peut pas faire
l’impasse sur des éléments qui assurent
un tonnage et une qualité.” C’est évident !
Autre clef de réussite : réussir à
limiter la main-d’œuvre à engager pour
l’éclaircissage manuel. Ce poste peut en
effet très rapidement se traduire par un
surcoût de plusieurs centimes d’euro au
kilo de pommes. Enfin, l’obtention d’un
pourcentage élevé de premier choix avec
une majorité de calibres 75-80 mm reste
un aspect déterminant de la rémunération
au verger. Pour obtenir de bons résultats
sur ces points, il faut réussir l’éclaircissage
chimique. Il est aussi très important
de bien réguler l’équilibre pousse/fruit.
Cela est lié à une taille soignée pendant
l’hiver avec pratique de l’extinction
notamment sur les variétés telles que
Gala ainsi qu’à une bonne maîtrise de la
fertilisation et de l’irrigation. Les Physio
Activateurs Goëmar contribuent notamment
à optimiser l’éclaircissage et la fertilisation.
Ces Physio Activateurs,
comment les utilisez-vous ?
Nous employons BM Start sur la totalité du verger
à raison de trois applications à 2 l/ha. Lorsque la
climatologie n’est pas favorable nous allons jusqu’à
cinq applications. Son impact sur la différenciation
du bouquet a clairement été observé chez nous
avec toutes ses conséquences sur la maîtrise de
la charge et sur le calibre à la récolte. Foliphos est
appliqué sur les variétés Golden, Belchard
®
, Fuji et
Granny – soit 40 % du total du verger – à raison
de trois applications dès le stade nouaison. Son
intérêt est double : réduction des meurtrissures et
augmentation du calibre. Nous utilisons enfin Folical
sur Golden et Belchard
®
– soit 25 % du total des
surfaces – pour améliorer la teneur en calcium dans
les fruits. Il faut souligner que la gamme Goëmar
répond par ailleurs parfaitement à notre engagement
sur le développement durable.
Pourquoi maintenir les Physio Activateurs
dans votre stratégie de production ?
Quand l’année est difficile, on pourrait envisager
de faire des économies sur un poste comme les
stimulants foliaires. Mais ce serait une erreur car le
retour sur investissement est bien là ! Nous l’avons
régulièrement observé depuis 1998, lorsque nous
avons commencé à utiliser la gamme Goëmar sur
notre verger. Nous estimons que les Physio
Activateurs contribuent à l’obtention d’un tonnage
élevé en fruits de qualité tout en facilitant la maîtrise du
poste éclaircissage. Or, ces paramètres sont encore
plus fondamentaux en année économique difficile.
Comment envisagez-vous
la prochaine campagne ?
Nous espérons évidemment une amélioration
économique pour 2011. D’autant que certains
clignotants semblent plus positifs qu’à la même
époque l’an dernier : les prix ont retrouvé une
légère croissance en fin de campagne et les
stocks semblent assez faibles en France. Il
nous paraît essentiel que les consommateurs
redeviennent plus “croqueurs” de pommes en
redécouvrant l’image d’un fruit bon, beau et sain. Vu
que la production de pommes belles et grosses à coûts
maîtrisés reste fondamentale pour l’année à venir,
nous allons continuer à utiliser la gamme Goëmar !
Dirigé par Joseph Socheleau, Vergers
la Blottière regroupe 340 ha, au-delà
des 110 ha de son propre verger, pour
une production de 14 000 tonnes de
pommes et 1 000 tonnes de poires.
Créée en 1961 – une tradition familiale
de trois générations –, elle possède
un savoir-faire reconnu autour de trois
pôles : production, conditionnement et
commercialisation avec un engagement
marqué dans le développement durable
en tant que cofondateur de Demain la
terre en 2004.
Quels ont été les points clés
de la réussite économique du verger
dans le contexte 2010 ?
Le diviseur est un élément capital.
La production d’un tonnage hectare
régulier de 60/70 tonnes est optimale
pour un verger adulte de 3 mètres de haut.
)
“Avec les Physio Activateurs, le retour
sur investissement est bien là !”
• Pierre-Yves Girard, responsable de verger,
Vergers la Blottière à Saint-Georges-des-Gardes (49)
Interview
derniers travaux en cours. Goëmar était bien sûr présent et a
pu détailler son dossier Laminarine, la matière active de Iodus
2 CS. Homologué dans un certain nombre de pays, souvent
sous le nom Vacciplant, ce produit est utilisé contre cette
bactériose en France depuis trois saisons ainsi qu’en Grèce,
en Allemagne, au Maroc, en Belgique et en Slovaquie.
Un sujet très intéressant pour les participants puisque
certaines cultures sont confrontées à des Pseudomonas ou
autre Xanthomonas dans le bassin méditerranéen ou aux
États-Unis. Or, lodus 2 CS est un outil efficace pour renforcer
naturellement l’immunité de la plante et réduire
significativement l’impact négatif de tels pathogènes.
Pour en savoir plus, il suffit de consulter le site Internet
(en anglais) du séminaire sur www.fireblight2010.pl.
(en anglais) du séminaire sur www.fireblight2010.pl.
Pierre-Yves Girard

N° 18 Automne 2010
Directeur de la Publication :
Daniel Jobbe Duval
Rédaction : EDITO
François Midavaine – Karine Poulard
Crédits photos :
Laboratoires GOËMAR
Conception et Réalisation :
LM Y&R 2010
Imprimerie :
TPi/Betton - 35
Dépôt légal à parution, ISSN 1626-1364
Laboratoires Goëmar – La Madeleine – 35 400 Saint-Malo – Tél. [phone] – Fax [phone] – e-mail : [email protected] – www.goemar.com
Pour recevoir gratuitement les prochaines éditions du journal
L’Arboricole retournez-nous ce bulletin par fax au 02 99 82 56 17.
Nom ......................................................................................................................................................Prénom ..........................................................................
Profession ..........................................................................................................................................................................................................................................
Adresse ...........................................................................Ville .........................................................................................................................................................
CP ..................................................................................................................................................................................................................................................................
Ville ..............................................................................................................................................................................................................................................................
Le spécialiste des
technologies durables
pour l’agriculture a
changé d’actionnaire
en juin dernier.
L’arrivée de BeCapital
apporte à Goëmar
de nouveaux moyens
pour poursuivre
son développement.
Une bonne nouvelle
pour la filière
arboricole…
• Un nouvel actionnaire pour Goëmar
La vision partagée
d’une agriculture innovante
Dans une situation
économique
fluctuante pour
l’arboriculture, les
solutions Goëmar
apportent des
réponses qui
peuvent faire la
différence.
Explications.
"
Pour Goëmar, les enjeux étaient simples : il fallait
disposer des ressources suffisantes pour construire
un groupe industriel fort et en phase avec les grandes
préoccupations actuelles du monde agricole. Les
arboriculteurs doivent en effet aujourd’hui répondre
aux attentes des consommateurs favorables à une
agriculture plus respectueuse de l’homme et de son
environnement. Un tel cahier des charges néces-
site d’avoir accès à des solutions techniquement et
commercialement éprouvées. C’est pourquoi Goëmar,
engagé depuis déjà longtemps dans la recherche de
solutions innovantes et durables, devait accélérer son
processus de développement pour s’intégrer dans
ce chantier essentiel : la mise au point d’un modèle
agricole positif pour allier la croissance économique à la
restauration du capital environnemental. Avec, en premier
lieu, la mise au point d’un modèle performant et sans
toxicité pour l’homme et l’environnement, qu’il s’agisse
des sols, de l’eau ou de l’air.
Développer un modèle agricole positif
Pour BeCapital – voir encadré –, l’activité de Goëmar
apporte des réponses concrètes à cet enjeu agricole
majeur. En effet, depuis sa création à Saint-Malo en 1974,
Goëmar a développé son activité de recherche pour
élaborer et commercialiser des produits destinés à la santé
des plantes, et qui sont respectueux de l’homme et de
l’environnement. Ses solutions bénéficient d’un positionnement
unique dans les domaines de la nutrition des plantes avec
la large gamme de Physio Activateurs et de leur protection
avec les stimulants naturels des défenses des végétaux.
Éprouvées scientifiquement et validées par ses utilisateurs,
ces gammes sont diffusées dans les domaines des
grandes cultures, de l’arboriculture, de la viticulture et
des cultures maraîchères. En matière de protection des
vergers, Goëmar a développé son vaccin des plantes,
Iodus 2. Homologué sur Feu Bactérien, il est en attente
d’extension sur tavelure et en cours de développement sur
moniliose. Le groupe Goëmar est donc fier de la confiance
que lui accorde un investisseur comme BeCapital qui
participe à la construction de l’économie de demain. Cela
démontre une fois de plus, si besoin, que Goëmar, à vos
côtés, s’inscrit résolument dans cette nouvelle économie.
Le nouvel actionnaire
BeCapital est une société d’investissement fondée en
2009 à l’initiative de BeCitizen, Cobepa et la Compagnie
Benjamin de Rothschild. Son objet exclusif est de prendre
des participations dans des entreprises innovantes
développant une technologie à forte plus-value
environnementale et de les accompagner dans leur
développement à moyen terme. Éprouvée techniquement
et commercialement, cette plus-value environnementale
est évaluée selon les cinq bilans de l’économie positive :
énergie, climat, ressources, toxicité, biodiversité. Outre
Goëmar, BeCapital a investi dans deux autres sociétés
éco-innovantes : Northern Power Systems, producteur
américain d’éoliennes de nouvelle génération, et Helveta,
développeur anglais de logiciels dédiés au suivi des
flux logistiques forestiers, alimentaires et de l’industrie
extractive pour la certification de conformité aux normes
légales et environnementales.