REMERCIEMENTS
Je tiens avant tout à adresser ma profonde gratitude à celui qui m’a encouragée et
soutenue au quotidien, tout au long de ce processus qu’est une thèse de doctorat. Il a
alimenté mes réflexions et m’a abreuvée de ses connaissances, tout en me confrontant
à la rigueur intellectuelle. Jean Hénaire méritait plus qu’une dédicace.
Mes premiers remerciements vont aux membres de mon comité de recherche qui ont
su me conseiller judicieusement tout en me laissant travailler très librement. Tout
d’abord, à mon directeur, Gérald Boutin qui m’a patiemment accompagnée dans mon
cheminement depuis la maîtrise, se rendant disponible chaque fois que j’ai fait appel à
lui. Il a su éveiller en moi un intérêt insoupçonné pour les questions d’ordre
épistémologique et a m’a initiée aux méthodologies qualitatives. Ensuite à ma co-
directrice Carmen Parent pour sa non moins grande disponibilité, la fertilité des
débats méthodologiques que nous avons eus et le regard minutieux qu’elle a porté sur
chacune des versions de ma thèse que je lui ai soumise.
Je suis reconnaissante à Jacques Chevrier d’avoir bien voulu me consacrer de son
temps pour m’initier à l’utilisation du logiciel Atlas.ti qui m’a été très utile pour
l’analyse des données.
Je tiens également à remercier les professeurs que j’ai côtoyés durant ma scolarité et
qui, par leurs commentaires et leurs questions, m’ont permis de clarifier l’objet de
cette thèse et m’ont donné de nouvelles pistes de réflexion : Christiane Gohier,
Élyzabeth Mazalon, Gilles Thibert et Colette Baribeau.
Je sais gré à toutes les personnes qui ont permis la réalisation de cette thèse : celles
qui m’ont accueillie dans leur école, dans leur classe, de même que le personnel de la
CSDM qui a su me conseiller dans le choix des écoles : Robert Cadotte, à l’époque
Commisaire, et Pierre Chartrand, conseiller pédagogique.