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- Evaluations (Version PDF) -
Item 270 : Pathologie des
glandes salivaires (Evaluations)
Date de création du document
2008-2009
- © Université Médicale Virtuelle Francophone -
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QCM
QUESTION 1/5 :
Les signes cliniques et les examens qui nous permettent de reconnaître une calcinose
salivaire sont :
A - le diagnostic d'oreillons, une tuméfaction unilatérale, douloureuse accompagnée
d'adénopathies, voire inflammatoire ; l'augmentation de la vitesse de sédimentation combinée
avec une hyperleucocytose.
B - les poussées de parotidite et rarement de submandibulite, des épisodes inflammatoires et
des symptômes de lithiase ; une radiographie simple objective suffit pour démontrer des
multiples concrétions se projetant dans la glande.
C - la notion de contage, une rougeur à l'ostium du canal de Sténon, une tuméfaction
parotidienne, parfois submandibulaire, un syndrome infectieux modéré.
D - la déshydratation, la déficience de l'état immunitaire des patients et un examen
radiologique nous amenant vers le diagnostic de la lithiase.
(Réponse : B )
QUESTION 2/5 :
Pour pouvoir diagnostiquer une lithiase salivaire, on doit procéder en se fondant sur des
signes cliniques et des examens complémentaires. Précisément, la colique salivaire est :
A - une cellulite du plancher buccal provoquant une douleur vive de l'oreille, une fièvre
modérée, une dysphagie et une hypersialorrhée.
B - un abcès péricanalaire accompagné de douleurs vives, un trismus, une tuméfaction de du
plancher buccal et une issue de pus par l'ostium de Wharton.
C - liée à une tension de la région submandibulaire, associée à une dysphagie importante et une
fièvre à 38 - 39 °C.
D - secondaire à l'arrêt du flux salivaire qui résulte de l'enclavement du calcul, est une douleur
vive à cause du blocage du flux dans le canal excréteur.
E - correspond à un blocage partiel et momentané de l'écoulement salivaire à l'occasion d'un
repas, traduit par une tuméfaction douloureuse de la glande suivie par une sensation de
pesanteur et de tension de la région cervicale.
(Réponse : D )
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QUESTION 3/5 :
Chez l’enfant les deux tumeurs les plus fréquentes des glandes salivaires sont :
A - les adénomes pléiomorphes et les tumeurs muco-épidermoïdes.
B - les cylindromes et les hémangiomes.
C - les rhabdomyosarcomes et les oncocytomes.
D - les hémangiomes et les rhabdomyosarcomes.
E - les adénomes pléiomorphes et les cylindromes
(Réponse : D )
QUESTION 4/5 :
Le groupe le plus important des tumeurs malignes de la glande sous-maxillaire ainsi
constituant la moitié des tumeurs des GSA, plutôt situé à l’âge de 60 ans, ayant une
évolution lente et une capacité de métastasique viscérale essentiellement pulmonaire est
celui des :
A - adénocarcinomes.
B - lipomes.
C - neurinomes.
D - cylindromes.
E - tumeurs muco-épidermoïdes.
(Réponse : D )
QUESTION 5/5 :
Choisissez la séméiologie correspondante au diagnostic des tumeurs de la glande sousmaxillaire :
A - une tumeur solitaire au niveau d'une zone comportant des glandes salivaires accessoires,
constituant une masse dure bien limitée, mobile et indolente.
B - une tumeur d'apparence manifestement maligne, douloureuse, fixée, infiltrée, mal limitée,
ulcérée, hémorragique.
C - la durée et la rapidité d'évolution, la sensibilité, les douleurs, une maladresse lingual, des
antécédents de lithiase salivaire.
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D - des problèmes ou des soins dentaires récents, la séparation de la masse de la mandibule par
un sillon, la présence d'une salive hémorragique.
E - l'induration, l'ulcération muqueuse ou cutanée, la mobilité dentaire en dehors de tout
contexte de parodontopathie ou d'altération dentaire primitive.
(Réponse : CDE )
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