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2. À partir de 2005, la gouvernance, plus décentralisée, utilise des « lignes
directrices intégrées » et des plans nationaux................................................ 46
a) Une gouvernance jugée à la fois complexe et insuffisante................................ 46
b) L’adoption de lignes directrices intégrées triennales et l’élaboration de plans
nationaux......................................................................................................... 47
c) Une implication accrue des institutions européennes et les conséquences
budgétaires...................................................................................................... 49
d) Le premier bilan de la portée du changement intervenu en 2005...................... 49
3. La mise en place de « la Stratégie de Lisbonne renouvelée »...................... 50
D. 2008-2010, « LISBONNE III » MARQUE LA FIN DE LA STRATÉGIE DE LISBONNE... 50
DEUXIÈME PARTIE : COMME L’ILLUSTRE LA SITUATION DE LA FRANCE,
LA STRATÉGIE DE LISBONNE S’EST RÉVÉLÉE DÉCEVANTE............................ 53
I. LES OBJECTIFS DE LISBONNE N’ONT PAS ÉTÉ ATTEINTS...................................... 53
A. LES PERFORMANCES TRÈS DIVERSES DES ÉTATS MEMBRES........................ 53
1. L’objectif chiffré de croissance économique n’a pas été atteint.................... 56
a) L’objectif emblématique du taux de croissance de 3 % du PIB européen en
moyenne n’a pas été atteint.............................................................................. 56
b) Une comparaison entre l’UE-27 et les États-Unis montre la faiblesse de
l’Union européenne ......................................................................................... 56
2. Des progrès significatifs mais fragiles enregistrés en matière de taux
d’emploi .............................................................................................................. 57
a) Une progression globale du taux d’emploi, mais l’objectif des 70 % n’est pas
atteint par la plupart des États membres.......................................................... 57
b) Certains groupes demeurent fragiles au regard de leur situation vis-à-vis de
l’emploi ........................................................................................................... 59
c) La qualité des emplois créés reste difficile à mesurer....................................... 59
3. Les investissements publics et privés dans la recherche et
développement : l’objectif des 3 % du PIB s’est révélé hors de portée........ 59
a) Seuls deux pays atteignent l’objectif global en 2010 ........................................ 60
b) La stagnation de l’effort européen en matière de recherche est préoccupante
dans un contexte de mondialisation croissante des économies.......................... 60
B. LE CAS DE LA FRANCE NE SE DISTINGUE PAS SIGNIFICATIVEMENT DE LA
SITUATION DES AUTRES ÉTATS MEMBRES......................................................... 62
1. Le suivi des indicateurs de Lisbonne .............................................................. 62
a) L’audition de M. Laurent Cohen-Tanugi par la délégation pour l’Union
européenne...................................................................................................... 62
b) Les travaux du Conseil économique, social et environnemental (CESE)........... 63
c) La « Position française sur la stratégie Europe 2020 ».................................... 63
d) Les données fournies par Eurostat................................................................... 63