2nde 3 - le 7 novembre 2013
DEVOIR DES SVT - ÉMENTS DE CORRECTION
Diversité et parenté du vivant
La notation tiendra compte de la rédaction de vos réponses ainsi que de l’orthographe !
Exercice 1
Restitution des connaissances
1) Parmi les propositions suivantes, cocher la ou les réponses exactes. ( / 4,5pts)
a- Actuellement, la biodiversité des écosystèmes :
n’est pas totalement connue, il reste de nombreuses espèces à identifier
augmente lors de la disparition de certaines espèces
est stable au cours du temps
est identique à celle des temps passés
évolue sous l’effet de l'Homme uniquement.
b- La photographie ci-contre n°1 illustre :
la diversité des écosystèmes
la diversité génétique
la diversité des espèces.
c- La photographie ci-contre n°2 illustre :
la diversité des écosystèmes
la diversité génétique
la diversité des espèces.
d- Trouver le (ou les) intrus dans cette liste d’axes de polarités présents chez les Vertébrés :
axe nord-sud
axe devant-derrière
axe oblique
axe antéro-postérieur
axe dorso-ventral
axe gauche-droite.
e- Les Vertébrés ont en commun :
quatre axes de polarité
une tête, un tronc et des membres antérieurs et postérieurs
un mode de vie
deux axes de polarité (+ symétrie… alors oui)
trois axes de polarité
des poumons.
2) Compléter avec soin le document ci-dessous afin d’indiquer les axes de polarité de l’éléphant. ( / 3pts)
Axes tracés correctement,
fléchés, croisés en un point
unique.
Légende des axes.
Titre : Représentation des axes de polarité d’un éléphant à partir d’une photographie.
Source : http://www.jedessine.com
Source : http://www.umotest.com
PHOGRAPHIE N°1
Source : http://japagime.centerblog.net
PHOGRAPHIE N°2
avant
droite
gauche
dos
ventre
Source : http://lamalledesvt.chispasdesal.es
Exercice 2
Pratique du raisonnement scientifique
L’organisation interne et les liens de parenté.
Déterminer, à partir de l’étude du document ci-contre, les arguments en
faveur d’une parenté entre les Vertébrés présentés. ( / 2,5 pts)
Les parties constitutives des encéphales (à citer) des Vertébrés
présentés sont similaires. Malgré la taille des parties qui est
variable (détails pas utiles pour CETTE question), les encéphales sont
composés d’éléments communs, eux-mêmes organisés de
façon similaires, on en déduit qu’il existe un lien de parenté
entre ces Vertébrés.
Exercice 3
Pratique du raisonnement scientifique
La crise du Permien-Trias.
1) Décrire de façon rigoureuse l’évolution des bivalves
du Permien au Trias. ( / 4pts)
Du début à la fin du Permien, le nombre de genres de
bivalves diminue passant d’environ 100 à 50 genres.
Puis cette diminution s’accentue au début du Trias
(moins de 50 genres).
Ensuite, le nombre de genres de bivalves augmente
jusqu’à la fin du Trias pour atteindre +/- 130 genres.
2) Montrer que la limite Permien -Trias correspond à
une crise biologique. ( / 2pts)
A la limite Permien-Trias, le nombre de genre de
bivalves, de nautiloïdes, de bryozoaires, d’ammonites, d’échinoïdes et d’éponges diminue de
façon significative.
De plus, certains êtres vivants comme les trilobites se sont éteints suite au passage permo-trias
car le nombre despèces diminue jusquà devenir nul.
L’évolution du nombre de genres de ces EV illustre une crise biologique (changement important et
brutal des conditions de vie).
Exercice 4
Pratique du raisonnement scientifique
Les récifs coralliens et les variations climatiques.
Les récifs coraux abritent plus d’1/3 des espèces de poissons. Aujourd’hui, ils sont gravement menacés de destruction par la pêche, la
pollution et les espèces invasives. Les coraux sont des animaux fixés, et ils s’alimentent grâce à une algue microscopique qui vit en
étroite association avec eux. En présence de lumière et de matière minérale, cette algue produit des glucides comme le sucre, lors de la
photosynthèse. Ensuite, elle transmet une partie de ces sucres au corail.
Evolution de l’activité photosynthétique d’une algue (associée avec un corail) en fonction de la
À chaque température, on a déterminé l’activité photosynthétique. Celle-ci est exprimée
en % de l’activité de photosynthèse mesurée aujourd’hui dans le milieu de vie du corail (à 32°C).
Sachant que les climatologues prévoient qu’en 2050 la moyenne
de la Terre aura augmenté de 1 à 3°C (en partie suite à l’accumulat°
de gaz à effet de serre), expliquer pourquoi les récifs coralliens sont en danger.
Les coraux vivent avec des algues microscopiques.
Ces dernières réalisent la photosynthèse, ce qui leur permet de donner des glucides (= sucres) au corail.
D’après le graphique, la température actuelle de l’eau (32°C) permet à l’algue d’avoir une activité
photosynthétique maximale et donc de produire une grande quantité de glucides. Ces glucides
serviront au fonctionnement de l’algue ainsi qu’au corail.
Par contre, si la température diminue de 1 à 3°C, l’activité photosynthétique de l’algue diminue, passant
de 100% (pour T°= 32°C) à 20% (pour T°=34°C). L’algue ne produit alors d’une très faible quantité de glucides.
Cette faible production de glucides ne peut permettre le bon fonctionnement des coraux qui peu à peu
risquent de mourir. Les coraux sont donc menacés par un réchauffement climatique.
Evolution de quelques familles de la faune marine
au cours du Permien (ère primaire) et du Trias (ère secondaire)
Source : Hatier SVT 2nde - édition 2010
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