Question 1 :
Les protéines humaines recombinantes sont des molécules thérapeutiques
puissantes. Dans le cadre d’une thérapeutique substitutive chez des patients
présentant un déficit génétique, décrivez la réponse que le patient risque de
développer, et sa conséquence sur l’efficacité thérapeutique de la molécule :
Anticorps neutralisants (5)
Dans le cadre de l’activation des lymphocytes B T dépendante, par un antigène
protéique « exogène » (compléter le texte) (5)
Quelle est la cellule présentatrice d’antigène qui va prendre en charge l’antigène en
périphérie ? Cellules dendritiques
La protéine antigénique est dégradée en peptides qui sont présenté par le CMH de
classe II à la surface des cellules présentatrices d’antigènes. Une fois activées, ces
cellules migrent dans les ganglions lymphatiques
Les lymphocytes T CD4 naïves criblent les cellules dendritiques activées. Si le
TCR du lymphocyte est activé par la reconnaissance du CMH de classe II chargé
avec le peptide , le lymphocyte T quitte la zone T du ganglion lymphatique et
migre vers les follicules où résident les lymphocytes B.
A l’aide d’un schéma, décrivez la synapse immunologique entre ces 2 cellules (5)
Peptides et CMH de classe II == Recepteur T et CD3 plus CD4 qui vont donner un
signal issu du TCR
Signal de costimulation CD28 sur les L et B7 1 /2 sur les cellules dendritiques