Chapitre 1 : La détermination de l`équilibre macroéconomique

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Chapitre 1 : La détermination de l’équilibre macroéconomique par la DG
Cette proposition de Keynes de la théorie générale de 1936 fut révolutionnaire vis-à-vis de
la théorie antérieure bien que l’importance de la DG n’avait pas échappé aux sociétés urbaines.
La révolution de la thèse macroéconomique vient de l’approche par l’offre développée par
Turgot qu’il présente lui-même comme étant révolutionnaire non par une approche exclusive par la
DG, mais par un mélange de concept qu’il considérait comme insatisfaisant. Ces concepts issus de la
pensée mercantiliste considéraient à la fois la DG et l’OG qui par conséquence brouillaient les pistes.
C’est ainsi que Turgot propose d’adopter le point de vue de l’offre et de faire de l’épargne la base de
la croissance économique à long terme. Pour autant la DG est bien présente, qui en théorie doit
suivre le moteur de l’économie qu’est l’offre. Le principe de cette ????? est la loi de Say associée à la
théorie de Turgot. Historiquement les Grecques ont beaucoup parlé de l’utilité de l’épargne
publique.
En 1936 Keynes admettra qu’il y a un conflit, mais pour lui c’est la DG qui est moteur de
l’économie, il faut ainsi construire un mécanisme économique où le montant du produit national sera
déterminé par le montant d’équilibre de la DG.
Les questions à se poser sont :
- pourquoi les consommateurs consomment autant ou si peu ?
- pourquoi les investisseurs investissent autant ou si peu ?
On retombe ainsi sur les fonctions de consommation C=f(Y) et d’investissement I=f(i).
A court terme le problème d’association ne se pose pas, car à court terme les consommateurs
peuvent consommer en utilisant leur réserve, et les investisseurs avec des méthodes pas très bien
connus. Si on admet qu’il n’y a non pas un montant donné, mais qu’on peut expliquer ce montant par
d’autres variables, alors il y a un problème d’équilibre. C’est ce que Keynes a cherché à expliquer à
travers la DG en cherchant à monter qu’il y a une relation d’équilibre qui joue entre fonction C et I.
Section 1 : L’interaction des deux fonctions fondamentales dans la théorie générale de
Keynes
I /Le mécanisme initiale de la théorie générale
Le principe que pose Keynes de manière très ferme dans la théorie générale est que
l’I est toujours une fonction autonome par rapport au niveau du produit national qui
n’entre donc pas en considération pour déterminer le niveau de l’I. Donc si on considère une
période économique donnée, on peut considérer que pour cette période le montant de l’I
constitue une donnée qui va déterminer la DG. L’I reste toutefois une fonction déterminée
par des variables économiques :
-
Le taux de rentabilité
Le taux d’intérêt
Pour tout I dont la rentabilité>i, il y a une décision positive d’I ou ce montant
d’investissement va apparaître comme une donnée de la détermination du produit
nationale. Dans la période suivante l’I peut être beaucoup plus haut ou bas sans modification
du taux d’intérêt, mais du fait de l’idée que se font les investisseurs de la rentabilité devenue
différente. Par conséquent, nous pouvons dire que l’I est fondé sur l’état psychique des
investisseurs même si cette décision prend la forme d’un taux de rentabilité. L’I est ainsi une
variable autonome qui est source d’une DG. En revanche la fonction de consommation nous
indique que l’autre grande composante de la DG dans le cadre Keynésien est totalement
soumise au montant du produit national :
C=c(Y)
L’I est donc la seule source de DG dans l’économie. Puisque l’I est instable selon la période,
alors l’économie est fondamentalement instable.
Reste à comprendre comment l’I lui seul va générer un montant du produit national
qui sera un multiplicateur de cette I, c’est le fameux mécanisme du multiplicateur de
Keynes. Comment va s’établir l’équilibre économique ?
Solution de Keynes : Une partie du revenu est transformé en
épargne qui va s’accumuler à chaque tour de circuit dont une
partie ne reviendra pas et s’accumulera. L’équilibre se fera lorsque
I sera égal à S.
A l’équilibre Yo=Yd, toutefois chez Keynes il existe un équilibre de
sous emploi, et aucun mécanisme ne considère que l’équilibre se
fait au plein emploi. Pour avoir un plein emploi continu il faut une
politique de régulation.
Yo=Yd
(1-c)Yo+cYo=cYo+I
Yo=I/1-c (c étant la propension à C)
Y est déterminée par x et c.
Multiplicateur=1/1-c
Keynes admet un équilibre ouvert. Pour chaque période, la DG à un montant bien
déterminé et donc le produit national aussi. En revanche chez le théorie du circuit des pré
keynésien ceux critiquant l’approche de Turgot par l’OG, l’approche se faisait par un circuit
fermé aux résultats indéterminés.
Sur le plan analytique, Keynes propose une approche par la DG qui affirme la
possibilité de fixer pour chaque période le niveau du produit national. La consommation
dépend des revenus distribués à travers les opérations de production. Il faut semble il
considéré le produit national comme une variable déterminante de la consommation.
Toutefois le principe Keynésien est que le montant du produit offert est le reflet de la DG et
se passage nécessaire par le produit offert n’est pas un élément déterminent dans le
système économique car le système qui doit s’établir ne concerne pas le montant du produit
il concerne la DG elle-même. En effet il y a deux signification quant à l’égalité que l’on
emploi :
 L’égalité entre le produit offert et demandé où dans le cadre keynésien est toujours
réalisé. Il s’agit non pas d’un équilibre offre demande mais d’une égalité
automatique.
 L’équilibre Keynésien se situe au niveau de la DG. La DG doit se trouver égale à ses
composants or une des composantes qui est la consommation fonction elle-même du
produit nationale Yd=cYd+I
L’équilibre keynésien est un équilibre de la DG qui provoque une détermination de la
consommation, il faut qu’il y ait un niveau de consommation générer par cette DG
qui ajouté à l’I soit égale a cette DG. DG+I=DG
Le produit se fixe indifféremment en situation de sous emploi ou en situation de sur
emploi de ces capacités productives.
Dans
ce
schéma
simplificateur on considère que C
est une fonction linéaire de la DG
mais cette formule n’est pas
satisfaisante à CT. En effet la C
présente dans toutes les analyses à
CT des éléments de résistance à
l’influence des revenus distribué. Si
R baisse C ne baisse pas dans les
même proportions et inversement. A court terme la consommation est une consommation
autonome.
II/ La politique économique keynésienne dans le cadre du modèle élargie
Les instruments d’action existant reposent sur d’autres variables qui contribuent à la
formation de la DG à coté de l’I et de la C. Ces variables sont celles fiscale et budgétaire, c’est
a dire qu’il y a dans le circuit économique la dépense publique , et parallèlement le montant
des taxes destiné à financer ces dépenses publiques, qui vient réduire le Yd du
consommateur qui tente a réduire le niveau de la consommation et donc de la DG.
Il y a par ailleurs le jeux des variables extérieurs, les X d’un coté qui apparaissent comme une
demande adressée aux consommateurs nationaux et les M qui apparaissent comme un
emploi des capacités de demande des agent internes soustraite a la DG car adressées à des
producteurs étrangers dont l’activité n’a aucune influence sur le produit national.
Le ralentissement de l’économie américaine ces derniers temps est du à un fort
accroissement des M qui à donc ralentie l’économie. Au contraire l’économie allemande elle
a de bon résultat du fait des ces forte hausse d’X qui à augmenter les ventes allemande à l’X.
Les variables budgétaire et fiscale sont des instruments de politique économique, toutefois
on comprend moins bien que les X et M soit considérée comme des variables économiques
car très sensibles à l’évolution des parités monétaire international. Une baisse d’une devise
facilite les X et décourage les M. Inversement.
Les taxes sont un non revenu pour les consommateurs qui viennent peser sur la C. Les X sont
peut être une source autonome par rapport au circuit car c’est une demande qui vient de
l’extérieur et n’a pas de rapport avec le circuit interne.
En réalité les choses sont moins claires
qu’avant, il faut admettre que la consommation du
circuit est uniquement celle adressé aux
producteurs nationaux car s’il ‘agissait d’une
demande de C adressé à une Demande étrangère
elle passerait du coté des M. Or les consommateurs
ne distinguent par vraiment entre les produits
nationaux et étrangers. De la même manière les investissement sont faits en produit
étrangers et n’apparaissent plus comme une source mais plutôt comme une fuite. Ce circuit
n’est donc plus vraiment d’actualité.
Equilibre de la DG :M+S+T=X+I+G
Cette politique repose sur un équilibre entre la demande effective qui est anticipée
par les agents producteurs, ceci les amènes à envisager une production de tel montant, puis
une répartition de tel revenu. Il y a d’une part une dépense d’I, ainsi qu’une dépense de C
qui dépend de la production mise en œuvre.
Le résultat est que quelque soit la demande anticipée par les producteur, la structure de la
demande composée donc d’I et de C va déterminée un niveau unique de demande effective
qui fixera pour la période le montant de production réelle dans l’économie, le montant des
revenus distribués ,ces deux élément s’alignant sur la demande globale effective. On aura en
principe une égalité entre la production, le revenu et la demande, mais dans un système
d’équilibre où la structure de la demande commande de manière exclusive le niveau
d’équilibre. Autrement dit, si les producteur envisageaient une demande effective plus
élevée, leurs efforts de production se heurteront à une insuffisance de la demande qui elle
baissera, ils réduiront leur production jusqu’au niveau d’équilibre.
Inversement, dans le cas ou les producteurs seraient pessimistes, ils engagent une
production insuffisante, mais la demande qu’ils rencontrent sur le marché étant supérieur à
cette production ils vont relever leur niveau de production et on retrouvera toujours le
même équilibre au niveau de la demande effective.
Ceci peut paraître relativement logique, il y a une structure qui s’impose pour la période.
Toutefois ceci est une spécificité de la théorie générale de Keynes et des modèles qui
en découlent, car traditionnellement par l’approche par la demande ont à tendance à
souligner que les anticipations sont auto réalisatrices dans une large mesure.
Si les entrepreneures sont optimistes ils vont développer la production, ils vont sans doute
aussi investir et ils vont accroitre les revenus des agents qu’ils emplois ; on à donc
l’impression que le flux de demande qui en résulte va à peu près équilibrer l’accroissement
de production qu’il vont réaliser, donc leurs anticipations optimistes auront étaient auto
réalisatrices, cad qu’ils auront crée par cette optimisme les conditions de la demande et de
la production.
Le second empire est une période de prospérité économique ou leur technique en cas de difficulté était d’organiser de
grandes fêtes ; l’optimisme qui résultait de ces grandes fêtes était censé relever les dépenses de production, de
consommation et ainsi relancer l’activité économique.
Mais le côté pessimiste devrait être tout aussi auto réalisateur.
En effet si les producteurs sont pessimistes, ils vont réduire leur offre, les emplois, l’I sans
doute, et ils vont donc générer une baisse de la demande globale, qui, à l’extrême, l’a
ramené au niveau de la demande global diminuée qu’ils anticipaient au départ.
C’est un phénomène connu en 2008, mais avec un phénomène aggravant par le mécanisme
du déstockage qui accentue cette autoréalisation négative. Quand ils anticipent une baisse
de la demande, leur réaction consiste a vendre d’abord leur stock, et donc à arrêter la
production partiellement tant que ces stocks ne sont pas écoulés. Le résultat est que la
production s’arrête, leur I également ,ils réduisent ainsi fortement leurs revenus distribués,
ce qui tente à un résultat qui dépasse leurs anticipation négative et provoque une « chute
libre » qui cette fois peut aller très loin dans la chute de la production et de la demande.
Malgré le pessimisme latent de l’approche Keynésienne, du fait qu’elle considère que
l’économie est plutôt en sous emploi, il existe toutefois un équilibre dans ce sous emploi et il
n’y a pas de tendance à l’effondrement comme celui connu en 2008.
En effet, que les entrepreneurs soit optimistes ou pessimistes dans l’optiques de la théorie
générale l’équilibre sera toujours le même puisqu’il est commandé par les structures de la
demande globale, cad le montant de l’I et la propension à C considérée comme stable à
court terme.
Ceci est Important pour la prévision économique car si la conviction est que dans
chaque période il y a équilibre de la DG et du produit qui résulte d’une variable exogène ici
de l’ l et d’un coefficient particulier qui s’applique à la consommation, ont à le sentiment de
pouvoir prévoir l’évolution économique à partir de l’hypothèse sur I et du coefficient c.
L’hypothèse peut être élargie pour l’I à l’X aux G, et comme coefficient fixe à l’M par
exemple, se sont les fameux modèles économétrique qui au fil du temps données des
résultats catastrophiques. L’aspect le plus fragile de ces hypothèses est les coefficients fixes,
car les consommateurs ne gardent pas le même coefficient de consommation selon la
conjoncture économique.
La conclusion est qu’il faut peut être raisonner non pas sur des grandes variables de
ce types, mais sur des comportements d’agents qui s’adaptent aux circonstances et qui en
partie modifient les coefficients pour s’adapter aux circonstances.
Quoi qu’il en soit, ce qui est frappant ces qu’il y a un équilibre précis à chaque période selon
Keynes. La politique keynésienne à l’ambition d’intervenir de manière extrêmement précise
en corrigeant exactement l’écart qu’il soit inflationniste ou déflationniste.
L’époque fart de ces techniques se situe sous Kennedy début des années 60 ou les
spécialistes affirmaient qu’ils avaient la maîtrise de ce circuit économique grâce à ce réglage
fin consistant à élargir ou à restreindre la DG par le biais essentiellement de la fiscalité et des
dépenses publiques. En faisant varier les impôts ou les dépenses gouvernementale il est
possible de relever ou réduire le niveau de la demande globale. Cela parait extrêmement
simple. Dans le cas ou il y a d’autre variables en jeux comme les X, les M, donc en favorisant
les X on va provoquer un relèvement de la courbe de la DG, ou la méthode la plus simple et
de provoquer une baisse de la monnaie nationale qui favorisera donc les X et ont rend plus
chère les M.
Inversement, si on a un écart inflationniste, on peut favoriser la hausse de la valeur de la
monnaie nationale et on provoque une réduction de la demande d’X et on encourage les
importations. Ces deux variables vont donc contribuer à réduire le niveau de la DG et tenter
de maitriser le gap inflationniste. Les autorités publiques disposent d’instruments
budgétaires, des instruments d’action sur le commerce extérieur, et il reste disponible
l’action monétaire au sens interne sur les taux d’intérêt qui va agir sur la tendance à
investir et qui peut encourager également la dépense des ménages.
La politique Kennedy pensait que l’on pouvait se contenter de l’action budgétaire et
fiscale, mais naturellement l’ensemble des instruments est à la disponibilité des autorités
publiques et au cour des derniers semestre ces instruments ont largement étaient utilisés
afin de réduire le gap inflationniste qui avait pris de grandes proportions.
Dans les années 70, ont à eu le sentiment que l’économie ne réagissait plus
conformément aux graphiques de le a politique Keynésienne qui à ainsi engendrer une
rupture avec la théorie politique de Keynes. Brutalement fin 2007, pour la deuxième fois,
Keynes à été promus le sauveur du monde puisque seule la théorie générale proposé un
remède au gouffre sans fin de l’effondrement de la DG au niveau mondial.
III/ Une implication de l’interrelation fonctionnelle keynésienne : le théorème
d’Haavelmo
Cadre de ce théorème :
Supposons que dans un pays quelcquonque, on envisage d’accroitre la dépense publique,
mais avec un soucie d’équilibre budgétaire, cad que l’on va simultanément augmenter le
prélèvement fiscal. (cf schéma précédent)
A première vue on a le sentiment que cette opération est compensée, cad qu’elle n’est pas
susceptible de stimuler la DG, il n’y aura donc pas d’augmentation du produit national après
cette opération. Or l’examen même rapide des formules montre qu’il devrait y avoir un effet
expansif sur la DG et donc sur le Produit national de cette opération, donc un accroissement
équilibré des volumes budgétaires à un effet expansif sur l’économie globale.
L’accroissement simultané de la croissance publique et des taxes à aboutit à un
résultat ou le montant du produit national à augmenté exactement comme la dépense
publique , il y a eu un effet expansif sur l’activité économique. Par ailleurs si ….
Les Yd des particuliers sont restés identiques puisque les revenus se sont accrus exactement
du montant des taxes, donc l’activité augmente les particuliers ne ressentent pas le poids de
l’impôt supplémentaire. Il y la quelque chose de miraculeux qui d’ailleurs à une certaine
application de nos jours puisque l’obligation pour les Etats d’augmenter leurs taxes au même
montant que l’augmentation de leur dépense devrait avoir un effet positif sur le produit
national.
Si on utilise cette formule on voit que l’accroissement de la dépense publique joue a
100% sur l’accroissement du revenu, en revanche l’effet de contraction des taxes joue à
90%. Les taxes prélèvent à la fois sur l’S et la C et c’est seulement le déficit de C qui joue
négativement sur la DG, or du côté del’Etat c’est la totalité du revenu qui est dépensé, il n’y
a pas de partie épargnée et donc le résultat est stimulant pour l’activité économique.
Importance du coefficient de consommation dans théorie du multiplicateur ou plus il
est élevé, plus il y a d’effets négatifs sur la DG. En compensation plus le multiplicateur est
élevé et donc il y a un équilibrage tel que la partie non consommée multiplié par le chiffre
multiplicateur est exactement égal au montant de la dépense publique supplémentaire.
….en effet à travers la tva les taux de fiscalité directe, il y a de manière automatique un
relèvement des recettes fiscales lorsque le produit national augmente .Si l’on augmente le
dépense publique dans le cadre keynésien, on va provoquer une augmentation du produit
national, le montant des taxes perçus par l’état va se retrouvé élèvé car il est plus ou moins
proportionnel au produit national. C’est une opinion assez populaire chez les responsables
publiques.
L’impression que l’on retire du modèle d’Haavelmo vont dans le sens d’un équilibrage
spontané des recette publiques au niveau de la dépense supplémentaire que l’état à réalisé.
Y=c(Y-tY)+G+I
dG > dY=c(dY-tdY)
(1-c+ct)dY=dG
dY=dG / 1-c+ct
La question qui se pose est :
Y-aura-t-il équilibre budgétaire dT=dG ?
Y-a-t-il des conditions pour avoir cette égalité ?
L’analyse s’est focalisée sur le montant des taxes.
Quel montant de T permet d’obtenir dG=dT ?
Il faudrait que T=1=10%
Il faudrait que la taxation marginale de ce pays soit égale à 100%, cad que tout les revenus
supplémentaires soient transformés en taxe. Puisque ceci n’est pas concevable, il n’y a pas
d’espoir d’équilibrer les dépenses budgétaires par des recettes équivalentes en laissant
jouer simplement l’impact de la croissance de revenus le montant proportionnel des taxes.
On constate que l’équilibre va se réaliser dans le cas ou il n’y a pas de mécanisme de
fuite lié à l’épargne ce qui entraine un rééquilibrage des dépenses publiques générée par
l’effet expansif sur le revenu national de la dépense publique.
Il signifie en réalité que les agents privés dépensent en totalité leurs revenus, ils I, C mais ce
qui compte, c’est que leurs décisions sont déterminées par leur revenu et sont exactement
équivalente à ce revenu.
Cependant les auteurs les plus intéressant du 17ème siècle comme Vauban, constate
qu’en cas de …une telle situation crée une fuite du circuit.
Section 2 : Le modèle d’interrelation fonctionnelle élargie au marché de la
monnaie.
C’est le modèle ISLM qui associe deux équilibres, l’équilibre de la DG et l’équilibre du
marché de la monnaie. L’origine de ce modèle tient à un article écrit par le professeur Hicks.
Son idée est qu’il y a en réalité plusieurs phénomènes d’interrelations fonctionnelles qui
relient plusieurs marchés. Keynes n’attire pas l’intention sur une liaison essentielle, mais elle
est implicite dans son modèle ce qui fait que pour lui le modèle de Keynes serait un cas
particuliers du modèle de Walras.
Le point important est que d’un côté la DG génère une demande induite qui est la
demande de consommation mais d’un autre côté la DG entraine un besoin de monnaie qui
fonction croissante de cette DG. Cette demande de monnaie confrontée à la quantité de
monnaie disponible détermine le taux d’intérêt selon Keynes car ce taux d’intérêt en tant
que déterminant de l’I est à son tour un déterminant de la DG. Donc la Dg influe sur ellemême non seulement à travers la consommation mais également à travers les taux
d’intérêts. Il y a là un mécanisme plus complexe que celui de la théorie G. Il faut là explicité…
et le marché de la monnaie. Ces deux marchés sont interdépendant et donc l’équilibre de la
période envisagé sera produit pour des variables qui assurent l’équilibre simultané sur les
deux marchés à la fois.
Cet effet Hicks à été formalisé dans le cadre du modèle ISLM par Hansen.
I/La construction du modèle ISLM
Graphiquement on va faire apparaître d’abord dans le cadre du marché de la DG les
deux grandes variables déterminantes, le taux d’intérêt et le niveau du produit national. De
la même manière il faut exprimer le marché en fonction de ces deux variables.
1. Les équilibre de la DG
La première chose à prendre en compte est la détermination de l’I à partir du taux
d’intérêt. On prend ensuite l’hypothèse selon laquelle les Investisseurs confronte la
rentabilité de leur I au taux d’i du marché et ne réaliseront leur I que si leur efficacité
marginale et au moins égal
Pour Keynes la liaison entre i et a est tout à fait variable selon les périodes cela dépend de
l’optimisme ou du pessimisme des investisseurs.
Cette courbe Is nous indique les différentes situations d’équilibre donc les différents
niveau de produit national qui tente à s’établir à partir des différent taux d’intérêts. Avec un
taux d’intérêt faible, le produit national s’établira à un niveau élevé.
Le niveau de l’I est déterminé par les taux d’i et naturellement donc pour une efficacté
marginal donnée de l’I un taux d’i faible généra un niveau d’I élévé et donc un niveau de
prouit national élevé.
2. Les équilibres du marché de la monnaie à partir des taux d’intérêts et du niveau
du produit national.
Il y a une spécificité du marché de la monnaie, c’est que cette fois il s’agit d’un vrai
marché de l’O et de la D mais l’O est censée préfixer, on considère la quantité de monnaie
disponible et pour la période envisagée invariable. Or cette demande est une fonction
composée de deux variables :
- Le niveau du produit national
- Le niveau du taux d’intérêt
Pour arriver à ce résultat ont est amener à distinguer plusieurs déterminants de la
demande de monnaie :
- Une demande traditionnelle qui fait dépendre le besoin de monnaie de la quantité de
transactions à réalisé cad la demande de monnaie a din de circulation. Plus la
demande est élevée plus il faut de monnaie pour effectuer les transactions
nécessaire.
- La demande spéculative de monnaie qui elle et censée ne dépendre que du taux
d’intérêt. Dans l’interprétation initiale du modèle ISLM le caractère spéculatif n’est
pas évident. On estime juste que si les taux d’intérêt sont plus élevés les agents
convertirons une partie de leur actif ….et inversement si baisse les agents
considèreront qu’il n’est pas nécessaire de convertir leur avoir mo en actif qui dont
trop faiblement rémunérés.
-
Théoriquement la monnaie à une fonction de précaution, on dit qu’elle est influencer
par le produit national et par le taux d’intérêt.
Le point d’équilibre correspond à la solution qui est :
(1-c)Y=I(i)
L(Y,i)=M
Parler d’équilibre ne veut pas simplement dire égalité.
Cette solution unique ne doit pas être une solution qui nous oriente vers la confiance
dans un équilibre définitif. La courbe IS dans la période suivante pourra très bien se situer au
dessus de l’équilibre initial dans le cas d’une vague d’optimisme, et en dessous dans une
vague de pessimisme des entrepreneurs. Le Ye et ie sera donc différent selon l’attitude des
agents et selon les politiques mises en œuvres.
Ce qui a mobiliser l’attention des créateurs du modèle ISLM c’est le pouvoir de la
courbe LM dans la détermination de l’équilibre. Si LM se déplace vers la droite cela entraine
un déplacement important du revenu vers la droite. Inversement si elle La possibilité d’agir
sur le revenu national par les mouvements de la masse monétaire semble attractif du point
de vue de la politique économique puisque agir sur la masse mo vient d’une décision simple
et rapide au même exemple qu’une restriction monétaire ; ce qui contraste avec la lenteur
d’une action publique par le budget et ce qui contraste aussi avec la complexité apparente
comme la psychologie des investisseurs ou au contraire on à le sentiment que l’action par la
masse mo est rapide et puissante que se soit dans le sens de l’expansion ou de la restriction
Schéma
L’effet de trouble des analystes vient du fait qu’ils se considèrent eux même comme
des Keynésiens et ils retiennent de cette enseignement que la politique budgétaire est
l’instrument le plus efficace face à une situation de crise, d’où une tendance chez ces
auteurs qui est un peu surprenante , une tendance à exposer sur un plan analytique le
modèle ISLM puis sur un plan doctrinal un effort pour minimiser l’effet pratique de la po mo
ce qui aboutit à considérer que le modèle ISLM est une simple annexe de la théorie générale
de Keynes.
Cette argumentation à été contesté mais il se trouve que paradoxalement
l’argumentation des théoriciens des analystes redevient de nos jours importante vis-à-vis de
la politique économique.
3. Le rôle de la politique monétaire dans le cadre ISLM
Il s’agit de restreindre sur le plan concret, l’efficacité théorique de la politique
monétaire censée agir sur la courbe LM et ceci de manière différente :
A/ La négation du pouvoir expansif de la monnaie
Il existe deux phénomènes pour neutraliser le pouvoir de la monnaie.
- La situation particulière qui caractériserai la courbe IS au moins sur une
partie de cette courbe en admettant qu’a un moment donné et
certainement pour une zone de taux d’i donné, les investisseurs ne
seraient plus sensibles au niveau du taux d’i, cad qu’ une baisse de i dans
cette zone n’entrainerait pas une augmentation de l’I. Les Investisseurs
prennent en considération d’autres aspects comme leurs débouchées et
finalement n’ayant pas envie d’investir plus car les taux d’i seraient
nettement plus faible. Ce sont des périodes ou on aurait besoin de
relancer l’ I , mais les investisseurs considèrent que les débouchée n’étant
pas assez grande ils ne décideront pas d’investir davantage.
Schéma
-
La situation dite de trappe à liquidité : elle à était identifiée au lendemain
de la seconde guerre mondiale ou pendant une dizaine d’années les taux
d’i sont restés très faible car les BC ne voulaient pas mettre en difficulté
les finances publiques qui étaient les héritières d’une dette considérable
accumulée pour le financement de la seconde GM. Cette période s’est
arrêtée durant les années 50 jusqu’au moment de l’éclatement de la bulle
spéculative au japon en 1990 qui à amenée la BC du japon a adopté une
politique du taux d’i 0 politique qui à durée jusqu'à nos jours. Pour le
japon cette trappe de liquidité était néfaste puisqu’elle était accompagnée
d’une situation de déflation ce qui rendait les dettes en Yen de plus en
plus couteuse pour les débiteurs, et ce qui a aboutit à une taxe les
détenteur d’encaisse monétaire pour leur faire compenser leur
enrichissement qui devait être reversée aux débiteurs pour améliorer leur
situations. Dans cette situation le Japon ne pouvait plus baisser les taux d’i
puisqu’ils étaient à 0 donc la po mo dans ce cas est neutralisée dans le
sens expansif. Il y des situations concrètes ou le pouvoir expansif de la
monnaie cad LM se trouve neutralisé et par vox de conséquence la
politique budgétaire retrouve son rôle. Il faut remarquer que le professeur
Hicks considérait que la théorie générale de Keynes trouvée son
application dans la situation particulière de trappe à liquidité.
B/ La négation du pouvoir restrictif du pouvoir de la monnaie
Si le pouvoir expansif peut être neutralise par la trappe le pouvoir restrictif peut lui
provoquer un relèvement des taux d’i qui réagira sur la courbe IS à condition que celle-ci soit
assez sensible au taux i.
Cependant il a été fin 50 selon l’argumentation suivante : le système bancaire
moderne à mis au point des procédés de passage d’actifs monétaire à des actifs liquides non
monétaires, actifs qui peuvent être reconvertis très rapidement en monnaie, et qui donc
dans les bilas des agents économique sont de bons substitues à la détention d’actifs
monétaires. Cette souplesse rend moins nécessaire la détention en monnaie. Or
traditionnellement la po mo agit sur le volume de la monnaie figurant au passif des banques
commerciales. Supposons que les autorités mo veulent restreindre la masse mo par un
système d’obligation de réserves (passif mo), les banques commerciales vont réagir en
incitant leurs déposants à passer d’avoirs mo en avoir liquides non mo, et finalement malgré
la contraction de la masse mo les bilans des banques demeureront inchangés et leur
potentiel de crédit à également changé. Donc l’action mo n’aura pas eu d’effet sur
l’économie réelle puisque le volume des crédits destinés aux agents privés n’aura pas été
modifié par cette politique de contraction mo. Cette idée à beaucoup perturbée le monde la
finance théorique.
Schéma
Cette thèse a été rapporté par le rapport Radcliffe en 1959. La question posée est
celle de l’inadaptation possible des instruments disponibles. Les BC ont eu tendance à
intégrer d’autre actifs liquides dans leurs actions. L’ingéniosité du système financier lui
permet cependant de substituer des actifs à d’autres et il demeurent donc des incertitudes
quant à l’efficacité des instrument disponibles pour agir sur les capacités des de crédit de
l’économie. Néanmoins ces débats ce sont progressivement atténué. A partir de 82 la po mo
a semblée devenir l’instrument principale de l’action macroéconomique parce que les
circonstances semblées correspondre à une application efficace de cette po mo.
C. La dominance de l’interprétation pro-monétaire jusqu’en 2008.
A partir des années 80 on admet en micro que la po mo est efficace à l fois pour
provoquer une expention de la DG et pour restreindre la progression de la DG et tout
particulièrement pour combattre les situations inflationistes qui pourraient se manifester du
fait de l’augmentation de la DG. En même temps la conviction s’étand que cette po mo très
souple à mettre en place permet de réaliser le réglage au plus près qui ne semble plus à la
portée de la po budgétaire. C’est ainsi que la réserve mené par la banque centrale
américaine semble avoir reussie à stabiliser la conjonture pour des périodes de croissnace
régulmières interrompu quelques fois par des période de phases criytique comme
l’éclatemetn de la bulle technologique au début des années 2000 OU même dans ces
circonstance la poliqtiues monétaire semble apte à une reprise rapide qui donne condiance
dans la macro. Cette confiance ce traduit par la création de statut des banques centrale
leutrs accordant une indépendance de principe par rapport aux autorités gouvernementales
et notament par rapport aux autorités budgétaire qui depuis la seconde GM avaient la
tutelle de ces BC. Cette politique est symbolisée par le Grunspan. Cette conviction encrée
explique que le BC est été en première ligne lors de la crise financière de 2008 bien c’est
elles qui ont du faire face au départ à cette crise et on réagit par une baisse des taux d’i
égalent les 0,1% et la BCE se distinguant en pratiquant un taux de 1% , les autres banques
non européennes pratiquant un taux entre 0,5 et 0,75%. Ces po ont stabilisé la situation
financière en partie, mais elles ont rélaisé en une seule fois presque le passage à la trappe de
liquidité que l’on croyait historique pour une durée indéterminée.
Schéma
Le problème est que pour suppléer l’absence des faits de la po mo les états ont dû
entreprendre des dépences budgétaires massives non pas pour promouvoir la croissance,
mais pour éviter une trop forte contraction du produit national. Cette hausse massive des
dépenses budgétaire à gonfler les dettes publquyes des pays concernés et ce gonflement
exige pour un certain temps le maintien de taux d’intérêts faible pour que le refinancement
de cette dette reste suportable aux différents états. La perspective du maintien d’une trappe
à liquidité s’impose dans les pays dévellopée et il n’y a pas de sentiment de durabilité de la
trappe ce qui donne un sentiment d’efficiactité durble de la po mo. Evideltn la po budgétaire
ne peut continuer cette effort temporair est se trouve a son tour neurtalisé par
l’accumulation de la dette publique donc il e reste plus beaucoup de moyen d’action le seul
restant etant d’agir sur le moral des investiiseurs pour rprendre les I ou l’autre moyen
imporatnt étant la variation du taux de change qui à des effets mécanique sur la DG
adressée à un pays, en rendant ses X plus attractives et qui rend simultanément les M plus
couteuses donc moins attractives dans les mêmes conditions.
Cette aspect à été vu par liason avec le modèle ISLM car il apparit comme
condiationnant l’efficacté relative des diverses poliqtues économque.
III/ La prédominance théorique de la politique monétaire en taux de change
flottant
Lorsque l’on débattait dans les années 70 de l’efficatité relative de la po mo et
budgétaire dans le cadre ISLM cerytain aiuteur on atirés l’attention sur le fait que ce débat
devait être mis en perspective avec le cadre monétaire extérieur, le système mo hérité de la
seconde GM était en effet le système de change fixe définit par un accord international
entre les principales monnaies, les autorités d echaques pays étnat tenue d’intervenir sur le
marché des change pour ùaintenir les parités mo ainsi définies . Ce système de change fixe
avait été adopt pour éviter le retour des pratqiues monétaire concurentielle qui avient été
adopté pendant la crise des années 30 ou chaque pays cherchant à faire baisser la valeure de
sa monnaie afin de rendre ses prodiots X plus attractifs mais la concurr »ence a la baisse
ente les principale monaie avait provoqué un déséquilibre important dans le commerce
international et aviat retardé la résolution de la crise des années 30. C’est pour éviter le
retour à une telle situation que l’on avait adopter un système d echange fixe entre les
principale monnaie, mais il y avait une exeption, celle du dollars canadien qjui flottait sans
parité définit pa raport au dolllars américain et ceci explqiue que ce soit des économistes
canadiens qui est fait la théories de l’impacte du sytstème de change sur l’effciacité des
politiques macroéconomique. C’est la théorie dite Mundell Fleming de 62. Pour dévelloper
cette approche il faut dévelloper le cadre qui est celui de la dominance des mvts finandciers
dans la récation des marchés des changes et dans la fixations des taux d’i des différents pays.
La thèse adopté est que les mvts des capitaux son d’une telle amplitude que lez taux d’i d’un
pays est nécessairement proche du taux d’i international. La balance des paiement d’un pays
n’a qu’un point d’équilibre qui est celle du taux d’i interne = taux d’i international.
Schéma
Ce graphique Permet en principe de rendre compte de l’efficacité relative des po mo et
budgétaire dans un cadre de change fixe et flottant..Les courbes IS du graphiques sont en
fait les courbes XIG-MST. A prori ce graph convient bien à une situation d echange fixe. En
situation de change fixe on peut imaginer que l’on pratqiue une po mo expensive afin
d’obtenir un déplacement du produit national et ainsi provoquer un comflement de la masse
mo qui va nous faire passer de L à L’. Les détenteurs des capitaux considèrent qu’ils ne sont
pas assez rémunéré dans le pays, ils placent donc des fonds à l’extérieur. Ils achètent des
devises sur le marché Or le taux d’intêret lui baisse ce qui provoque une fuite des capitaux
ou ils achete massivement des devises qui devrait faire basise la valeur doit furnir ces
devises pour maintenir l’equilibre de ..desde la monnaie nationale mais comme nous somme
en change fixe la BC ….doit fournir ces devises pour maintenir l’équilibre de l’O et de la D de
devises au cour officiel de ces devises. Ce fesant elle recoit de la monnaie national qui est
donc en échange des devise retirer de la circulation monétaire. Il y a donc une contraction.la
demande va retrouver un niveau normal lorqu’il y aura eu contraction du produit national.
La banque centrale va utiliser ces réserves de change ou faire appel au FMI pour assurer
cette offre supplémentaire.
Commentaire de graphique à revoir.
Cette demande additinnel est plsu simple pour la BC car il lui suffit de crées de la monnaie
pour acquérie des dollars suppléméant….
.Mais elle peut le faire également en situation de change flottant parce qu’elle ne souhaite
pas voir se déprécier la devise étrangère de référence, l’exemple flagrant de ces dix
dernières année est l’intervention automatique de la banque chinoise pour acheter des
dollars, il y a donc une politique systématique qui n’est la pas liée par un accord
international puisque la chine est accusé de maintenir sa monnaie extrêmement bas d’où
une accumulation d’énorme réserve en dollars par la banque centrale chinoise. Dès qu’il y a
marché des changes les parité entre monnaie se fixe en fonction des jeux entre l’o et la D ?.
Si change fixe la BC du pays concerné doit offrir ou demander des devises pour équilibrer
son marché des changes à un niveau qui correspond aux accords internationaux. En situation
de changes flottant la BC cesse d’intervenir sur le marché des changes, et le taux de change
se fixe par le point d’équilibre entre les offres et les demandes de devises d’origines privés.
Le régime officiel international c’est le régime des changes flottant adopté à partir de 1973
et dans ce régime normalement les BC ne doivent pas intervenir sur le marché des changes
car on estime que ce mouvement spontané des marchés des changes à des effets
correcteurs sur la conjoncture économique, néanmoins on constate que certain acteurs
interviennent sur le marché des changes, quelques fois c’est par un accord international qui
est destiné à ramener la valeur d’une monnaie à un niveau considéré comme plus normal,
mais le plus souvent il s’agit d’intervention considérée comme anormale car elles empêchent
la régulation spontanée de la valeurs des monnaies par le marché des changes.
Schéma
Si on jout sur G Cette meilleur rémunération des …provoque une entrée massive des
capitaux. Ces devise qu »elle acquiere elle les payen avec de la monanie de la BC ce qui
provoque un gonflement de la masse mo dans l’économie. La courbe LM se déplace à son
tour en MM’. A ce point il n’y a plus d’entrée de devise mais on aura connu une variation du
produit quand on est apssait du point E au point H. On arrive au modele de flemming ou la
op budgh s’avere efficace pour agire sur le niveau du produit nat alors qu au contarire la po
mo était innéficace pour agir sur le niveau du produit national
Le système de change flottant : …..
Réecrire cour main
Schéma 1
La question qui se pose est l’impacte de la DG sur le niveau des prix et finalement
l’équilibrage durable du produit national à partir des courbes IS et LM.
Catte hausse de prix a un impact sur la courbe LM puisque la quantité demonnaie nécésaire
va être plus importante qu’avant donc la quantité de monnaie disponible ne suffit plsu pour
rester sur la courbe inniatiale. Ainsi la courbe LM va se déplacer vers LM2. Il est sous
entendu que la po mo n’inetrvient pas pour fournir la quantité manquan,te de monnaie et
donc l’effet de contarcation va se poursuivre jusqu’au retour du produit potentiel c'est-àdire au point d’équilibre initial ou il n’y a plus de tention sur le prix. Si on suppose une
inflation=0 , a la suite de la poussée de la DG il y a eu une hausse dprix effective cette hausse
a eu un effet correcteur sur l’équilibre marcoéconomqieu,, en effet en provaquant une
contarction de la quantité réelle d emonnaie cette ehausse prix a ramener le prodit
nationale réell au niveau du produit potentiel, a ce niveau il n’y a plus de tention de l
ademande sur e sprix et les agents économique continue a antcipr le maintien d’une
inflation nulle pour lespériode antérieures. Le mécanisme des prix a eu un rôle
autorégulateur en provoquant le retour de la cohincidence entre le produit réel et potentiel.
Autrement dit la hausse des prix à de manière paradoxe un effet déflationiste cad qu’elle a
blqoué toute tendance à une hausse de prix ultérieure. Cette situation s’est produite parce
qaue il n’ya pas eu de réaction de la masse monétaire ainsi parce que il y a une fortze
assymétrie de la courbe de sprix aude la du produit potentiel, cette courbe à une pente qui
est forte et qui provboque donc une hausse forte des prix qui a ce caractère d éflationiste
sur la quantité de monnaie disponible. Suppossons maintenant le cas inverse :
Schéma 2
Es ce que dans cette situtation va-t-il y avoir des force correctrice comme celle qui joué lors
de la hausse de la DG ? Elle existe sans doute mais on a du aml à la distinguer, Il y a une
effectivement une diminuation du niveau génaral des prix mais qui est légère comme on
peut le voir sur le graph. Cette baisse aurait provoqué un déplacement de la courbe LM vers
la gauche puisque la demande de monnaie à diminuer. Il va uy avoir un léger rederéssemnt
du produit nationnal mais dans le cadre de la période il n’y aura pas de retour au niveau
d’équilbre iniatialm. Pour que cela se fasse il fauddrait un grand nombre de période
succésuive marquée chacune par une petite baisse de prix qui se réduira forcémen et on
peut considérer qu’il n’y a pas d’effet réequilibrant réel. L’assymétrie de cette courbe
aboutit a 2 conclusion : il y a des effet plus savant déflationaiste quand la DG augmente au
dela du produit potentiel, en revanche il n’y a pas de redressement du niveau du produit
national par le jeu de cette courbe d eprix lorsque la DG passe en dessous du produit
potentiel.
Mais ce réequilibrage n’aura pas leiur si compensation de l’offre : schéma3
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