présents dans la salle devront donc avoir remis à l’enseignant qui aura
coordonné la sortie pédagogique dans leur établissement, une autorisation
de droit à l’image signée par leurs responsables légaux.
Ce dossier, divisé en deux parties, ne vise pas l’exhaustivité en matière de
ressources documentaires savantes sur L’Oiseau de feu. Celles-ci n’ont pas
été évitées systématiquement, bien entendu, mais indiquées seulement
lorsqu’elles pouvaient illustrer tel ou tel propos. Pour ceux qui
souhaiteraient aller plus loin, l’indication en deuxième partie du dossier de
nombreuses références et liens, ainsi que les chapitres consacrés à
l’argument du ballet et à son inspiration « folklorique », au conte, aux
Ballets russes, … devraient permettre de compléter les éléments qui feraient
éventuellement défaut en première partie.
En effet, ce dossier voudrait avant toute chose apporter aux enseignants
concernés des repères, clés ou pistes pédagogiques qui puissent les aider
dans le montage de leur projet pédagogique en lien avec cette séance, et ce
dans une perspective pluridisciplinaire. Car nous savons tous qu’avant et
après la séance, avant et après tout ce qui aura pu circuler de part et d’autre
de la salle de concert (émotions, notions, questions), beaucoup de choses
resteront en suspens et demanderont à être revisitées à travers un nombre et
une diversité infinis d’activités pédagogiques.
Ce dossier ne peut certes pas rendre compte de toutes les pistes
pédagogiques envisageables. Il souhaiterait néanmoins les rendre possibles
en répondant à quelques objectifs primordiaux :
- situer l’œuvre, ses auteurs et ses interprètes dans l’histoire de la création
musicale et saisir l’esprit qui présida à sa genèse ;
- donner des pistes d’exploitation pédagogique en classe, ce dans une
perspective d’approche pluridisciplinaire de l’œuvre ;
- permettre de saisir l’accueil qui fut réservé aux Ballets russes à Paris et
dans le monde, et de mesurer l’impact qu’ils eurent sur la création
musicale ultérieure ;
- fournir des références bibliographiques, discographiques,
filmographiques, iconographiques, sitographiques… pour ceux qui
souhaiteraient aller plus loin.