Université libre de brUxelles Département Des sciences sociales et

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Université libre
de Bruxelles
Département
des Sciences sociales
et des Sciences
du travail
2015-2016
Sociologie
Anthropologie
Sciences du travail
Gestion des ressources humaines
Sciences de la population
et du développement
1
2
5
BachelierS
Masters
Encadrement
académique
personnalisé
Sénèque
Enseignements
à la pointe
de la recherche
2
Master en Sciences du travail – Charleroi
Annie Siot
Caserne Trésignies, 1, Boulevard Général Michel,
6000 Charleroi, bureau 24
T 071 33 29 74 – 02 650 91 14
[email protected]
Opportunités
de stages
et de séjours
à l’étranger
L’Université libre de Bruxelles
Les Masters
Thèse en Sciences politiques et sociales
Master en Sciences du travail – Bruxelles
Fabienne Hoebeeck
Bât. H – niveau 3 – bureau 230
T 02 650 40 79
[email protected]
Le passage du Bachelier au Master
Des approches
pédagogiques
innovantes
et stimulantes
02060810 12 18 20
Les Bacheliers
sommaire
L’organisation générale des études universitaires
Secrétariat du bachelier en Sociologie et Anthropologie,
Sciences humaines et sociales
Pascale Berthold
Bât. H – niveau 3 – bureau 231
T 02 650 38 97
[email protected]
Master en Sociologie, Anthropologie,
Sciences de la population et du développement,
Gestion des ressources humaines
Hendrika Di Vincenzo
Bât. H – niveau 3 – bureau 232
T 02 650 39 09
[email protected]
« Etudie, non pour savoir plus,
mais pour savoir mieux. »
Le Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
S’inscrire au Département des Sciences sociales et des
Sciences du travail, c’est choisir d’étudier un programme
de haute qualité qui développe les disciplines passionnantes des Sciences humaines et sociales, c’est se
préparer à devenir un acteur expérimenté capable d’agir
au niveau des enjeux et des grandes questions de société
actuelles, c’est être formé par des Professeurs de renommée internationale et à la pointe de la recherche dans
leur domaine, c’est intégrer le monde professionnel en
participant à des stages, c’est s’offrir la chance d’accéder
à de nombreuses opportunités de séjours à l’étranger,
c’est s’engager dans la vie étudiante universitaire, c’est
vivre au cœur d’un campus animé par le savoir, la culture
et le sport, c’est découvrir, expérimenter, grandir et
construire son avenir.
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
Document non contractuel
1
Le Département des sciences sociales et des
sciences du travail propose des enseignements à
près de 1600 étudiants. Il offre deux programmes
de premier cycle : le Bachelier en sociologie et
anthropologie et le Bachelier en sciences humaines
et sociales. Son offre de programmes en master est
très large et diversifiée. Le Département
propose ainsi un Master en Sociologie, un Master
en Anthropologie, un Master en Sciences de la
population et du développement, un Master en
Gestion des ressources humaines et un Master en
Sciences du travail.
Les enseignants du Département cherchent chaque
année à adapter les programmes pour être pleinement en phase avec l’évolution des savoirs et avec
les exigences du marché du travail. Tous les
programmes sont conçus autour de trois blocs
essentiels : une offre de cours spécialisés de
haut niveau dans des disciplines et des domaines
d’études spécifiques, des cours de langues en
Bachelier, des cours diversifiés de méthodologie
tant en Bachelier qu’en Master.
APPROCHE
Le Département a pour objectif de se tenir à la
pointe tant dans l’enseignement que dans la
recherche et les services à la société. L’enseignement du Département est nourri par une recherche
de pointe basée sur des équipes de chercheurs
de renommée internationale. L’ensemble de nos
programmes vise à doter les étudiants d’un bagage
solide afin de permettre aux futurs diplômés d’avoir
accès à un maximum d’opportunités de carrières.
L’objectif central est d’acquérir des savoirs et des
outils tout en développant des compétences utiles
afin de s’insérer professionnellement dans un
monde et un marché de l’emploi en constante évolution : trouver l’information, la rassembler,
la traiter, l’analyser de façon critique, la synthétiser
avec nuance et la transmettre en s’exprimant de
façon cohérente tant à l’oral qu’à l’écrit et ce dans
plusieurs langues. La pédagogie adoptée par les
professeurs permet aussi de développer d’autres
qualités indispensables telles que travailler en
groupe, échanger des points de vues, s’adapter à
de nouvelles situations, prendre des décisions.
Le Département dispense aussi cinq programmes
de Masters (2ème cycle) qui sont en correspondance
immédiate avec ses programmes de bacheliers :
• Sociologie
• Anthropologie
• Sciences du travail
• Gestion des Ressources humaines
• Sciences de la population et du développement.
ATOUTS ET SPÉCIFICITÉS
Une partie des programmes de Masters propose
en outre un choix entre différentes finalités qui
consistent en une véritable spécialisation dans
un domaine d’études précis. Enfin, certains programmes sont dispensés en horaire décalé, à
Bruxelles ou Charleroi.
Le Département dispense deux programmes de
Bacheliers (1er cycle). Les études en Sociologie et
Anthropologie dotent les étudiants d’un bagage
intellectuel et méthodologique leur permettant
de comprendre la complexité des sociétés et les
enjeux qui les traversent. Le programme de Bachelier en Sciences humaines et sociales est une
formation très polyvalente conduisant vers onze
Masters différents, et développe des compétences
d’analyse et de réflexion en relation directe avec le
monde du travail.
PÉDAGOGIE ACTIVE
Les enseignants mettent en place des approches
pédagogiques stimulantes et innovantes en relation directe avec la discipline étudiée. Vous serez
amenés à participer à des séminaires, à réaliser
des travaux, à les présenter seul ou en groupe, à
participer à des voyages de recherches à l’étranger, à des projets collectifs, à des stages, ou à des
missions en entreprise.
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
Le Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
IMPORTANCE DES LANGUES
Conscient du fait que la connaissance de langues
est un atout incontournable en termes de débouchés et de carrières, le Département veille à ce
que ses programmes répondent à cette nécessité.
Un cours d’anglais est dispensé en 1re année de
BA et vous choisissez d’étudier une 2e langue au
cours des années suivantes du cycle : néerlandais
ou espagnol. De plus, vous pourrez renforcer vos
connaissances en suivant des cours de langues
gratuitement à la F9, à deux pas du campus du
Solbosch !
aide à la réussite
COACHING
Le Département propose un programme de coaching destiné à tous ses BA1. Ce programme
est piloté par une équipe d’assistants. L’objectif du coaching est d’accompagner les étudiants
dans leurs premiers pas à l’Université et de favoriser leur réussite aux examens.
Pour ce faire, plusieurs activités sont organisées tout au long de l’année : des permanences
chaque semaine pour discuter individuellement de toutes les questions des étudiants, des
séminaires méthodologiques (« Apprendre à s’évaluer », « Écrire pour réussir », « Gérer son
blocus et son stress »...), une série d’examens blancs avant les sessions d’examens, un blocus
assisté pendant les vacances de Pâques, un programme de suivi individualisé.
2
3
MOBILITÉ ET INTERNATIONALISATION
Le Département de Science Politique compte parmi ses
membres un grand nombre de professeurs, chercheurs
et étudiants étrangers. Très actif en termes d’échanges
internationaux, le Département entretient plus d’une
cinquantaine d’accords avec d’autres universités en
Europe et dans le Monde. Il envoie et reçoit de nombreux
étudiants dans le cadre d’un programme d’échange
d’un quadrimestre ou d’une année.
Dans la même optique de mobilité et d’échange, le
Département a développé en réseau un cursus européen en anthropologie et mis en place un double
diplôme en anthropologie avec l’Université de Bordeaux.
La finalité Genre et inégalités du Master en Sciences
du travail s’inscrit dans le réseau européen EGALES et
propose donc à ses étudiants une offre de destinations
intéressante.
CENTRES DE RECHERCHE
Centre de sociologie de l’éducation (CSE)
Centre de sociologie des organisations (CSO)
l Centre de théorie politique (CTP)
l Groupe de recherche sur les relations ethniques,
les migrations et l’égalité (GERME)
l Groupe de recherche sur l’action publique (GRAP)
l Groupe de recherche en sociologie des arts et des
cultures (GRESAC)
l Groupe de recherche sur les acteurs internationaux
et leurs discours (GRAID)
l Laboratoire de méthodologie du traitement des
données (LMTD)
l Centre de recherches METICES
l
l
Les objets d’études approfondis par les chercheurs de
la Faculté sont nombreux. Pour ne citer que quelques
exemples : culture, éducation et formation, emploi et
chômage, relations collectives de travail, administration publique et organisations, ville, migrations, santé,
éthique, patrimoine culturel, études de genres, organisation du travail, coopération au développement, etc.
Les enseignants et chercheurs du Département mènent
leurs recherches et missions scientifiques principalement au sein de trois grands centres de recherche :
l le Centre d’étude de la vie politique (CEVIPOL)
l Recherche et Enseignement en politique internationale (REPI)
l l’Institut de sociologie (IS) qui est lui-même constitué
de plus petites unités de recherches spécialisées :
l Centre d’Anthropologie Culturelle (CAC)
l Laboratoire d’Anthropologie des Mondes
Contemporains (LAMC)
l Centre d’études de la coopération internationale
et du développement (CECID)
l Centre d’histoire et de sociologie des Gauches
(CHSG)
l Centre de recherche et de prospective en droit social
(CeRP)
Plus de
50 partenaires pour un séjour à l’étranger –
coordonnées et contacts
DES DIFFÉRENTS SERVICES
Secrétariat du Doyen
Gréta Vermeulen
T 02 650 38 59
[email protected]
Département des Sciences sociales et des
Sciences du travail
Localisation : Campus du Solbosch, av. Paul Héger 6,
B-1050 Bruxelles - Bâtiment H, 3e étage
Adresse postale : CP 135 – 50 Av. F.D. Roosevelt,
B-1050 Bruxelles
Bachelier en Sociologie, Anthropologie,
Sciences humaines et sociales
Pascale Berthold
T 02 650 38 97
[email protected]
Site web du Département des Sciences sociales et
des Sciences du travail :
http://fsp-scsoc.ulb.ac.be
Décanat
Doyen : Andrea Rea
Vice-Doyenne : Barbara Delcourt
Responsable de l’Administration Facultaire :
Florence Verbanck – [email protected]
Master en Sociologie, Anthropologie,
Sciences de la population et du développement, Gestion des ressources humaines
Hendrika Di Vincenzo
T 02 650 39 09
[email protected]
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
Le Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
Master en Sciences du travail – Charleroi
(Caserne Trésignies, 1, Boulevard Général Michel,
6000 Charleroi – 2e étage, bureau 24)
Annie Siot
T 071 33 29 74 – 02 650 91 14
[email protected]
Master en Sciences du travail – Bruxelles
Fabienne Hoebeeck
T 02 650 40 79
[email protected]
Formation doctorale et Doctorat en
Sciences politiques et sociales
Carlotta Piscopo
T 02 650 32 73
[email protected]
nombreux choix de finalités dans les programmes de MA –
des débouchés variés - nombreuses possibilités de stages,
missions, terrains -
3000 étudiants – 2 bacheliers –
5 masters – des professeurs et assistants disponibles et à l’écoute
– une administration facultaire performante
4
5
Le nouveau décret
Le décret définissant le paysage de l’enseignement
supérieur et l’organisation académique des études, dit
décret « paysage » adopté en novembre 2013, ne revoit
pas fondamentalement la structure des programmes
de l’enseignement universitaire qui reste organisé en 3
cycles :
• 1er cycle, ou cycle de bachelier (cycle de transition non
professionnalisant),
• 2e cycle, ou cycle de master, et cycle de master de
spécialisation (qui remplace le master complémentaire),
• 3e cycle, constitué de la formation doctorale et du
doctorat.
Néanmoins, ce décret revoit profondément la manière
dont l’étudiant pourra gérer son parcours académique
puisqu’il répond désormais, pour l’essentiel, à une
logique d’accumulation de crédits qui privilégie l’individualisation et la flexibilité du parcours personnel de
l’étudiant, mais aussi sa responsabilité et son engagement au sein de ce parcours.
Tous les étudiants qui débutent leurs études supérieures
en septembre 2014 sont concernés.
Le programme annuel de chaque étudiant comprendra,
comme auparavant, sauf exception, un ensemble
d’unités d’enseignements, totalisant 60 crédits. Le programme personnel de l’étudiant sera établi lors de son
inscription. En 1re année de 1er cycle (BA1) tout étudiant
reçoit un programme de 60 crédits, commun à tous les
étudiants d’une même filière. L’étudiant qui, à l’issue de
cette 1re année aura acquis au moins 45 crédits pourra
poursuivre son cursus l’année suivante en acquérant
d’autres crédits selon un parcours plus individualisé,
jusqu’à totaliser les 180 crédits nécessaires pour
obtenir le grade académique de bachelier. Le grade
académique de master est généralement acquis, après
avoir acquis 120 crédits (180 pour les médecins et
vétérinaires).
Ce principe d’accumulation de crédits et de « programme
annuel de l’étudiant » fait cependant l’objet de certaines
balises. Dans le catalogue des « unités d’enseignement »
(c’est le nouveau nom donné aux enseignements
ou cours) des différentes filières, les jurys établiront
les unités d’enseignement qui sont corequises
à d’autres, c’est-à-dire qui doivent être acquises au
cours de la même année académique, et des unités
d’enseignement prérequises à d’autres, c’est-à-dire qui
doivent être acquises préalablement. L’étudiant devra
toujours, compte tenu des crédits acquis, totaliser un
programme annuel d’au moins 60 crédits (sauf exception) qui sera approuvé par son jury.
6
Les masters sont organisés selon des modalités qui
peuvent présenter plusieurs formes selon les programmes : il existe des masters à 60 crédits, des
masters à 120 crédits, voire des masters à 180 crédits.
Les masters en 120 crédits (ou plus) peuvent offrir 3
finalités :
La finalité didactique qui prépare à l’enseignement;
La finalité approfondie qui prépare à la recherche;
et la finalité spécialisée qui prépare à toute autre vie
professionnelle.
La langue d’enseignement
Université francophone, l’Université libre de Bruxelles
dispense l’essentiel de ses enseignements en français,
mais elle propose une offre toujours croissante de masters partiellement ou entièrement en anglais, voire dans
d’autres langues. Si vous venez de l’étranger, étudier à
l’ULB est donc l’occasion de développer votre maîtrise
du français tout en évoluant au quotidien dans l’environnement multilingue de la capitale de l’Europe.
Des formations visant à acquérir une qualification
professionnelle plus spécialisée peuvent être suivies
après un master en 120 ou en 180 crédits; elles sont
appelées « masters de spécialisation ».
La mobilité
Accueillir de nouveaux étudiants originaires du monde
entier fait partie de la culture de l’ULB. Avec un tiers
d’étudiants étrangers et un corps professoral aux
origines diverses, l’ULB favorise les rencontres et les
échanges interculturels.
l
l
l
Le nouveau décret soutient les opportunités de collaborations entre institutions des communautés française
ou flamande et aussi les projets de partenariats avec
des institutions étrangères. Cette initiative répond à
une volonté nette de mise en place de masters organisés
en collaboration, en co- ou double diplomation entre
des établissements d’enseignement supérieur situés
dans et hors de la Communauté française. Cette offre
pourrait croître sensiblement dans les années à venir.
L’adéquation avec les besoins
de la recherche
Nos formations s’appuient sur une tradition de
recherche de haut niveau et sur nos domaines de
recherche ; cet adossement de l’enseignement à la
recherche constitue la spécificité de l’enseignement
universitaire dont l’objectif est d’ « apprendre à
apprendre ».
Dans le cadre de séminaires, de travaux personnels, de
l’élaboration du mémoire, l’étudiant en master est impliqué dans des unités de recherches de l’ULB et met en
œuvre les méthodes de la recherche, en étant encadré
par des enseignants-chercheurs.
Des stages en centre ou laboratoire de recherche sont
au programme obligatoire de la plupart des masters à
finalité approfondie.
L’étudiant à la recherche d’expériences diverses et
d’ouverture sera heureux d’apprendre que suivre un
quadrimestre, une année académique ou un stage à
l’étranger est possible dans le cadre d’Erasmus + ou
d’accords de partenariats en dehors de l’Europe.
Sortir des murs de l’ULB, pour faire un stage ou suivre
des enseignements, travailler dans un laboratoire dans
une autre université du pays figure aussi au programme
de plusieurs facultés.
L’ULB a en outre conclu plus de 250 conventions avec
des universités européennes et internationales et développé 120 projets internationaux de recherche (notamment Réseau Marie Curie) qui favorisent les échanges et
la circulation des chercheurs.
En savoir plus :
Service Programmes d’échange :
www.ulb.ac.be/services/etudiants/cellule-echange.html
Une année type
Le nouveau décret fixe l’année académique au sein de
l’ensemble de la Communauté française de Belgique.
Désormais, celle-ci commence le 14 septembre et se
termine le 13 septembre. Elle est divisée en 3 quadrimestres : le 1er quadrimestre débute le 14 septembre, le
2e quadrimestre le 1er février et le 3e le 1er juillet. A l’issue
de chaque quadrimestre est organisée une période
d’évaluation qui porte au minimum sur les unités
d’enseignement organisées durant le quadrimestre.
LE
DOCTORAT
4 à 6 ans
Une formation à la recherche et une formation
par la recherche pour un avenir professionnel
des plus variés
> en Belgique ou à l’étranger
> à l’Université, au FNRS, dans les centres de
recherche
> dans les services publics ou les entreprises
> intégration à des équipes du plus haut
niveau
> accès aux installations internationales les
plus avancées
> expérience du travail en groupe et des
collaborations internationales
LES
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
L’ORGANISATION GÉNÉRALE DES ÉTUDES universitaires
MA
Masters 60 crédits ou 120 crédits
> Sociologie (120 crédits)
> Anthropologie (120 crédits)
> Sociologie et Anthropologie (60 crédits)
> Gestion des ressources humaines
(120 crédits)
> Sciences de la population
et du développement (120 crédits)
> Sciences du travail (60 et 120 crédits)
LE
BA
Bachelier 180 crédits
> Sociologie et Anthropologie
> Sciences humaines et sociales
7
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
BACHELIER EN Sociologie et Anthropologie
OBJECTIFS DES ÉTUDES
Permettre aux étudiants d’acquérir le
bagage de connaissances nécessaires
aux masters ancrés dans les traditions
disciplinaires de la sociologie et de
l’anthropologie. L’étudiant apprendra
à analyser des situations sociales
diverses et complexes en utilisant les
méthodes de recherche adéquates.
AXES DE FORMATION
Comme son nom l’indique, le BA en
sociologie et anthropologie offre une
formation de base dans les deux disciplines. Toutefois, vu la complexité des
objets de ces disciplines, nous offrons
aussi un important bagage dans une série
de disciplines connexes, qui donnent des
points de vue complémentaires : philosophie, histoire, géographie humaine, démographie, statistique, droit, psychologie ...
Ces disciplines sont systématiquement
envisagées dans leurs rapports avec les
sciences sociales.
Durant l’ensemble du BA, les étudiants
suivent des cours accroissant progressivement leur maîtrise de la théorie, de la
méthodologie et des thématiques propres
à la sociologie et à l’anthropologie.
Des exercices, liés à la réflexion théorique
et au travail de terrain, sont organisés dès
la première année. Cette formation entend
favoriser l’apprentissage conjoint de
méthodologies quantitatives et qualitatives en sciences sociales.
À la fin du 1er cycle, les étudiants auront
la possibilité de déjà se spécialiser en
sociologie ou en anthropologie.
Enfin, des cours de langues sont dispensés tout au long du cursus.
SPÉCIFICITÉS
Le BA en sociologie et anthropologie
assure aux étudiants une formation relativement approfondie dans chacune de ces
disciplines sœurs.
Le BA offre également un bagage en
langues.
La possibilité de mobilité est un atout
essentiel dans un programme. Le département a noué des accords avec plus d’une
cinquantaine de partenaires dans le monde
entier pour passer un semestre ou une
année à l’étranger.
Possibilité de stage ou terrain à partir de la
première année de Master.
Pour exercer des métiers tels que par
exemple :
• Travailleur social de niveau universitaire
• Gestionnaire des ressources humaines
• Coopérant international
• Responsable d’organisation du secteur
non marchand ou d’ONG
• Enseignant dans le secondaire ou
le supérieur
• Journaliste
• Métiers de la fonction publique
• Consultant
• Cadre en entreprise privée (communication, relations publiques…)
• Chercheur en anthropologie ou sociologie
DÉBOUCHÉS
En prolongeant le BA par un MA en sociologie ou un MA en anthropologie, l’étudiant
pourra s’orienter directement vers une
pluralité de carrières professionnelles
dans divers secteurs d’activités : Services
sociaux (CPAS, planning familiaux, centre
d’action d’aide aux publics fragilisés, Santé,
Sécurité, éducation, Fonction publique
en général, Formation, Communication,
Monde associatif, Syndicats, Bureaux
d’études et de conseil, Institutions nationales et internationales qui financent des
projets (commission européenne, Banque
mondiale, etc.), Instituts de sondage, Enseignement, Centres de recherches.
BA en Sociologie et Anthropologie
les MA
n
Sociologie – Anthropologie
Quelques MA accessibles après le BA en Sociologie et Anthropologie sont :
n
Méthode en Sociologie – Anthropologie
à MA en Sociologie
à MA en Anthropologie
à MA en Sciences du travail
à MA en Gestion des ressources humaines
à MA en Sciences de la population et du développement
à MA en Sciences politiques (moyennant programme complémentaire)
à MA en Administration publique (moyennant programme complémentaire)
n
Histoire
n
Économie
n
Autres Sciences humaines
n
Mathématiques et Statistiques
n
Droit
n
Langues
n
Options
Non contractuel (voir Catalogue des programmes de cours en ligne)
Horaire de jour –
Campus du Solbosch –
Informations :
http://catalogue.ulb.ac.be/prog/BA-SOCA
BA
BA
Schéma non-contractuel
8
9
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
BACHELIER EN Sciences humaines et sociales
OBJECTIFS DES ÉTUDES
Permettre à l’étudiant d’acquérir des
connaissances de base dans une série
de disciplines de manière à devenir un
acteur informé, capable de dégager
les enjeux d’une situation sociale
complexe.
AXES DE FORMATION
La BA en sciences humaines et sociales
assure une formation généraliste en
sciences humaines (sociologie, science
politique, histoire, droit, économie et
gestion) mais aussi en statistique,
permettant à l’étudiant de mûrir ses
choix d’orientation future. Les options
permettent aux étudiants de personnaliser progressivement leur formation
en vue de se préparer au master qui les
intéresse.
SPÉCIFICITÉS
Ce bachelier offre une formation générale en sciences humaines polyvalente
conduisant vers plus de dix masters
différents qui exigent des compétences
d’analyse et de réflexion en relation
directe avec le monde du travail.
Au cours du cycle de BA, l’étudiant choisit un module d’options pré-orientant
vers un choix de master :
• Sciences du travail
• Sciences politiques
• Administration publique
• Sociologie
• Anthropologie
• Gestion des ressources humaines
• Sciences de la population et
du développement
• Santé publique
• Criminologie
• Arts du spectacle
• Sciences et gestion de l’environnement
• Sciences de l’éducation
Le BA dans son ensemble offre un bon
bagage en langues.
10
DÉBOUCHÉS
Les débouchés varient en fonction du
Master choisi.
L’étudiant pourra s’orienter directement
vers une carrière professionnelle dans
divers secteurs d’activités : Administration publique, Services sociaux (CPAS,
planning familiaux, centre d’action d’aide
aux publics fragilisés, etc., Santé, Formation, Communication, Monde associatif,
Fonction publique, Syndicats, Administration de la justice, Aide à la jeunesse,
Administration pénitentiaire, Bureaux
d’études et de conseil, Institutions nationales et internationales (commission
européenne, Banque mondiale, etc.),
Instituts de sondage, Enseignement,
Centres de recherches.
Après un master, l’étudiant pourra
également s’orienter vers la recherche
et exercer ses activités dans un cadre
universitaire aussi bien que dans des
organisations non universitaires, privées
ou publiques.
Pour exercer des métiers tels que par
exemple :
• Travailleur social de niveau
universitaire en service social
• Intervenant dans les négociations des
relations collectives de travail
• Gestionnaire de l’action et du travail
social
• Gestion de l’emploi et du travail
• Coopérant international (humanitaire,
ONG, etc.)
• Gestionnaire des ressources humaines
• Responsable d’organisation du secteur
non marchand
• Consultant, gestionnaire des res
sources humaines, des formations
• Métiers de la fonction publique
• Cadre en entreprise privée
• Gestionnaire de projet
• Consultant
• Cadre en entreprise privée
• Enseignant dans l’enseignement
secondaire (AESS) et/ou enseignement
supérieur (CAPAES)
• Chercheur en anthropologie ou
sociologie
les MA
Quelques MA accessibles après le
BA en Sciences humaines et sociales
sont :
à Sciences politiques
à Administration publique
à Gestion des ressources humaines
à Sciences du travail
à Sociologie
à Anthropologie
à Sciences de la population et du
développement
Non contractuel (voir Catalogue
des programmes de cours en ligne)
BA en Sciences humaines et sociales
n
Droit
n
Sciences politiques
n
Sociologie - Anthropologie
n
Mathématiques et Statistiques
n
Histoire
n
Autres Sciences humaines
n
Gestion
n
Langues
n
Options
Horaire de jour –
Campus du Solbosch –
Informations :
http://catalogue.ulb.ac.be/prog/BA-SHUM
Schéma non-contractuel
11
L’accès aux Masters
CAMPUS DU SOLBOSCH
• Pour les Bacheliers universitaires
Le BA est un cycle de « transition », conçu pour donner
accès à différents MA. L’accès est automatique vers le
MA qui est dans la ligne directe du BA, mais il existe
par ailleurs des « passages » qui permettent également
d’accéder à d’autres MA, dans la même faculté ou dans
d’autres facultés.
10
11
9
8
12
• Pour les Bacheliers non universitaires
La Communauté française offre à l’étudiant engagé
dans des études supérieures la possibilité de réorienter
son parcours d’études ou de le prolonger vers d’autres
formations que celles qu’il a initialement choisies, mais
dans un cadre défini.
Jusqu’à l’année 2014-2015, un arrêté dit « passerelle »
précisait les transitions entre enseignements supérieurs non universitaire et universitaire et organisait des
années préparatoires, conditions imposées pour l’accès
à certains masters.
A partir de l’année 2015-2016, les porteurs d’un grade
académique de bachelier du supérieur non universitaire de type long (de même d’ailleurs que les titulaires
d’un master du supérieur non universitaire de type
long) pourront accéder à des masters universitaires
moyennant décision du jury et/ou programme complémentaire de maximum 15 crédits. Chaque jury précisera
les diplômes et les compléments éventuels (voir le
site des enseignements de l’ULB où sont détaillées
les conditions d’accès des études que vous souhaitez
entreprendre).
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
Le passage du Bachelier au Master
13
7
6
109
14
107
111
106
15
5
4
105
104
17 16
102
103
101
1
2
VERS FLAGEY
3
En ce qui concerne les porteurs d’un grade académique de bachelier du supérieur de type court, l’accès
au master sera possible aux conditions fixées par le
jury ou suivant un nouvel arrêté de gouvernement
encore à venir. Les conditions peuvent consister en un
programme complémentaire de maximum 60 crédits,
allongeant d’autant la durée des études.
12
13
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
MASTER EN ANTHROPOLOGIE
Le Master en sociologie vise à
doter les étudiants des compétences
d’analyse critique nécessaires à
la réflexion sur la vie en société et
sur ses enjeux afin qu’ils puissent
contribuer, au-delà des explications
toutes faites, à en expliquer l’organisation et le fonctionnement, à éclairer
les citoyens sur les ressorts de la vie
sociale dans laquelle ils vivent et à
contribuer à répondre à des questions que se posent les pouvoirs
publics, politiques ou les décideurs
concernant les problèmes sociaux au
cœur de l’actualité. En outre, il permet
d’acquérir à la fois les connaissances
théoriques et les méthodes de recueil
de données essentielles de la discipline.
Les différents cours proposés aux
étudiants permettent non seulement
aux étudiants de se familiariser avec
la recherche scientifique, mais aussi
de se préparer à des métiers liés au
domaine de l’intervention sociale,
en particulier dans un contexte
de diversité culturelle. Il vous est
ainsi possible de vous former en vue
d’exercer des emplois comme celui
de médiateur, d’animateur, de formateur, d’intermédiaire, de coordinateur
dans des entreprises, des écoles, des
hôpitaux, des administrations et des
associations.
MA
LE CURSUS
14
Le MA associe plusieurs méthodes
pédagogiques. Les cours ex cathedra
alternent avec des exercices en petits
groupes, des séminaires et des travaux
de terrain. Une grande attention est fournie au travail individuel. Le cursus veille à
fournir aux étudiant(e)s des compétences
en matière d’écriture, par la rédaction
de travaux, et d’expression orale, lors
des séminaires. L’accent est mis sur la
capacité d’analyse critique, le travail de
terrain et une certaine interdisciplinarité.
Il est également possible de réaliser un
stage, soit au sein d’un milieu de travail,
soit au sein d’une équipe de recherche.
Les acquis de cette expérience viendront renforcer ses compétences pour
l’élaboration du mémoire de fin d’études
qui constitue un moment important
du cursus puisqu’il vise à apprécier le
degré d’intégration des connaissances
acquises. Enfin, l’étudiant peut partir
pendant un semestre ou une année à
l’étranger.
LES SPÉCIFICITÉS
Le MA en sociologie a été conçu pour
permettre aux étudiants d’orienter leur
formation en fonction des perspectives
professionnelles qu’ils visent : soit une
carrière dans la recherche ou dans
l’enseignement universitaire, soit une
carrière non académique dans des organismes publics ou privés dans lesquels
ils pourront faire valoir la spécificité de
leur formation. Toutefois, la palette des
cours proposés a été pensée afin d’éviter
un cloisonnement trop précoce entre les
différents domaines de la sociologie :
selon ses choix, l’étudiant pourra se
familiariser à de multiples aspects de
la sociologie ou bien il optera pour une
spécialisation plus grande dans un ou
deux domaines seulement de la discipline. Les enseignements sont prioritairement organisés autour d’enjeux sociaux
clés : l’éducation, le travail, la ville,
l’immigration et la culture.
LES ATOUTS
PROFESSIONNELS
et DÉBOUCHÉS
En dotant les étudiant(e)s d’outils et de
compétences spécifiques, la formation
en sociologie leur permet de s’insérer
dans des organismes privés et publics
et dans divers secteurs professionnels. La formation ouvre aussi sur les
débouchés classiques de la sociologie : la recherche et l’enseignement.
Le métier de sociologue n’est pas celui
d’un théoricien coupé de la vie sociale.
Au contraire, le sociologue est un
acteur social qui dispose d’outils pour
pouvoir agir sur la réalité qui l’entoure.
Le sociologue est un praticien, par
exemple lorsqu’il exerce des fonctions
d’études et de conseil ou lorsqu’il
s’intègre dans des milieux professionnels concernés par la mise en œuvre
d’actions pour favoriser la cohabitation
de groupes différents, résoudre des
conflits, améliorer la compréhension
mutuelle.
Horaire de jour –
Campus du Solbosch –
Informations :
http://catalogue.ulb.ac.be/prog/MA-SOCO
Secteurs : Services sociaux (CPAS,
planning familiaux, centre d’action
d’aide aux publics fragilisés, etc.,
Santé, Formation, Communication,
Monde associatif, Instituts de sondage,
Fonction publique, Syndicats, Administration de la justice, Aide à la jeunesse,
Administration pénitentiaire, Bureaux
d’études et de conseil, Institutions
nationales et internationales (commission européenne, Banque mondiale,
etc.), Instituts de sondage, Enseignement, Centres de recherches, Institutions privées.
Métiers exercés : Sociologue, Travailleur social de niveau universitaire en
service social, Coopérant international
(humanitaire, ONG, etc.), Responsable
d’organisation du secteur non marchand, Métiers de la fonction publique,
Cadre en entreprise privée, Gestionnaire de projet, Enseignant dans
l’enseignement secondaire (AESS) et/
ou enseignement supérieur (CAPAES),
Chercheur.
Le master en anthropologie forme
des spécialistes de l’approche comparative des sociétés et des cultures
et de l’enquête de terrain. Il dote les
étudiants des compétences d’analyse
critique nécessaires à la réflexion sur
la vie en société.
Ainsi, le master en anthropologie
offre d’abord un approfondissement
des cours de base présents au
niveau du bachelier, ainsi que des
cours d’anthropologie régionale ou
thématique et des cours empruntés
à d’autres disciplines (sociologie,
histoire, psychologie, philosophie,
sciences politiques...). Ensuite, le
master en anthropologie offre la
particularité d’être largement organisé autour du mémoire de recherche
que l’étudiant est invité à produire au
terme des deux années de master.
Ce programme fait donc une place
importante à la formation par la
recherche et permet aux étudiants
d’acquérir l’ensemble des compétences liées à la conception puis à
la mise en œuvre d’une recherche
empirique de terrain, de la définition
d’un cadre d’analyse et de la production des données à la rédaction du
mémoire.
LE CURSUS
Le master associe plusieurs méthodes
pédagogiques. Les cours ex-cathedra
alternent avec des exercices en petits
groupes, des séminaires et des travaux
de terrain. L’accent est mis sur la capacité d’analyse critique ; sur l’acquisition
et la mise à l’épreuve de méthodes
spécifiques (observation, description,
entretien) ; sur le travail de terrain ; sur
l’ouverture à d’autres disciplines (sociologie, histoire, psychologie, philosophie,
sciences politiques).
L’étudiant peut partir pendant un
semestre ou toute une année à l’étranger.
La Faculté a noué des accords avec de
nombreux partenaires en Europe et dans
le monde. En outre, un partenariat resserré existe avec un nombre limité d’universités, dans lesquelles les étudiants
qui suivent ce cursus peuvent effectuer
une mobilité qui s’inscrit alors dans le
cadre du Cursus européen en anthropologie des dynamiques sociales et
du développement, dont l’ULB assure
la coordination. Cette mobilité débouche
sur une double diplomation lorsqu’elle
s’effectue à l’Université de Bordeaux.
LES SPÉCIFICITÉS
Le master en Anthropologie offre un solide
ensemble de cours de base de la discipline,
des cours d’anthropologies régionales et
des cours empruntés à d’autres disciplines
(histoire, linguistique, géographie, religions…).
Il a été conçu pour permettre aux étudiants
d’acquérir de manière pratique les compétences ethnographiques de base en les
mettant à l’épreuve du terrain. L’enseignement y est conçu en synergie étroite avec
la recherche, les étudiants pouvant — dans
le cadre de séminaires — échanger avec
des chercheurs qui travaillent sur des
aires géographiques et des thématiques
multiples.
Le programme s’articule autour d’un
ensemble de cours formant un tronc
commun, auquel les étudiants sont
invités à ajouter d’autres cours, à choisir
dans une liste de cours à option. Ces
choix d’options permettent donc une
certaine personnalisation de son programme de cours par l’étudiant. Enfin, 40
crédits sont directement liés au mémoire
de recherche que l’étudiant doit produire
au terme de son master : 10 crédits sont
dévolus au mémoire bibliographique
demandé en fin du 1er bloc de master,
25 crédits sont attribués au mémoire
final, et 5 crédits à un séminaire de
recherche étroitement articulé au
mémoire.
Horaire de jour –
Campus du Solbosch –
Informations :
http://catalogue.ulb.ac.be/
prog/MA-ANTR
LES ATOUTS
PROFESSIONNELS
et débouchés
La formation ouvre sur les débouchés
«classiques» des sciences sociales :
la recherche sur le monde social, plus
fondamentale (Université, institutions de recherche) ou plus appliquée
(bureaux d’études et de conseil, ONG,
institutions internationales). Ainsi,
rompus à l’analyse des changements
culturels, les anthropologues peuvent,
comme les sociologues, s’engager dans
des institutions directement impliquées
dans le changement social, dans la
conception de politiques sociales ou
culturelles, dans la pratique du
« développement », etc.
Secteurs : Institutions nationales et
internationales (Union Européenne,
Banque mondiale, etc.), ONG et coopération internationale, Services sociaux,
monde associatif, Fonction publique,
Bureaux d’études et de conseil, Enseignement, Institutions de recherche
publiques ou privées.
Métiers : Chercheur en anthropologie
(Université, institution de recherche),
Expert ou gestionnaire de projet au
sein d’un bureau d’études, d’une ONG
ou d’une organisation nationale ou
internationale, Coopérant international
(humanitaire, ONG, etc.), Travailleur
(niveau universitaire) des services
sociaux, du secteur non marchand, du
secteur culturel, Cadre de la fonction
publique ou du secteur privé (dans
des matières ayant trait aux sciences
humaines et sociales au sens large),
Enseignant dans l’enseignement secondaire (AESS) et/ou dans l’enseignement
supérieur hors université (CAPAES).
MA
MASTER EN SOCIOLOGIE
15
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
Le Master en gestion des ressources
humaines vise à doter les diplômés de
compétences à la fois conceptuelles
et opérationnelles dans le domaine
de la GRH. L’objectif est de former des
professionnels capables de répondre
aux demandes des organisations tant
en termes d’optimisation de l’apport
des ressources humaines en leur sein
qu’en termes d’évaluation de leur
mode de fonctionnement. A l’issue de
leur formation, les diplômés auront
acquis à la fois les connaissances
générales de la GRH et les outils de
réflexion nécessaires pour situer celleci dans le contexte du développement
de la société et de l’entreprise.
Centré sur l’Organisation, le Master
s’articule autour de deux grands axes :
la gestion des ressources humaines
proprement dite et l’entité organisationnelle (société publique, privée,
administrations, associations, etc.)
dans ses principales dimensions : la
dimension humaine du management,
les composantes juridiques, budgétaires et économiques de la gestion
du personnel ainsi que les méthodologies de la formation, du conseil
et de l’intervention. Il vise à fournir
les mécanismes intellectuels d’une
démarche critique de compréhension
et d’intervention sur les dimensions
humaines du management. Les enseignements sont conduits à travers des
études de cas au sein de différentes
organisations de nature à permettre,
à l’issue de la formation, de s’inscrire
rapidement dans le monde
professionnel.
MA
LE CURSUS
16
Le MA en gestion des ressources
humaines associe plusieurs méthodes
pédagogiques. Le programme de formation alterne apprentissages de concepts
fondamentaux, des expériences pratiques de terrain et des travaux individuels et collectifs, dans une perspective
à la fois pragmatique et critique. L’accent
est mis sur :
• la capacité d’analyse critique ;
• l’acquisition et la mise à l’épreuve des
techniques de la GRH;
• le travail de mission en entreprise ;
• le mémoire.
Le programme du cycle de MA en GRH
s’organise en deux étapes. La 1ère garantit la maîtrise des connaissances de base
axées sur les cours de GRH et indispensables pour aborder les cours dispensés
l’année suivante. Elle permet également
le choix entre une formation nourrie de
cours plus orientés vers la psychologie,
la sociologie, le conseil ou les questions
plus socio-économiques liées à la gestion des ressources humaines.
La 2ème étape, conçue comme un module
d’approfondissement et de professionnalisation, propose les enseignements
plus spécialisés, divers travaux pratiques
en GRH et des séminaires qui s’articulent
autour de compétences spécifiques. Les
méthodes pédagogiques encouragent
tout particulièrement la participation
active (missions de conseil en entreprise,
études de cas, conférences sur des
thèmes d’actualité, séminaire résidentiel,…).
LES SPÉCIFICITÉS
Encourageant la participation active des
étudiants (études de cas, missions de
conseil, séminaires, travaux de groupes,
échanges avec intervenants externes,
séminaire résidentiel, etc.), le programme
est conçu pour favoriser une réflexion
critique et indépendante sur les politiques RH et la pratique du conseil en
organisation. Outre les matières enseignées de manière plus traditionnelle, il
comporte une dimension très pratique
à partir de la réalisation de missions de
conseil en milieu organisationnel impliquant une obligation de résultat. L’originalité et l’efficacité de la formule permet
aux étudiants de vivre une expérience
professionnalisante.
Horaire de jour –
Campus du Solbosch –
Informations :
http://catalogue.ulb.ac.be/prog/MA-GRHU
LES ATOUTS
PROFESSIONNELS
et débouchés
La formation en GRH offre au diplômé
des débouchés attractifs dans les
domaines de la gestion des ressources
humaines, la formation, le recrutement,
l’audit social, la consultance, etc.
Les employeurs intéressés par ces
compétences sont : les grandes
entreprises privées et publiques, les
cabinets de conseil spécialisés, les
entreprises de formation, les administrations publiques, le monde associatif,
etc.
Métiers exercés : Gestionnaire des
ressources humaines, Expert dans le
domaine de la formation et du développement professionnel, Consultant analyste (conseil, gestion, changement
organisationnel, etc.), Expert dans le
domaine de la sélection et du recrutement.
MASTER EN SCIENCES DE LA POPULATION
ET DU DÉVELOPPEMENT
Ce Master forme les étudiants aux
métiers de la coopération et du
développement. Il vise à préparer
des professionnels de haut niveau
capables de maîtriser les questions
de développement international
et ses enjeux, de comprendre les
problèmes auxquels sont confrontés
les pays en développement ainsi que
les efforts qui sont déployés pour les
résoudre.
Le programme a pour ambition
d’amener les diplômés à une
réflexion critique et indépendante
pouvant s’appliquer aux politiques de
développement et à la pratique de la
coopération internationale.
La formation est à la fois théorique
et pratique : un stage, réalisé le plus
souvent à l’étranger, permet aux
étudiants d’être confrontés directement et concrètement aux réalités du
terrain.
LE CURSUS
développement, le programme offre
une palette de cours permettant aux
étudiants soit d’approfondir des disciplines déjà abordées dans leur formation
de 1er cycle, soit de se familiariser avec
d’autres.
Horaire de jour –
Campus du Solbosch –
Informations :
http://catalogue.ulb.ac.be/prog/
MA-COOP
LES ATOUTS
PROFESSIONNELS
et débouchés
La formation prépare aux métiers du
développement : gestionnaires de
projets pour les opérateurs de la coopération internationale, coordonnateurs
de projets d’aide et de développement
international, conseillers, consultants,
analystes de programmes de coopération …
Les trois grands domaines au sein
desquels un emploi est envisageable :
• les institutions nationales et internationales qui financent le dévelop-
pement (Commission européenne,
Banque mondiale, Coopération bilatérale belge, etc.),
• les Organisations Non Gouvernementales — ONG — qui agissent de manière
indépendante, généralement financées
(ou co-financées) par les institutions
ci-dessus. Les postes à pourvoir se
localisent soit au siège de l’ONG, soit
dans leurs pays «cibles»,
• le secteur privé qui travaille comme
sous-traitant pour les institutions nationales et internationales. Les bureaux
d’études identifient, formulent, mettent
en œuvre et évaluent des projets et
des programmes pour le compte de ces
institutions par la mise à disposition
d’experts et d’assistance technique.
Le MA associe plusieurs méthodes
pédagogiques. Les cours ex cathedra
alternent avec des séminaires et un
important travail de terrain. Un stage,
accompagné d’un encadrement pédagogique individuel et en groupe, permet
aux étudiants à la fois d’être confrontés
concrètement aux réalités du terrain et
de développer des capacités d’analyse
comparative.
La formation est à la fois théorique
et pratique : un stage, d’environ 150
heures, réalisé soit à l’étranger soit dans
des organismes situés en Belgique,
permet aux étudiants d’être confrontés
directement et concrètement aux réalités
du terrain.
LES SPÉCIFICITÉS
Ce MA a un caractère interdisciplinaire
et reflète la volonté d’intégrer le programme d’enseignement, les projets de
recherche, la pratique et la connaissance
du terrain et les prestations de service.
Outre les cours obligatoires centrés
sur les questions de coopération et du
MA
MASTER EN GESTION DES RESSOURCES HUMAINES
17
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
MASTER EN SCIENCES DU TRAVAIL
LE CURSUS
Le MA associe plusieurs méthodes
pédagogiques. Les cours ex cathedra
alternent avec des exercices en petits
groupes, des séminaires et des travaux.
SUR LE CAMPUS DE
BRUXELLES :
La finalité Organisation et administration du travail, en horaire de jour,
est en relation directe avec le monde
du travail, aborde la problématique du
travail dans les domaines juridique,
sociologique, psychologique, économique, social.
MA
La finalité Gestion de la formation et
de la transition professionnelle, en
horaire décalé, a été pensée dans un
contexte de chômage et de plus grande
mobilité de l’emploi, où les activités dans
les domaines de l’insertion professionnelle se sont considérablement développées. Les spécificités des compétences
impliquées dans la conception et la gestion des projets sont apparues comme
un enjeu majeur. La modernisation des
entreprises, en particulier au plan organisationnel, a mis l’accent sur le besoin de
formation dans les stratégies de gestion
des entreprises.
18
La finalité Genre et inégalités,
partiellement en horaire décalé, a pour
objectif de donner à de futurs spécialistes en égalité les outils, connaissances et sensibilités nécessaires
pour soutenir les avancées en matière
d’égalité des sexes et de lutte contre les
discriminations. Cette finalité est liée
au réseau européen EGALES (Etudes
Genre et Actions Liées à l’Egalité dans
la Société), qui associe l’université de
Lyon2 (coordinatrice), l’Université de York
(Royaume Uni), l’Université Autonome
de Barcelone (Espagne), l’Université Abo
Akademi (Finlande), l’Université de Lausanne (Suisse), l’Université de Bucarest
(Roumanie) et l’Université de Toulouse2
Le Mirail (France). Ce réseau offrira aux
étudiants de cette finalité des possibilités d’échanges Erasmus.
Une finalité européenne est organisée.
Elle est dispensée à Séville en MA2 et est
accessible sur dossier via une des finalités de MA1 en Sciences du travail.
SUR LE CAMPUS DE
CHARLEROI, À HORAIRE
DÉCALÉ :
Le master proposé est orienté vers une
formation dans deux grands domaines :
• le Développement social s’inscrit
dans la promotion actuelle des professions associées à l’action sociale. Elle
forme des concepteurs, des dirigeants,
des formateurs et des superviseurs de
projets sociaux dans le secteur public,
associatif ou commercial. Ce cursus
donne aux diplômés une base théorique de réflexion en rapport avec les
grands problèmes d’actualité : emploi,
conditions de travail, exclusion sociale,
insertion, développement local.
• la Gestion et l’administration dans
le secteur non marchand a pour
but d’offrir une formation en sciences
du travail orientée vers le secteur non
marchand. Ce cursus s’adresse aux
personnes appelées à occuper des
fonctions de responsabilités en ce qui
concerne les missions de services collectifs, ainsi qu’à celles intéressées par des
fonctions de conception, d’ingénierie, de
développement et de gestion des projets
de services au sein des organisations
non lucratives (associations, mutuelles,
fondations, entreprises d’insertion,
organisations non gouvernementales,
coopératives,…).
LES SPÉCIFICITÉS
Le MA peut être suivi en horaire de jour
ou en horaire décalé. Certains cursus
sont dispensés sur le Campus du Solbosch à Bruxelles et d’autres à Charleroi (Caserne de Trésignies, 1, Boulevard
Général Michel, 6000 Charleroi).
Ce master existe aussi en un an
(à Bruxelles, en horaire de jour). Il vise à
offrir une formation complémentaire utile
aux étudiants souhaitant enrichir leur
bagage universitaire ou réorienter leur
parcours professionnel.
LES ATOUTS
PROFESSIONNELS
Selon la finalité suivie, le Master en
Sciences du travail prépare à la gestion
du personnel dans les entreprises privées et publiques, à la gestion des secrétariats sociaux, aux emplois de niveau
I dans les administrations publiques ; il
débouche sur diverses fonctions dans
le cadre d’ONG, d’organisations internationales, de syndicats internationaux;
il permet d’occuper des fonctions de
responsable dans une entreprise privée
ou publique, ainsi que dans le secteur
associatif (Service du personnel, insertion, formation,…).
Informations :
http://catalogue.ulb.ac.be/prog/MA-TRAV
Le doctorat
Un doctorat, c’est bien plus que la
réalisation d’une contribution originale
à l’avancement des connaissances
scientifiques. C’est aussi l’insertion dans
les réseaux de recherche internationaux,
la participation aux débats de société et
la transmission du savoir. Les doctorants
sont des experts en devenir. Le Département l’a bien compris et met tout en
œuvre pour assurer leur plein développement. C’est sans doute la raison pour
laquelle on retrouve ses docteurs dans le
corps professoral de plusieurs universités et dans les plus hautes instances de
la vie sociale et politique.
Une formation
doctorale sur-mesure
Les doctorants consacrent généralement
une année entière à leur « formation
doctorale ». Il s’agit d’une formation
taillée sur-mesure selon les intérêts
scientifiques de chaque doctorant qui
peut notamment s’alimenter de l’offre
des « Graduate schools » interuniversitaires chapeautées par le Fonds de la
Recherche Scientifique.
Les doctorants développent une relation
privilégiée avec leur « promoteur », qui
les guide et les conseille. Un « comité
d’accompagnement » est également
constitué pour chacun d’eux, de façon à
ce qu’ils puissent bénéficier de l’expertise complémentaire de plusieurs professeurs.
Au début de leur formation doctorale,
les doctorants établissent conjointement
avec leurs promoteurs un programme de
formation. Ce programme doit permettre
d’approfondir les connaissances, les
théories et les méthodes dont la maitrise
est nécessaire pour réaliser le projet de
thèse et acquérir la polyvalence nécessaire à la suite de la carrière.
Certains apprennent une langue étrangère qui leur permettra de mieux
comprendre la société qu’ils étudient.
D’autres s’initient aux logiciels d’analyses statistiques qu’ils utiliseront pour
tester leurs hypothèses. D’autres encore
discutent avec des théoriciens de renom
pour développer leur propre modèle
théorique.
La formation doctorale est l’occasion de
s’assurer que les doctorants disposent
de toutes les ressources matérielles et
intellectuelles pour mener à bien leur
projet. S’ils n’ont pas encore de financement suffisant, le Département les
appuiera dans la préparation de leurs
demandes auprès des différents organismes qui peuvent financer leur projet.
L’intégration dans un
environnement
stimulant
Au Département, les doctorants sont
pleinement intégrés dans les activités
scientifiques du centre de recherche
auquel ils sont rattachés. Ils publient
conjointement avec les professeurs,
organisent avec eux des conférences et
contribuent aux enseignements. Loin
d’être des faire-valoir ou des travailleurs
de l’ombre, c’est souvent sur eux que les
projecteurs sont braqués.
De plus, les doctorants du Département
constituent un groupe particulièrement
soudé. Ils apprennent tout autant les
uns des autres que des professeurs. Ils
débattent de questions scientifiques et
offrent leurs suggestions aux projets de
leurs pairs. Ils s’épaulent, s’encouragent
et se soutiennent. Parce que la réalisation d’une thèse est un exercice solitaire
et exigeant, cet appui de l’ensemble des
scientifiques est l’une des principales
richesses du Département.
L’environnement de recherche du Département bénéficie également d’une forte
internationalisation. Les doctorants euxmêmes proviennent des quatre coins du
monde et plusieurs séjournent fréquemment à l’étranger dans le cadre de leurs
recherches. Un nombre croissant mène
leur projet de recherche en cotutelle avec
une université étrangère et tous sont
encouragés à présenter leurs travaux lors
des conférences internationales.
Cet environnement social, intellectuel et
international que le Département offre à
ses doctorants constitue un atout envié
par plusieurs autres universités.
Témoignages
« La réalisation d’une thèse de doctorat
représente bien entendu une opportunité
d’approfondir un thème de recherche
retenant notre intérêt. La réalisation
d’une thèse, c’est également l’insertion
dans un centre de recherche et la participation à la vie scientifique, permettant
de faire de nombreuses rencontres
et offrant des lieux de discussions et
d’apprentissages privilégiés sur de nombreux sujets. ».
Morgane, Doctorante en Sociologie.
« Faire un doctorat consiste en une
véritable expérience professionnelle qui
peut s’apparenter à la gestion de projet
en entreprise : gérer ses recherches,
son temps, participer aux séminaires,
colloques, enseigner en séminaire à
l’Université, s’épanouir en travaillant.
Tout n’est pas toujours rose dans la vie
du doctorant qui est en perpétuel questionnement par rapport à ses recherches
mais également mis sous tension
concernant ses projets de publications
et communications. Mais finalement, le
doctorat c’est une expérience unique qui
permet de s’approprier des compétences
transversales, faire aboutir des projets
qu’on dirige soi-même mais surtout, c’est
apporter son regard quant à une thématique de recherche sélectionnée. Si je
devais à nouveau choisir ? Je n’hésiterais
pas, je rééditerais ! ».
Pierre, Doctorant en Sciences du travail.
« Je pense que les premières choses à
avoir pour commencer une thèse sont la
passion et l’autodiscipline. Il s’agit d’un
travail assez long pour lequel on a finalement pas mal de libertés, il faut donc
apprendre à gérer son temps efficacement. Ce que j’apprécie particulièrement
dans la recherche en anthropologie c’est
que l’on touche à tout. Entre le terrain
et l’analyse des données, il faut souvent
approcher d’autres disciplines (la musicologie et la linguistique dans mon cas) ;
ce qui offre des points de vue différents
et ouvre notre formation à d’autres techniques de recherche. ».
Marie-Pierre,
Doctorante en Anthropologie.
DOCTORAT
Le Master en Sciences du travail a
pour objectif de former des spécialistes en organisation et gestion du
travail. Cet objectif exige une formation adaptée aux réalités sociales en
préparant les diplômés aux exigences
professionnelles, tant du secteur
public que du secteur privé. En relation directe avec le monde du travail,
les programmes de ces Masters sont
avant tout marqués par leur aspect
pluridisciplinaire. La problématique
du travail y est abordée dans les
domaines juridique, sociologique,
psychologique, économique, social
ou médical.
Thèse en Sciences politiques et sociales
19
Multiculturelle
& internationale
Avec ses 13 facultés, écoles et instituts spécialisés,
l’ULB couvre toutes les disciplines en associant très
étroitement enseignement et recherche. Elle organise
près de 40 programmes de 1er cycle (BA)
et 245 programmes de 2ème cycle (masters et
masters de spécialisation), et participe à 20 Écoles
doctorales où près de 1800 doctorats sont en cours.
Université francophone, l’Université libre de Bruxelles
dispense l’essentiel de ses enseignements en français
et propose une offre croissante de Masters
partiellement ou entièrement en anglais, voire
dans d’autres langues.
Certains de ces Masters mettent l’accent sur la
transdisciplinarité, d’autres sur l’international
avec des Masters européens ou le multilinguisme.
De nombreuses collaborations avec la VUB (Université
néerlandophone de Bruxelles) se poursuivent aussi,
depuis plusieurs années.
Soucieuse d’apporter aux étudiants une solide
formation de base, un esprit critique et le goût de la
recherche, l’Université rencontre aussi les besoins de
nouveaux publics. Des cursus à horaire décalé et
des formations continues destinés à des adultes
engagés dans la vie active côtoient des filières plus
traditionnelles ou plus en prise avec la recherche de
pointe.
20
Université multiculturelle - un tiers des étudiants et
des chercheurs proviennent d’un autre pays -, l’Université libre de Bruxelles a fait de l’international une réalité
quotidienne à l’image de Bruxelles, ville cosmopolite
par excellence. Grâce notamment aux programmes
européens de mobilité, les collaborations avec des
universités du monde entier s’inscrivent désormais
dans une dynamique qui touche l’enseignement comme
la recherche. Au-delà des nombreux échanges d’étudiants, l’ULB met en place des formations intégrées
avec des partenaires étrangers, allant jusqu’à la délivrance de diplômes conjoints de Master et de Doctorat.
Plusieurs de ces programmes ont reçu le prestigieux
label « Erasmus Mundus ».
Cette dynamique en matière d’ouverture à l’Europe et
au monde se traduit par de nombreux accords,
collaborations et partenariats privilégiés avec
quelques-unes des meilleures universités du monde.
Une recherche de pointe
Engagée…
Cinq Prix Nobel (Henri La Fontaine, Jules Bordet,
Albert Claude, Ilya Prigogine et François Englert), une
Médaille Fields (Pierre Deligne), trois Prix Wolf et deux
Prix Marie-Curie sont autant de preuves de la longue
tradition d’excellence.
L’ULB est impliquée, depuis sa fondation en 1834,
dans le combat sans cesse renouvelé pour la pensée
critique et la liberté, qu’il concerne l’opposition aux
dictatures ou aux autres dérives nationalistes, l’égalité
des chances et bien d’autres enjeux sociétaux.
Fortement impliquée dans l’Espace européen de la
recherche, l’ULB participe à près de 130 projets financés par le 7e Programme-Cadre Européen.
Ces dernières années, elle a obtenu cinq Starting Grants
de l’European Research Council (ERC) pour financer
des recherches en médecine, économie, mathématiques et sciences politiques, ainsi qu’un Advanced
Grant en Intelligence artificielle. Son Institut
d’Études européennes est par ailleurs reconnu « Pôle
de recherche européen Jean Monnet » pour ses travaux
sur l’intégration européenne. L’Université développe
également une recherche en étroite collaboration avec
le monde de l’entreprise et valorise ses résultats par le
biais de brevets et de spin-offs.
Fondée sur le principe du libre examen qui postule
l’indépendance de la raison et le rejet de tout dogme,
l’Université est restée fidèle à ses idéaux originels : une
institution libre de toute tutelle, engagée dans la
défense des valeurs démocratiques et humanistes.
Dans un souci de démocratie, les étudiants participent
activement, depuis 1968, aux principales structures
de l’Université.
Ed. Resp. : J-M DE WAELE - crédits photographiques : L. David, j-d burton, m. vanden eeckhoudt, J-M clajot, J. Jottard, P. Pellizari, Ulb - Design : geluck, suykens & partners
Un enseignement
de qualité
Département des Sciences sociales et des Sciences du travail
L’UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES
21
24 000
ÉTUDIANTS
33 %
d’étudiants
internationaux
issus de 130 pays
Université libre de Bruxelles
245
Masters
à
Une tradition d’excellence scientifique
à
Un enseignement de qualité
à
Une ouverture sur le monde,
au cœur de l’Europe
Avec ses treize facultés, écoles et instituts spécialisés,
l’ULB couvre toutes les disciplines en associant très
étroitement enseignement et recherche.
Elle organise près de 40 programmes de 1er cycle (BA)
et 245 Masters (masters et masters de spécialisation),
et participe à 20 Écoles doctorales où près de 1800 doctorats
sont en cours.
Soucieuse d’apporter à ses étudiants une solide formation de
base, un esprit critique et le goût de la recherche,
l’Université rencontre aussi les besoins de nouveaux publics…
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