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Le Temple pour la Paix
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Le projet
La vie du temple
L’initiateur
Les moyens
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La congrégation Vajradhara Ling a le projet de construire un Temple pour la
Paix à Aubry-le-Panthou, petit village du département de l’Orne, au cœur de
la Basse-Normandie. L’architecture traditionnelle du Temple pour la Paix est
inspirée de celle de Samyé, le premier temple construit au Tibet au VIIIe siècle.
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Le Temple pour la Paix est appelé à développer le programme d’enseignements
du bouddhisme tibétain déjà existant sur le site. Il deviendra ainsi un haut
lieu de transmission et de pratique d’une sagesse millénaire qui nous incite à
contribuer à un environnement pacifique en étant soi-même plus calme et plus
altruiste.
Le Temple sera également un espace ouvert, accueillant une variété de
manifestations liées à la paix : colloques, rencontres interreligieuses, expositions
et spectacles.
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Lama Gyourmé, directeur spirituel de la congrégation Vajradhara Ling ainsi que
du centre Kagyu-Dzong à Paris et du centre de retraite Mahamoudra Ling dans
l’Orne, est l’initiateur du projet. Depuis plus de trente ans qu’il vit en France, il a
su regrouper autour de ces trois centres une communauté de pratiquants et de
non pratiquants qui participent aux activités culturelles et religieuses.
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Différents comités, coordonnés par Lama Gyourmé, ont pour but de faciliter
la mise en place du projet. Le budget du projet, évalué à plusieurs millions
d’euros, sera financé entièrement par des donations.
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Le projet
Dans un Occident dont les valeurs sont sans cesse
remises en cause, nos sociétés en quête de sens et
de perspectives se tournent vers le bouddhisme.
Depuis le VIIIe siècle, des bâtisseurs inspirés par ses
valeurs ont érigé dans la région himalayenne des
stoupas, des temples et des monastères dédiés
à la sagesse et à la compassion. De nos jours,
également imprégnés de cette même énergie de
paix et de sérénité, de nombreux monuments ont
progressivement vu le jour en Europe et aux EtatsUnis.
C’est dans cet esprit, en se référant à vingt-cinq
siècles de spiritualité bouddhiste, que le Temple
pour la Paix s’élèvera prochainement sur le site de la
congrégation Vajradhara Ling.
Au sein des cultures bouddhistes, le temple luimême représente un support parfaitement pur, un
espace sacré qui rassemble pratiquants et visiteurs
dans un état de recueillement respectueux, favorable
à la méditation et à la réflexion. Il est aussi un lieu
d’éducation dans des domaines aussi variés que
la médecine, la philosophie, l’art des débats et les
sciences.
Le Temple pour la Paix proposera une approche
bouddhiste de la paix intérieure à travers des
enseignements, des techniques de méditation et
des rituels ; il présentera aussi des colloques, des
expositions, des spectacles.
Ce projet s’adresse donc aujourd’hui à tous ceux
qui, désireux d’œuvrer dans le sens de la tolérance
et du respect de la dignité humaine, souhaitent
participer à la création d’un lieu consacré à la paix,
à sa recherche intérieure, à son partage, à son
développement au travers d’échanges, de réflexions
et de projets.
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La congrégation
Vajradhara Ling
Elle est rattachée à l’un des
courants du bouddhisme
tibétain développant la
transmission orale du bouddhisme, l’École Kagyu.
Cette transmission s’est poursuivie de façon ininterrompue, de maître à disciple, depuis le Bouddha
Shakyamuni, il y a plus de 2500 ans.
Depuis 25 ans, la congrégation a été un lieu
d’accueil pour les publics français et européen,
afin de leur faire connaître le bouddhisme dans sa
forme traditionnelle, préservée et authentique. Au
fil des ans, elle s’est développée autour d’un petit
temple, d’un stoupa, d’un grand moulin à prières et
d’un centre de retraite, Mahamoudra Ling.
Dans le domaine de la philosophie, des enseignements traditionnels sont donnés selon un programme
régulier permettant à tous, bouddhistes comme nonbouddhistes, d’approfondir leur compréhension du
monde. Ces enseignements sont complétés par des
instructions sur différentes techniques de méditation
que les pratiquants peuvent expérimenter.
Enseignements, techniques de méditation, apprentissage de rituels sont offerts par Lama Gyourmé,
quatre autres lamas formés en Asie, ainsi que des
lamas occidentaux et des laïques. Chaque année,
la congrégation reçoit environ 2000 personnes qui
séjournent sur le site d’Aubry-le-Panthou.
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La vie du temple
Un foyer
de rayonnement
de la sagesse et
des initiatives
porteuses de paix
Un espace d’enseignement,
un lieu de transmission
À partir des années soixante, les maîtres du
bouddhisme himalayen sont venus en Occident, et
notamment en France, pour y enseigner leur tradition
spirituelle. Cette tradition a été accueillie avec
beaucoup d’enthousiasme par un grand nombre de
sympathisants et de fidèles.
Le Temple pour la Paix continuera d’accueillir ces
maîtres que le centre d’Aubry le Panthou reçoit
régulièrement depuis sa création, en 1982. Par son
architecture traditionnelle, il sera spécialement dédié
à la transmission d’une sagesse millénaire.
La salle de prière du temple actuel, située dans
un bâtiment du XVIIIe siècle, ne permettant plus de
recevoir convenablement un nombre grandissant de
fidèles et de sympathisants, le Temple pour la Paix
offrira à ce large auditoire un cadre plus spacieux pour
bénéficier de ces très précieux enseignements.
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La paix dans le
monde passe par la
paix intérieure
Un espace de pratique
de la méditation
La compréhension des règles éthiques, le respect
d’autrui et la non-agression sont essentiels à un
engagement bouddhiste. Ils doivent être aussi
accompagnés d’une pratique de la méditation.
Le bouddhisme himalayen est constitué d’un nombre
très important de méditations, de prières et de rituels.
Cette grande variété, destinée à accommoder les
aptitudes et les inclinaisons diverses des femmes et
des hommes, ne doit pas cacher son but unique :
nous libérer de la souffrance et nous mener vers la
paix intérieure.
Nombre d’entre nous aujourd’hui, déçus par la
course matérialiste du monde moderne, recherchent
cette paix intérieure, ainsi qu’une manière de vivre
plus sereine. Ces pratiques méditatives anciennes
sont autant de passerelles nous amenant à découvrir
le trésor qui sommeille en nous. En effet, il est dit
dans les textes anciens que chacun de nous a en
lui la nature de Bouddha, et que c’est en pratiquant
la méditation que nous pouvons découvrir le «cœur
de Bouddha» : la paix intérieure qui allie sagesse et
compassion.
Le Temple pour la Paix sera ainsi un lieu d’application
de ces pratiques méditatives diverses, destinées
à faire éclore la paix intérieure, les maîtres nous
enseignant, parfois par leur simple présence, que
cette paix intérieure peut être notre contribution la
plus significative à un monde meilleur.
Invitation et
organisation des
enseignements
de Sa Sainteté le
Dalaï-Lama
Pour la première fois, en
2003, la congrégation et le
centre de Kagyu Dzong ont
participé à l’organisation
des enseignements de
Sa Sainteté le Dalaï-Lama
à Bercy.
Avec le centre Drugpa Kagyu de Plouray et le
Centre d’études de Chanteloube, la congrégation
Vajradhara Ling est à nouveau organisatrice de
la venue et des enseignements de Sa Sainteté le
Dalaï-Lama à Nantes, en août 2008.
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La vie du temple
Un espace ouvert ...
La congrégation prévoit d’organiser, sur le site du
Temple pour la Paix, des colloques qui réuniront les
personnalités marquantes de notre époque ayant œuvré
de manière significative à la promotion de la paix :
des prix Nobel de la paix, des femmes et des hommes
à l’origine de projets humanitaires, des dignitaires
religieux de différentes confessions, des artistes dont
l’œuvre met en relief les idées de respect et de tolérance
des peuples.
Photographe : Tenzin Choejor
Sur les initiatives de paix
Le Temple pour la Paix ne sera pas seulement un
espace limité à la rencontre d’une certaine école du
bouddhisme, mais aussi un lieu ouvert favorisant les
échanges avec les autres traditions bouddhistes, avec
les traditions chrétiennes, musulmanes, juives, et
d’autres plus éloignées encore comme celles des indiens
d’Amérique du Nord, des aborigènes d’Australie...
La congrégation organisera des rencontres entre les
représentants de ces traditions spirituelles, en évitant
l’amalgame d’un syncrétisme illusoire, pour mieux faire
connaître cette diversité et les valeurs communes à
toutes ces familles de pensée : la contribution individuelle
à un monde meilleur, le respect de l’individualité, la
tolérance, la volonté de paix, le rejet de la violence, la
dignité d’une tradition spirituelle ancienne...
www.esprit-photo.com
Sur les autres traditions
Sur l’art
Dans le cadre majestueux du Temple pour la Paix,
toujours avec la même volonté de promouvoir la
tolérance et la compassion, en partenariat avec des
artistes et des musées, la congrégation programmera
des expositions d’œuvres permettant une meilleure
compréhension d’autres approches cultuelles et
culturelles.
Des spectacles traditionnels ou modernes, permettant
la découverte d’autres cultures anciennes, seront
également proposés, dans la continuité des spectacles
tibétains traditionnels déjà présentés à Aubry-lePanthou :
• danses rituelles de moines tibétains;
• présentations des chanteurs et danseurs du TIPA
(Tibetan Institute of Performing Arts).
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Le bouddhisme
himalayen
Il fait référence à des pratiques, des savoirs, qui se
sont développés dans la
région himalayenne : Tibet, Bhoutan, Sikkim, Népal.
Même si le tibétain est le langage prédominant dans
cette tradition, il faut reconnaître que les maîtres et les
fidèles de cette tradition ne viennent pas seulement
du Tibet mais de l’ensemble de cette région.
Le bouddhisme himalayen est la seule tradition qui
englobe l’ensemble des trois grandes catégories
d’enseignements du Bouddha : le Hinayana, le
Mahayana et le Vajrayana.
Le Hinayana constitue la doctrine de base du
bouddhisme, se concentrant dans les quatre Nobles
Vérités : le monde est souffrance, la souffrance a une
cause, la cause peut avoir une fin, les enseignements
du Bouddha permettent de mettre un terme à cette
souffrance.
Le Mahayana, à partir de la doctrine du Hinayana,
propose comme modèle le bodhisattva dont le
but unique est d’atteindre la libération pour pouvoir
libérer les autres êtres. Le Vajrayana, ou «Véhicule
du Diamant», inclut les deux autres véhicules et
introduit la notion de vision pure, qui permet la
transformation immédiate des émotions négatives et
des attachements en autant de marches vers l’Eveil.
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L’initiateur
Lama
Gyourmé,
proche
disciple du détenteur de la
lignée Changpa Kagyu, Son
Eminence Kalou Rimpoché,
actuellement
directeur
spirituel de la congrégation
Vajradhara Ling, du centre de
Kagyu-Dzong, à Paris, et du
centre de retraite Mahamoudra Ling, dans l’Orne,
est l’initiateur du projet.
Depuis plus de trente ans, il vit en France où il a
su regrouper, autour de ces deux centres, une
communauté de pratiquants et non-pratiquants qui
participent aux activités culturelles et religieuses.
Lama Gyourmé naît au Bhoutan, en 1948. Son père,
Lama Pékar, est responsable du monastère de Djang
Tchoub Tcheu Ling et y représente la princesse Ashe
Wangmo qui joue un rôle important dans la vie de
l’enfant.
À 10 ans, il rencontre pour la première fois, le très
vénérable Kalou Rimpoché. Plus tard, il prend les
vœux d’ordination auprès de Sa Sainteté le XVIe
Karmapa, et reçoit alors le nom de Karma Phende
Djoug Né, «La Source de bienfaits et de bonheur».
À 18 ans, répondant aux souhaits de Kalou
Rimpoché, il entre en retraite de trois ans, trois mois
et trois jours au monastère de Sonada. À sa sortie,
il est nommé «oumze», maître des cérémonies, des
rituels, des chants et des danses sacrées.
Pour la première fois en France, un centre bouddhiste
tibétain Kagyupa est créé en 1974, Lama Gyourmé
en sera le responsable. Grâce à la Ville de Paris et à
l’Institut international bouddhique, ainsi qu’à l’aide
de généreux donateurs et de nombreux bénévoles,
le temple Kagyu Dzong, situé à Paris, dans le bois de
Vincennes, est inauguré en 1987.
Afin de parfaire son apprentissage religieux et
philosophique, il étudie à Rumtek, au Sikkim, auprès
de Sa Sainteté le XVIe Karmapa, et devient enseignant
de la tradition Kagyupa.
Le jour de sa vingt-cinquième année, alors qu’il
accompagne son maître Kalou Rimpoché, en France,
Lama Gyourmé apprend qu’il va rester à Paris afin
d’instruire et guider les êtres.
Lama Gyourmé dirige également le centre de
Vajradhara Ling, situé au cœur de la campagne
normande, non loin de Lisieux. Le lieu, nommé
«le jardin du bouddha Vajradhara», a été inauguré en
1982. Depuis, un moulin à prière et un grand stoupa
sont venus embellir cet endroit si serein, répondant
en cela aux vœux de Kalou Rimpoché qui dédiait
ces constructions à la paix dans le monde.
Le centre de retraite, Mahamoudra Ling, situé à une
soixantaine de kilomètres d’Aubry-le-Panthou, est
dédié aux pratiquants souhaitant faire des retraites
plus ou moins longues. Lama Gyourmé y programme
régulièrement des cycles d’enseignements et dispense ses conseils aux retraitants. Il envisage d’y
faire construire des bâtiments permettant d’accueillir
des pratiquants souhaitant accomplir la retraite
traditionnelle de trois ans.
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Les autres
activités de
Lama Gyourmé
Lama Gyourmé a enregistré
avec Jean-Philippe Rykiel
deux CD, Souhaits pour
l’Eveil et Pluie de bénédictions, qui reprennent les
mélodies des rituels du Vajrayana mises en valeur
par un accompagnement de musique électronique.
Ces disques sont parmi les disques de musique
rituelle religieuse traditionnelle les plus vendus dans
le monde.
Lama Gyourmé et Jean-Philippe Rykiel se produisent
régulièrement sur les scènes parisiennes, en France
et dans le monde : on a pu ainsi les entendre à Paris,
à Lille, à Barcelone... d’autres concerts sont prévus
prochainement en Europe.
Un troisième CD est dédié à la construction du
Temple pour la Paix. L’intégralité des droits et des
rémunérations perçues par Lama Gyourmé pour
la vente de ce CD et des concerts est reversée au
projet.
Lama Gyourmé a également participé au film
Himalaya, prêtant sa voix au chant du générique de
ce très beau film.
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Les moyens
L’existence et le fonctionnement de Vajradhara
Ling reposent sur l’ouverture et la générosité des
membres et des sympathisants, et sur les bénévoles
qui offrent leur travail, leurs compétences et leur
temps.
Autour de Lama Gyourmé, un Comité d’honneur,
un Comité de pilotage et un Comité de soutien ont
finalisé le projet et mettent en place les structures
nécessaires au bon déroulement de sa réalisation :
Le Comité d’honneur
Par ses dimensions spirituelles, artistiques, internationales et fondamentalement humanistes, la
congrégation Vajradhara Ling, maître d’ouvrage de
ce projet important, est confiante en la mobilisation
de pratiquants des grandes traditions religieuses,
de mécènes concernés par l’art, des communautés
bouddhistes du monde et de la société civile qui
y verra le partage et la continuité d’une tradition
vivante, mettant en valeur la capacité de chacun à
faire œuvre de paix pour les autres comme pour soimême.
Il est composé de personnalités de renom, signataires
d’une lettre par laquelle elles affirment leur soutien
au projet du Temple pour la Paix.
Le Comité de pilotage
Il regroupe des personnalités impliquées dans les
activités des trois centres et définit les grandes
lignes de mise en place du projet.
Le Comité de soutien
Il rassemble une trentaine de professionnels de
différents horizons, qui mettent leurs compétences
et leur énergie au service de l’aboutissement du
projet.
Chacun de ses membres contribue à un ou plusieurs
des trois pôles d’activités :
• le pôle finance et maîtrise d’ouvrage;
• le pôle événementiel;
• le pôle communication.
Les membres du Comité de soutien sont ainsi les
organisateurs des deux expo-ventes Paix et Lumière,
organisées à Paris dans le bois de Vincennes sur le
site de Kagyu-Dzong, en mai 2006 et juin 2007. Le
Comité de soutien assure également l’intégralité de
la logistique des concerts de Lama Gyourmé.
L’association Siddhârta
L’association Siddhârta est une structure intermédiaire qui gère les opérations de communication
et de promotion liées au Temple pour la Paix.
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Un acte de paix
et de générosité
Le budget, évalué à plusieurs millions d’euros, sera
entièrement financé par des donations.
Un prêt de deux millions d’euros doit permettre le
démarrage de la première partie des travaux.
Les sociétés, les fondations, le mécénat d’entreprise
comme les particuliers apporteront leur aide et leur
soutien sous forme de dons ou de parrainages, leur
contribution pouvant être artistique, financière, ou se
traduire par des produits et services.
Les fonds collectés par la congrégation Vajradhara
Ling seront de plein droit déductibles fiscalement
par les entreprises donatrices, à hauteur de 60%,
selon les termes de la réforme du 2 août 2003.
Les donateurs auront la possibilité d’offrir à la
congrégation un ou plusieurs des 3 600 m2 du
Temple qui s’élèvera sur cinq niveaux du rez-dechaussée au 4e étage.
À titre d’exemple, un don de 625 euros permettra de
financer 1⁄2 m2 ; 1 250 euros, 1 m2, et 12 500 euros
l’équivalent de 10 m2.
Selon un principe identique, tout sympathisant
souhaitant devenir un bienfaiteur du Temple pour
la Paix peut offrir l’un des 187 «carrés d’or», d’une
surface de 20 m2, pour la somme de 25 000 euros.
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Les moyens
Deux soutiens éminents
Le projet a reçu le soutien de deux des plus éminents guides spirituels du bouddhisme.
Message de Sa Sainteté
le XIVe Dalaï-Lama
«Je suis heureux d’apprendre que la congrégation
Dachang Vajradhara Ling, en France, inaugurera dans
un futur proche son nouveau Temple dédié à la paix
dans le monde. Je suis, de surcroît, impressionné par
votre aspiration à contribuer de manière concrète à ce
but en accueillant dans ce temple des manifestations
à la fois bouddhistes et multiconfessionnelles.
Nous vivons à une époque où il est particulièrement
important d’encourager l’harmonie entre les communautés religieuses du monde et créer de telles
opportunités est de nature à avancer d’un grand pas
dans cette direction. Je vous envoie mes bénédictions
et mes prières.»
Le 16 mai 2002.
Lettre de Sa Sainteté
le XVIIe Karmapa
«Chers Lamas et responsables de Vajradhara Ling,
le précieux Dharma va s’épanouissant grâce aux
bénédictions des incarnations précédentes de
nos deux protecteurs et par vos efforts sincères et
diligents. Pour le bienfait et le bonheur de tous les
êtres vivants, vous avez construit un grand stoupa et
construisez un temple tout en développant le centre
avec succès. De plus, vous avez décidé de dédier le
Temple Theksum-trul-pai lhakhang à la promotion de
la paix dans le monde pour la prospérité et le bonheur
de tous les êtres. J’ai grande admiration pour l’esprit
qui vous anime et pour votre sincère motivation.
Libre de tout obstacle, puisse cette activité du Dharma
s’accomplir complètement avec facilité et succès
total. Avec mes prières constantes pour le bien-être
et le bonheur de tous les responsables de ce noble
projet ainsi que pour les généreux bienfaiteurs qui le
soutiennent.»
Le 23 mai 2002
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Chronologie
1948 Naissance de Lama Gyourmé au Bhoutan.
1974 Arrivée de Son Eminence Kalou Rimpoché et
de Lama Gyourmé en France.
1974 Création du centre bouddhiste Kagyu Dzong
à Paris.
1982 Inauguration de Vajradhara Ling, à Aubry-lePanthou.
1986 Son Eminence Kalou Rimpoché demande la
réalisation d’un stoupa de l’illumination «pour se
souvenir des bontés et des qualités du XVIe Karmapa,
pour sa prompte reconnaissance et pour la paix dans
le monde».
Son Eminence
Kalou Rimpoché 1904-1989
Né en 1904, dans le Tibet oriental, Kalou Rimpoché
manifesta très tôt une grande aptitude et un profond
intérêt pour le dharma, ainsi qu’une extraordinaire
compassion pour tous les êtres.
Ordonné moine à l’âge de 13 ans, après avoir étudié
et passé plus de quinze années en retraite, il consacra
le reste de sa vie à propager les enseignements
du Bouddha et à transmettre les nombreuses
instructions et initiations dont il était le détenteur.
De 1971 à 1989, il se rendit dans de nombreux pays,
en Amérique du Nord, en Europe et en Asie du SudEst, où il fonda plus de 70 centres du Dharma, 20
centres de retraites et fit édifier une vingtaine de
stoupas. Son infatigable dévouement au Dharma en
fait l’un des grands maîtres qui ont le plus fortement
contribué à la transmission du bouddhisme en
Occident.
1987 Inauguration du temple traditionnel de Kagyu
Dzong.
1987 Le stoupa - le plus haut d’Europe - est construit
à Vajradhara Ling.
1992 Sa Sainteté le Dalaï-Lama reconnaît le XVIIe
Karmapa. Lama Gyourmé envisage pour la première
fois le projet d’un Temple pour la Paix.
1995 Lors d’un pèlerinage au Tibet, Lama Gyourmé
présente une première esquisse du Temple pour la
Paix à Sa Sainteté le XVIIe Karmapa.
2000 Parution du CD, Pluie de bénédictions par
Lama Gyourmé et Jean-Philippe Rykiel.
2003 Enseignements de Sa Sainteté le Dalaï-Lama
à Paris Bercy ; Kagyu Dzong est l’un des centres
organisateurs.
2006 Première expo-vente Paix et Lumière au profit
du Temple pour la Paix, sur le site de Kagyu Dzong.
Concerts de Lama Gyourmé et Jean-Philippe Ryckiel
à Barcelone, Lille et Paris.
2007 Deuxième expo-vente Paix et Lumière.
Concerts de Lama Gyourmé et Jean-Philippe Ryckiel
à Bruxelles et Montpellier.
2008 Enseignements de Sa Sainteté le Dalaï-Lama
à Nantes ; la congrégation Vajradhara Ling est
organisatrice de l’évènement.
Sa Sainteté le XVIIe
Gyalwang Karmapa
Son Eminence Yangtsi
Kalou Rimpoché
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Temple pour la Paix
Congrégation Dachang Vajradhara Ling
Domaine du Château d’Osmont
61120 Aubry le Panthou - France
Tél : +33 (0) 2 33 39 00 44
Le Temple : www.temple-paix.org
La Congrégation : www.vajradharaling.org
Mail : [email protected]
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