Merci aux différents membres du laboratoire ELICO pour leurs conseils et leur soutien tout au
long de ces années : nos échanges scientifiques lors des séminaires mais aussi plus conviviaux
in extenso m’ont permis de développer mes sens de chercheur en sciences de l’information et
de la communication. Un doctorant accompli est celui qui parvient à se sentir à l’aise dans les
trois structures d’accueil évoquées ci-dessus : l’université, l’école doctorale et le laboratoire.
Je remercie Andrea Semprini de m’avoir sollicité dans son équipe de recherche pour travailler
sur le volet « Marque et crise(s) » du projet EDF-Grets, ce fût pour moi une bonne entrée en
matière pour débuter ma thèse de doctorat. Merci à Martine Vila-Raimondi pour son éclairage
sur le concept de crise(s) et son aide précieuse dans l’écriture du rapport. Je n’oublie pas non
plus les cours de Master 2 Pro Stratégie de Marque qu’Andrea Semprini m’a permis
d’enseigner à des étudiants passionnés par l’histoire, la sémiologie et la culture de marque !
Merci à Thomas Bihay pour sa contribution dans un de mes chapitres de thèse. Encore une
personne qui a cru en moi avant moi. Ton enthousiasme à la lecture de mon pré-article et
notre collaboration qui a suivi m’a redonné goût à la recherche après une période de creux.
Je tiens évidemment à remercier tous mes collègues et amis rencontrés au cours de ma
formation doctorale. En premier lieu, mes amis doctorants-docteurs que je citerai en
désordre : Marie-Sophie, Elmira, Chloé, Alex, Suzanne, Amélie, Rana, Claire, Nathalie,
Séverine, Antoine, Mathias, Solange, Vladimir, Audrey, David, Justine, Rayya… et je dois
forcément en oublier. Je tiens donc à remercier les « non-cités », ces doctorants « invisibles »
qui sont maintenant devenus docteurs ou ont emprunté des chemins différents de la recherche.
Nous avons sans doute eu l’occasion de se rencontrer dans les couloirs de l’école doctorale ou
de l’université, et chaque rencontre est l’occasion d’échanger sur nos doutes. Vous m’avez
donc aidé dans ces moments d’incertitude de façon ponctuelle, merci et bonne route à vous.
Merci à tous mes amis proches de m’avoir permis de voir d’autres mondes à côté de celui de
la thèse : Camille, Hugues, Julien, Gaëlle, Radis, Sylvie, Pierrick, Tom, Herveline, Simon…
Tout mon entourage sait combien j’ai eu du mal à « sortir le produit de l’atelier » pour
reprendre l’expression d’Howard S. Becker (2004, p. 132). Je tiens donc à remercier ma
famille d’avoir été aussi patiente lors de ces années de thèse (papa, maman, Laurent, Aurélien,
Josette, Aurore, Yann, Raphou, Antoinette, Véro, Gérard …) : voici mon premier bébé !