TSSIBG- Dynamique de la réponse adaptative 24/10/13 BATTISTA Jennifer L2 TSSIBG Pr Pierre Bongrand 8 pages Dynamique de la réponse adaptative Plan A. Description générale des réponses immunitaires adaptatives I. Rappel de définitions essentielles II. Description d'une réponse humorale typique III. Réponse primaire et secondaire: mémoire immunologique IV. Paramétrés susceptibles d'influencer la nature de la réponse V. Quelques phénomènes à connaître B. Les étapes de la réponse adaptative: mécanismes généraux. I. Captation et traitement de l’antigène II. Stimulation des lymphocytes T auxiliaires III. Stimulation des cellules effectrices C. Remarques et problèmes I. Remarque préliminaire: importance de l'existence de nombreux mécanismes effecteurs II. Problèmes: compatibilité avec la théorie clonale III. Intérêt du concept « Th1/Th2 » IV. Importance de la mémoire immunologique et efficacité des vaccinations. 1/8 TSSIBG- Dynamique de la réponse adaptative A. Description générale des réponses immunitaires adaptatives I. Rappel de définitions essentielles Immunité = Protection contre les agents infectieux Pour se défendre l'organisme utilise deux classes de mécanismes qui sont intriqués, une même cellule peut participer à ces deux mécanismes. Les acteurs de l'immunité innée sont codés génétiquement, alors que ceux de l’immunité adaptative dépendent de l’histoire de chaque individu. – – On distingue: L’Immunité humorale qui est transférable par des molécules plasmatiques : les anticorps. (C'est la technique de la sérothérapie, où l'on injecte des anticorps à un individu.) l’Immunité cellulaire, les mécanismes sont transférables par des cellules. (Dans la tuberculose, il est inutile d'injecter des anticorps spécifique des mycobactéries, ça n'induira pas de protection, ce qui induit la protection sont les cellules spécifiques. Ce qui signifie que les mécanismes cellulaires sont nécessaires et suffisant pour se défendre contre la tuberculose.) Les mécanismes effecteurs de l’immunité humorale et cellulaire se recouvrent largement. II. Description d'une réponse humorale typique On injecte un antigène à un animal par voie intraveineuse et on dose cet antigène. – Il diffuse (on parle plutot de dillution) dans le sang et les compartiments (quelques minutes ou quelques heures) – La molécule circulante va être transformée et éliminé par des mécanismes de catabolisme (quelques jours) – Au bout d'une semaine environ l'antigène va disparaître car il va être recouvert d'anticorps qui vont le masquer et favoriser son élimination. 2/8 TSSIBG- Dynamique de la réponse adaptative III Réponses primaires et secondaires - mémoire immunologique La réponse primaire est la rencontre déclenchée par un antigène que l'on rencontre pour la première fois. La réponse secondaire est observée lorsque l'antigène est déjà connu, ce qui démontre qu'il existe une mémoire spécifique. Distinction entre réponse primaire et secondaire. • – – – – – La réponse secondaire peut être déclenchée par des quantités moindres d'antigène que la réponse primaire (ex : toxine tétanique entraînant une réponse seulement chez les sujets vaccinés) La montée des anticorps est plus rapide dans la réponse secondaire (le délai peut être divisé par deux, les anticorps peuvent apparaître en 3,4 jours au lieu d'une semaine.) Le maximum de concentration des anticorps est plus élevé pour la réponse secondaire. le rapport IgG/IgM est plus élevé dans la réponse secondaire. Cela permet le diagnostic d'une infection: si il y a beaucoup d' IgG c'est plutôt une affection ancienne, si il y a beaucoup d'IgM ce sera plus une affection récente. Cette constatation est à rapprocher de la notion de "commutation isotypique" (switch) chez les lymphocyte B qui modifient l'isotype des anticorps qu'ils produisent, en particulier sous l'influence de certaines cytokines. Il existe une autre méthode de diagnostic, seulement celle-ci est plus longue : si l'infection esr récente ou nouvelle, on va avoir une monté des Ac au bout de deux semaines, si l'infection est ancienne, on va avoir un taux stable. au cours du temps, on observe une maturation de la réponse avec une augmentation de l'affinité (hypermutations somatiques), de la diversité des épitopes reconnus, ce qui peut augmenter l'affinité, l'avidité des anticorps. Enfin, la concentration des anticorps reste élevée durant une période de temps plus longue (les IgG ont une durée de vie plus longue que les IgM dans la circulation) La distinction entre les réponses primaires et secondaires révèle donc l'existence d'une mémoire immunologique. IV Paramètres susceptible d'influencer la nature de la réponse (quantitativement et qualitativement) Elles dépend de manière quantitative et qualitative d’un grand nombre de paramètres: -La nature de l'antigène : certains antigènes, antigènes dits thymo indépendants (c'est à dire indépendant des LT) peuvent activer directement des lymphocytes Bqui déclenchent des réponses essentiellement IgM avec une mémoire moins apparente. -La dose d'antigène est importante : Il faut une quantité minimale d’antigène pour induire une réponse, dans le cas de la toxine tétanique des quantités trop faible ne sont pas vues par le système immunitaire , et dans un certain domaine la quantité d’anticorps croît avec la dose d’antigène. Cependant, l'affinité des anticorps peut être plus élevée si la dose d’antigène est faible. Une dose d’antigène trop élevée peut entraîner une paralysie du système immunitaire, ce qui explique qu il n'y ait pas de réponse immunitaire contre l'albumine circulante qui est présente en grande quantité. -La voie d'introduction est importante : la voie sous-cutanée ou intraveineuse favorise les réponses humorales (production d'anticorps) alors que la voie intradermique favorisera une réponse cellulaire. L'administration d'antigène par voie aérienne ou digestive ( muqueuses), favorisera une réponse locale riche en IgA. C’est la différence entre les vaccins anti-poliomyélitiques inactivés injectés en sous-cutané et les atténués administrés par voie oral. Si les deux protègent, la forme administré par voie orale permet à la personne vaccinée de ne pas être un porteuse du virus grâce aux IgA présentes au niveau du tube digestif. 3/8 TSSIBG- Dynamique de la réponse adaptative Sans les IgA, les IgG protègent mais n’empêchent pas d’être porteur de ce virus . La voie d'introduction de l'antigène détermine aussi en partie la localisation de la synthèse d'anticorps. Une immunisation par voie sous cutanée entraînera une réponse au niveau des ganglions loco-régionaux, sauf si la quantité d'antigène est très importante : la réponse est alors généralisée. -Les adjuvants : ces substances souvent d'origine bactériennes peuvent stimuler qualitativement ou quantitativement la réponse immunitaire. Ces adjuvants peuvent être des sels minéraux comme dans le cas des vaccins, historiquement on utilisait l'adjuvant de Freund sous forme complet ou incomplet. Ce qui explique l'effet potentialisateur si l'on combine certains vaccins. Les adjuvants aident donc la réponse immunitaire. -Le moment de la stimulation : effet de compétition antigénique entre deux sensibilisation effectuées avec un intervalle de quelques jours. En effet on aura une diminution de la réponse au second antigène du fait que les cellules qui étaient prêtes à répondre ont été consommés lors de le première stimulation. On ne peut donc pas vacciner quelqu'un s'il présente déjà une infection en cours du à ce phénomène de compétition antigénique. -Les caractéristiques du sujet sont importantes : – l'âge. la capacité de synthèse des IgM (ne passent pas la barrière placentaire) commence très tôt, puis viennent les IgG (d'où un minimum à quelques mois, quand les IgG maternelles disparaissent et la production active n'a pas pris les relais), ensuite les IgA et les IgE (concentrations de l'adulte à une dizaine d'années seulement). Importance des IgE dans les réactions allergiques qui dépendent donc de l'âge. – Le capital génétique : Deux mécanismes: – La réponse à un antigène donnée dépend beaucoup des gènes du complexe majeur histocompatibilité (Histoire du gène Ir (immunologic response), lié au répertoire) – les gènes non liés au CMH: test sur des souris bons et mauvais répondeurs de Biozzi, différant par l'activité catabolique des macrophages. Il s'agit d'une réponse non spécifique, non liée au CMH. Capacité différente de dégradation de l'Ag et donc de présentation. V Quelques phénomènes à connaître -Le "péché originel antigénique" : la re-stimulation d'un organisme par un antigène peut entraîner l'apparition d'anticorps dirigés contre un antigène voisin responsable d'une primo-sensibilisation. Exemple classique de la grippe: un sujet vacciné ayant déjà contracté la grippe et qui rencontre une nouveau virus muté aura des anticorps contre le nouveau et l'ancien virus (qui présente de forte similitudes). -Notion d'anticorps "hétéroclitiques" ayant une affinité supérieure pour un antigène Y que pour l'antigène X ayant été utilisé pour la sensibilisation. -Notion de "déviation immune" : Pour induire une réponse cellulaire, il faut des adjuvants complets alors que pour une réponse humorale des adjuvants incomplets suffisent. Si une première sensibilisation est réalisée dans des conditions n'induisant pas de réponse cellulaire (protéine et adjuvant minéral), la réponse cellulaire peut ne pas apparaître si une deuxième sensibilisation "complète" (en présence d'adjuvant de Freund complet par ex) est réalisée. Cet phénomène s'explique dans le cadre du concept d'équilibre TH1/TH2. Ce qui signifie que le type de réponse que l'on va développer va dépendre du type de réponse que l'on a développé la première fois. Adjuvant complet ==> plutot réponse cellulaire Adjuvant incomplet ==> plutot réponse humorale 4/8 TSSIBG- Dynamique de la réponse adaptative B. Les étapes de la réponse adaptative: (exemple d'un antigène exogène) I. Captation et traitement de l’antigène Une partie de l’antigène est fixée par des cellules myéloïdes (phagocytes mononuclées, cellules dendritiques), mais aussi par des lymphocytes B (dans le cas des LB, ils vont concentrer l'Ag ce qui explique le fait qu'il y ait moins besoin d'Ag lors d'une réponse secondaire) au cours d’une réponse secondaire. L’antigène est découpé en oligopeptides dont une fraction (de l’ordre de 1%) est ré-exprimée à la surface en association avec les molécules d’histocompatibilité de classe II. La réponse et l’activation des cellules présentatrices dépendent de signaux résultant de l’activation de leurs récepteurs innés, en particulier les TLR. Les cellules dendritiques ayant capté l'Ag le conduisent vers les ganglions lymphoïdes, ce qui facilitera la rencontre avec les lymphocytes. II. Stimulation des lymphocytes T auxiliaires -Les lymphocytes Th1 vont entraîner des réponses cellulaires. -Les Lymphocytes Th2 une réponse humorale. -Les Th17 vont activer les granulocytes et les polynucléaires. -Les T régulateurs ou Trég, groupes hétérogènes qui vont abaisser la réponse immunitaire, qui empêchent donc le développement de réactions immunitaires excessives et de maladies auto immunes. -Les T mémoires responsables de la mémoire lors des réponses secondaires. La diversité de réponse des LT dépend des différents types de signaux, 3 signaux peuvent influencer quantitativement et qualitativement la réponse obtenue. -Signal 1 → Stimulation du récepteur lymphocytaire, le TCR -Signal 2 → Interaction des molécules de co-stimulation, ces molécules sont présentes sur la surface des cellules présentatrices d’antigènes. -Signal 3 → Mise en jeu de cytokines Classiquement, le signal 1 isolé entraîne une paralysie 5/8 TSSIBG- Dynamique de la réponse adaptative Le lymphocyte T est donc sensible à des signaux multiples: activation du TCR, interaction avec des molécules de co-stimulation et interaction avec des cytokines; et c'est l' ensemble de ces trois signaux qui va entraîner les différents types de réponses: -Signal 1 : on ne connaît pas vraiment le mécanisme de génération du signal, mais l’importance des paramètres physico-chimiques de l’interaction TCR/pCMH est connue depuis longtemps. → Mécanisme de stimulation des lymphocytes T au cours de la présentation (cas d’un antigène exogène) Ce qui compte c'est la durée d'interaction entre TCR et son ligand, plus la durée de vie augmente plus la réponse sera efficace. -Signal 2 : On a identifié de nombreux couples ligand-récepteurs responsables de signaux de co-stimulation. Par exemple : -CD4 (T) et MHC clII (CPA) -LFA-1 (T) et ICAM1 (CPA) ( LFA-1 est une intégrine) -CD28 (T) et CD80, CD86 (CPA) -CD2 (T) et CD58 (CPA) -Signal 3 : Mise en jeu de molécules solubles, les cytokines. Rappel historique : lymphokines, monokines, interleukines, cytokines, chimiokines. Importance qualitative des signaux : TGFβ → activation des Treg ( signal inhibiteur) TGFβ + IL-6 + IL-23 → activation des Th17 IL-12, IFNγ → activation des Th1 IL-4 → activation des Th2 La combinaison de cytokines rencontrées est très importante. III. Stimulation des cellules effectrices Cellule Fonction Cellule cible Th17 active (IL-17) Granulocytes Th1 active (Interféron) Macrophages, Lymphocytes T cytotoxiques (CTLs) inhibe TH2 Th2 active (IL-4,IL-5,CD40L) Inhibe (IL-4) Lymphocytes B TH1 T régulateurs Inhibe Les Th1 favorisent la réponse cellulaire, les Th2 la réponse humorale. Il existe une balance Th1/Th2, en effet Th1 et Th2 s'inhibent de façon réciproque, cela implique que la réponse primaire aura des rentenstissements sur les éventuelles réponses secondaires, ce qui explique les mécanismes de déviation immune. Si les Th1 et les Th2 étaient indépendant il n'y aurait pas de déviation immune (échec de certaines vaccinations!) 6/8 TSSIBG- Dynamique de la réponse adaptative Les cellules phagocytaires sont stimulées par des facteurs solubles. Les lymphocytes B peuvent être stimulés par : la reconnaissance de l'antigène par leurs BCR, des cytokines inflammatoires produites par les lymphocytes T. Les antigènes thymo-indépendants peuvent activer directement des lymphocytes B sans passer par des lymphocytes T. Il existe deux types d'antigènes thymo-indépendants (TI1 et TI2). L'utilité des mécanismes effecteurs dépend de l’antigène. Remarque : jusqu'au C les détails ne sont pas a retenir. A partir de là les diapositives n'ont pas été traitées en cours mais elles étaient présentes sur l'ent. Les cellules phagocytaires sont stimulées assez efficacement par des facteurs solubles. Les lymphocytes B peuvent être stimulés par : – la perception de l'antigène par leurs immunoglobulines membranaires. Cet antigène peut se trouver sous forme soluble ou adsorbé par une cellule. Il peut également être présenté sous forme de complexe immun ayant fixé des fragments du complément. La présence de C3d permettra de stimuler son récepteur CR2 (CD21) trouvé sur les lymphocytes B. – Des signaux de co-stimulation fournis en particulier par les lymphocytes T. Par exemple, stimulation de CD40 par la molécule lymphocytaire T CD40 L (CD154). L'absence de CD40 conduit à un déficit immunitaire important (avec hyperimmunoglobulinémie M). On a décrit d'autres couples ligand/récepteur intervenant dans le costimulation (BlyS et récepteur lymphocytaire B TACI, CD30/CD30L). – Des facteurs solubles : essentiellement des cytokines telles que l'IL4 ou BSF-1, l'IL-5 ou TRF-1, l'IL6. La réponse des lymphocytes B (prolifération, différenciation, anergie) dépend de la combinaison des signaux reçus : on pense que la seule activation des immunoglobulines de membrane entraîne préférentiellement une anergie, alors que des signaux de co-stimulation permettront le développement d'une réponse efficace Un cas particulier : les antigènes thymo-indépendants: Certains antigènes activent directement des lymphocytes B sans passer par des lymphocytes T Il existe deux types d'antigènes thymo-indépendants (TI1 et TI2). -Les antigènes TI1 sont capables de stimuler les lymphocytes B de manière polyclonale. L'exemple type est celui des lipopolysaccharides bactériens (LPS) capables de stimuler le TLR4 après que le complexe LPS-LBP (LPS binding protein) a stimulé le CD14. - Les antigènes TI2 sont souvent des polysaccharides répétitifs, interagissant avec les récepteurs lectiniques des macrophages. Ils activent en principe seulement les lymphocytes B matures. On peut concevoir deux explications à leurs propriétés : → Pontage particulièrement efficace des immunoglobulines membranaires des lymphocytes B. → Activation du complément qui stimulerait des récepteurs membranaires des lymphocytes B. Les lymphocytes T cytotoxiques se développent avec l’aide de lymphocytes auxiliaires. En général, ils possèdent le marqueur CD8 qui réagit avec les molécules d’histocompatibilité de classe I, et reconnaissent les peptides endogènes associés à ces molécules d’histocompatibilité. 7/8 TSSIBG- Dynamique de la réponse adaptative C. Remarques et problèmes I. Remarque préliminaire: L’efficacité d’un mécanisme effecteur dépend de la stratégie de l’agent infectieux qu’il combat. - Inactivation d'une toxine ou neutralisation d'un virus par masquage de sites actifs. - Elimination d'un antigène soluble à la suite de la formation de complexes immuns. - Phagocytose de particules opsonisées par des anticorps et/ou des fragments du complément. - cytotoxicité dépendante des anticorps (ADCC) impliquant des cellules phagocytaires ou NK. - Déclenchement d'une réaction inflammatoire favorisant l'afflux d'effecteurs (ex : IgE). II. Problèmes: compatibilité avec la théorie clonale (Remarques données à titre d’illustration, les détails ne doivent pas être retenus) Comment le lymphocyte B peut-il interagir avec "le bon" lymphocyte T ? La présentation de l'antigène par le lymphocyte B constitue un bon moyen d'assurer la proximité de ces deux cellules : les lymphocyte B reconnaissant un antigène par leur "BCR" expriment de manière 10.000 fois plus efficace des complexes peptide/molécule d'histocompatibilité qui seront reconnus par les lymphocytes T. L'existence d'un lien physique entre les déterminants "haptène" et "carrier" est évidemment nécessaire à ce mécanisme. Il est à noter que certains auteurs ont constaté que la coopération cellulaire pouvait fonctionner alors que les structures "haptène" et "carrier" étaient portées par des molécules différentes (dans un modèle de réponse IgE). De manière similaire, la production d'anticorps anti hématie de mouton par un mélange de lymphocytes T et B immunisés contre les hématies de mouton a été augmentée si l'on ajoutait des hématies de cheval, et si le récipient de culture comportait également des lymphocytes T stimulés contre les hématies de cheval (Vann et Kettmann). En conséquence, il semble qu'un lymphocyte B puisse être activé par l'action concomitante de "son" antigène et d'un lymphocyte T stimulé contre un antigène quelconque. Ce mécanisme est cependant moins efficace lorsque les lymphocytes T et B ne se rencontrent pas physiquement. III. Remarque : intérêt du concept « Th1/Th2 - L'’histoire du sujet est important du fait de l’auto-renforcement de chaque type de réponse. - L’exemple des leishmanioses illustre l’importance potentielle en médecine. Applications au diagnostic et au traitement. - Limite du concept Th1/Th2 chez l’homme. IV. Remarque : importance de la mémoire immunologique et efficacité des vaccinations. La mémoire immunologique peut persister pendant de nombreuses décennies. La vaccination est le seul procédé thérapeutique ayant permis d’éradiquer une maladie infectieuse 8/8