Mise en page 1 - Montpellier SupAgro

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Centre international d’études supérieures en sciences agronomiques
Spécialisation Agro-Managers
Spécialisation Agro-Managers
Montpellier SupAgro
Centre International d’études supérieures en sciences agronomiques
Sommaire
Présentation générale
p. 3
Programme
p. 6
Présentation des séquences du tronc commun
p. 7
Présentation des parcours et options
p. 24
Stages et débouchés
p. 42
1
PRESENTATION GENER ALE
L’EQUIPE PEDAGOGIQUE
Responsable
Lucie SIRIEIX
Professeur
Département Sciences Economiques,
Sociales et de Gestion
[email protected]
Assistante pédagogique
María Elena Martín
Département Sciences Economiques,
Sociales et de Gestion
[email protected]
Tél. : 04 99 61 22 35
Fax : 04 67 63 54 09
Montpellier SupAgro
Département SESG
2, Place Pierre Viala
34060 Montpellier Cedex 1
Site d'information générale enseignement et recherche :
http://www.supagro.fr
Lien direct Spécialisation Agro-Managers :
http://www.supagro.fr/web/pages/?idl=19&page=216&id_page=408
Site du centre de documentation
Pierre Bartoli :
http://www1.montpellier.inra.fr/bartoli/
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PRESENTATION GENERALE
RESPONSABLES DES MODULES DE FORMATION
Jean-Pierre COUDERC
Professeur
SupAgro - UMR MOISA
[email protected]
Tél : 04 99 61 28 67
Module et parcours
Finance
Hélène DORCHE
Chargée de Mission
SupAgro - Cellule Risques
[email protected]
Tél : 04 99 61 28 69
Parcours Management
des risques
Géraldine GIORDANO
Maître de Conférences
SupAgro - UMR MOISA
[email protected]
Tél : 04 99 61 27 00
Parcours Performance Industrielle Module supply chain
Paul MENUT
Maître de Conférences
SupAgro - UMR IATE
[email protected]
Tél : 04 99 61 30 18
Parcours
Performance Industrielle
Lucie SIRIEIX
Professeur
SupAgro - UMR MOISA
[email protected]
Tél : 04 99 61 27 19
Parcours Marketing
Martial SIRIEIX
Consultant
[email protected]
Tél : 04 67 50 67 78
Module GRH
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PRESENTATION GENER ALE
PRÉSENTATION
GÉNÉRALE
L'objectif de ce mastère est de donner une double compétence d'ingénieur manager, ou encore une
spécialisation en management des entreprises en lien avec les « sciences du vivant », reconnue et valorisée par le marché du travail.
La SPÉ AGROMANAGERS s'appuie sur une stratégie pédagogique fondée sur l'acquisition de connaissances
et de compétences, choisie en partenariat par l’EM Lyon et Montpellier SupAgro, et en étroite relation
avec les milieux professionnels.
ACQUISITION DE CONNAISSANCES
La formation vise à la connaissance approfondie du fonctionnement des systèmes alimentaires (production, consommation, distribution,...) connexes aux “sciences et industries du vivant” et aux biotechnologies ou bio-compétences, et à l'acquisition de connaissances dans les disciplines et domaines
clés de la gestion : stratégie, marketing, finance, contrôle de gestion, gestion de production, management des hommes et des équipes, management de la qualité, gestion de projets, gestion de l'information et de la logistique, gestion des risques.
ACQUISITION DE COMPÉTENCES
Les étudiants bénéficient d'une compétence en management qui leur permet d'assurer différentes fonctions d'encadrement dans des entreprises de production ou de services du secteur public, coopératif ou
privé. Les travaux personnels et de groupe inclus dans la formation et la mission en entreprise renforcent
leurs compétences en termes de gestion de projets et de conduite d'équipe, ainsi que leur savoir-être
relationnel.
LES OBJECTIFS DE FORMATION SCIENTIFIQUE
ET TECHNIQUE
Après un tronc commun de formation générale en gestion (Marketing conso et B to B, finance, management et stratégie, gestion de projets, négociation, GRH), qui intègre aussi un module “filières du système alimentaire et biotechs”, la spécialisation AGROMANAGERS offre un ‘parcours’ spécialisé/personnalisé
par choix d’options en :
MARKETING
FINANCE
AGROPERFORMANCE INDUSTRIELLE
MANAGEMENT DES RISQUES
L’étudiant en SPÉ AGROMANAGERS peut donc développer des capacités plus spécialisées lui permettant :
- d'élaborer un diagnostic stratégique et mettre en place les projets stratégiques,
- de conduire une analyse financière et construire un business plan,
- d'élaborer un diagnostic et une stratégie marketing et de mettre en place le marketing-mix,
- de mettre en place les systèmes d'information permettant de gérer le système de production d’une entreprise (analyse des coûts et des budgets, contrôle de gestion, …),
- de maîtriser la gestion industrielle, d'organiser et évaluer le management de la qualité,
- de contribuer au développement international des entreprises par la maîtrise des principes de l'exportation, de l'analyse des risques et des techniques spécifiques à l'international.
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PRESENTATION GENERALE
L'ambition de la SPÉ AGROMANAGERS est de placer les étudiants en position concurrentielle favorable dans
toutes les fonctions managériales des entreprises et institutions du secteur agroalimentaire et agro-industriel, et des « sciences du vivant » au sens le plus large du terme.
Parallèlement, les préoccupations liées au développement durable amènent de nouvelles contraintes et
chances pour les entreprises et les filières agroalimentaires et bio. Pour être levées ou saisies, ces
contraintes et opportunités vont nécessiter d’importants investissements dans la connaissance et dans
la production d’innovations.
Le contact avec les milieux professionnels est donc primordial, et se matérialise à trois niveaux :
1.
La participation aux modules de cours, sous forme de visites ou de conférences, qui s'insèrent dans
les programmes.
Cette part d’interventions et de contacts avec les milieux professionnels atteint ou dépasse la moitié du temps consacré aux enseignements selon les modules.
2.
La réalisation de dossiers thématiques permet d'approfondir les connaissances sectorielles et disciplinaires dans le système alimentaire et du ‘vivant’, sur la base d'analyse de documents bibliographiques ou d'interviews.
3.
La mission en entreprise, qui fournit le thème du mémoire, constitue une première exprience professionnelle à laquelle les élèves sont préparés (prises de contacts, entretiens de recrutement, suivi personnalisé du projet professionnel).
Les stages offerts aux élèves couvrent tout le champ des compétences managériales dans l'entreprise.
(Liste des stages/emplois occupés des promotions précédentes en fin de document).
Enfin, il faut rappeler que le site montpelliérain de SupAgro et la région Languedoc-Roussillon ont bénéficié d’une reconnaissance nationale dans le domaine agronomique, agroalimentaire et des biotechnologies avec les attributions successives des labels Grand Etablissement à « Montpellier SupAgro »,
RTRA1 « Agronomie et Développement Durable », auxquels s’ajoutent le pôle de compétitivité
Qu@li-Med et le pôle Agropolis International.
Parmi les 6 campus d’excellence reconnus en France aujourd’hui, figure l’université Montpellier Sud de
France (UMSF) dont Montpellier SupAgro est membre fondateur.
LANGUES VIVANTES ÉTRANGÈRES
Les cours d'anglais sont obligatoires au premier semestre, et une partie des enseignements se fait en anglais au deuxième semestre, à raison d'au moins deux demi-journées par semaine, avec la perspective
de passer le TOEIC au mois de mars.
L'insertion de l'anglais s'opère donc aussi dans certains cours, et des travaux ont lieu en relation avec ces
cours (cas en anglais, présentation de posters, etc.).
Un accent particulier est mis sur la maîtrise de l'oral autour de thèmes en lien avec la gestion et l'agroalimentaire.
1
Le RTRA a pour objectif de renforcer la notoriété et l’attractivité du site de Montpellier sur la scène internationale, en favorisant l’émergence et le lancement de projets d’excellence et de visibilité mondiale, croisant des approches sciences bio-techniques et sciences sociales. Il s’articule donc sur deux domaines : la Biologie intégrative des plantes et les Dynamiques
socio-techniques de l’innovation.
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6
Avril à
Septembre
30 crédits
Mars
48h, 3 crédits
Février
78 h 4 crédits
Janvier
78h, 4 crédits
Début :
4 janvier
Décembre
48h, 3 crédits
Novembre
48 h, 3 crédits
Octobre
96 h, 6 crédits
22 et 23
septembre
Séminaire Management
des achats
TC7 Management stratégique Part 1
TC8 Mission en entreprise (6 mois)
TC7 Management stratégique Partie 2 (48h)
TC6 Projets finalisés
(4 Crédits)
Séminaire Droit des affaires
(4 crédits)
TC4 Ingénierie financière ( 48 h )
TC3 Bases du marketing (48h)
TC5 Langues vivantes
TC2 Management des hommes (48h)
TC1 Système alimentaire (48h)
TC2 Management des Ressources Humaines
Journées d’intégration et introduction du module
Accueil
TRONC COMMUN
Fin de
semaine
début de
semaine
Fin de
semaine
début de
semaine
Marketing
opérationnel,
négociation,
force de vente
International
development strategies
Supply chain - Achat
OU
Contrôle de gestion
ou
R - MES
Etudes marketing
Marketing
Global Risk
Management
International
development
strategies
Contrôle
de gestion
Financements et
marchés financiers
Finance
SPÉ AGROMANAGERS
OPTIONS
Global Risk
Management
Management de la
performance
industrielle
Supply chain - Achat
Contrôle
de gestion
Risques - Marketing
durable pour l’écoresponsabilité et la
sécurité (R - MES)
International
development
strategies
Gestion industrielle
Agro-performance
industrielle
Elaboration de la qualité et audit système
Q/E
Management
des risques
PL ANNING DE L’ANNÉE SCOL AIRE
TRONC COMMUN
Modules de tronc commun
TC1 Système alimentaire
p. 8
TC2 Management des Hommes
p.10
TC3 Les bases du marketing
p.12
TC4 Ingénierie financière et business plan
p.14
TC5 Langues vivantes 1 & 2
p.16
TC6 Projets finalisés
p.18
TC7 Management stratégique des entreprises agroalimentaires
p. 20
TC8 La mission en entreprise et le mémoire
p. 22
Séminaire Management des achats - commun aux 4 parcours
p. 24
7
TRONC COMMUN
TC1
SYSTEME ALIMENTAIRE
(4 crédits ects)
Responsable : Hélène Dorche, IC-SPV, mission
risques
[email protected]
Tél: 33 (0)4 99 61 25 89
Fax: 33 (0)4 67 63 54 09
Fatiha Fort, MC IRC
Objectifs de formation
Fournir les concepts et méthodes nécessaires à la
compréhension et à l’analyse de la dynamique du
système alimentaire, en France et dans le monde.
Développer l’aptitude à l’approche globale de
l’environnement des entreprises et la capacité de
réalisation de synthèses opérationnelles.
Durée
3 semaines , 14 séances de 3 h, soit 42 h (une journée de visite en entreprise agroalimentaire axée
sur une filière)
Chaque séance comporte un exposé par l’intervenant puis une discussion . Les journées de visite
impliquent une préparation (recherche d’informations, lectures, préparation de discussion et
élaboration du dossier d’application), d’environ
4 h. par visite.
Durée totale du module en heures/travail-étudiant : 54 + 32 = 86 h.
Période
28 septembre / 14 octobre 2009
Emplois et missions
L’objectif du module n’est pas de déboucher directement sur des emplois ciblés. Il sera toutefois
utilisé de façon plus soutenue dans les postes
d’économiste d’entreprise, de conseiller stratégique, et de chargé d’études économiques dans
les services publics et les organisations professionnelles.
Il participe à la formation générale de l’ingénieurmanager destiné à intervenir dans le système
agroalimentaire, en lui donnant l’indispensable
vision d’ensemble du contexte professionnel et les
outils d’analyse nécessaires.
d’acteurs : distribution, industrie, agrofourniture,
agriculture, politique agroalimentaire.
Méthode pédagogique
En salle, avec un exposé d’environ 2 h par un intervenant professionnel de l’enseignement et de
la recherche ou responsable d’entreprise ou d’institution, associé à des exercices d’entrainement.
Intervenants : 25% enseignants-chercheurs / 75%
praticiens d’entreprises et d’institutions publiques
et consultants.
Programme prévisionnel
1/ Le concept de système et de filière agroalimentaire : approches théoriques et méthodes d’analyse ; application au cas français et marchés
internationaux
2/ Les marchés agroalimentaires et de l’agrofourniture
3/ Comportement des consommateurs
4/ Restauration hors foyer
5/ Logistique et SCM : un nouvel outil de gestion
des flux
6/ Deux grandes filières agroalimentaires en
France et en Europe : filière lait et filière fruits et
légumes
7/ Normalisation et mondialisation
Pré-requis
Ce module s’inscrit dans une formation de 3ème
cycle, qui suppose acquises un certain nombre de
bases théoriques et méthodologiques en :
histoire de la pensée économique
micro-économie (théorie des marchés)
macro-économie (comptabilité nationale)
sciences de gestion (comptabilité générale et analytique d’entreprise)
Programme thématique et mots clés
Analyse systémique, filières, approche méso-économique, réseaux, dynamique de la consomma
tion alimentaire, échanges internationaux et
mondialisation, structures de marché et stratégies
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Liens
S’agissant d’un module introductif, les liens
amont se font avec les enseignements de prérequis et aval avec l’ensemble des autres modules.
TRONC COMMUN
Evaluation
- Examen individuel sous forme de « note de synthèse à un dirigeant d’entreprise » (1 h) :
coefficient 0.5
Dossier collectif « filières/marchés/entreprises » :
coefficient 0.3
- Restitution visite : coefficient 0.2
Ces dossiers, préparés par équipe de 3 étudiants
maximum, ont pour objectif de mobiliser les
connaissances acquises au cours du module, sur un
sujet en relation avec la thématique générale du
module. Le produit attendu est un document de
synthèse rédigé de 10 à 15 p et une présentation
PowerPoint. Le dossier est soutenu devant un jury
de 2 ou 3 membres de l’équipe pédagogique durant 10 mn maximum et fait l’objet d’une discussion de 5 à 10 mn avec le jury. Les dossiers
thématiques seront lancés lors de la première semaine et soutenus une semaine après la fin du module (dernière semaine d’octobre).
Manuels de base
- Perspectives agricoles de l’OCDE et de la FAO 2009-2018, editions OCDE, sept 2009, 240 p.
- AYADI N., RASTOIN JL, TOZANLI S., (2004) Les opérations de restructuration des firmes agroalimentaires multinationales entre 1997 et 2003, Agrodata, Agia-Alimentation, Paris
- Miclet, G., Sirieix, L., Thoyer, S., éd., (1998), Agriculture et agroalimentaire en quête de nouvelles légitimités, Economica, Paris, 371 p.
- O.C.D.E. (1998), Se nourrir demain, Perspectives à long terme du secteur agro-alimentaire, Paris,
231 p.
- JULIEN, P.A., MARCHESNAY, M., (1997), Economie et stratégies industrielles, Economica, série
Economie-poche, Paris, 112 p.
- BEAUCIEU Y., BERNARD F., FORTIN J., (1996) L’entreprise agroalimentaire, les éditions du monde
alimentaire, Inc
- Henderson, D.R., Handy, C.R., Neff, S.A., eds, (1996), Globalization of the Processed Foods Market, USDA, ERS, Agricultural Economic Report, Nr 742, Washington, DC, 217 p.
- MALASSIS, L., GHERSI, G., (1996), Traité d’économie agro-alimentaire, t.I, Economie de la production et de la consommation, méthodes & concepts, Cujas, Paris, 392 p.
- GLAIS, M., (1992), Economie industrielle, les stratégies concurrentielles des firmes, Litec économie, Paris, 578 p.
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TRONC COMMUN
TC2
MANAGEMENT DES HOMMES
(4 CRÉDITS)
Responsable
Martial Sirieix, Consultant
[email protected] / Tél.: 04 67 50 67 78
www.sirieix.fr
Objectifs de formation
Apporter aux étudiants des compétences opérationnelles dans le management des hommes :
Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC)
Techniques de communication
Techniques d’entretien
Techniques de réunion
Gestion de conflits
Recrutement
Animation et motivation d’équipe
Sensibiliser les étudiants à l’importance de l’élément humain dans la gestion des organisations
contemporaines en les initiant aux concepts fondamentaux de la psychologie sociale.
Savoir mettre en œuvre une gestion du personnel par les compétences.
Amener les étudiants à une meilleure compréhension d’eux-mêmes dans un contexte de travail.
Améliorer l’efficacité personnelle des élèves et
leurs compétences relationnelles.
Sensibiliser les élèves aux problèmes de communication, aux rôles tenus par les catégories de
personnel dans l’entreprise, et aux conflits internes aux organisations.
Rendre les étudiants aptes à analyser de façon critique des situations de travail, à en comprendre
les conséquences sur les individus et les groupes,
et à trouver des solutions appropriées.
Durée
48 h en 16 séances de 3h. Les séances sont très variées : apports théoriques à partir d’études de cas
concrets, travail en groupe, interventions de professionnels, analyses de situations professionnelles au travers de films, jeux de rôles et mises en
situation.
Référentiel de compétence
Au terme de ce cours, les élèves connaîtront les
principaux aspects théoriques et pratiques du management des hommes. Ils disposeront d’outils
méthodologiques leur permettant d’appréhender les problèmes relatifs aux ressources humaines, et de prendre des décisions. Ils sauront
élaborer un référentiel de compétences, faire une
analyse de poste, suivre les principaux indicateurs
des Ressources Humaines…
Les élèves auront aussi amélioré leur performance en termes d’animation d’équipe et de
communication personnelle. Ils seront capables
de comprendre la nature de la compétence managériale et le type de problèmes qui doivent
être réglés dans la gestion du personnel d’une
entreprise : préparation et animation de réunion,
animation d’équipe, négociation, gestion de
conflits…
Programme thématique
Communication interpersonnelle, aspects relationnels du management.
Mots clé : personnel, compétence, formation, motivation, communication interne, entretien, réunion, équipe, négociation, conflits, leadership,
équipe.
Méthodes et inter venants
De septembre à novembre.
Martial Sirieix, consultant RH : apports théoriques
et méthodologiques en ingénierie psychosociale.
Etudes de cas, jeux de rôles, travaux de groupe.
Florence Lavigne, DRH (Listel) : politique salariale
et rémunération, représentation du personnel,
dialogue social.
Emplois et missions
Evaluation
Ce module est indispensable à la compréhension
des problèmes organisationnels et interindividuels, ainsi qu’à la pratique de responsabilités
d’encadrement.
Etude de cas, 2 heures. Exposé en groupe.
Période
10
Il débouche sur des emplois de managers, de
chargés d’études dans les cabinets de consultants,
d’assistants au DRH, de responsables de formation, de responsables de recrutement, voire de
coaches.
TRONC COMMUN
Structure du cours
- Le manager, ses fonctions, ses compétences Leadership, styles de management (3h)
- Dynamique de groupe, animation d’équipe
(10h).
- Historique de la GRH, théories de la motivation
(3h).
- Préparation et animation de réunions (3h).
- GPEC, référentiel de compétences, suivi de développement des compétences, analyse de poste,
entretien annuel de progrès (3h).
- Principes de négociation, technique de négocia-
tion raisonnée, préparation et conduite de négociation (6h).
- Principes de l’analyse stratégique, enjeux des acteurs, approche systémique des situations problématiques (3h).
- Rémunération et politique salariale (3h)
- Connaissance de soi, techniques de recherche
d’emploi, recrutement (6h)
- Communication persuasion, gestion des conflits
(3h)
- Gestion de crise, prise de parole en public (3h)
- Evaluation (2h)
Bibliographie
ABRIC Jean-Claude (2008). Psychologie de la communication – Théories et méthodes. Armand Colin,
Paris (3ème édition).
ANZIEU Didier et MARTIN Jacques Yves (1994). La dynamique des groupes restreints. PUF, Paris
(10ème édition).
BARJOU Bruno (1998). Manager par projet. ESF, Issy-les-Moulineaux.
BARJOU Bruno et CUISINIEZ Frédérique (1994). Réussissez vos réunions. ESF, Paris.
BLANCHET Alain et GOTMAN Anne (1992). L'enquête et ses méthodes : l'entretien. Nathan, « 128 »,
Paris.
BLANCHET Alain et TROGNON Alain (1994). La psychologie des groupes. Nathan, « 128 », Paris.
CARNEGIE Dale (1990). Comment se faire des amis. Le Livre de Poche, Paris.
CIALDINI Robert (2004). Influence et manipulation : comprendre et maîtriser les mécanismes et les
techniques de persuasion. FirstEditions, Paris.
D’ANSEMBOURG Thomas (2001). Cessez d’être gentil soyez vrai ! Les Editions de l’Homme, Montréal.
DE LA ROCHEFORDIERE Yves (1990). Du conflit au dialogue, tous gagnants. Editions d'Organisation, Paris.
FISHER Roger, URY William et PATTON Bruce (1982). Comment réussir une négociation. Seuil, Paris.
JOULE Robert Vincent et BEAUVOIS Jean Léon (1987). Petit traité de manipulation à l'usage des
honnêtes gens. Presses Universitaires de Grenoble, Grenoble.
LE BOTERF Guy (1990). L'ingénierie et l'évaluation de la formation. Editions d'Organisation, Paris.
LELORD François et ANDRE Christophe (1996). Comment gérer les personnalités difficiles. Odile
Jacob, Paris.
LEVY LEBOYER Claude et al. (2003). La psychologie du travail. Editions d'Organisation, Paris.
MARTORY B. et CROZET G. (1998). Gestion des ressources humaines. Nathan, Paris.
PERRIN JEOL Pauline (2002). Le guide du salarié averti. Marabout, Paris.
SALOME Jacques (1993). Heureux qui communique. Albin Michel, Paris.
SCHERMERHORN John R. et al. (2002). Comportement humain et organisation. Editions du Renouveau Pédagogique, Montréal (2ème édition).
SENGE Peter et al. (2000). La 5ème discipline – Le guide de terrain. First Editions, Paris.
STEINER Claude (2005). L’A.B.C. des émotions – Un guide pour développer son intelligence émotionnelle. InterEditions, Paris.
TARDIEU Jean Michel (1998). Les techniques de gestion. Top Editions, Paris.
TIMBAL-DUCLAUX Louis (1983). La méthode SPRI. Retz, Paris.
WATZLAWICK P., HELMICK BEAVIN J., JACKSON D. (1972). Une logique de la communication. Seuil,
"Points", Paris.
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TRONC COMMUN
TC3
LES BASES DU MARKETING
(4 CRÉDITS)
Responsable : Lucie Sirieix
Professeur, SupAgro
[email protected] - tel. 04 99 61 27 19
Autre intervenant :
Christophe Benaroya (consultant)
les lectures programmées, et sur des exercices
d’application.
Emplois et missions
Ces lectures programmées, préparation de minicas, constituent la base des connaissances requises, et exigent un investissement important de
la part des élèves (3h par séance en moyenne).
L’animateur rappellera certains concepts, proposera des synthèses, mais les élèves eux-mêmes devront être préparés individuellement à présenter
un bref exposé à propos de ces lectures.
Ce module de base est indispensable à la pratique
généraliste des affaires dans les entreprises ou les
structures professionnelles.
Référentiel de compétences
Au terme de ce cours, les étudiants devront
connaître les principales fonctions du marketing,
ses objectifs et ses méthodes, ses domaines d’intervention et de décisions. Ils devront être capables d’identifier le problème marketing posé à
l’entreprise, de proposer une démarche d’analyse
cohérente avec les objectifs de l’entreprise et les
données de marché, de traduire ces analyses et
ces propositions dans la réalisation d’un plan
marketing simple. Ils connaîtront les différences
entre les différents types de marketing (marketing vers le consommateur final, marketing industriel « B to B »).
Objectifs de formation
Permettre aux étudiants de postuler à des stages
et des emplois liés au marketing des biens et des
services, et plus particulièrement dans les secteurs
agro-alimentaires et agro-industriels, notamment
si les étudiants complètent leur formation marketing par les modules optionnels Marketing Management, Recherche Etudes Marketing ou
encore International development strategies.
Programme thématique et mots clés
Démarche marketing, étude du marché, segmentation, positionnement et marketing mix, politique produit et signalisation de la qualité,
politique de distribution, politique de promotion,
politique de prix, marketing industriel (business
to business).
Durée et méthode de travail
Les cours se déroulent sur 4 semaines, à raison de
15 séances de 3h. Compte tenu des objectifs du
cours, l’acquisition des connaissances de base repose très largement sur la discussion concernant
12
Chaque séance comporte une introduction et une
discussion du thème à partir des lectures programmées et des exercices proposés par l’animateur.
Evaluation
La participation à la discussion en classe est encouragée à titre individuel, sur la base des commentaires spontanés de lectures ou des exercices
à préparer avant la classe (25%).
Le travail en groupe (présentation de cas, de dossiers ou d’exercices corrigés) représente 25%
L’examen final (50%) sera constitué par une
étude de cas.
Contenu du cours
> Introduction générale, concepts fondamentaux
> Marketing stratégique
• Marché et demande
• Consommateur
• Stratégie marketing : domaines d’activités (produits x marchés), segmentation, positionnement,
• axes stratégiques
• Gestion du produit
• Gestion de la marque
• Gestion de la qualité alimentaire, marques et
signes de qualité
> Marketing opérationnel
• publicité, promotion, communication
• prix
• distribution, merchandising et vente.
> Marketing « B to B »
TRONC COMMUN
Pré-requis
Notions de comptabilité et de micro économie
souhaitables.
Comportements du consommateur, théories et
modèles explicatifs (TC1 Systèmes alimentaires).
Liens
Options Marketing Management, Etudes marketing, international development strategies
Bibliographie de base
Lendrevie et Lindon D., Mercator théorie et pratique du Marketing, Dalloz, 4° et 5° éditions Paris.
Aurier P et Sirieix L. 2009, Le marketing des produits agroalimentaires, LSA Dunod 2° édition.
Autres titres disponibles en bibliothèque (extrait):
Lagrange L., La commercialisation des produits agricoles et alimentaires, Lavoisier, 1995, Paris
Philippe Malaval, L’essentiel du Marketing BtoB, Publiunion, 1999, Paris
Pettigrew D., Turgeon N., Marketing, 4° ed., Chevelière Mc GrawHill, 2000, Paris
Kapferer J.N., Les Marques, capital de l’entreprise, 3°ed., 2001 Dunod.
Kratiroff, H , Fonction : Chef de produit marketing, 3° ed. Dunod
Desmet P., Zollinger M., Le prix, 1997, Economica
Semprini Andrea : La marque, une puissance fragile, Vuibert, 2005, Paris
Cova B., Louyot Gallicher M.C., Innover en marketing, Tec de Co, Lavoisier, 2006, Paris
Revues à consulter avec régularité (bibliothèque SESG) :
LSA (Libre service Actualités), Point de Vente, Linéaires, Rayon boissons
RIA (Revue des industries alimentaires), “Initiatives” Supplément hebdomadaire du Monde …
Site internet à suivre
Forum d’échanges, d’informations sur le marketing en France : [email protected]
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TRONC COMMUN
TC4
INGENIERIE FINANCIERE
ET BUSINESS PLAN
(4 CRÉDITS ECTS)
Responsable :
Jean-Pierre Couderc, Professeur
Montpellier SupAgro
[email protected]
tél. 04 99 61 28 67
Besoin des entreprises
Organisation générale et méthodes pédagogiques
L’objectif de l’entreprise (mais aussi de toute organisation) est la création de valeur, qui, du point
de vue « financier », passe par une rentabilité des
investissements supérieure au coût des ressources
qui leur sont affectées.
Notre expérience de l'agro-alimentaire nous a
conduit à diviser la formation en quatre grandes
parties couvrant l'essentiel des notions qu'il est
indispensable pour de futurs ingénieurs-managers de connaître, et, si possible, de maîtriser... :
Comptabilité de Gestion et analyse financière
d’une entreprise et de ses performances. Chantier individuel d’entreprise (celle-ci étant proposée par les enseignants ou choisie par les
étudiants), et présentation de dossier.
La gestion du besoin en fonds de roulement et
de la trésorerie, cause essentielle, souvent négligée, voire ignorée, de "mort subite" dans ce secteur, qui subit de façon inhérente une forte
variabilité de l'offre et de la demande, donc des
besoins.
La maîtrise à moyen ou long terme des investissements, qui vont modifier la structure financière
de l'entreprise, ainsi que les opérations de croissance interne ou externe, entraînant d'une part
des besoins de financement structurels et d'autre
part une modification de la rentabilité, le facteur
clé de la survie ou de la "mort lente" des entreprises du secteur.
Le financement des entreprises de la filière, avec
une exploration particulière des méthodes de
l’ingénierie financière, clé de la pérennité des Petites et Moyennes Entreprises souvent mal structurées financièrement.
Tout cadre nouvellement embauché, devant avoir
des responsabilités managériales dans l’industrie
agro-alimentaire, doit être capable, en liaison
avec la Direction Administrative et Financière de
son entreprise, de décider de l’allocation optimale de ressources limitées à des emplois toujours plus nombreux et plus risqués.
Objectifs de formation
Tout projet de l'entreprise agro-alimentaire a de
nombreuses répercussions administratives et financières qui ne sont pas toujours bien perçues
ou comprises par les responsables techniques et
de production. Les notions de base et approfondissements enseignés dans ce module doivent
permettre aux élèves du module d'analyser une
situation ou un projet agro-alimentaire sur le
plan financier, de prendre une décision pertinente et d’évaluer ses implications, ou d'en discuter plus avant avec les autres professionnels
concernés, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de
l’entreprise. L’optique « professionnalisante entreprise » donnée à ce module vient compléter
les acquis éventuels des étudiants ayant suivi le
Module Optionnel « Gestion financière de projets (Finance d’entreprise et de marché) » en
2ème année, offrant une vision plus « panoramique » de la Finance.
Un étudiant qui s'investirait suffisamment dans
la SPÉ, module « Finance » pourrait postuler à des
emplois de "Chargé de Clientèle" dans une
banque ou organisme financier de la filière agroalimentaire, de "Responsable de centre de profit" dans une unité de production, ou de
responsable financier dans une PME du secteur.
14
La théorie et la recherche financière, quoique finalisées, sont denses, et éventuellement exigeantes sur le plan des concepts et outils, la
Finance étant le champ des Sciences Economiques
et des Sciences de Gestion qui a obtenu le plus de
Prix Nobel dans ces 20 dernières années (en fait
quatre : Modigliani-Miller, Markowitz, Sharpe et
enfin Black-Scholes/Merton en 1997, sans même
parler de Fisher, Tobin ou Samuelson, leur récompense étant moins spécialisée sur le champ
de la « Finance »). Le module Finance requiert, en
conséquence, un travail personnel de préparation
et de lecture important (de l'ordre de 1 à 2 H et
+ par demi-journée de cours ou TD) afin que les
TRONC COMMUN
heures programmées puissent être consacrées à
l’acquisition d’une démarche et méthodologie
d’approche globale et très pragmatique des questions clés posées par la gestion financière dans la
filière (essentiellement méthode des cas).
Programme et intervenants
Novembre-Décembre 2009 : Ingénierie et Gestion
Financière. Environ 60 H dont : Chantier d’analyse
d’entreprise avec présentation de 30’.
Cas d'examen 3 H.
Rappels de comptabilité de gestion, Analyse Financière et consolidation des comptes 15 H +, JC
Agret, (expert comptable, commissaire aux
comptes)
Analyse Financière 15 H, C. Favel, (expert comptable, enseignant Sup de Co)
Concepts et méthodes de choix : AnaFi, Investissements et Financements 6 H, B. Fabre (MCF UM II)
Evaluation et Choix des Investissements, Business
Plan (Gestion de projets), Financement de l'activité agro-alimentaire, Ingénierie financière agroalimentaire 33 H, J.P. Couderc
Capital risque et développement, financement de
l’innovation 6 H, E. Stephany (MCF UM II)
Présentation du module d’option Contrôle de
Gestion, 3 H G Giordano (MCF SupAgro)
Une ou deux conférences de professionnels
(Banque, Financement CT et négo. banque)
LECTURE OBLIGATOIRE :
Les ‘cours de Finance (JPC)’ sont limités pour laisser place à des ‘cas’, à préparer avant chaque
séance. Le module se déroulant sur 4 semaines,
les participants ont à lire, dans les ouvrages de
base listés en Bibliographie ci-dessous :
1ère semaine : chapitres introductifs (fondements, principes, organisations et institutions financières, …) et analyse financière / diagnostic
financier
2ème semaine : chapitres investissements et description des financements
3ème semaine : chapitres choix / gestion des financements et évaluation des entreprises (fusions/acquisitions)
Chaque séance de début de semaine commencera
par des questions-réponses sur ces lectures.
Pré-requis
Septembre-Octobre 2009 : Mise à niveau
Comptabilité Générale de Gestion Ph. Le Grusse
Notions de comptabilité générale et analytique
et lecture de « Comptabilité Générale de l’Entreprise » Fayel et Pernod, CLET ou autre ouvrage de
‘comptabilité de gestion’.
Contrôle des connaissances
dossier anafi 40 %, examen (cas) 60 %.
Dossiers d’analyse financière ou de réflexion :
Présentation des étudiants fin décembre 2009.
> Dossier anafi : Entreprise, si possible agroalimentaire, à condition de disposer des liasses fiscales (3 ans).
> Projets de recherche :
- Analyse financière des entreprises de la filière
vin française.
- Financement de proximité (Love Money) et
fonds d’investissements.
- Comportement des épargnants.
- Etc.
Bibliographie sélective
Analyse Financière de l’Entreprise, Teulié, Sirey éditions, 1998 ou 2002.
Finance, Teulié et Topsacalian, Vuibert gestion, 2000.
Finance d’Entreprise, Charreaux, Litec, 1998 ou 2001.
Gestion Financière, Stephany, Dunod, 2002.
15
TRONC COMMUN
TC5
LANGUE VIVANTE 1
ANGLAIS
(2 CRÉDITS ECTS)
Responsables :
Lucie Sirieix, [email protected]
Tél : 33 (0)4 99 61 27 19,
Paul Menut, [email protected]
Tél. : 33 (0)4 99 61 30 18
Suzanne Reyniers, [email protected]
Tél : 33 (0)4 99 61 23 37
Planning et volume horaire
Évaluation
1h30 par semaine tous les mercredi matins (8h009h30), d’ octobre à décembre.
Une évaluation sous forme de contrôle continu,
organisée par chaque enseignant.
16,5 heures inscrites à l’emploi du temps
2 crédits ECTS
L'évaluation sera réalisée par chaque enseignant
et portera :
sur une évaluation de la participation en classe
(une note sur 20)
sur des évaluations ponctuelles (trois notes sur 20)
La note finale tient également compte de l'assiduité en classe.
Public
Cette unité d'enseignement rassemble l’ensemble
des étudiants des spécialisations Agro-managers
et AAIM.
Organisation
Constitution de 3 groupes le jour de la rentrée,
dans lesquels se répartissent les étudiants.
Programme thématique
Chaque enseignant organise son cours selon sa
propre méthode pédagogique, mais il doit privilégier :
> d'une part, les séances visant à favoriser directement l'insertion professionnelle : réalisation
d'un CV en anglais, rédaction d'une lettre de motivation, préparation d'un entretien d'embauche,
> d'autre part des séances de débat/discussion autour de sujets d'actualités ou d'articles fournis aux
étudiants à l'avance, ou des discussions critiques
associées à des visites d'usines réalisées par ailleurs (points forts/points faibles de l'entreprise,
place que l'étudiant pourrait prendre dans l'entreprise dans le cadre d'un stage ou d'un emploi,
etc…) afin de travailler l'expression orale.
16
TRONC COMMUN
TC5
LANGUES VIVANTES 2
ALLEMAND OU ESPAGNOL
(2 crédits ects)
Responsables :
Lucie Sirieix, [email protected]
Tél : 33 (0)4 99 61 27 19,
Paul Menut, [email protected]
Tél. : 33 (0)4 99 61 30 18
Suzanne Reyniers, [email protected]
Tél : 33 (0)4 99 61 23 37
Planning et volume horaire
Tous les vendredi matins de 8h à 9h30,d’ octobre
à décembre.
16,5 heures inscrites à l’emploi du temps
2 crédits ECTS
Public
Cette unité d'enseignement rassemble l’ensemble des étudiants des spé Agro-managers et
AAIM.
Organisation
> d'autre part des séances de débat/discussion autour de sujets d'actualités ou d'articles fournis
aux étudiants à l'avance, afin de travailler l'expression orale.
Évaluation
L'évaluation sera réalisée par chaque enseignant,
qui déterminera le mode d'évaluation le plus approprié au fonctionnement du groupe. Le mode
d'évaluation sera annoncé au début de l'année
aux élèves par leur enseignant. La note finale
tient également compte de l'assiduité en classe.
Constitution de 3 groupes de niveau en espagnol
(Débutants, Intermédiaires et Avancés) dans lesquels se répartissent les étudiants.
Constitution d’un groupe en allemand
Programme thématique
Pour le groupe Débutant, l'objectif de la formation est une initiation à l'espagnol, qui doit permettre à l'issue de l'année de pouvoir
communiquer un minimum dans la langue, et de
pouvoir lire et comprendre l'essentiel d'un document.
Pour le groupe Avancé (et dans une moindre mesure Intermédiaire), l'enseignant privilégiera :
> d'une part, les séances visant à favoriser directement l'insertion professionnelle : réalisation
d'un CV en espagnol, rédaction d'une lettre de
motivation, préparation d'un entretien d'embauche, présentation sur support power-point,
17
TRONC COMMUN
TC6
PROJETS FINALISES
(4 crédits)
Responsable
L. Sirieix
[email protected]
tél : 33 (0)4 99 61 27 19
fax : 33 (0)4 67 63 54 09
Durée
- Octobre à Mars (en continu au cours des modules de formation)
- Environ 120h équivalents dans l'emploi du
temps pour la réalisation du projet
- 4 crédits ECTS
Objectifs du projet
Les étudiants sont répartis par groupes et sont
mis dans la situation de consultants devant résoudre un problème concret qui correspond à
une demande réelle, avec une obligation de résultat.
- Implication dans un projet finalisé en lien avec
les professionnels.
- Construction du projet (planification, recherche
de financement, de partenaires, de moyens techniques, etc.).
- Réalisation du projet
- Présentation et discussion des résultats du projet auprès des professionnels.
18
Mots clés
Gestion de projets, gestion d’équipe, innovation.
Thématiques des projets finalisés
Exemples de projets finalisés proposés :
Équipe pour représenter Montpellier SupAgro
au concours TROPHELIA en collaboration avec la
spécialisation Agroalimentaire
Organisation des Journées de l'agroalimentaire
de Montpellier en mars 2010.
Réalisation d'audits nutritionnels et marketing
pour les PME de la région Languedoc Roussillon
en collaboration avec la spécialisation Agroalimentaire
Accompagnement de projets de création d’entreprises
Évaluation des projets
Le projet finalisé fait l'objet de plusieurs évaluations au cours de la formation :
- Présentation orale (10 min) du programme et
des éléments du projet (fin novembre) ;
- Rédaction d'un rapport de synthèse de 15-20
pages et présentation du projet (mars) ;
- Animation d’un stand au cours des JAAM Journées de l'agroalimentaire de Montpellier de
mars 2010.
TRONC COMMUN
Bibliographie
R. Buttrick, Gestion de projets en action, Editions Village Mondial/Pearson, 2000
19
TRONC COMMUN
TC7
MANAGEMENT STRATEGIQUE DES
ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES ET BIOTECHS
1ère PARTIE (4 CRÉDITS ECTS)
Responsable : Jean-Pierre Couderc, Professeur Montpellier SupAgro
[email protected] - Tél.:33 (0)4 99 61 28 67
Enseignant principal : Leïla TEMRI, U. Montpellier I – [email protected]
Objectifs de formation
Ce module a pour objectif de fournir les fondements
théoriques, les concepts et méthodes nécessaires à la
pratique de l’analyse stratégique appliquée à différents acteurs, dans différents contextes : marchés ; entreprises du système alimentaire ; organisations de
type associatif, coopératif ou mutualiste ; institutions
publiques …
Emplois et missions
Avec son complément d’application en mars, ce module débouche sur des emplois de chargé d'études
stratégiques, de mission ou de projet, principalement
dans 3 types de configuration :
- cellule spécialisée placée auprès de la direction générale des entreprises, avec une mission de préparation des décisions et de formalisation des projets
stratégiques des entreprises ;
- cabinets de consultants
- institutions publiques (DG administrations centrales
et collectivités locales) et organisations professionnelles (également niveau Présidence ou DG)
Programme thématique
Le module est construit selon une séquence qui passe
de l'exploration des concepts, aux modèles formalisés
(matrices de positionnement), puis aux modèles qualitatifs (ressource based view) et à l'identification des
" formules stratégiques relationnelles " (affrontement, coopération, évitement) pour aboutir aux méthodes d'élaboration des projets stratégiques.
Méthode pédagogique et intervenants
Chaque séquence de formation est ciblée sur un thème
(cf. liste ci-dessous) et comporte deux temps. Premier
temps, en salle, avec un exposé par un intervenant professionnel de l'enseignement et de la recherche ou responsable d'entreprise ou d'institution. Deuxième temps
: études de cas. Chaque étude de cas suppose un travail
de préparation (lecture, discussion en petite équipe de
2/3 étudiants) et une séance de restitution en commun.
Intervenants : 50% enseignants-chercheurs / 50% praticiens d'entreprises et d'institutions publiques et
consultants.
L. Temri (UM I), G. Grolleau (SupAgro), G. Dejean
(Groupe Sup de Co), M. Bicheron (filières céréales), M
Gotteland (Consultant), F. Volle (Consultant), A. Cu-
chet (Coopérative UCCOAR-Razès), JN Raoul (Bongrain), L Schmitt (Ch. Hansen) (Liste indicative )
Programme prévisionnel
Introduction :
Histoire de la pensée stratégique
Champ du management stratégique
Les différentes approches
I – les outils du diagnostic stratégique
LCAG
Les apports d’Ansoff
Approche matricielle : Bcg, Adl, Mc Kinsey et les autres
Approche portérienne
II – les manoeuvres stratégiques
Stratégies génériques : coût/différenciation
Diversification/spécialisation
Approche relationnelle : affrontement, coopération/alliances, contournement/évitement
Stratégies d’innovation
Autres thèmes :
- La PME et la stratégie
- Le conseil en stratégie
- La planification stratégique
- Les stratégies de filière
Pré requis
Ce module s'inscrit dans une formation de 3ème cycle,
qui suppose acquises un certain nombre de bases
théoriques et méthodologiques en : économie d'entreprise, économie industrielle, marketing, comptabilité – finance, théorie des organisations
Ces pré-requis sont supposés être acquis au cours de
l'ensemble du tronc commun de la SPÉ.
Liens
S'agissant d'un module transversal et englobant, les
liens amont se font avec les enseignements de pré-requis et de tronc commun .
Evaluation
- Examen individuel sous forme de cas et " note de
synthèse à un dirigeant d'entreprise " (2 à 3 h) : coefficient 0.7
- Participation et animation des cas : coefficient 0.3
Bibliographie
Allouche J., Schmidt G.(1995), Les outils de la décision stratégique, T1, T2, La Découverte, Paris
Johnson G., Scholes H., Fréry F. [éd. française], (2000, +), Stratégique, PubliUnion, Paris, 606 p.
Mintzberg H., Ahlstrand B., Lampel J., (1999), Safari en pays stratégie, l’exploration des grands courants de
la pensée stratégique, Village mondial, Paris, 423 p.
STRATEGOR, (1993, +), Stratégie, structure, décision, identité ; Politique générale d’entreprise, InterEditions,
Paris, 615 p.
20
TRONC COMMUN
TC7
MANAGEMENT STRATEGIQUE
2ème PARTIE (4 CRÉDITS ECTS)
Objectifs de formation
Fournir les concepts et méthodes nécessaires à la pratique de l'analyse stratégique appliquée à différents
acteurs, dans différents contextes : marchés, entreprises du système alimentaire et biotechs, organisations de type associatif ou mutualiste et institutions
publiques.
Ce module d’application du management stratégique
d’entreprise met les étudiants en position de décideur
et/ou consultant par la méthode des cas et des conférences professionnelles. A l’issue du cours, les étudiants seront capables :
1.d’analyser la situation concurrentielle à laquelle doit
faire face une organisation et d’identifier ses sources
potentielles d’avantage concurrentiel – coût ou différenciation ;
2.d’appliquer quelques techniques d’analyse et de
diagnostic stratégiques (analyse de portefeuilles d’activités stratégiques, analyse des ressources VRIN, etc.) ;
3.de définir les facteurs clés de succès spécifiques à
chaque domaine d’activités stratégiques et de repérer
les problèmes fondamentaux, tant fonctionnels que
transversaux, auxquels l’organisation doit répondre ;
4.de développer une vision globale de l’entreprise et
de proposer des alternatives / scénarios stratégiques.
Emplois et missions
Ce module, avec son module d’introduction, débouche
sur des emplois de chargé d'études stratégiques, principalement dans 3 types de configuration :
- cellule spécialisée placée auprès de la direction générale des entreprises, avec une mission de préparation des décisions et de formalisation des projets
stratégiques des entreprises ;
- cabinets de consultants
- institutions publiques (DG administrations centrales
et collectivités locales) et organisations professionnelles (également niveau Présidence ou DG)
Méthode pédagogique et intervenants
Chaque séquence de formation est ciblée (cf. exemples
ci-dessous) et comporte une étude de cas. Chaque
étude de cas suppose un travail de préparation (lecture, discussion en petite équipe de 2/3 étudiants) et
une séance de restitution en commun.
Intervenants : 20% enseignants-chercheurs / 80% praticiens d'entreprises et d'institutions publiques et
consultants.
L. Temri (UM I), O. Torrès (UM III), D. Brincquart (Bonduelle), A. Crampagne (Aventis), JC Guillon (Lima-
grain), C. Septfonds (Royal Canin), D Lacroix (Ifremer),
A Lichtenberger (LR Transfert), D. Barral (Sud Régal)
(Liste indicative )
Programme prévisionnel
Thèmes :
Applications et cas de stratégie (cf. : bases méthodologiques de l'analyse stratégique)
La stratégie produits, spécificités des sciences du vivant
Gestion stratégique par activité, spécificité des filières AA
- Les stratégies relationnelles
- La PME AA et la stratégie
- Innovation et stratégies AA, biotechs, santé, …
Pré requis
Ce module s'inscrit dans une formation de 3ème cycle,
qui suppose acquises un certain nombre de bases théoriques et méthodologiques en management stratégique.
Ces pré-requis sont supposés être acquis au cours de
l'ensemble du tronc commun du mastère
(cours et lectures complémentaires).
Liens
S'agissant d'un module conclusif, les liens amont se font
avec les enseignements de pré-requis et de tronc commun ainsi qu'avec les différents exercices pédagogiques
et contacts de terrain tout au long de la formation.
L'analyse stratégique est une matière de synthèse, de
confrontation de la pensée et de l'action !
Evaluation
- Examen individuel sous forme de " note de synthèse
à un dirigeant d'entreprise " (1 h) : coefficient 0.7
- Dossier collectif " vision stratégique appliquée à un
marché ou à une entreprise " : coefficient 0.3.
Ces dossiers, préparés par équipe de 3 étudiants maximum, ont pour objectif d'appliquer les
connaissances acquises au cours du module, sur un
sujet en relation avec la thématique générale du module. Le produit attendu est un document de synthèse
rédigé de 10 à 15 p et une présentation PowerPoint. Le
dossier est soutenu devant un jury de 2 ou 3 membres
de l'équipe pédagogique, durant 10 mn maximum
(n'oubliez pas vos horloges !) et fait l'objet d'une discussion de 5 à 10 mn avec le jury.
Manuels de base
Manuels complémentaires au module de tronc commun :
Charnay J.-P., (1995), La stratégie, PUF, Paris, 127 p.
Laroche H., Nioche J.P., (1998), Repenser la stratégie, fondements et perspectives, Vuibert-Institut Vital Roux,
Paris, 378 p.
Marchesnay M., (1995), Management stratégique, Eyrolles Université, Paris, 199 p.
Porter M.E., (1993), L'avantage concurrentiel des nations, InterEditions, Paris, 883 p.
21
TRONC COMMUN
DE MARS À SEPTEMBRE :
TC8
LA MISSION EN ENTREPRISE
ET LE MÉMOIRE
(30 CRÉDITS ECTS)
L’insertion professionnelle commence notamment par des missions confiées par les entreprises ou institutions dans les fonctions
suivantes :
- Management des achats
- Conduite de projets
- Marketing stratégique
- Commercialisation
- Gestion budgétaire
- Financement du secteur agroalimentaire
- Etudes et audit.
Objectifs
La mission en entreprise, de type consultant junior, finalise la formation de l'élève ingénieur
dans le domaine des sciences et techniques de
gestion appliquées au système alimentaire et
témoigne de sa capacité à analyser une situation complexe pour en tirer des recommandations utiles à l'entreprise d'accueil. Cette mission
est accompagnée par un double tutorat : celui
de l'entreprise qui propose le stage (le maître
de stage) et celui d'un enseignant intervenant
dans la spécialisation (le directeur de mémoire).
Lorsque le sujet le justifie, les élèves pourront
choisir un directeur de mémoire n’intervenant
pas dans la spécialisation, avec l'accord des responsables.
La mission fait l'objet d'un rapport présenté et
soutenu devant un jury composé du représentant
de l'entreprise, et de deux enseignants chercheurs du campus Montpellier SupAgro.
Sauf exception, il ne dépassera pas 40 à 50
pages, annexes non comprises, le nombre
d'exemplaires requis étant : un exemplaire par
membre du jury, plus deux exemplaires (bibliothèques).
22
Le mémoire
Le mémoire ne peut pas être une simple relation ou rapport de stage décrivant ou faisant la
synthèse d'une situation.
Il doit contenir, après une introduction rappelant le contexte de la mission et la problématique : Un exposé des objectifs de la mission, des
méthodes et concepts mis en œuvre, un exposé
des résultats du travail réalisé par l'étudiant,
qu'il s'agisse d'une tâche particulière qu'on lui a
confiée, d'une étude, d'une enquête.
Ces résultats devront aussi s'accompagner d'une
discussion critique sur leur valeur. Les apports
de l'étudiant et sa contribution doivent être explicites. Le mémoire devra comporter enfin une
conclusion qui exprimera la partie la plus personnelle du travail de l'étudiant ainsi que des
recommandations.
TRONC COMMUN
SÉMINAIRE
MANAGEMENT DES ACHATS
INTRODUCTION AU
MANAGEMENT DES ACHATS
"POLITIQUE ACHAT "
Responsable
Philippe PORTIER, Professeur de marketing
à l’Ecole de Management de Lyon
Responsable du M.S. Acheteur Manager
International
[email protected] - tél. : 04 78 33 79 38
Planning et volume horaire
Objectifs du module
travers le pilotage des flux d’informations, sociaux, physiques et financiers entre l’entreprise
et ses fournisseurs ?
6. Comment appliquer ces concepts / méthodes /
outils à l’élaboration d’une stratégie d’achat sur
un cas concret ?
Les ressources amont - nommées également
Achats – représentent plus de 70 % du chiffre
d’affaires des entreprises, en particulier agro-alimentaires. Au-delà de leur effet de levier sur les
profits, les achats constituent un levier de différenciation déterminant (comment concevoir,
produire et vendre sans savoir acheter ?), et une
source de risques parfois critiques (traçabilité).
Chaque séance s’appuie sur un exposé réalisé
par un groupe de participants permettant d’ouvrir une discussion avant la contribution du professeur. Ces exposés visent à présenter les
apports issus des manuels de référence en Achat
afin d’en évaluer l’intérêt méthodologique et
pratique.
- 19, 20 et 21 Janvier 2009
- 18 heures,
- 1 crédit ECTS
L’objectif de ce module est de proposer une démarche intégrée de Politique d’achat à des futurs managers généralistes souhaitant maîtriser
cette dimension stratégique pour la compétitivité des entreprises.
Ce module s’articule autour de six questions :
1. Pourquoi les ressources amont sont stratégiques dans le cadre du déploiement du Lean
Model au sein de filières intégrées (toyotisme) ?
2. Comment concevoir une politique amont fondée sur une externalisation maîtrisée prenant en
compte la valeur stratégique et la dynamique de
marché des portefeuilles achats ?
3. Quelle stratégie fournisseurs mettre en oeuvre en fonction de l’attraction croisée entre l’entreprise et ses fournisseurs déterminant des
modes de relations de partenariat gradué ?
4. Quelle tactique d’achat mettre en place en
jouant sur tous les leviers organisationnels intégrant cette fonction de support dans la chaîne
de valeur de l’entreprise (structures, compétences, processus, SIA)?
5. Comment optimiser des opérations d’achat à
Mots clés
Toyotisme/Lean, Core Business & Externalisation/internalisation, Segmentation & Portefeuille Achats, Marchés fournisseurs &
Marketing Achat, Partenariat & Relations Fournisseurs, Global Sourcing & Organisation Achats,
Supply Chain Management & Performances
Achats.
23
PARCOURS ET OPTIONS
En janvier et février, les étudiants choisissent l’un des 4
‘parcours professionnels’ suivants :
Marketing
Etudes marketing
Contrôle de gestion
ou Risques-Marketing durable pour l’éco-responsabilité et la sécurité
Supply chain - Achat
ou International development strategies
Marketing opérationnel, négociation, force de vente
Finance
Financements et marchés financiers
Contrôle de gestion
International development strategies
Global Risk management
Management des risques
Elaboration de la qualité et audit système Q/E
Risques-Marketing durable pour l’éco-responsabilité et la sécurité
International development strategies
Global Risk Management
Agroperformance industrielle
Gestion industrielle
Contrôle de gestion
Supply chain, logistique & achat
Management de la performance industrielle
24
p. 25
p. 26
p. 32
p. 36
p. 27
p. 33
p. 28
p. 29
p. 31
p. 32
p. 33
p. 37
p. 38
p. 35
p. 36
p. 33
p. 37
p. 38
p. 40
p. 32
p. 27
p. 41
PARCOURS MARKETING
Parcours
Marketing
Responsable : Lucie Sirieix, Professeur
Tél : 04.99.61.27.19
Email : [email protected]
Emplois et débouchés
Les entreprises et organismes d’accueil des étudiants du
Mastère sont principalement des entreprises agroalimentaires, des entreprises de distribution de produits alimentaires (GMS), des sociétés de service ou de conseil, de
négoce international, ou de restauration hors foyer.
Les emplois sont très variés notamment selon le secteur
(grande consommation ou B to B), la taille de l’entreprise,
sa nature (industriel fabricant, entreprise de distribution,
cabinets de conseil,…)
1)PME ou PMI :
« Attaché ou Adjoint de Direction »
« Responsable commercial et/ou marketing »
2)Grande entreprise :
« Assistant ou adjoint du Directeur Marketing »
« Responsable export »
« Responsable marketing de marché ou de secteur »
(géographique ou segment stratégique)
3)Entreprise multinationale :
« Chef de produit »
« Responsable de marque ou brand manager »
« Assistant de Direction Marketing »
« Assistant du Directeur des Achats (ou de la Logistique) »
« Assistant chef de marché »
4)Entreprises de services :
« Chargé de Clientèle »
« Consultant junior » (ou senior suivant expérience) dans
une firme de consulting, ingénierie, bureau d’études ou
société de panel
5)Grande distribution :
« Category manager »
« Responsable des achats »
Référentiel métier
Fonction « Marketing »
Les responsables marketing ont à gérer un portefeuille de
produits, de marques, ou de clients. Ils doivent savoir analyser l’efficacité de leurs actions marketing, et, sur la base
du diagnostic, formuler des préconisations stratégiques
et assurer la mise en place d'actions marketing.
Fonction « Etudes »
Le chargé d’études d’un industriel fabricant ou d’un distributeur doit savoir quel type d’étude marketing
conduire en fonction de la problématique marketing, et
savoir analyser et utiliser les résultats des ces études pour
formuler des préconisations.
Dans les sociétés d’études, les consultants ont pour objectif de développer le CA de leur portefeuille, d’analyser
l’efficacité des actions marketing de leurs clients et de répondre à leurs problématiques marketing en apportant
des solutions globales.
Fonction « International »
Le responsable import-export ou international doit savoir
identifier les risques et contraintes inhérents à l’activité à
l’international et maîtriser les outils permettant de gérer
cette activité.
Objectifs généraux de la formation
Le parcours Marketing permet aux étudiants Maeva d’occuper un poste de responsabilité dans un service marketing, études, achat ou international. Dans cette optique,
après un module de tronc commun apportant les bases
du marketing et de la décision commerciale, quatre options sont proposées orientées respectivement vers des
postes de responsabilité dans une société ou un service de
l’entreprise spécialisé dans les études (option Etudes de
marché), dans un service achat (option management des
achats), dans un service marketing (option marketing management) ou encore vers un poste de responsabilité à
l’international dans une petite entreprise ou sur un segment du marché mondial d’une multinationale (option
Marketing international).
Total de 12 crédits ECTS de spécialisation ‘marketing’ :
1.Tronc commun : Bases du marketing (48 heures, 4 crédits ECTS)
2.Options :
4 options de 36 heures (2 crédits chacune)
1. TRONC COMMUN : Pour mémoire Marketing B to C
et B to B
Fonction « Achats »
Les responsables achat doivent identifier, sélectionner les
acteurs amont et manager la fonction amont de l'entreprise en gérant les relations avec ces acteurs.
25
PARCOURS MARKETING
OPTIONS Janvier
Etudes
marketing
Responsable : Lucie Sirieix
Organisation générale
et méthode pédagogique
Ce module a trois principaux objectifs :
> Permettre aux étudiants de savoir quel type d’étude
marketing conduire en fonction des problèmes à résoudre et du type d’environnement (Grande consommation
vs B to B)
> Apporter les fondements conceptuels et méthodologiques permettant de réaliser ces études marketing dans
différents secteurs de l’agro-alimentaire
> Permettre aux étudiants de savoir analyser et utiliser les
résultats de ces études.
A l'issue de ce cours les étudiants maîtriseront :
> Les outils d'observation et de compréhension des marchés permettant de mener une étude de marché
> Les principales utilisations des différentes méthodes de
traitement des données
> L’interprétation et la restitution des résultats permettant la prise de décision et les préconisations stratégiques
Chaque demi-journée en face à face nécessite un travail
personnel, les méthodes pédagogiques incluant cours,
mais aussi exercices et cas concrets provenant de cabinets d’études (panels) ou d’entreprises agro-alimentaires,
et requiérant une préparation individuelle.
Programme et intervenants
· Présentation générale : 1 séquence
L. Sirieix
· La conduite des études quantitatives : 3 séquences
L. Sirieix
· Les panels : 4 séquences
Panels distributeurs : IRI
Panels consommateurs : TNS Media Intelligence
· Les études B to B : 1 séquence
P Bloom
A quoi servent les études ? 2 séquences
L. Sirieix et chefs de produits ou de marques
· Evaluation : 1 séquence
L Sirieix
Pre requis
Notions de base du marketing stratégique : segmentation, positionnement, marketing mix (TC3 Marketing et
décision commerciale).
Contrôle des connaissances
Présentation de travaux de groupe : 50 %
Examen final individuel : 50 %
Bibliographie
· Etudes de marchés, Méthodes et outils, M. Gauthy-Sinéchal et M. Vandercammen, De Boeck Université, 2005.
· Etudes de marché, J.-L. Giannelloni, E. Vernette, Vuibert,2001.
· Market, Etudes et Recherches en Marketing, Fondements Méthodes, Yves Evrard, Bernard Pras, Elyette Roux,
Nathan 2000.
Maquette des enseignements
· Présentation générale
Panorama des études
Quelles études pour quel objectif (études documentaires,
qualitatives, quantitatives)
· La conduite des études quantitatives
Mise en place des études quantitatives par questionnaire
Approches statistiques descriptives ou explicatives
· Les panels
Présentation générale et démarche
Panels distributeurs
Panels consommateurs
· Les études B to B (intervention en anglais)
Definitions and overview of b2b marketing
Marketing research issues and difficulties in obtaining information
· different test marketing procedures - b2b /
b2c comparisons
. A quoi servent les études ?
L’utilisation des études par les services marketing
26
contrôle de gestion,
voir PARCOURS FINANCE P. 32
ou
Risques-Marketing durable pour l’éco-responsabilité
et la sécurité
voir PARCOURS MANAGEMENT DES RISQUES P.36
PARCOURS MARKETING
OPTIONS Février
Supply chain
et Achat
Responsable : Géraldine Giordano
Planning et volume horaire
Supply Chain - Février (du lundi matin au mercredi midi ; 4
semaines)
- 39 heures inscrites à l’emploi du temps- 3 crédits ECTS
Achat - 9/02 après-midi (P Portier, 24/02 journée (J Fèvre)
et 3/03 journée (J Fèvre)
- 15 heures - 1 crédits ECTS
Objectifs du module
La supply chain ou chaîne logistique se définit comme le réseau global servant à fournir des produits et services depuis les
fournisseurs jusqu’aux clients finaux à travers un flux rationalisé de produits (distribution physique) et d’informations. Le
domaine agroalimentaire, du fait du caractère périssable des
denrées, est un domaine d'application par excellence des innovations logistiques compte tenu des délais d'acheminement et des contraintes de flux tendus. Au-delà de la
présentation de la chaîne logistique et de ses principaux acteurs (producteurs agricoles, unités de transformations, distributeurs, intermédiaires commerciaux, prestataires de
services), et d'une approche comparative des performances
de différentes solutions en termes de coûts financiers, le module présentera les principaux outils d'innovation logistique,
qu'ils soient opérés via des changements organisationnels
et/ou via l'implantation des NTIC.
Les Achats, compte tenu de leur effet de levier sur les coûts,
la différenciation et les risques, soulèvent de nombreuses
questions sur le management de leurs opérations, en particulier dans l’agro-alimentaire et les industries du vivant.
L’objectif de ce module est de proposer un approfondissement sur les Opérations Achats dans les entreprises agro-alimentaires et du vivant afin de mieux apprécier les
opportunités et les contraintes auxquels est exposée cette
fonction dans ce contexte spécifique.
Ce module s’articule autour de thématiques :
1. Quel modèle d’analyse de filière mobiliser pour intégrer la
chaîne de valeur de l’entreprise dans son système de valeur
dans la mesure où la fonction Achat est partie prenante de
cette dynamique ?
2. Comment intégrer des innovations amont au sein de filières multi-acteurs en faisant des achats des capteurs des innovations fournisseurs ?
3. Comment prendre en compte les facteurs-clés de succès
des marchés aval dans le déploiement des opérations
d’achat, en particulier en termes de développement fournisseurs à travers le Global sourcing ?
4. Comment décliner ces méthodologies sur des analyses de
filières montrant les liens étroits entre des acheteurs-entrepreneurs et les acteurs internes et externes ?
Chaque séance démarre par un exposé réalisé par un groupe
de participants permettant d’ouvrir une discussion avant les
apports d’intervenants professionnels travaillant dans des entreprises soutenus par la contribution de l’animateur. S’ajoute
des analyses de filières permettant de valider la capacité à
opérationnaliser les outils proposés à des situations
concrètes.
Mots clés
Supply Chain, logistique industrielle, grande distribution, plate-
forme logistique, systèmes d'information, outils organisationnels. Système de valeur / Chaîne de valeur, Innovation
Amont, Différenciation & Global sourcing, Acheteur-entrepreneur et fonctionnement des entreprises, Dynamique de
filières et jeu d’acteurs.
Contenu du module et intervenants
Introduction (G Giordano, 9h)
Présentation de la logistique / supply chain et des outils
Management de la supply chain
La logistique appliquée aux produits frais
(F. Leclerc, Stef-Tfe, 3h)
Les outils organisationnels de management des flux logistique (F Douillet, Intermarché, 6h)
La logistique amont chez Roquefort
(O. Lecroisey, Roquefort, 3h)
Les outils d'information pour la supply chain
exemple d'application dédiée à la distribution :Logistar (C.
Poiron, Kuehne-Naguel, 3h)
L e consulting en supply chain : comment aider les entreprises à formaliser les besoins et à gérer les relations entre
les industriels et les prestataires de service logistique (N Bouniol, Deloitte, 2h))
Jeu Planet : le jeu de la supply chain (4h)
Visite d’une centrale d’achat / plateforme logistique.
Contrôle des connaissances
L'évaluation portera sur la réalisation d'une "fiche outil"
sur un thème choisi par l'étudiant.
Bibliographie
- Codron J.M. (1989): chapitre 10 pp 115-125 Transport Maritime in "Les fruits et légumes frais du Chili: quelle stratégie
d'expansion", CFCE.
- Codron J.M, Le Bocq A., Baritaux V. (2003) "Les places de
marché électroniques ouvertes en fruits et légumes : vers une
fonction de facilitation des transactions.", INRA UMR MOISA,
Série Etudes, 137 p.
- Husson P., (2004), "Traçabilité. Identifier et partager l’information. ", Infos-CTIFL, n° 204, septembre, pp. 15 20.
- Montigaud J-C. et Ferry J-M., (1995), "La logistique dans les
filières agroalimentaires et ses conséquences sur la production
agricole : le cas de l'arc méditerranéen français", ENSA-INRA,
Série Etudes et Recherches, N° 102, Montpellier, septembre
1995, 74 p.
- Montigaud J-C., (2000), "Logistic platforms for fresh produce.
the case of Samazan", (XIVth International Symposium on Horticultural Economics, 12-15 September 2000, Guernsey, U.K.),
Acta Horticulturae, n° 536, p. 635-644.
- G. Paché et T. Sauvage, (2004), "La logistique: enjeux stratégiques", Vuibert, 2004, 3ème éd.
- Pimor Y., "Logistique : techniques et mise en œuvre", Dunod,
Paris, 2001, 579 p.
- Christopher Martin (2005), "Supply Chain Management. Créer
des réseaux à forte valeur ajoutée" Village Mondial
- Baglin Gérard Olivier Bruel, Alain Garreau, Michel Greif
"Management Industriel et Logistique : Conception et pilotage
de la Supply Chain"
- Reiter Stephen E & Poirier Charles C
"La Supply Chain : Optimiser la chaîne logistique et le réseau interentreprises" Dunod
- Kamyab Samii Alexandre, "Stratégie logistique - Supply chain management : Fondements - Méthodes – Applications" Vuibert
- Michael A. Bourlakis & Paul W. H. Weightman, "Food Supply
Chain Management", Blackwell Publishing
Inter national development strategies,
voir PARCOURS FINANCE p.33
27
PARCOURS MARKETING
Marketing operationnel,
négociation, force devente
Responsable : Lucie Sirieix
Organisation générale
et méthodes pédagogiques
Notions de base du marketing stratégique : segmentation,
positionnement, marketing mix (module de tronc commun Marketing et décision commerciale).
A l'issue de ce cours les étudiants maîtriseront :
- La démarche du diagnostic marketing permettant d'établir les forces et faiblesses d'un produit ou d’une marque
sur un marché
- La formulation et la mise en place d’une stratégie marketing
Mercator, Théorie et Pratique du Marketing, Lendrevie J.,
Lindon D., Paris : Dalloz, 2003
Le marketing des produits agroalimentaires, P. Aurier et L.
Sirieix, Dunod, 2009, 2ème edition
Revues marketing : Décisions marketing, Revue Française
de Marketing, …
Revues professionnelles, journaux et sites Internet : LSA,
Points de Vente, Linéaires, Marketing Magazine, RIA, Les
Echos, …
Ce module repose largement d’une part sur la réalisation
de cas par les étudiants et d’autre part sur les interventions de professionnels en entreprise (responsables de produits ou de marques) ou en cabinets d’étude (consultant
marketing ou grande distribution).
Maquette des enseignements
· Le diagnostic marketing
Diagnostics de marques, gammes ou produits
Diagnostic distribution
· Mise en place des stratégies marketing et du mix
Rôle et missions du chef de produit ou de marque
Lancement de produits nouveaux
Communication
Distribution et merchandising
PROGR AMME ET INTERVENANTS
· Présentation du module : 1 séquence
L. Sirieix
· Le diagnostic marketing : 3 séquences
L. Sirieix et professionnels extérieurs
· Mise en place des stratégies marketing :
4 séquences
L. Sirieix et professionnels extérieurs
· Spécificités du marketing B to B : 2 séquences
(en anglais)
P. Bloom
· Evaluation, études de cas : 2 séquences
Cas marketing
28
Pre requis
Ce module a deux principaux objectifs :
- Apporter les fondements conceptuels et méthodologiques permettant de mener le diagnostic de la situation
d’un produit ou d’une marque agro-alimentaire en grande
consommation ou en BtoB
- Apporter, sur la base du diagnostic, les outils et méthodes nécessaires à la formulation de stratégies et à la
mise en place d'actions marketing (produit, communication, distribution, …)
Contrôle des connaissances
Présentation de travaux de groupe : 50 %
Examen final individuel : 50 %
Bibliographie
PARCOURS FINANCE
Parcours
Finance
Responsable Montpellier SupAgro :
Jean-Pierre Couderc, Professeur
Tél : 04.99.61.28.67 - Email : [email protected]
Emplois et débouchés
Grandes entreprises françaises ou multinationales (ou
PME/PMI innovantes à fort potentiel) ; dans les secteurs
des IAA, agro-industrie, santé, sciences du vivant, environnement ou des services qui y sont associés (banques,
conseil, audit, …)
Attention : Selon la dimension de l'entreprise, son chiffre
d'affaires, son secteur d'activité, sa nationalité, son type
d'organisation (locale, régionale, par marchés, par produits, par zones géographiques, etc.), toutes ces fonctions types sont vécues de manière très différente.
De même, les intitulés des fonctions sont variables d'une
entreprise à l'autre.
1)PME ou PMI :
« Ingénieur Responsable de Projet ou Ingénieur Chargé
d’affaires »
« Responsable du contrôle de gestion »
« Responsable financier »
« Attaché ou Adjoint de Direction »
2)Grande entreprise :
« Adjoint au responsable d’unité de production ou centre de profit »
« Responsable du contrôle de gestion dans une unité de
production »
« Assistant ou adjoint du Directeur Financier »
« Assistant au responsable de division »
« Chargé d’études »
3)Entreprise multinationale :
« Adjoint au responsable de filiale ou de branche, ou de
domaine »
« Assistant Contrôleur de gestion »
« Assistant de Direction Financière »
« Assistant du Directeur des Achats (ou de la Logistique) »
« Assistant Trésorier ou Trésorier international »
« Adjoint du Directeur de l’Audit interne »
4)Entreprises de services :
« Chargé de Clientèle » ou « Analyste financier » ou
« Gestionnaire de portefeuille » dans une banque ou organisme financier intervenant dans les filières des
‘sciences du vivant’.
« Consultant junior » (ou senior suivant expérience) dans
une firme de consulting, ingénierie, bureau d’études ou
d’audit.
Le suivi du module « Contrôle de Gestion » de ce parcours représente aussi un atout important pour une candidature à des postes de « Responsable (ou adjoint au
responsable) d’unité de Production ou d’assistant du Directeur de Production », d’adjoint au Directeur du Développement Durable », la capacité à rentabiliser les actifs
investis étant toujours appréciée...
Référentiel métier
Quelle que soit l’organisation ou l’institution qui les emploie, les étudiants, du fait de leur double compétence,
seront des initiateurs (ou des gestionnaires) de projets devant créer plus de valeur qu’ils n’en ont consommé…
L’évolution actuelle vers l’hyper compétition ; la libéralisation et la mondialisation de l’environnement économique
nécessitent aujourd’hui de justifier financièrement les
choix et projets, d’en mesurer le risque, et de les contractualiser (à la façon hier anglo-saxonne et aujourd’hui ou
demain européenne) en vue de leur réalisation.
L’objectif de l’entreprise (mais aussi de toute organisation) est la création de valeur, qui, du point de vue « financier », passe par une rentabilité des investissements
supérieure au coût des ressources qui leur sont affectées.
Fonction « Finance, banque et conseil » :
‘Ingénierie financière et Business Plan’
Tout cadre nouvellement embauché, devant avoir des responsabilités managériales dans l’industrie agro-alimentaire, doit être capable, en liaison avec la Direction
Administrative et Financière de son entreprise, de décider de l’allocation optimale de ressources limitées à des
emplois toujours plus nombreux et plus risqués : analyse
d’une situation ou d’un projet agro-industriel, choix
d’une solution pertinente, évaluation des implications sur
le plan financier.
Le droit des affaires et des entreprises, l’analyse financière
et les critères de choix d’investissement ou de financement, ainsi que l’analyse risque/rentabilité sous tendent
tout projet requérant quelque ressource.
Le point de vue des diverses parties prenantes (actionnaires-propriétaires et management, mais aussi banques,
clients, fournisseurs et salariés) est pris en compte.
Fonction « Contrôle de Gestion » :
Les cadres ayant la responsabilité de son développement
doivent s’assurer que les ressources de l’entreprise sont
utilisées efficacement (en conformité avec les objectifs de
l’organisation) et avec efficience (en étant économe des
moyens mis en œuvre). Le but du contrôle de gestion est
d’optimiser l’action et les opérations. Il doit aussi être capable de couvrir les risques croissants en allant consciemment dans le sens de la planification et de la stratégie
définies.
29
PARCOURS FINANCE
Fonction « Comptabilité-Audit » :
La compréhension du ‘fonctionnement financier’ de l’entreprise (ou institution) est complétée par un approfondissement des normes comptables, droit des affaires,
décisions fiscales et ouverture aux normes internationales, afin de pouvoir s’intégrer aux équipes pluridisciplinaires d’auditeurs dans un Cabinet comptable, centre de
Gestion ou firme d’audit.
Objectifs généraux de la formation
Tout projet de l'entreprise agro-alimentaire a de nombreuses répercussions administratives et financières qui
ne sont pas toujours bien perçues ou comprises par les
responsables techniques et de production. Les notions de
base et les approfondissements proposés dans ce cursus,
composé de 4 options, doivent permettre aux élèves
d'analyser une situation ou un projet des entreprises ou
institutions des ‘sciences du vivant’ sur le plan financier,
de prendre une décision pertinente et d’évaluer ses implications, ou d'en discuter plus avant avec les autres professionnels concernés, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur
de l’entreprise.
Pre requis
Initiation à la « comptabilité de gestion » (ou interprétation de données comptables pour l’analyse financière) ;
gestion financière de l’exploitation agricole, en principe
axée sur la comptabilité générale de l’exploitation, mais
en fait élargie à l’analyse et l’interprétation des documents comptables pour en tirer des informations sur la
performance et la « santé financière » de l’exploitation ;
initiation au « système financier » qu’est l’entreprise, au
« droit des affaires » et à la « gestion financière des entreprises ».
Compréhension et interprétation du Bilan et Compte de
résultat simplifiés d’une entreprise.
Total de crédits 12 crédits ECTS du parcours de spécialisation ‘finance’ :
1. Tronc commun : comptabilité de gestion, ingénierie
financière (4 crédits ECTS)
2.Options janvier :
Contrôle de Gestion (36 heures, 2 crédits ECTS)
Financements et marchés financiers (36 heures, 2 crédits
ECTS)
3.Options février :
International development strategies (36 heures, 2 crédits ECTS)
Global Risk Management (36 heures, 2 crédits ECTS)
30
Organisation générale
et méthode pédagogique
Notre expérience des secteurs de l'agro-alimentaire et,
plus largement, des sciences du vivant, nous a conduit à
diviser la formation en quatre grandes parties couvrant
l'essentiel des notions qu'il est indispensable pour de futurs ingénieurs-managers ‘généralistes’ de connaître, et si
possible, de maîtriser :
> Comptabilité de Gestion et analyse financière d’une entreprise et de ses performances.
> La gestion du besoin en fonds de roulement et de la
trésorerie, cause essentielle, souvent négligée, voire ignorée, de "mort subite" dans ces secteurs, qui subit de
façon inhérente une forte variabilité de l'offre et de la demande, donc des besoins.
> La maîtrise à moyen ou long terme des investissements,
qui vont modifier la structure financière de l'entreprise et
sa rentabilité. Présentation des opérations de croissance
interne ou externe, entraînant d'une part des besoins de
financement structurels et d'autre part une modification
de la rentabilité, le facteur clé de la survie ou de la "mort
lente" des entreprises du secteur.
> Initiation au financement des entreprises de la filière et
à la réalisation d’un « business plan ».
PARCOURS FINANCE
OPTIONS Janvier
Financements
et marchés f inanciers
Responsable : Jean-Pierre Couderc
Besoin des entreprises
Le financement de l’entreprise agro-alimentaire est du
ressort de la Direction financière et de la Direction générale. Mais la plupart des entreprises dynamiques ont un
développement international, nécessitant une certaine
maîtrise des outils issus des marchés financiers (les
bourses de valeurs et leurs extensions pour les monnaies,
les matières premières ou ‘commodités’, les taux et plus
globalement, le risque).
Les responsables de projet ou d’unité opérationnelle ont
toutefois intérêt à parfaitement comprendre les choix, liés
à ces développements internationaux, qui peuvent être
faits. Par ailleurs, les élèves intéressés par une carrière
dans la banque ou autre institution financière, ou bien
par une carrière à l’international sont fortement incités à
s’inscrire à ce module.
Organisation générale
et méthode pédagogique
Les besoins de financement des entreprises sont croissants, en parallèle avec les nouveaux projets… La toujours plus grande ‘marchéisation’ des instruments
financiers (marchés à terme, options, couverture des
risques) et des financements proposés par les intermédiaires financiers (banques et institutions financières) nécessite de s’intéresser à ces marchés et aux théories qui
ont, de fait, permis leur émergence récente (équilibre
risque-rentabilité, théorie des portefeuilles, théorie des
options, etc.). Le marché financier mondial est aujourd’hui accessible à toute entreprise. Il s’agit donc de
faire découvrir aux élèves intéressés les règles, outils et
théories financières des marchés financiers en France et
dans le Monde.
Les méthodes pédagogiques seront diversifiées : Cours,
exercices, simulations, gestion de portefeuille, ainsi que
cas concrets de couverture des risques (de change, de
taux).
De ce fait, chaque demi-journée en face à face nécessite
environ 1H+ de travail personnel.
Maquette des enseignements
Financements, institutions et marchés financiers
> Rappels sur les besoins de financement de l’économie
Théorie financière de marché
> Intérêt, rendement, risque et gestion de portefeuille
> Modèle d’évaluation des actifs financiers (MEDAF)
> Modèle d’arbitrage (APT)
> Principes d’évaluation du risque
> Initiation à la gestion des portefeuilles
Financements et Marchés financiers
> Choix des financements, marché et intermédiation
> Financements de marché (émissions et IPO)
> Instruments et stratégies complexes (Options et
produits dérivés)
Programme et intervenants
36 h dont contrôle continu et contrôle des connaissances,
examen 3h
> Rappels des bases de l’économie financière, de l’évaluation du risque, des marchés de capitaux et autres instruments financiers, et du rôle des institutions financières
françaises et internationales, 9 H, E. Stephany (MCF UM
II) et J.P. Couderc.
> Les théories financières de marché et leur application à
la gestion de portefeuille d’actifs risqués, 15 H, P. Sentis
et J.L. Viviani (Prof. UM I).
> Les choix de financement et la couverture des risques ;
aperçu des techniques d’ingénierie financière, 6 H, J.P.
Couderc .
> Exercice de simulation de gestion de portefeuille boursier, G. Enjolras (MC Univ Aix)
> Une ou deux conférences (fusions-acquisitions, financements des entreprises innovantes)
Pre requis
Tronc commun obligatoire, ou bonnes notions de comptabilité et de finance (6 à 8 crédits ECTS)
Lecture d’un ouvrage, parmi ceux qui sont proposés dans
la bibliographie du tronc commun.
Contrôle des connaissances
Contrôle continu de préparation des cas et exercices (30
%) et question de synthèse ou cas concret pour l’examen
final (70 %).
Bibliographie
Aftalion F., La nouvelle finance et la gestion de portefeuilles, Economica, 2003
Kast R. et Lapied A, Analyse économique et financière
des nouveaux risques, Economica, 2004
Goffin R., Principes de Finance Moderne, Economica,
1998, 2002
et des entreprises
> Rappel sur l’organisation des marchés financiers
> Risques financiers, efficience des marchés
31
PARCOURS FINANCE
Contrôle
de gestion
Responsable : G Giordano MC SupAgro
Organisation générale
et methodes pédagogiques
Ce module est conçu pour des étudiants attachés à l’acquisition d’une compétence générale en gestion et
contrôle de gestion, donnant accès à des postes de responsabilité managériales dans l’entreprise agro-alimentaire ou liée aux sciences du vivant.
Il couvre l’ensemble des concepts, méthodes, outils et
mise en pratique des professionnels de la fonction
‘contrôle’ en entreprise, et fait appel aux théories, tant
classiques que plus récentes des sciences de gestion pour
le pilotage de l’entreprise. Sont aussi développés les liens
à la planification stratégique et à la Gestion des Ressources Humaines, en vue d’assurer la cohérence du
contrôle pour une plus grande maîtrise de l’action dans le
cadre de la stratégie choisie.
Chaque demi-journée en face à face nécessite environ
1H+ de travail personnel, les méthodes pédagogiques incluant cours, mais aussi exercices et cas concrets, issus essentiellement d’études d’entreprises agro-alimentaires
requérant une préparation individuelle.
Maquette des enseignements
L’objet et les bases du contrôle :
Définitions : surveiller et maîtriser l’évolution de l’organisation
Les frontières de l’entreprise, les niveaux de contrôle
(espace et temps)
Les systèmes d’information et de décision (comptabilité
générale et analytique, tableaux de bord et SIG)
Notions de comptabilité analytique et les sections
Du calcul au contrôle des coûts : les méthodes classiques
La méthode du coût complet
La méthode des coûts partiels
Le contrôle des coûts
Le pilotage de l’entreprise
Les objectifs et les instruments de mesure (quantitatifs,
qualitatifs)
Mesures et facteurs de performance, systèmes de motivation
Représentation financière : les liens entre Finance de marché, Finance d’entreprise et Contrôle de Gestion
Gestion de projets, business plan, système budgétaire
Evaluation de projet
Gérer la relation valeur-coût : les nouveaux modèles
La comptabilité par activités
Le management par activités
Target-costing, cost-kaisen, analyse de la valeur...
Le pilotage par la création de valeur
L’investissement
Le processus de création de valeur
Rentabilité et valeur
Budgets de trésorerie et financement de l’entreprise,
la négociation bancaire
32
Programme et intervenants
Contrôle de gestion, environ 36 H, dont contrôle continu et
contrôle final des connaissances (examen d’environ 3 H).
Une attention particulière est donnée à la cons-truction et
l’interprétation des Tableaux de bord et à la coordination
de l’information comptable et financière dans l’entreprise.
Mise en place de systèmes d’information permettant de
piloter l’entreprise :
Rappels de comptabilité analytique, de comptabilité de
gestion et étude des ratios ; les méthodes classiques du
contrôle,
Analyse des coûts et des budgets, la gestion de projets et
la gestion par les activités ; méthode ‘ABC’ et ‘Target costing’, 15 H, B. Fabre (MCF UM II)
Liens de la Finance au système budgétaire, budgets de
trésorerie et financement de l’entreprise, négociation
bancaire, 6 H, J.P. Couderc.
Interdépendance e tcontrôle budgétaire, pilotage de l’entreprise, Géraldine Giordano.
Une ou deux conférences de professionnels.
Pre requis
Tronc commun obligatoire, ou bonnes notions de comptabilité et de finance (6 à 8 crédits ECTS)
Lecture d’un ouvrage, parmi ceux qui sont proposés dans
la bibliographie du tronc commun.
Contrôle des connaissances
Contrôle continu de préparation des cas et exercices (20
%) et question de synthèse ou cas concret pour l’examen
final (80 %).
Bibliographie
H. Bouquin, Comptabilité de gestion, SIREY, 2003.
H. Bouquin, Le contrôle de gestion, Paris, PUF, 2002.
Gervais M., Contrôle de gestion, Economica, 2000
PARCOURS FINANCE
OPTIONS FÉVRIER
International
development strategies
Besoin des entreprises
La plupart des entreprises dynamiques ont à gérer un développement international : multinationales de l’agroalimentaire, mais aussi PME régionales de plus en plus
exportatrices / importatrices ou en phase d’implantation
à l’étranger. Un futur manager ne peut plus se permettre
d’ignorer les causes et les effets de la ‘mondialisation’ toujours plus importante des marchés des biens, des services,
des investissements et des actifs ou instruments financiers. Il doit aussi être capable de discerner et de couvrir
les risques croissants (économiques, commerciaux, financiers) liés à l’internationalisation.
Organisation générale
et methodes pédagogiques
Plus l’entreprise est de grande taille, plus elle s’internationalise, et plus la compréhension des mécanismes qui
sous-tendent l’économie internationale et financière devient nécessaire pour orienter les choix de prospection,
d’investissement et de financement, mais aussi d’approvisionnement, qui sont devenus très dépendants des évolutions et du fonctionnement des marchés financiers
internationaux. Mais même les TPE ‘locales’ ou PME ‘régionales’, sont aujourd’hui soumises indirectement à une
toujours plus grande ‘marchéisation’ ou ‘mondialisation’
des marchés, avec les ‘risques’ qu’elle implique.
Après un rappel des théories économiques internationales
et des risques commerciaux inhérents au développement
international des entreprises, il s’agit de faire découvrir
aux élèves intéressés les règles, institutions, théories et
instruments de l’économie ‘marchande’ et ‘financière’ internationale, pour les mettre au service des stratégies de
développement international des entreprises.
. Financial markets and their efficiency (commodities,
money, stocks and bonds)
Les risques commerciaux, économiques ou politiques du
développement international et leur couverture. Le cas
des transferts de technologie.
Les risques financiers internationaux et le rôle des marchés financiers internationaux
. Les instruments de couverture des risques de change et
de taux (swaps, terme, dérivés, options)
. La couverture du risque et l’utilisation des instruments
d’assurance et de marché
. Le cas des commodités et de leurs marchés à terme
Programme et intervenants
Stratégies de développement à l’international, environ 42
H, dont contrôle continu des connaissances et examen
final (d’environ 3 H).
Rappels (en anglais) des bases de l’économie internationale, des marchés des ‘commodités’, des monnaies et des
autres instruments financiers, des marchés des capitaux,
et du rôle des institutions financières internationales, 12
H, G. Grolleau et J.P. Couderc (Montpellier Sup Agro).
Les risques économiques ou commerciaux du développement international : Cas transversal J.P. Couderc (Prof. SupAgro)
Les stratégies de développement international des GE et
multinationales, les transferts de technologie, concepts et
cas, 9 H, M. Bicheron (Consultant).
Les choix de couverture des risques à l’international (économique ou commercial, politique, change, taux) ; marchés à terme et aperçu des techniques optionnelles, J.P.
Couderc et conférencier extérieur pour les marchés de
‘commodities’ (J. Cordier, Prof. Ensa Rennes), environ 9H.
Les marché financiers en direct ou les banques de façon
indirecte (intermédiation), offrent de très nombreuses
possibilités d’échanges (de matières premières, d’actifs financiers, de taux, de risques) et de couverture des risques,
liées au développement international, variant suivant la
taille et le secteur de l’entreprise, les habitudes et attitudes du pays d’origine et du pays de destination de
l’échange ou de l’investissement international.
Pre requis
Les méthodes pédagogiques sont diversifiées : Cours,
exercices, ainsi que cas concrets de découverte des instruments et outils de couverture des risques. De ce fait,
chaque demi-journée en face à face nécessite environ
1H+ de travail personnel.
Tronc commun stratégie, marketing, finance obligatoire
EML ou SupAgro, ou bonnes notions de comptabilité et
de finance (6 à 8 crédits ECTS)
Maquette des enseignements
Contrôle continu de préparation des cas et exercices (30 %) et
question de synthèse ou cas concret pour l’examen final (70 %)
- International trade and the theories of exchange
. International specialisation (Adam Smith), Comparative
advantages (Ricardo)
. Factors of production (Hescher, Ohlin, Samuelson) and
theories limits
. Decreasing costs, economies of scale, imperfect competition and differentiation
. World trade organization
. Free trade or protections, tariffs and quotas
- Institutions and organisation of international trade and finance
. From Bretton Woods to the World Trade Organisation
. Balance of trade and balance of payments
. The international monetary system
Contrôle des connaissances
Bibliographie
Ouvrages de base de ‘stratégie’ (partie développement international), et :
P. R. Krugman et M Obstfeld, Economie internationale,
3ème édition, De Boeck, 2001.
J. Peyrard, Gestion financière internationale, Vuibert,
5ème édition, 1999.
Y. Simon et D. Lautier, Techniques financières internationales, 8ème édition, Economica, 2003
Global Risk Management
PARCOURS MANAGEMENT DU RISQUE
p. 37
33
PARCOURS MANAGEMENT DES RISQUES
Parcours
Management des risques
Responsable : Hélène DORCHE (Inspecteur de la Santé publique Vétérinaire,
Mission risques) - Tél : 04 99 61 28 ; [email protected]
Emplois et débouchés
Les entreprises qui accueillent les étudiants ayant suivi le
parcours risques sont des grandes entreprises, des entreprises multinationales ou des entreprises de service qui
développent un service de Gestion de risques, ou qui font
évoluer leur service qualité en élargissant la notion de
qualité à deux déclinaisons majeures : la préservation environnementale et l’amélioration de la santé-sécurité au
travail.
D’où la diversité des champs d’emplois qui s’appliquent
aux secteurs agroalimentaire, pharmaceutique, cosmétologique et iotechnologique.
Quelques exemples des métiers exercés :
• Responsable qualité
• Manager HSE
• Conseiller santé, sécurité, environnement
• Chef de projet Environnement-Sécurité
• Ingénieur commercial Hygiène industrielle
• Coordonnateur de projet IFS
• Responsable achats
• Gestionnaire de risques
Référentiel métier
Fonctions Qualité-sécurité-environnement
La qualité regroupe «l’ ensemble des activités qui contribuent à satisfaire les clients internes et externes dans le
respect de la législation et des référentiels. »
Le responsable QSE doit :
- définir la politique et les objectifs QSE de l’entreprise,
- concevoir et fournir des systèmes qualité-sécuritéenvironnement (méthodes, procédés, et outils)
- optimiser et améliorer le fonctionnement de méthodes,
des outils et des procédures
- former et sensibiliser tous les acteurs de l’entreprise,
- mettre en place les outils pour les utilisateurs et mobiliser toute l’entreprise dans le but de satisfaire le client au
moindre coût, de réduire l’impact environnemental et
d’améliorer le bien-être au travail, en assurant la cohérence entre les différentes structures et / ou directions.
Fonctions du Risk-Management
La prévention et la gestion des risques sont des activités
émergentes.
Les métiers de Risk Manager (ou gestionnaire de risques)
consistent à travailler en amont de la réalisation des
risques, à élaborer une cartographie globale des risques
propres à l’activité de l’entreprise pour préserver les capacités de réaction de l’entreprise en cas de sinistre.
Les gestionnaires de risques ont une forte dimension animation d’équipes du fait du positionnement transversal
34
de la fonction rattachée à la direction stratégique de l’entreprise.
Objectifs généraux de la formation
Le parcours Gestion des Risques s'appuie sur 4 modules
de formation pendant une durée de 2 mois (janvier - février).
1.Options janvier :
Elaboration de la qualité et audits des systèmes Q/E
(39 heures, 2 crédits ECTS)
Risques - Marketing durable pour l’éco-responsabilité et
la sécurité (39 heures, 2 crédits ECTS)
2.Options février :
International development strategies
(39h, 2 crédits ECTS))
Risk-Management (39 heures, 2 crédits ECTS)
Pour répondre à l’internationalisation des marchés et des
entreprises, les acteurs de la GESTION DE RISQUES devront être à même de connaître une grande diversité de
cadres réglementaires et d’adapter leurs méthodes et référentiels à cette diversité de règles et de contextes.
La qualité n’est plus uniquement vue comme un moyen
d’optimiser les coûts de production mais aussi comme un
moyen de garantir la sécurité (des personnes et des
biens). La prise en compte du coût de non qualité et la
recherche de la satisfaction du client conduisent vers des
compétences d’analyses des risques. L’objectif central de
Satisfaction du client renforce aussi les actions en faveur
d’une production durable et responsable, dans le domaine de la distribution et particulièrement auprès des
fournisseurs. En effet les préoccupations environnementales des consommateurs se développent. Pour qu’elles
se traduisent plus souvent par des comportements responsables et durables, les entreprises ont à mettre en
œuvre une offre permettant d’optimiser le système produit/service attendu par les consommateurs. Les techniques de marketing peuvent orienter les décisions
d’achats en faveur de ces solutions.
PARCOURS M ANAGEMENT DES RISQUES
OPTIONS Janvier
Elaboration de la qualité et
audit des systèmes de management
Qualité-Environnement (EQ-AS)
Responsables : Hélène Dorche , ICS PV - mission risques
Jean-Luc Regnard - professeur Montpellier SupAgro
Conduite d’entretien - simulation de situations d'audit,
jeux de rôle
Besoin des entreprises
Approfondissement des normes ISO 9001 et ISO 14001
Pratique de l’audit interne, en entreprise agroalimentaire
Analyse de référentiels,
La réussite des systèmes de management par la qualité
ou d’un système de management environnemental suppose, outre la connaissance technique des référentiels,
un changement des comportements humains. Comment
s’appuyer sur des pratiques techniques et organisationnelles, en vue de mobiliser l’énergie de toute l’entreprise ?
Objectifs du module
> Identifier l’audit d’un système de management de la
qualité ou d’un système de management environnemental, comme une opportunité de progrès pour l’entreprise
et s’approprier la méthodologie d’audit .
> Appréhender l’élaboration de la qualité et sa gestion
intégrée dans une filière produits en réponse aux exigences des utilisateurs.
> Donner un éclairage sur les techniques de management
qui conjuguent une connaissance technique, organisationnelle et celle des comportements humains.
Les étudiants mettent en pratique la méthodologie d’audit, en entreprise agroalimentaire en démarche de certification d’organisation, de produits ou de service
(Kraft-food, Sanders, Eurest, Salins du Midi …).
Cette mise en situation est précédée d’une formation à la
méthodologie d’audit par rapport aux référentiels de la
série ISO 9000 et ISO 14 000
Au cours du module se succèdent des conférences et visites de sites industriels et/ou plate-formes de négoce (en
lien avec les cours & conférences) décrivant la filière oléicole prise comme exemple.
Rappels sur les facteurs d’élaboration et les composantes
de la qualité (aspects génétiques, physiologiques, nutritionnels, technologiques et sanitaires, ….)
Relations entre les acteurs (co-construction de la qualité,
stratégies et disciplines collectives, relations contractuelles
production / transformation, etc.)
Techniques d’animation des ressources humaines d’une
organisation sous référentiel de management : condition
du succès pour intéresser l’ensemble du personnel de
l’entreprise.
Contrôle des connaissances
1. Évaluation continue (50% de la note)
Travail de groupe par filière : micro-audit en entreprise et
restitution de l’audit,
2. Évaluation individuelle (50% de la note)
Valorisation des acquis, relevant notamment des conférences, cours et visites : 2 h traitement par écrit d'une
question de synthèse ou analyse critique d'article
Bibliographie
Théorie et pratique de l’audit interne Jacques RENARD,
Editions d’Organisation 2002
Mots clés
Qualité, audits interne et externe, audit de management,
communication, certification système, management,
signes d’identification de la qualité et de l’origine, certification de conformité produit.
Maquette des enseignements
Méthodologie d’audit et comportement de l’auditeur
Conférences assurées par un organisme certificateur de
notoriété internationale
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PARCOURS MANAGEMENT DES RISQUES
Risques - Marketing durable
pour l’éco-responsabilité et la sécurité (R-MES)
Responsable : Hélène Dorche
Objectif du module
Etre capable de promouvoir et justifier une politique de
croissance durable compatible avec la préservation de
l’environnement, la sécurité des personnes et des produits, en s’appuyant sur les pratiques d’un marketing durable.
Besoin des entreprises
Depuis la loi NRE, les sociétés cotées en bourse sont soumises à l'obligation de publier lors de leur rapport annuel
des informations extra financières, notamment sur leur
politique sociale et sur leurs initiatives en matière de respect de l'environnement.
Ainsi une démarche environnementale éco-responsable
accompagne désormais les décisions stratégiques et opérationnelles des grandes entreprises et s’étend progressivement aux PME. Les résultats obtenus en matière de
limitation des impacts environnementaux liés à la fabrication des produits (de leur conception jusque et y compris
leur mode d’usage et de recyclage des produits) en application de normes internationales, conditionnent une économie plus durable.
Le marketing responsable doit promouvoir les éco-produits en accompagnant le consommateur dans ses actes
d’achat, vers un mode de consommation durable où il intégrera plus naturellement les bénéfices indirects des nouveaux produits éco-conçus, afin de lever les freins
empêchant leur adoption par le plus grand nombre.
En complément des obligations réglementaires, les entreprises désireuses de mettre en avant leurs efforts en matière de sécurité des produits alimentaire ou de santé,
adoptent des démarches volontaires de certification ; la
satisfaction finale du client, la réduction des coûts de non
sécurité et la preuve de la bonne foi de l’enseigne motivent ces actions.
La sécurité des personnes est guidée principalement par
l’éthique, par une dimension sociale et humaine forte, qui
apporte un supplément de motivation à l’arsenal réglementaire existant en matière de santé et de sécurité au
travail, autant dans les entreprises agroalimentaires que
dans l’industrie cosmétique.
Ce module permettra aux étudiants de comprendre que la
dynamique d’évolution vers un consommateur responsable est en marche, et qu’ils auront à accompagner cette
mutation vers une nouvelle économie soutenable.
Mots clés
Marketing durable, certification, normes ISO 22 000,
IFS/BRC, bonnes pratiques de fabrication, référentiel
OHSAS 18 001, ACV, Eco label et Norme NF Environnement, Eco-conception
Organisation générale
et méthodes pédagogiques
A l’issue du module l’étudiant sera capable de :
- Comprendre les évolutions des industries et de la distribution en agroalimentaire ainsi que du secteur cosmétique, orientées par la croissance durable,
- Evaluer les responsabilités des acteurs de la chaîne de
production en matière de sécurité des produits (cosmétovigilance, étiquetage …)
36
- Planifier les étapes pour préparer une entreprise à la certification s ISO 22 000, IFS/BRC, les bonnes pratiques de
fabrication cosmétiques,
- Identifier les exigences d’un référentiel de management
de la sécurité des personnes (Référentiel OHSAS 18 001)
gérer différemment les relations humaines et professionnelles dans l’entreprise, pour améliorer les performances
(Référentiel IPP)
- Adapter la démarche d’éco-responsabilité à la culture
de l’entreprise, quelle que soit sa taille, permettre des
choix stratégiques environnementaux.
L’étudiant est mis en situation pour la réalisation de préétudes d’un document unique d’évaluation des risques en
entreprise, d’étude ergonomique de postes de travail pour
améliorer le bien-être au travail ; de pré-audit d’un site industriel, en vue de l’acquisition d’une certification.
Des visites de sites industriels et des témoignages de responsables d’entreprises engagés dans un mode de production durable sont organisés et permettent d’en
percevoir le bénéfice.
Maquette des enseignements
Contribution de la fonction marketing à la démarche de
développement durable
Analyse et exploitation d’un bilan carbone
Analyse environnementale d’un site industriel pour justifier les décisions de l’entreprise
Bonnes pratiques de fabrication en industrie cosmétique
et cosmétovigilance
Référentiels pour la sécurité des produits
Eco-emballages
Méthodologie pour l’évaluation des risques au travail ,
étude ergonomique et référentiels de management de la
sécurité
Contrôle des connaissances
1. Évaluation individuelle : sujet écrit de réflexion
(50%)
2. Évaluation par groupe,(50%)
Pré-diagnostic en entreprise, rapport écrit et soutenance
orale, en fin de module
Bibliographie
L'audit sécurité : 100 questions pour comprendre et agir, GAGNON Paul, Paris, AFNOR, 2005
ISO 22000 HACCP et sécurité des aliments : recommandations, outils, FAQ et retours de terrain, Blanc Didier, AFNOR,
2006
Management de la sécurité des aliments : de l'HACCP à l'ISO
22000, BOUTOU Olivier, Paris (FRA), AFNOR, 2006
Rapport Ministère Agriculture : Articulation entre réglementation, normalisation et référentiels privés dans les industries
agroalimentaires, VALCESCHINI Egizio, décembre 2005,
Eco-conception, concept, méthodes, outils, guides et perspectives, VIGNERON Jacques, PATINGRE François, Ed Economica 2001
Oser le marketing durable, SEMPELS Christophe, VANDERCAMMEN marc, Ed Pearson 2009
Le marché de la vertu : possibilité et limites de la responsabilité sociale des entreprises, VOGEL D., Ed Economica
2008.
PARCOURS MANAGEMENT DES RISQUES
OPTIONS Février
I NTERN ATIO NAL DEV EL OPM ENT STRATEGI ES
,
voir p arcours Finan ce, P. 35
Glo b al ris k
M a n a ge m e n t
Responsable : Hélène Dorche
Besoin des entreprises
Une gestion des risques cohérente est un avantage
concurrentiel auquel les actionnaires de l’entreprise sont
de plus en plus sensibles.
Le management stratégique des risques est une fonction
nécessairement transversale. Elle repose sur l’identification de l’ensemble des risques qui pourraient entraver le
développement des projets de l’entreprise et l’empêcher
d’atteindre ses objectifs, et sur leur hiérarchisation afin
de proposer des dispositifs de prévention de maîtrise des
risques pour les réduire, ou d’assurance lorsqu’ils sont
assurables.
Organisation générale
et méthodes pédagogiques
Le management des risques devient un élément de stratégie de l’entreprise. L’évaluation des risques par le chef
d’entreprise repose sur l’identification de l’ensemble des
risques (financier, juridique, marketing, sanitaire alimentaire ou environnemental…) sur leur hiérarchisation, puis
la mise en place de dispositifs de maîtrise des risques. La
préparation d’une communication d’entreprise ou de filière, réduit l’intensité des perturbations qui affecteront
l’entreprise ou la filière, lors de la survenue de crises.
Les objectifs de ce module sont pour les étudiants :
> de savoir faire l’inventaire de tous les risques possibles
spécifiques aux industries agroalimentaires
> de savoir évaluer économiquement un risque,
> de savoir faire des choix entre assumer le risque en
toute connaissance de cause et l’assurer
> de faire prendre conscience aux étudiants de l’importance de la communication au niveau national et international dans le management du risque .
Dans le passé, quelques exemples ont montré les faiblesses de certaines communications d’entreprises, ou de
filières de production, particulièrement en période de
crise : Perrier, Coca-Cola, filière avicole ...
Les interventions des professionnels, risk-manager, courtier en assurance, consultant en communication et marketing, s’appuient sur des cas concrets de l'industrie
agroalimentaire et biotech.
L’étudiant est mis en situation en entreprise, pour la réalisation de l’inventaire des risques et travaille sa réactivité
à travers une simulation de crise.
Mots clés
Risk-manager, risque marketing, assurance, communication interne, communication externe, plan média, messages, supports, relations presse
Maquette des enseignements
Les thèmes présentés dans ce module sont :
> Profil du risk-manager et panorama des risques
(témoignage d’un risk-manager)
> Evaluation des risques économiques et risques marketing
> Assurance des risques, Cartographie des risques
> Communication d’entreprise et gestion de crises, procédures de gestion de crises
> Relation avec les médias, simulation de crise
A l’issue du module, l’étudiant sera capable :
> de cartographier les risques d’une entreprise agroalimentaire,
> d’élaborer un plan de prévention de crise,
> de contrôler les relations avec la presse.
> d’analyser les contrats d’assurance, les couvertures et
leur efficacité
Contrôle des connaissances
Etude de cas en groupe pour la communication interne et
externe
Bibliographie
Premiers pas dans le management des risques, Y Metayer,
L Hirsch, AFNOR 2007
Risques et crises alimentaires, Lahellec Cécile, Lavoisier,
Tec et Doc, 2005
100 questions pour comprendre et agir : gestion des
risques, Louiso Jean-Paul, AFNOR, 2005
Entreprises et crises, J & JP Farges, RIA ed Dunod, 2004
La gestion de crise en agroalimentaire : anticipation et pilotage, Robert, Bertrand, AFNOR, 2002
Le management des risques de l’entreprise, IAI PricewaterhouseCoopers, Eyrolles, Ed Organisation, COSO II
Risques et assurances de la PME, R Mekouar, Dunod
2006
La cartographie, un outil de maîtrise des risques, AMRAE
Gérer les risques, pourquoi, comment, J Le Ray, Afnor
2006
37
PARCOURS AGROPERFORMANCE INDUSTRIELLE
Parcours
Agroperformance Industrielle
Responsable : Géraldine Giordano, Maître de conférences.
Tél : 04.99.61.27.00 - Email : [email protected]
Emplois et débouchés
Entreprises industrielles de toutes tailles, de la PME/PMI à
la multinationale, dans les secteurs des IAA, agro-industrie, parfums, cosmétiques, santé …
De façon générale, le parcours "Performance industrielle" prépare aux fonctions impliquant un lien direct
avec le système de production. La formation fournit aux
étudiants les éléments pour répondre aux attentes des
futurs employeurs souhaitant améliorer l'efficacité de
leurs processus industriels.
L'ensemble des aspects liés à la gestion des flux dans l'entreprise & entre l'entreprise et son environnement, à
l'évaluation et à la maîtrise des coûts, à l'analyse critique
du fonctionnement d'un système de production et à la
mise en place d'actions de progrès concrètes seront exposés et travaillés dans ce parcours.
A titre d'exemple, les fonctions suivantes sont directement visées, étant entendu que selon la taille de l'entreprise, son secteur d'activité, son positionnement
stratégique, son niveau de développement ou sa localisation, le diplômé pourra être amené à exercer des fonctions de responsable, adjoint au responsable, chef de
projet rattaché à une ou plusieurs directions, etc.
A cela s'ajoutent les vastes possibilités offertes par le domaine du consulting en milieu industriel.
Fonctions cibles :
> Responsable Amélioration continue
> Responsable Performance Industrielle
> Responsable de Production
> Responsable développement industriel
> Responsable Planification / Ordonnancement
> Responsable Maintenance
> Responsable Logistique
> Responsable Supply Chain
> Directeur ou adjoint au directeur d'Usine
A noter que le 'parcours' peut également être suivi par
des étudiants ne souhaitant pas travailler immédiatement
dans ce secteur, mais souhaitant préparer le déroulement
futur de leur carrière, la connaissance du milieu de la
"prod" et de ses problématiques étant indispensable à
ceux visant à terme des fonctions de direction en secteur
industriel.
Référentiel métier
Dans un contexte de forte concurrence internationale, les
entreprises industrielles doivent disposer d'outils de production performants, c'est-à-dire flexibles, capables de
38
s'adapter rapidement aux évolutions de la demande, de
tenir les délais, de garantir un haut niveau de qualité et
de produire à coût compétitif.
Le secteur de la production agroalimentaire présente en
outre des spécificités qui sont autant de contraintes devant être intégrées dans la gestion de l'outil de production : saisonnalité (et variabilité) de l'approvisionnement
en matières premières, obligation de garantir la sécurité
des aliments (règles d'hygiènes strictes), obligation de
garantir la traçabilité des produits, spécificité des exigences de l'aval (grande distribution), et enfin une variation saisonnière de la consommation pouvant être de très
forte amplitude.
Après une longue période où l'essentiel des progrès ont
été menés au niveau de la production agricole (augmentation des rendements et de la qualité des produits), ce
sont aujourd'hui les unités de production qui apparaissent au cœur d'une véritable révolution industrielle.
De nouveaux modes managériaux, initialement développés dans le secteur de l'automobile (et dérivés du Toyota
Productive System, TPS), sont aujourd'hui importés dans
le secteur agroalimentaire. Basés sur un objectif d'amélioration continue des processus de production par une
implication plus forte des personnels, ils impliquent un
renouvellement du mode de management en usine. En
parallèle, une démarche générale de mutualisation et
d'échange de l'information avec l'ensemble des entreprises partenaires au sein d'une même Supply Chain est
à l'œuvre, impliquant une évolution forte voire une suppression des frontières classiques (inter et intra entreprise).
Ces évolutions ont pour objectif l'amélioration de la performance de l'outil de production, et poussent les entreprises à rechercher des cadres aptes à intégrer l'ensemble
des contraintes pesant sur le système (qu'elles soient de
type technologique, organisationnel ou managérial) pour
garantir son bon fonctionnement quotidien et engager
(et mener à terme) en parallèle des démarches d'amélioration continue.
Objectifs généraux de la formation
Le parcours Gestion de Production s'appuie sur 4
modules de formation pendant une durée de 2 mois
1.Options janvier :
GP1.1 - Contrôle de gestion
GP1.2 - Gestion industrielle
2.Options février :
GP2.1 – Supply chain
GP2.2 – Management de la performance industrielle
PARCOURS AGROPERFORMANCE INDUSTRIELLE
Les deux premiers modules se déroulent en janvier (respectivement en début et fin de semaine) et ont pour objectif de fournir aux étudiants les 'fondamentaux'
permettant aujourd’hui de comprendre et demain de
faire fonctionner un outil de production. Ces fondamentaux concernent notamment la gestion des flux physiques
et des flux d'information au sein de l'entreprise (planification, ordonnancement, stocks) et l'analyse comptable
et de gestion qui permet d'évaluer et de répartir les coûts
de production (indicateurs, tableaux de bord).
Les deux modules qui suivent (en février) sont ensuite
consacrés aux deux tendances majeures d'évolution actuelle des systèmes de production : la recherche de la performance industrielle (par l'amélioration continue et le
management participatif) et l'intégration du système de
production au sein d'une vaste chaîne qui va du producteur agricole au consommateur : la Supply Chain.
Le parcours associe un large panel de méthodes pédagogiques : cours et conférences données par des enseignants-chercheurs, témoignages de professionnels ou de
consultants, visites d'entreprises, rédaction de rapports
et mémos, jeux pédagogiques, simulations informatiques,
mise en situation sur des lignes semi-industrielles.
Les principales missions en entreprise remplies par les étudiants du parcours 'gestion de production' au cours de
leur stage de fin d'étude concernent : gestion de production, mise en place d'indicateurs de performance et
d'actions de progrès, amélioration des rendements & réduction des pertes, supply chain, etc …
39
PARCOURS AGROPERFORMANCE INDUSTRIELLE
OPTIONS Janvier
Gestion
industrielle
Responsables : Alain Falque
- Janvier (du mercredi midi au vendredi soir ; pendant 4
semaines)
- 38 heures inscrites à l’emploi du temps + une visite
d'entreprise
- 2 crédits ECTS
Mises en pratique :
- Jeu du Kanban : 9h
(D. Travaillé, IAE)
- Simulation sur GPAO : 11h sur Prélude Production
(V. Hovelaque, Agrorennes)
- Visite d'entreprise
(MA Sobas)
Objectifs de la formation
Contrôle des connaissances
Ce module sera centré sur la gestion des flux en milieu industriel. Les différents concepts de référence seront présentés, comme les méthodes MRP ou Juste-à-Temps, en
insistant sur la diversité des solutions industrielles au regard de chaque système de production.
Le programme mettra en évidence l'interdépendance des
décisions prises à différents niveaux (depuis l'ordonnancement d'atelier à l'intégration de la gestion des flux au
sein d'un ERP), et présentera les spécificités liées à l'industrie agroalimentaire.
Aux cours magistraux dispensés en petit groupe seront
associées des "mises en pratique" sous la forme de jeux
pédagogiques et de simulations informatiques animées
par des spécialistes des domaines concernés.
En outre, une visite d'usine sera organisée, donnant lieu
à une préparation spécifique des étudiants et à la rédaction d'un mémo permettant d'évaluer leur capacité
d'analyse.
L'évaluation portera sur les mises en pratique des enseignements :
Evaluation des étudiants au cours du jeu pédagogique et
de la simulation sur GPAO,
Evaluation sur la base d'un mémo rédigé à l'issue de la visite d'entreprise.
Planning et volume horaire
Mots clés
Gestion de Production, planification, stocks, ordonnancement, Juste-à-Temps.
Contenu du module et intervenants
Acquisitions de connaissances :
- Introduction à la gestion de production & MRP : 6h
(D. Travaillé, IAE)
- Gestion des Stocks : 3h
(D. Feuillet, Univ. Avignon)
Gestion Industrielle Agroalimentaire : 3h
(V. Hovelaque, Agrorennes)
Entreprise Ressource Planning : 3h
(P. Dejean, IBM)
- Supply Chain Management: 3h
(P. Portier, EM Lyon)
40
Bibliographie
- Treillon R. & Lecomte C., Gestion industrielle des entreprises alimentaires, Tec&Doc, 1996.
- Grua H. & Segonzac JM, La production par les flux,
2ème ed., Dunod, 2003.
- Javel G., Pratique de la gestion industrielle. Organisation, méthodes et outils, Dunod, 2003.
Contrôle de gestion
Voir PARCOURS FINANCE P. 32
PARCOURS AGROPERFORMANCE INDUSTRIELLE
OPTIONS Février
Supply-chain - Achat
Voir PARCOURS FINANCE P. 27
Management de la
performance industrielle
Responsables : Maeva Subileau ,
Michel-Ange Sobas - chargé de cours, conseiller technologique
Transfert LR
Planning et volume horaire
Contenu du module et intervenants
- Février (du mercredi après midi au vendredi soir ; pendant 4 semaines)
Acquisition de connaissances
La performance industrielle et ses outils : 10h (MA Sobas,
Transfert LR)
- 38 heures inscrites à l’emploi du temps + une visite
d'entreprise, 3 crédits ECTS
Optimiser la maintenance de l'outil de production : 6h
(enseignant Lycée Duoda; S. Baelde, consultant)
Mises en pratique :
Fonctionnement d'une ligne de conditionnement : 16h
(D. Guyon, Lycée Professionnel Méditerranée)
Jeu de rôle sur le thème "Management & résistance au
changement" : 4h
(M. Sirieix)
Visite d'une entreprise
(MA Sobas)
OBJECTIFS DU MODULE
La maîtrise et l'amélioration continue du niveau de performance de l'outil de production constituent des enjeux
majeurs dans le maintien de la compétitivité de l'entreprise. Elles requièrent l'aptitude des cadres de production
à l'analyse du système, à l'intégration d'un grand nombre
de contraintes/objectifs parfois contradictoires, à la hiérarchisation des priorités et à la gestion managériale du
changement et des réticences qu'il peut susciter.
Contrôle des connaissances
L'objectif de ce module est de sensibiliser les étudiants
au concept de "performance industrielle" (et à ses spécificités dans le secteur agro-alimentaire), et à leur fournir des méthodes et outils permettant de mener des
actions concrètes, depuis le diagnostic de l'existant
jusqu'à la mise en place d'actions de progrès.
L'évaluation portera sur les mises en pratique des enseignements :
Evaluation des étudiants au cours du travail sur la ligne de
production du lycée Méditerranée,
Evaluation sur la base d'un mémo rédigé à l'issue de la visite d'entreprise.
Aux cours magistraux dispensés en petit groupe seront
associées des "mises en pratique" sous la forme d'un jeu
de rôle et d'un TP. Celui-ci sera mené sur une vraie ligne
de production industrielle, permettant aux étudiants de
découvrir par la pratique son fonctionnement, et de tenter à titre expérimental la mise en place d'actions de progrès.
En outre, une visite d'usine sera organisée, donnant lieu
à une préparation spécifique des étudiants et à la rédaction d'un mémo permettant d'évaluer leurs capacités
d'analyse.
Bibliographie
Treillon G. & Al, Performance Industrielle. Guide pratique
pour l'industrie alimentaire, Actia, 2004
Gratacap A., Médan P., Management de la Production –
concepts, méthodes, cas. Dunod, 2001
Mots clés
TPS (Toyota Productive System), Kaizen, 5S, 6 sigma,
SMED, TPM
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STAGES ET DEBOUCHÉS
EXEMPLES DE STAGES
ET MISSIONS AGRO-MANAGERS
2008
CRÉDIT AGRICOLE PACA
Étude technico-économique des grandes filières agricoles sur le territoire de la caisse régionale du Crédit Agricole Provence Côte d'Azur - Fabrice APAYA
CRÉDIT AGRICOLE SA
Analyse financière des entreprises aval de la filière vin - François CADUDAL
NESTLÉ
> Le marketing centralisé dans les multinationales - Pierre BOIN
> Comment une marque nationale peut-elle résister face aux MDD ? - Emmanuelle TISON
BASF AGRO
> Projet Pack Web (comment créer un service web pour les clients de BASF dans un contexte
de concurrence important et dans une logique agriculteur) - Raphaël GIRARDIN
> La promotion de fongicides dans le nouveau contexte agricole - Julien LEGRIX
COOPERATIVE LA SIEMBRA Évaluation du système de gestion de l'information à la coopérative canadienne La siembra
Anaïs MORIN
SOPEXA
Relancer la consommation des fruits frais : la communication collective peut-elle être efficace ?
MAÏTÉ MOSCA
TNS
L’introduction des marques nationales chez LIDL. Les transferts de volumes entre HMSM et LIDL
dans le cas des marques - Cécile PLANTEVIN
UCOAR
Contrôle de gestion - Kevin CAZET
TRANSCAPITAL
Élaboration d’une stratégie de pénétration du marché viticole dans le cadre d’une activité de
conseil en fusions acquisitions - Adrien PEDRON
HEINEKEN
Promotion et animation commerciale - Yves RISSER
VALRHONA
Etude communication - Fanny GOLFIER
CIMENTS LAFARGE
Sustainable Development Data System» Responsable métier du projet de création d'une base
des indicateurs du département DD - Sébastien GUECHOT
Comment l'association Ecopêche contribue-t-elle à défendre les intérêts de la filière pêches
et nectarines françaises de bouche? - Carine MONTEIL
Comment développer la marque collective Sud de France - Apolline GUINE
ECOPÊCHE
SEPTIMANIE EXPORT
GROUPAMA SA
ALCIMED
Évaluation et perspectives d'évolution du tableau de bord Développement Commercial
Guillaume SUC
Aide à la décision et conseil en stratégie appliqué au secteur agro-alimentaire - Paul KLEIN
2007
BASF Ecully
Analyse des cultures industrielles en France - Jérôme ALIX
ROYAL CANIN SA
Direction marketing - Réalisation d’une revue des gammes chiens Royal Canin au niveau in
ternational - Julien BERNARD-BRUNEL
CRÉDIT AGRICOLE SA
Analyse des opérateurs de la filière viticole française par bassin de production
Valentine BOILEAU
ACI
Macro chiffrage des prévisions de performance du groupe ACI - Françoise BOSSENNEC
ERNST & YOUNG
Montpellier
Philippe CRESPEL
BNP PARIBAS Nancy
Analyse du marché agricole de la région de Nancy - Fabrice DEMICHEL
UNION IN VIVO Paris
Etude de faisabilité de créaton de point de vente d’agroéquipement - Nicolas FERRAS
ISAGRI (TERRE-NET MEDIA) De la définition des besoins à la conception d’une rubrique - Marion GERAUD
Beauvais
LUISSIER BORDEAU CHESNEL Assistante chef de produit libre service - Juliette HURET
CREDIT AGRICOLE SA
Paris
Marketing de l’offre jeunes agriculteurs - Cyril JAGER
DANONE FRANCE
Mise en oeuvre d’un projet de réduction des pertes matières - Céline MARTINS
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STAGES ET DEBOUCHÉS
BNP PARIBAS
La banque peut elle encore financer l'installation d'un viticulteur en vallée du Rhône méridio
nale? - Benoît PONTENIER
EDMOND DE ROTHSCHILD Les fusions acquisitions en midcaps - Gonzague RONDOUIN
CORPORATE FINANCE
CREAX Ieper - Belgique
Systématique innovation - Kirsten Van de Sompel
DANONE RESEARCH
Palaiseau
Conduite du changement suite à l’implantation d’un progiciel de gestion intégré en R&D
agro-industrielle - Brice VERT
2006
CRÉDIT AGRICOLE Lunel
Montage de dossiers de demande de crédit, et comment gagner des parts de marchés
sur le secteur des professionnels - Thomas Boutin
NATEXIS BANQUE POPULAIRE
Etude de marché cacao/chocolat - Thoraya El Ouaer
CRÉDIT AGRICOLE
Charente-Périgord
CRÉDIT AGRICOLE
Sud Méditerrané
Organisation et financement des structures d'exploitation de Cognac - Philippe Lagarde
CHR. HANSEN
Le marché mondial des colorants alimentaires naturels - Michaël Miege
Etude de marché portant sur " Grand St Charles et le positionnement le meilleur pour
le Crédit Agricole sur ce marché - Anne Lataste
RABOBANK INTERNATIONAL
Etude des différences entre les stratégies de financement descoopératives et des
entreprises agro-alimentaires en France - Fadi Moubarak
TNS WORLD PANEL
Mise en place de normes et d'analyses spécifiques liées à une nouvelle étude marketing
Claire Piat
TNSWorld Panel
Etude prix textile et PGC - Séréna Saint-Cerin
CRÉDIT AGRICOLE
Nord Midi Pyrénées
Création d'un référentiel technico-économique des productions agricoles de Nord Midi Pyrénées
Sébastien Vixege
2005
COMODOC
Mise en place d'un indicateur de rentabilité pour établir une prime au mérite - M-A Bouley
(groupe Jeanjean)
SOREMARTEC
La marque Kinder, opportunités et risques du rayon frais - Agnès Gauliard
(groupe Ferrero)
BANQUE POPULAIRE TOULOUSE Création et mise en place d'une offre CUMA - Emilie Jacq
CIRAD
Caractérisation et modélisation du fonctionnement des exploitations agricoles dans le pié
mont amazonien (Valle deQuijos) des pays andins: analyse comparative de la situation au
Pérou (Alto Huallaga) et en Equateur. Bruno Jacquet
SECODIP - TNS
Analyse de Panels Consommateur - Nathanaelle Laye
BAYWA AG MÜNCHEN
Développement d'une stratégie pour l'entrée dans le marché de l'’orge nord-américaine pour
la division de distribution de semences - Matthias Reeb
CREDIT AGRICOLE
Etude du marché de l'agriculture sur la Région Orléans - Anne-Charlotte Reix
CHAMPION
Analyse des performances et définition des stratégies de l’enseigne 2006 - Arnaud Revol
BLEDINA
Juniorisation des aliments infantiles chez Blédina - Claire Rohrig
CHR. HANSEN
Etudes du marché des arômes et colorants naturels pour le secteur du bakery dans l'Europe
du Sud - Jozefine Vandermeerschen
COMODOC
(groupe Jeanjean)
SOREMARTEC
(groupe Ferrero)
Mise en place d'un indicateur de rentabilité pour établir une prime au mérite - M-A Bouley
La marque Kinder, opportunités et risques du rayon frais - Agnès Gauliard
BANQUE POPULAIRE TOULOUSE Création et mise en place d'une offre CUMA - Emilie Jacq
CIRAD
Caractérisation et modélisation du fonctionnement des exploitations agricoles dans le pié
mont amazonien (Valle deQuijos) des pays andins: analyse comparative de la situation au
Pérou (Alto Huallaga) et en Equateur. Bruno Jacquet
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STAGES ET DEBOUCHÉS
SECODIP - TNS
Analyse de Panels Consommateur - Nathanaelle Laye
BAYWA AG MÜNCHEN
Développement d'une stratégie pour l'entrée dans le marché de l'’orge nord-américaine pour
la division de distribution de semences - Matthias Reeb
Etude du marché de l'agriculture sur la Région Orléans - Anne-Charlotte Reix
CREDIT AGRICOLE
Centre Loire
CHAMPION
Analyse des performances et définition des stratégies de l’enseigne 2006 - Arnaud Revol
BLEDINA
Juniorisation des aliments infantiles chez Blédina - Claire Rohrig
CHR. HANSEN
Etudes du marché des arômes et colorants naturels pour le secteur du bakery dans l'Europe
du Sud - Jozefine Vandermeersche
CREDIT AGRICOLE LOIRE
Mise en place de la cotation entreprises sur les entreprises agricoles - Elisa Achard
Formation au métier conseiller agricoleGestion information - Aurélie Buhneman
QUEST INTERNATIONAL CHINE
Etude de marché de la bière en Chine - Marine Boussac
CHR. HANSEN SA
Etudes de marché : Les produits œnologiques pour le vin en Europe du Sud - Alexandre Chevin
XEROX
Benchmarking financier des distributeurs européens de XEROX - Pieter de Rubbel
CRÉDIT AGRICOLE SA
Redéfinition de la rubrique " Banque/assurance " de Pleinchamp.com- Etude conceptuelle,
technique et organisationnelle - Marianne Emeric
EYGUEBELLE SA
Organisation de l'entreprise et système d'information - Philippe Froment
CRÉDIT AGRICOLE SA
Mise en place d'un service Internet payant destiné aux producteurs de vins - Fabrice Gaujour
MASTERFOODS STEINBOURG
Quel avenir pour les pots Masterfoods sur le marché français ?
Analyse et recommandations stratégiques - Alexandra Kouch
IDDRI
Analyse du conflit commercial du coton et de ses implications pour l'IDDRI (institut du déve
loppement et des relations durables) - Laetitia Lambert
BNP PARIBAS
Analyse de cas : La reprise de crédits CT dans le cadre d'une entrée en relation - Guillaume Mary
ARGOAT LE HIR
Etudes HACCP. Formation à l'hygiène du personnel - Mélanie Matrat
TRIBO TECHNOLOGIES
Création d'une entreprise de distribution de produits destinés à une production agricole res
pectueuse de l'environnement. François -Xavier Maxant
LINDT & SPRUNGLI
Mise en place au sein du service Achats d'une plateforme de collaboration avec les fournis
seurs d'emballages - Audrey Pucheu
IPELIUM
Conception et lancement de services managés de sécurité informatique - Bart Rabaut
BANQUE POPULAIRE DU MIDI
Amélioration du développement pour le marché de l'Agriculture - Thomas Roussel
BRM
Diagnostic stratégique de la filière pomme du BRM - Maolidy Soudjay
ROYAL-CANIN
La théâtralisation du petfood - Johanne Smith
DOWAGROSCIENCES
Participer à la mise en oeuvre d'une procédure qualité au sein du service client afin d'obtenir
la certification CLASS A américaine (équivalent à ISO 9002) - Marguerite Yazbeck
CREDIT AGRICOLE LOIRE
Mise en place de la cotation entreprises sur les entreprises agricoles - Elisa Achard
CREDIT AGRICOLE LOIRE
Formation au métier conseiller agricoleGestion information - Aurélie Buhneman
QUEST INTERNATIONAL CHINE
Etude de marché de la bière en Chine - Marine Boussac
CHR. HANSEN SA
Etudes de marché : Les produits œnologiques pour le vin en Europe du Sud - Alexandre Chevin
XEROX
Benchmarking financier des distributeurs européens de XEROX - Pieter de Rubbel
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STAGES ET DEBOUCHÉS
Débouchés spécialisation Agro-Managers et
Mastère MAEVA par branche industrielle
AGROALIMENTAIRE
VIANDES
POISSONS
PREPARATIONS
ULTRA FRAIS
Danone
Elle et Vire
Entremont
Socopa
Charal
Doux
Smithfield
Midi Steak
Coperle
(abattoirs)
Spanghero
Riviere
Aoste
Royal Canin
BOISSONS
VINS ET
ALCOOLS
CEREALES
MOULINS
PATISSERIES
PATES
FRUITS ET
LEGUMES
CONSERVES
Pomona
Creno
Dole
Bongrain
Moulins Duenard
Gds Moulins de
Paris
Panzani
Bunge
Cadbury
schweppes
Coca Cola
Pepsi Cola
LVMH
Pernod Ricard
Castel
PLATS CUISINES
SURGELES
William Saurin
Martinet
Blédina
Crudettes
Thiriet
Daregal
Spanghero
Toupargel
DIVERS
CAFE
CHOCOLAT
Nestlé
Mars
Kraft
Unilever
Sara Lee
Valrhona
Groupe Cémoi
AGROINDUSTRIE ET AGROFOURNITURES
ADDITIFS ET ARÔMES
Danone Vitapole
CHR Hansen
Aromex
Givaudan
Naturex
Ducros
Mane
MATÉRIEL ET OUTILLAGE
CONDITIONNEMENT
Saint Gobain
BSN
Glasspack
Pechiney
Alcan
Smurfit Socar
Vaslin Bucher
Westfalia
Zalkin
PHYTOS ET INTRANTS
Aventis
Bayer Cropscience
Syngenta
Rhodia organique
Monsanto
Sanofi
Pioneer
RESTAURATION COLLECTIVE
Sodexho
Sogeres
Avenance
Brake France
`BIO’
BIOTECHNOLOGIES
Genset
Biogen
Aquamer
Phylogène
BIOPHARMACIE
COSMETOLOGIE
Servier
Fabre
Ecolab
Bristol-Myers Squibb
L’Oréal
Stepan
Sephora
Christian Dior
BIOÉNERGIES
Elf
Total
EDF
GDF
SERVICES
BANQUES ET
ASSURANCES
Crédit Agricole
Rabobank
BNP Paribas
Bioam
Médéric
Groupama
AXA ...
CONSEIL ET AUDIT
Ernst & Young
Booz Allen
KPMG
Alcimed
Altran
COMMUNICATION
Wellcom
Alizé productions
Cobranding
ETUDES
IRI
AC Nielsen
Sofres
Altran
DISTRIBUTION
Carrefour/Champion
Leclerc/Hyper U
MIN (St Charles)
INSTITUTIONS
AGRICULTURE
Chambres d’agriculture
DRAF/DDA
Conseils régionaux et
généraux
SYNDICAL
Comités interprofessionnels
Syndicats AOC
R&D
Agropolis
Pôle Q@li-Med
LR Transferts
DIVERS
Cap Alpha et Cap Omega
General Electric
Daher International
45
Montpellier SupAgro
Centre international d’études supérieures en sciences agronomiques
2, place Pierre Viala F-34060 Montpellier CEDEX 1
Crédits photographiques : © Phototheque INRA © JL Porreye, Montpellier SupAgro © Etudiants 07-08 © G.Blondin
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