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Niveau : BTS 2 GB Année scolaire 2009-2010
Module : économie générale Durée : 2heures
Nombre de pages : 3 Pages Prof : Mr EL ALAOUI
Contrôle n°2 du 1er semestre
NB : L’usage de la calculatrice (non programmable) est permis
L’échange de calculatrice n’est en aucun cas admis
Tous les calculs doivent être justifiés
1point est soustrait pour toute copie mal présentée
Document -I-
Réunion du conseil de Bank al-Maghrib
Questions : (3pts)
1/ Pourquoi il a été décidé de réduire le taux de la RMO ? (0,5 pt)
2/ Cette technique est-elle directe ou indirecte, et est-elle compatible avec le libéralisme prôné par le Maroc ? (1 pt)
3/ Dégager du texte en les expliquant les techniques utilisées par BAM en matière de politique monétaire autres que la
RMO (1,5 pt)
Document –II-
Au-delà des idéologies et à côté des pratiques et du vocabulaire de la planification qui restent propres
à chacun des grands pays occidentaux, une convergence certaine se dessine dans l'attitude des pouvoirs publics
face à l'avenir : les états, comme les régions et les entreprises, se doivent de s'interroger sur leurs marges
d'action, faire un diagnostic et des choix, se concerter, puis déterminer les moyens à mettre en œuvre pour
atteindre leurs objectifs. Et dans un univers de plus en plus aléatoire, pour s'adapter à des contextes variables, la
planification ne doit pas être trop chiffrée : elle porte de plus en plus sur des actions. Le terme de planification
sera donc utilisé dans une acception très large, celle d'un comportement volontariste devant l'avenir, prenant la
forme de choix à moyen terme, qui ne sont pas nécessairement quantifiés mais qui sont généralement éclairés
par des projections chiffrées.
« Pourquoi planifier »
Les cahiers français, N° 242, jui – sept, 1989.
Questions : (3pts)
1- Expliquer les termes soulignés ; (1pt)
2- En quoi la planification est-elle une façon différente pour l’Etat de considérer l’avenir ? (1pt)
3- A quels obstacles la planification peut-elle se heurter du fait de son rôle à moyen et long terme ? (1pt)
Le Conseil a décidé de maintenir le taux directeur à 3,25%. Par ailleurs, compte tenu de l’évolution récente du
marché monétaire, marqué, depuis février dernier, par le passage d’une situation de surliquidité et d’opérations
de reprises par Bank Al-Maghrib à un niveau de plus en plus élevé d’injections de monnaie banque centrale, le
Conseil a également décidé de ramener, à compter du 1er janvier 2008, le taux de la réserve obligatoire de
16,5 % à 15 %.
Source : Rabat, le 25 décembre 2007