L`Algérie et le Processus des Changements Climatiques par M

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République Algérienne Démocratique et Populaire
Ministère de l’Aménagement du Territoire, de l’Environnement et du Tourisme
L’Algérie
et le Processus des Changements Climatiques
Dialogue Interministériel sur les Changements
Climatiques
Plan d’Action de Bali
(1/CP.13)
Alger, 19-20 mars 2009
Par M. Djemouaï Kamel
Algeria UNFCCC NFP
L’Algérie est partie à la CCNUCC par décret présidentiel 93-99 du 10 Avril 1993
portant ratification de la Convention Cadre des Nations Unies sur les
Changements Climatiques.
L’Algérie est partie au Protocole de Kyoto le 17 mai 2005 :
•
•
Décret présidentiel n°04-144 du 28 avril 2004 portant ratification du
Protocole de Kyoto à la convention cadre des nations unies sur les
changements climatiques, fait à Kyoto le 11 décembre 1997.
Instruments de ratification déposés le 16 Février 2005
L’Algérie a pris part à 13ème Conférence des Parties sur les Changements
Climatiques et à participé à l’Adoption du Plan d’Action de Bali (Décision
1/CP.13) adoptée à Bali le 15 décembre 2007
Activités de l’Algérie / CCNUCC
Communications Nationales
Communication Nationale Initiale & 1er Inventaire de GES (A.R. 1994)
déposée au secrétariat de l’UNFCCC en Avril 2001 et
présentée, en side-event, à Marrakech (Maroc) en Décembre 2001, lors
de la 7ème Conférence des Parties
Seconde Communication Nationale
& 2ème Inventaire National de Gaz à Effet de Serre (A.R. 2000)
Présentation prévue à la COP15 (Décembre 2009 à Copenhague)
Information et de Communication continuelle
(Ateliers, Séminaires, Presse, Médias, ….)
Création de l’Agence Nationale sur les Changements Climatiques
Décret exécutif n° 05-375 du 26 septembre 2005
Activités de l’Algérie / Protocole de Kyoto
Autorité Nationale Désignée - MDP
Arrêté Interministériel du 2 février 2006, relatif à l’autorité nationale désignée (AND)
dans le cadre des mécanismes de développement propre – MDP du Protocole de
Kyoto (JO n° 12 – 2006)
LES ÉMISSIONS SECTORIELLES DE GAZ
A EFFET DE SERRE EN ALGERIE (1994 CNI)2
1000 TE-CO
Pourcentage
Énergie
Procédés indust.
Agriculture
Sols/Forêts
Déchets
Totaux
70 165,71
4 735,64
12 038,34
13 039,56
4 815,11
104 794,36
66,96
4,52
11,49
12,44
4,59
100,00
Energie
67%
Procédés
industriels
5%
Déchets
5%
Sols/Forêts
12%
Agriculture
11%
Place et rôle de l’Algérie dans le processus des
négociations :
- Participe pleinement aux négociations (très active)
- Membre du Groupe d’Experts sur le Transfert de
Technologie (2006)
- Membre du Conseil Exécutif du MDP (2007 à ce jour)
- Préside le Groupe Afrique des Changements
Climatiques pour les années 2008-2009
- Participe à la coordination de sujets de négociations au
titre du Groupe Africain et du G77+Chine
- Participe à la Co-Présidence de Groupes de Contacts /
Consultations Informelles (Spill Over Effect,
2.3 et
3.14
–
mesures
de
ripostes,
diversification
économique,…)
Décision 1/CP.13
Plan d’Action de Bali
Paragraphe 1 b (ii)
Des mesures d’atténuation appropriées au niveau national de la part des pays
en développement parties dans le cadre d’un développement durable, soutenues
et rendues possibles par des technologies, des moyens de financement et un
renforcement des capacités, d’une façon mesurable, notifiable et vérifiable;
(SEUL ELEMENT NOUVEAU / CCNUCC et PK)
Eléments à garder en mémoire lors des négociations du nouvel accord climatique mondial
• n’
n’ayant aucune responsabilité historique dans le réchauffement climatique (Pays non
Annexe I de la Convention).
• Producteur de Pétrole (principale source de revenus – 97 % environs). Très forte vulnérabilité
économique.
économique.
• Très fortes vulnérabilité naturelle (aridité, désertification, fragilité des ressources naturelles,
raréfaction des ressources hydriques, dégradation du couvert végétal, l’é
rosion côtière…
l’érosion
côtière…)
•Participation active et efficiente au Processus des Négociations du Nouvel Accord
Climatique Mondial (COP 15 – décembre 2009).
• Tout effort national d’
d’atténuation ne doit pas être économiquement contraignant (secteurs),
ni menaçant notre droit au développement.
• Ce sont les soutiens et apports technologiques et financiers nouveaux,
nouveaux, qui doivent être
mesurables, notifiables et vérifiables.
MERCI POUR VOTRE ATTENTION
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