Ce travail n’aurait pas eu une raison d’être si mon directeur de recherche, le
Professeur R. Kahlouche, ne m’avait accordée sa confiance. Qu’il soit grandement
remercié pour avoir tout simplement accepté d’être le guide et premier juge de ce
travail et pour m’avoir éclairée par son savoir.
Ce travail n’aurait pu aboutir non plus sans les précieuses aides et orientations
de diverses personnes chercheurs du domaine berbère ou amies qui n’ont jamais été
avares de conseils et de présences à chacune de mes sollicitations. Que M. Kamal Naït
Zerrad, M. Abdellah Bounfour, Mme Ouaksel Ouzna, Mme Abdennabi Houria, Mme
Dehmani Samia et M. Saïd Chemakh soient particulièrement remerciés pour m’avoir
permis de mieux bénéficier de mon stage de formation à l’INALCO - Paris.
Mes vifs remerciements vont aussi à :
M. Mortéza Mahmoudian qui m’a donnée mes premières notions de recherche
en sémantique et dont les orientations et conseils ont été aussi grands que profitables.
M. Lhadjmouhand Amar Akli, dit Mamar, qui, pour aider à la promotion de sa
culture et de sa langue berbère, m’a offert des ouvrages utiles à ce travail.
Mes informateurs qui ont accepté que je les enregistre en les avertissant ou à
leur insu et qui ont permis que j’investisse leur quotidien pour en faire mon support
d’étude.
Tous ceux, très nombreux pour les nommer tous, qui, par leur apport, même
petit, ont apporté un plus à ce travail.
Et à tous ceux qui prétendent que les études berbères ne mènent à rien, car c’est
ceux-là même qui nous poussent à aller de l’avant et à tirer le meilleur de nous-mêmes.
Comme le dit un proverbe chinois « J’ai été furieux de n’avoir pas de souliers, alors
j’ai rencontré un homme qui n’avait pas de pieds, et je me suis trouvé content de mon
sort. »