Nicholas Angelich / Edgar Moreau

REPRÉSENTATION MUSIQUE CLASSIQUE
Nicholas Angelich / Edgar Moreau
Brahms / Schumann / Chostakovitch / Beethoven
Presentation
L’un au piano, l’autre au violoncelle, jouant avec les styles et les époques, les deux solistes de
réputation internationale, Nicholas Angelich et Edgar Moreau traversent deux siècles d’histoire de la
musique.
Américain de naissance, mais Français d’adoption, le pianiste Nicholas Angelich a été récompensé en 2013
par une Victoire de la musique classique dans la catégorie « Soliste instrumental ». Grand interprète du
répertoire classique et romantique, notamment celui de Brahms à qui il a consacré une large part de sa
discographie, Nicholas Angelich est sollicité dans le monde entier pour la ferveur remarquable de son jeu.
Surnommé le petit prince du violoncelle, à seulement vingt ans, Edgar Moreau est l’un des plus talentueux
archets de la jeune génération. Virtuose admirable et poète des sons, le jeune musicien exerce son art sur un
violoncelle de 1711. Lui aussi lauréat 2013 des Victoires de la musique classique, dans la catégorie «
Révélation », le jeune prodige Edgar Moreau a obtenu en février 2015, cette fois, le prix du « Soliste
instrumental ».
À l’unisson sur la Sonate n° 2, le duo complice sublime la poésie de Brahms, qui compose cette pièce à l’été
1886, près du Lac de Thun, en Suisse. Les motifs mélodiques variés abondent, s’entremêlent et font place au
rêve et au merveilleux. Même esprit dans les Variations chez Beethoven. Lorsque le compositeur allemand
arrive à Vienne en 1792, La Flûte enchantée de Mozart, créée un an auparavant, est encore à l’affiche. Deux
ans plus tard, il compose ses Variations, sur le fameux air de Papageno. Sonorités amples et profondes chez
Schumann, lyrisme et virtuosité endiablée dans l’allegro final chez Chostakovitch, compléteront le programme
de ce récital unique.
Edgar Moreau, ce jeune mousquetaire de l’archet captive tous ses publics. LE
FIGARO
Distribution/Production
Piano Nicholas Angelich Violoncelle Edgar Moreau
28 FÉV.
17:00 - 18:30
Théâtre de Cornouaille
BILLET
 1h30

Cantates de Noël
Jean-Sébastien Bach / Le
Banquet céleste / Damien
Guillon
Les Harpies
Bach / Biber / Manuscrit
de Susanne Van Soldt
Freddy Eichelberger /
Odile Edouard / Mickaël
Cozien
Les Voyages du jeune
Bach
Bach / Reincken /
Buxtehude
Bertrand Cuiller / Pierre
Gallon
Petite messe solennelle
Gioachino Rossini /
Accentus / Christophe
Grapperon
Quatuor Hermès
Haydn / Mozart /
Beethoven
VOIR AUSSI
- - - -
PROGRAMME
Johannes Brahms (1833-1897)
Sonate n°2
Robert Schumann (1810-1856)
Cinq pièces dans le ton populaire
Dmitri Chostakovitch (1906-1975)
Sonate
Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Variations sur un thème de La Flûte enchantée
Presse
Son nom était sur toutes les lèvres dans le milieu musical avant sa révélation au grand public, le 25 février,
lors des Victoires de la Musique classique : à 19 ans, le violoncelliste Edgar Moreau s'est imposé comme l'un
des meilleurs espoirs français de cet instrument. Ce talent exceptionnel réunit fougue, jeunesse, puissance et
grâce.
LE MONDE
Soliste aux multiples récompenses, Edgar Moreau est déjà considéré comme l'un des plus grands
violoncellistes de notre temps. Il se donne en concert aux côtés de l'Orchestre national de France. A 20 ans,
son premier disque, Play, paraît chez Erato. Sa grâce, son phrasé ample, sa sonorité chaude et sa gestuelle si
sûre font déjà de cet élève de Philippe Muller, l'un des grands violoncellistes de notre temps.
TÉLÉRAMA
De profil, le pianiste semble calme, ne bouge quasi pas la tête ni le buste, mais les doigts déclenchent des
vertiges. Nicholas Angelich est capable de convoquer le tréfonds des basses, tandis que sa main droite orne
d’un doigt primesautier une mélodie prise en flagrant délit d’humour. Capable de déchaîner en deux notes la
puissance tellurique des éléments. Mais ce géant démoniaque est tout aussi capable de nimber son clavier
d’une confondante douceur d’enfant. Dans le mouvement lent, les mains lancent le son, le rattrapent ; laissent
le vent passer entre les touches. Il y a aussi cette façon d’être incisif dans la lenteur qui est une gageure
absolue. Angelich charge la jeunesse beethovénienne d’un futur violemment pressenti que le grand Ludwig
van n’a pas encore porté au monde.
LE MONDE
Edgar Moreau, ce jeune mousquetaire de l’archet captive tous ses publics.
LE FIGARO