Remerciements
L’immensité du laboratoire. Le bureau au frisbee. La
fièvre de l’amplification. Auditions et lassitudes. Ré-
sultat, appaisement. Rencontres à Paris. Écriture.
Hexapodes.
Et c’est ainsi que s’achèvent quatre mois de stage. Ces remerciements sont la touche finale, l’épilogue
d’une période riche en émotions et en rencontres. Il va être difficile d’être exhaustif, et je prie ceux que
je vais sans doute oublier de ne pas en être vexé.
La visite à Paris fut captivante et enrichissante, et cela grâce aux expérimentateurs qui ont eu
la patience de nous recevoir. Les quelques jours que nous avons passés en P13 étaient un véritable
régal, même si parfois en quatre dimensions. Je tiens à remercier Gwendal Fève pour son accueil
chaleureux, ainsi qu’Arthur Marguerite, Bernard Plaçais et Jean-Marc Berroir pour les bons moments
que nous avons passé. Notre visite chez Benjamin Huard fut également très plaisante, et je l’en remercie,
ainsi que Landry Bretheau, Philippe Campagne, Pierre Six, François Mallet et Pierre Rouchon, avec
qui les discussions ont été très intéressantes. Un grand merci à Jean-Michel Raimond, qui a pris le
temps de nous faire une visite impressionnante du Collège de France et de nous écouter parler de
thermodynamique.
Merci, enfin, à Clément. Il a eu l’extrême patience, l’extrême gentillesse de me supporter pendant
une semaine entière, ainsi que de m’héberger durant quelques jours que j’ai rendu épuisants.
J’ai également passé un certain temps au laboratoire de l’ENS Lyon, toujours bien accueilli. Je
remercie ceux qui ont été obligé d’entendre mes idées folles, à propos d’aménagement de bureau,
de robot hexapodes ou quoi que ce soit d’autre : Patrick Oswald, Antoine Naert, Caroline Crauste,
Marius Tanase et sans doute d’autres que j’oublie. Merci à Sylvain Joubaud, Arnaud le Diffon et
Michel Fruchart qui m’ont fait répéter l’audition pour l’école doctorale, et qui relèvent sans doute
de la première catégorie également. Merci aussi à Étienne et Irénée, avec qui cela a été un plaisir de
travailler. Je souhaite remercier Maxime Clusel, qui a rendu le travail agréable par ses encouragements.
Il me faut remercier Alexandre, avec qui nous avons partagé lassitudes, inquiétudes et bonheurs,
ainsi que quelques parties de babyfoot. Il fait aussi partie des gens les plus méritants pour écouter —
et parfois exalter — mes délires créatifs, et ce fut un grand plaisir de les partager avec lui.
Évidemment, je ne peux parler du laboratoire de l’ENS Lyon sans citer Pascal Degiovanni, qui va
devoir me subir encore pendant trois longues années. Tout comme l’an dernier, je vous recommande sa
cuisine. Les discussions y sont parfois folkloriques, mais toujours intéressantes. Je le remercie également
pour son implication, parfois à distance, dans le travail qui est présenté dans ce rapport.
Nous voilà de retour à Grenoble. Je remercie l’institut Néel pour son hospitalité. Merci à Sven,
avec qui j’ai partagé le bureau, et à qui j’ai pu montrer ma nullité à lancer ou rattraper un frisbee.
J’ai passé de très bons moments avec les optomécaniciens et je remercie Benjamin et Laure, pour les
longues discussions lors de pauses café prolongées, ainsi que Clément avec qui j’ai pu partager mes
doutes.
Je veux également dire merci aux membres de l’équipe NANO, et tout particulièrement à Gaston
et à Cyril. Ils ont su m’aiguiller dans le laboratoire, et répondre à mes questions parfois très bêtes. De
même, travailler avec Giovanni a été aussi une expérience très enrichissante.
Enfin, je dois mentionner Alexia Auffèves. Travailler sous sa direction a été une expérience très
enrichissante, et je la remercie d’avoir écouté mes élucubrations quasi-hystériques sur les amplificateurs
et autres choses moins sérieuses. C’est aussi une personne de bon conseil si vous avez besoin d’un
restaurant.
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