Littérature comparée – Modèles culturels européens

Littérature comparée Modèles culturels européens
Le XVIIIe, siècle des Lumières, l’homme peut parvenir à des connaissances. Il faut surmonter la
tutelle de l’Eglise. On ne se laisse plus dicter par l’Eglise. Les Lumières vont mettre au centre le
sensualisme et l’expérience. Ce sont les clefs de la connaissance, sur lesquelles on ne doute pas que
l’homme peut accéder. Cette situation dure jusque dans les années 70.
En effet, à a fin du XVIII, on a la révolution française, contribue à un changement des mentalités.
Ce changement se signale par la volonté de singulariser les êtres et de ne plus insister sur l’individu.
En promouvant l’homme, on va aussi donner une place à ce qui avait disparu : la sensibilité, les
sentiments et la nature. C’est pour cela que va apparaitre un genre qui existait déjà : le roman
épistolaire.
Richardson est le premier à considérer que le récit d’une servante peut être intéressante (Pamela ou
la vertu récompensée). Querelle littéraire entre les pamélistes et les anti-pamélistes. Les anti-
pamélistes ont écrit des parodies, révélant d’après eux les vraies intentions de Pamela.
Fin du XVIII, La nouvelle Héloïse de Rousseau. Ce sentimentalisme s’oppose aux Lumières, mais
aussi prolongement logique, pour montrer que l’homme est un être rationnel. Mais ça ne suffit plus,
on veut lui donner de la profondeur, en le faisant un être d’émotions.
La révolution est aussi contre les sociétés qui ne laissent pas les individus s’épanouir. Le roman
gothique est surtout représenté en Angleterre par Ann Radcliffe, qui contre le rationalisme des
Lumière, va promouvoir le surnaturel, grande importance dans le macabre, dans le passé, avec des
personnages types, des démons, des vampires, dans des lieux comme des vieux châteaux.
Texte de Jane Austen, Northanger Abbey (1803) : auteur anglaise qui a une œuvre très
humoristique, œuvre dirigée contre la société anglaise et contre la littérature sentimentale. Elle
déconstruit les modèles littéraires pour montrer leur stupidité. Parodie du roman gothique, en
présentant un personnage qui a lu trop de romans gothiques, et qui a l’impression que toute sa vie
est un roman gothique. Catherine veut faire sa nuit une nuit de folie. Effet de déception qui crée la
parodie. Suspense avec la longueur des phrases et de l’action. Développement en décalage avec
l’action. Tout est marqué par la négativité. Il ne se passe rien. Mais Catherine va se débrouiller pour
qu’il se passe quelque chose. Effet comique du texte : tout va aller à l’envers.
Pas la moindre raison à être courageuse ici. Décalage entre le personnage qui est conquis par
l’angoisse, et le fait que cette angoisse n’a aucune raison d’être. Les termes d’espoir et de curiosité
n’ont rien à faire dans ce contexte. Catherine va créer les conditions pour être une héroïne.
Inversion des attentes, on s’attend à une chose mais de façon détournée. Faux suspense qui est
annoncé, et complètement détruit. Effet de la parodie. Tout l’extrait est marqué par l’absence
d’action, c’est pour cela que tous les termes utilisés sont négatifs.
Le roman gothique est parsemé de topoï, que Catherine va explorer les uns après les autres. Elle
recourt au double fond topique. Effet d’inversion comique, car tout ce qu’elle pense qui n’arrivera
pas, arrive. Catherine est à contre temps. L’aventure commence à se créer. Comme ses attentes ne
vont pas être remplies comme elle l’attendait, elle va vraiment être inquiète. Elle va devenir ce
qu’elle voulait être, d’une manière détournée.
L’auteur fait semblant à un certain moment de se mettre dans la peau du personnage. « On »,
pronom mystérieux, mystère qui n’existe pas.
Idée religieuse avec la « crainte respectueuse ».
Bougie, objet anodin. Catherine n’a pas de contrôle sur la situation. Effet d’ironie, avec un
« hélas ». Catherine est devenue malgré elle une héroïne de roman gothique, devient réellement
angoissée.
Le romantisme
Lamartine, Musset, Victor Hugo, Chateaubriand, Goethe…
Extrême fin du XVIIIe, début XIXe. Exaltation des sentiments qui se manifeste par le centrisme de
l’individu.
L’homme va avoir la place de Dieu. « Déclaration des droits de l’homme ». Emergence d’une
conscience individuelle qui va avoir le droit de s’exprimer. De cette voix donnée à l’individu, va
naitre le romantisme. L’unité du romantisme, c’est que l’homme est au centre, en communion avec
la nature, et cet homme et cette nature vont s’exprimer par l’art.
Romantisme, césure essentielle de comment on fait la littérature. On a le droit de créer parce qu’on
a déjà pratiqué la forme qu’on va créer. On écrit selon des modèles. Au XIXe, c’est l’imagination
qui nait. Plus de modèles ou d’héritage. L’auteur a son génie.
Caractère hybride du romantisme. Plus de hiérarchie des genres. Abolition de la hiérarchie,
mélange. Drame romantique, forme théâtrale du romantisme. Alliage entre grotesque et sublime.
« Hernani », « Ruy Blas » de Victor Hugo, « Lorenzaccio » de Musset.
Le romantisme, c’est le « je » lyrique. Le poète parle que de lui et se plaint. Mais il est important de
voir que le « je » romantique n’est pas vu que individuellement, il a pour ambition de représenter
l’humanité entière. On passe de l’individuel à l’universel. Le poète romantique est comme un point
d’aboutissement parfait, à même de représenter l’humanité entière. Le poète romantique est choisi,
pour pouvoir se faire le porte-parole de l’humanité. Il est vu comme un prophète, qui parle à la
place de Dieu. Dieu n’est plus au centre de la réflexion littéraire. Le poète va parler à la place des
autres hommes.
L’idée du romantisme, c’est de se fonder sur la sensibilité, qui est le point d’accès à la
connaissance, parce que comme au XVIIIe, au XIXe, la connaissance passe par la façon dont le
poète va réussir à dire son expérience.
On invente à partir du XIXe.
Le poète donne son unité au monde, avec tout un ensemble de duos que le poète unifie.
Antagonismes. Synthèse des contraires, pour connaitre le monde. Le problème, l’objectif c’est de
connaitre le monde, de savoir parler du monde, mais on se rend compte très vite qu’on ne peut pas y
parvenir. Cela va donner lieu au Mal du siècle. Il nait de la prise de conscience qu’on ne peut pas
parvenir à la vérité, malaise de l’homme devant cette incapacité. Le romantisme est tiraillé par le
fait d’aboutir à une connaissance parfaite.
Dans les échappatoires à ce malaise, il y a d’abord l’onirisme, monde du rêve. L’idée du
romantisme, c’est que le héros veut être exceptionnel. Ses passions vont le mener au suicide. Il va
être une de ces solutions trouvées au malaise. Il y a aussi cette communion avec la nature, reflet de
ce que pense le héros romantique. Ce qu’on appelle le paysage-état d’âme.
Les châtiments, Hugo, dirigé contre Napoléon III. La politique a une place essentielle.
L’esthétique romantique : jusqu’au XIXe, la littérature est régie par la régulation permanente, elle
est asservie par des règles. On veut abolir toute idée de règles et de hiérarchie. L’esthétique va être
de l’hybride, du mélange, comme le grotesque et le sublime.
Le style romantique : pas d’art politique. Tous les grands courants littéraires ont toujours un
manifeste, qui va dire comment doit s’écrire tel ou tel genre littéraire. Mais pas dans le romantisme,
parce que l’idée de liberté domine.
Assouplissement du vers. Naissance de l’enjambement.
Une forme privilégiée du roman : roman de formation, d’apprentissage, d’initiation, d’éducation.
On a un personnage placé au centre, et dont on va voir la formation au monde.
Texte de Musset, La Confession d’un enfant du siècle (1836) : romantique à deux points de vue : il
retrace les origines en remontant à Goethe et Byron et en même temps il donne une description de
ce qu’est le romantisme. Texte emphatique. L’européanisme domine le texte. Aspiration à
l’universalisme. Obsession d’idée de figure : un homme reflétant l’humanité. Byron et Goethe sont
les chefs de file du romantisme, mis en parallèle avec Napoléon.
Idée que le poète romantique est lieu d’une synthèse. Goethe et Byron rassemblent ce qui est épare
dans l’univers. Image topique du poète. Goethe est le père d’une nouvelle forme d’écriture, avec le
champ lexical de la paternité. Byron, poète anglais, qui a été l’un des hommes politiques qui s’est
battu pour l’indépendance de la Grèce. Mentalité du héros romantique, Manfred tuant sa bien-aimée
et se suicide. C’est aussi le héros qui subit. Faust, héros de Goethe, qui a soif de savoir romantique.
Dégoût, réaction d’angoisse, et convulsion menant à l’action. Convulsion de la création. On se rend
compte de la vacuité de l’existence. Idée que la réflexion romantique va mener au changement
social.
Description du personnage romantique avec l’amertume, la souffrance. Affirmation des Lumières
positive en l’homme qui était un roseau pensant (Pascal), devient un frêle roseau.
Elément essentiel du XIXe et qui va nous mener au réalisme : critique de la bourgeoisie.
La sensibilité romantique
Texte de Charlotte Brontë, Jane Eyre (1847): Récit à la première personne.
Personnage romantique, besoin de solitude, être passionnel, volonté d’évasion. Exaltation des
sentiments. Personnage révolté contre sa condition de femme. Focalisation interne, énonciation à la
première personne.
Premier paragraphe : Jane Eyre parle d’elle-même. Deuxième paragraphe : le regard des autres, elle
s’inclue dans la société. La transition est son désir d’action, qui conduit à la rêverie féministe dans
le troisième paragraphe.
Les sœurs Brontë, toutes romancières. Emilie publie les hauts de hurlevent, et Charlotte, Jane Eyre.
Elles écrivent sous des pseudonymes masculins. Romans d’amour, généralement des femmes plutôt
calmes avec face à elles des hommes passionnés.
Imparfait -> itératif, de répétition.
Passé simple -> valeur singulative.
1) Caractère romantique du personnage
Personnage éminemment romantique. Romantisme véhiculé par l’utilisation de la première
personne. A partir de cette expérience individuelle, elle va en tirer des propos généraux. Réflexion
sur la nature des hommes et des femmes.
Importance des éléments topiques avec la prépondérance de la nature. Solitude du personnage,
cherchant à voir la nature, typiquement romantique. Jane se promène seule et veut s’éloigner de
l’agitation. Cette nature est assez topique et qui est totale, Jane se promène dans le parc (terrestre)
puis sur le toit (céleste). Lyrisme dans l’expression, des effets de styles d’emphase, gradation
donnant un certain envol.
L’âme de Jane est propice à accueillir l’émerveillement, recevoir le monde avec exaltation mais
aussi une tendance à l’insatisfaction, avec le vocabulaire « trouble », « tumulte ». Jane Eyre prend
garde à insister sur sa sensibilité et son esprit, qu’elle est un être concret. Imagination centrale dans
l’esthétique romantique.
2) Soif du mouvement qui habite le personnage
Champ lexical large autour du terme de l’agitation, « action », « agir », « activité ». A relié à la
volonté d’avancer, qui est propre au romantisme.
Jane Eyre rêve d’aventure. Elle aspire à une vie beaucoup plus mouvementée. Son destin paisible
est vu comme une condamnation. Volonté de changer d’air mais aussi une volonté de connaissance
universelle.
3) Rêverie féministe que propose le texte
A la fin du texte, Jane Eyre dit que les femmes ont la même sensibilité que les hommes. La fin du
texte dénonce les idées reçues sur les femmes en mettant en avant les clichés pour les dénoncer.
Elle retourne l’argument de « léger » contre les hommes, habituellement utilisé pour les femmes.
Texte parfaitement romantique, à la fois dans l’énonciation et dans les termes employés.
Personnage contemplatif et est poussé vers l’action, conduisant à une véritable méditation sur le
rapport hommes/femmes.
Nationalisme et identité nationale
Le nationalisme est une problématique qui parcourt tout le XIXe, dans le sens de l’identité de la
nation, en tant que sentiment d’appartenance. Mouvement des nationalités qui aboutissent en 1870 à
l’Allemagne et l’Italie, parce que c’est une époque où l’Europe est composée d’une juxtaposition de
groupements linguistiques, ethniques ou historiques, qui ne sont pas politiquement des nations, mais
qui se voient comme des unités. Le XIXe va renforcer cette idée d’appartenance à une nation.
Mouvement des nationalités, ni à gauche, ni à droite. Intellectuels à l’origine de ce mouvement :
- des écrivains qui contribuent à la renaissance du sentiment nationale
- des linguistes, des grammairiens, des philologues, vont s’interroger sur la nature de langue,
et agir sur cette langue en la codifiant
- des historiens
- des philosophes politiques
Extension et rétrécissement de l’intérêt national. On dépasse les particularismes pour arriver à
l’unité.
1ère idéologie inspirée de la révolution française : l’idée d’indépendance et de liberté vient de la
révolution française ; la révolution française incite le nationalisme parce qu’elle a donné l’exemple
du patriotisme ; beaucoup plus négative, le grand empire de Napoléon va être opposé aux nouvelles
nationalités en exaltant leur identité.
2ème idéologie inspirée de l’historicisme : opposée à la révolution française (droit des peuples à
disposer d’eux-mêmes). L’historicisme considère la légitimité sur la durée.
Le XIXe va être parcouru par ces révoltes nationalistes, jusqu’en 1815, empire de Napoléon qui
domine et les nationalistes s’opposent à cette hégémonie en s’affirmant. Congrès de Vienne
redistribuant la carte géographique de l’Europe, Napoléon tombe, mais ça va aussi engendrer un
mouvement nationaliste. On n’écoute pas ceux qui se révoltent.
Naissance de l’idée d’Europe au XIXe.
Texte de Germaine de Staël, De l’Allemagne (1810) : éloge des allemands et satyre des français.
Le divorce en Allemagne prouve la loyauté des allemands, que de tromper leur femme comme les
français. Opposition des français qui sont frivoles aux allemands qui sont loyaux. On en conclue
qu’il n’y a pas plus barbare qu’un français. La vanité qui entraine un certain nombre de défauts,
comme la dépravation, qui n’est pas que masculine.
Le réalisme
Refus de la rêverie, d’un monde idéalisé. Volonté d’abandonner la posture romantique du « je ».
La naissance du réalisme découle du rejet du romantisme. A partir de 1848, on a une époque de
révolution, aboutissant à un échec total, constituant une immense déception qui met fin aux rêveries
romantiques de liberté, et donne lieu à la prise de conscience du réel. Emergence d’un certain
nombres de nouvelles idéologies, comme le positivisme (Auguste Comte) avec l’idée que l’esprit
scientifique va devenir tout à fait prédominant, le seul mode de connaissance possible, on renonce
aux croyances théologiques et aux expériences métaphysiques, pour se concentrer seulement sur la
science, en ne cherchant plus à traquer le « pourquoi » mais le « comment ».
Excès du romantisme qui poussent à son rejet. Avènement d’un nouveau courant, contre les excès,
l’imagination romantique. Les réalistes font décrire ce qu’ils ont face à eux, ils veulent peindre le
réel par la seule observation de détails précis en privilégiant la description aussi bien des lieux, des
objets, que des mœurs.
Au point de vue stylistique, on refuse l’enflure et la personnalisation du style romantique. On prône
la simplicité, l’impersonnalité et l’impartial. Offrir un regard objectif sur le monde sans chercher à
l’embellir.
Le roman est le grand genre du réaliste, même si le terme réaliste à l’origine est utilisé pour la
peinture (Gustave Courbet, L’origine du monde). Préface de Pierre et Jean considéré comme le
manifeste du réalisme.
On reproche que la transformation du romancier en chimiste l’éloigne de la vérité psychologique.
On reproche au réalisme, baptisé l’école du laid, de se complaire dans la description de la bassesse
et de la laideur, de ne reculer devant aucune horreur, et d’avoir plaisir à la représenter. On reproche
au réalisme d’être immoral, pendant le procès de Madame Bovary. Les réalistes répondent que si
leurs romans sont immoraux, c’est que la société est immorale.
Texte de Flaubert, Madame Bovary (1857) : moquerie des romans romanesques. Ancrage réaliste
avec la description aliste. L’italique chez Flaubert, sert à désigner le cliché, Dictionnaire des
idées reçues.
Année importante des deux grands procès littéraires, Madame Bovary et Les Fleurs du Mal, pour
immoralité. Ce qui a scandalisé dans Madame Bovary, c’est l’adultère. La réalité est présentée de
façon brute. Roman concernant des personnages ordinaires, voire médiocres. Neutralité du ton qui
choque, pas de jugement du narrateur.
Flaubert, son objectif, c’est d’écrire un livre sur rien, qui tiendrait lui-même sur la force interne de
son style. L’écriture doit être totalement impersonnelle.
Bovarysme : confondre la réalité avec la fiction.
Texte de Maupassant, Mademoiselle Fifi : La guerre franco-allemande, aussi appelée franco-
prussienne, juillet 1870 à janvier 1871, opposant le second empire français dirigé par Napoléon
III. Allemagne encore une mosaïque d’états indépendants, et le chancelier Bismarck voudrait
l’unifier autour de la Prusse. Il est soutenu par Napoléon III, favorable aux principes des
nationalités et les encourage, et territorialement préfère être son allié. Mais Bismarck est un traître,
et isole la France de ses alliés. Le prétexte de la guerre déclarée par Bismarck est la succession
d’Espagne, car le prétendant à la couronne est un allemand. Les français se révoltent. Perte de
l’Alsace et la Lorraine.
// Avec Boule de Suif. Thème de la prostituée, se dressant contre l’oppresseur allemand, se révélant
plus courageuse que les bourgeois.
Thème qu’on retrouve souvent chez Maupassant.
C’est une nouvelle sur le patriotisme. Révolte de Rachel contre les prussiens. Elle est la
représentante de la France face à la Prusse, parce que c’est une femme, par sa condition. Tout est
fondé sur une opposition permanente entre la France et la Prusse : soldats prussiens # prostituées
françaises, opposition dans les discours. Aucune confrontation directe entre les deux cultures. Pas
de dialogues. Mise à distance constante entre les allemands et les françaises.
Barrière de la langue dans cet extrait. Incompréhension du prussien. Pour l’amour de son pays,
Rachel déclare qu’elle n’est pas une femme, elle se dévalue pour mieux exalter la grandeur de son
pays.
Maupassant ne cesse de susciter le patriotisme du lecteur, pour mieux glorifier l’acte de Rachel.
Les allemands sont caricaturés, et Mademoiselle Fifi va être le stéréotype de l’allemand. C’est un
personnage violent, immoral, arrogant. Par contraste, Rachel représente les français, l’honneur
français dans la défaite, qui résiste aux humiliations. Toute la soumission de la France à la Prusse
est mise en parallèle avec le statut de la soumission de la prostituée.
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