Le « pacte de responsabilité » du
gouvernement « socialiste » est une
énième attaque antisociale contre le
monde du travail. 50 milliards d'eu-
ros d’économie dans les services
publics, ce sont 50 milliards d'euros
de plus volés aux salariéEs. En ef-
fet, il est impossible de concrétiser
une telle mesure sans remettre en
cause les statuts, les conventions
collectives, les salaires, l’accès aux
soins et la protection sociale des
usagers. Il est temps d’inverser le
rapport de force. Nous n'avons que
trop cédé de terrain à la classe do-
minante ces dernières années. Plus
que jamais, la grève générale illimi-
tée doit être notre seul objectif à
moyen terme.
Dans l’immédiat, nous nous pronon-
çons donc pour :
- la défense de la sécurité sociale et
son financement solidaire
- le maintien des cotisations patro-
nales pour la branche famille
- l’annulation de la décision gouver-
nementale concernant le transfert
de cotisations
- l’augmentation des salaires, l’arrêt
des licenciements, la défense de la
protection sociale contre les poli-
tiques d’austérité
Mais chaque grève, chaque lutte,
doivent être une étape vers notre
émancipation et l’abolition des rap-
ports de production capitalistes.
Pour en finir avec ce système aussi
absurde qu'injuste, la rupture révo-
lutionnaire ne peut découler que du
développement des luttes et de
l'auto-organisation populaire, et ne
saurait être l’œuvre de quelconques
« sauveurs suprêmes », tribuns
providentiels, « partis d'avant-
garde », ou « représentantEs » ré-
publicainEs.
Nous affirmons que plus personne
aujourd'hui ne peut sérieusement
ignorer la nécessité révolutionnaire.
L'impasse sociale et écologique
dans laquelle nous place le capita-
lisme, l'échec catastrophique du
CHACUN POUR SOI,
C'EST TOUT LE MONDE DANS LA MERDE
ORGANISONS LA SOLIDARITE, CHANGEONS DE SOCIETE !
Le « pacte de responsabilité » du
gouvernement « socialiste » est une
énième attaque antisociale contre le
monde du travail. 50 milliards d'eu-
ros d’économie dans les services
publics, ce sont 50 milliards d'euros
de plus volés aux salariéEs. En ef-
fet, il est impossible de concrétiser
une telle mesure sans remettre en
cause les statuts, les conventions
collectives, les salaires, l’accès aux
soins et la protection sociale des
usagers. Il est temps d’inverser le
rapport de force. Nous n'avons que
trop cédé de terrain à la classe do-
minante ces dernières années. Plus
que jamais, la grève générale illimi-
tée doit être notre seul objectif à
moyen terme.
Dans l’immédiat, nous nous pronon-
çons donc pour :
- la défense de la sécurité sociale et
son financement solidaire
- le maintien des cotisations patro-
nales pour la branche famille
- l’annulation de la décision gouver-
nementale concernant le transfert
de cotisations
- l’augmentation des salaires, l’arrêt
des licenciements, la défense de la
protection sociale contre les poli-
tiques d’austérité
Mais chaque grève, chaque lutte,
doivent être une étape vers notre
émancipation et l’abolition des rap-
ports de production capitalistes.
Pour en finir avec ce système aussi
absurde qu'injuste, la rupture révo-
lutionnaire ne peut découler que du
développement des luttes et de
l'auto-organisation populaire, et ne
saurait être l’œuvre de quelconques
« sauveurs suprêmes », tribuns
providentiels, « partis d'avant-
garde », ou « représentantEs » ré-
publicainEs.
Nous affirmons que plus personne
aujourd'hui ne peut sérieusement
ignorer la nécessité révolutionnaire.
L'impasse sociale et écologique
dans laquelle nous place le capita-
lisme, l'échec catastrophique du
CHACUN POUR SOI,
C'EST TOUT LE MONDE DANS LA MERDE
ORGANISONS LA SOLIDARITE, CHANGEONS DE SOCIETE !