Convergence entre la robotique, la météorologie et la climatologie : La robotique prend une place importante dans notre vie quotidienne. La preuve ! Toutes les données météorologiques et climatiques (prévisions des températures, du temps : pluie, neige …) sont données à partir de ces nombreux robots qui travaillent dessus nuit et jour. Il y a aussi des robots informatiques qui répondent automatiquement sur des réseaux sociaux. Tout d’abord via les réseaux sociaux : Twitter, Nigel Leck possède un compte sur Twitter. Le principe était de répondre aux questions des internautes septiques par rapport au climat. Mais Nigel Leck en a eu assez et a créé un logiciel avec un robot conçu pour répondre automatiquement avec des réponses en anglais. Il répond soit par des mots ou avec un lien. Les internautes sont satisfaits, ils ont toujours une bonne réponse et parfois même ils ne se rendent pas compte qu’ils ont dialogués avec un robot !.Ensuite, il a des robots qui contrôlent le climat, comme en Arctique, un robot russe a été installé. Le robot est un actinomètre automatique, il suit le soleil mesure l'énergie solaire et thermique venant du ciel et reflétée par la surface de la Terre. Il aide les chercheurs grâce à ses données. Grace à lui ils peuvent faire des prévisions sur le réchauffement climatique et le changement du climat global. Puis, il y a peu de temps, pour la premières fois des drones (petits avions sans pilote) ont été utilisés pour mesurer le climat en Antarctique. Le trajet du drone a été programmé sur un ordinateur avec une carte digitale. Seul le décollage et l’atterrissage sont pilotés. Le trajet a duré 45 minutes et le drone a parcouru 50 kilomètres. Le robot peut effectuer environ 100 mesures par seconde. Le petit avion survole le sol de 15 mètres à 300 mètres d’altitude. Le robot a collecté des données sur l'état hygrométrique, la température et la vitesse du vent dans les couches d'air inférieures au-dessus de l'Antarctique. Les chercheurs ont également installé un nouveau système météorologique à la station de Bely Nos. Douze autres appareils de ce type fonctionnent déjà dans les régions d'Arkhangelsk, de Vologda et la république des Komis. Pour finir, l’exemple d’un radiotélescope pour surveiller le soleil et ses éruptions en Australie. C’est un site qui est formé de 2048 antennes dipôles qui contiennent chacune un amplificateur de signal. Cet ensemble est disposé en 128 groupes de 16 antennes. Après 8 ans de travaux, le MWA (Murchison Widefield Array : réseau d’antennes àgrand champ de Murchison) est entré en service fin novembre 2012. Cet appareil est capable de prévoir les tempêtes solaires. Le MWA peut annoncer la tempête 4 fois avant les satellites en orbite autour de la Terre. Il peut la prévoir plusieurs heures à l’avance tandis que les satellites, eux, seulement 2 heures. Définition d'un Radiotélescope: Instrument astronomique qui sert à recevoir les ondes radio électriques émises par des sources célestes. Comme un télescope optique, il récolte l'énergie en provenance de l'objet étudié et la concentre en un point où elle est révélée par un système récepteur puis, successivement, amplifiée, analysée et enregistrée. Les radiotélescopes ont un pouvoir de résolution beaucoup plus bas que celui des télescopes optiques correspondants. C'est pourquoi on a tenté de construire des radiotélescopes d'un diamètre toujours plus grand. Pour augmenter ce pouvoir de résolution, on a eu aussi recours à des méthodes interférométriques, ou bien on a utilisé des instruments très éloignés mais reliés à un seul récepteur. Radiotélescope