
L’impact économique et social du secteur communautaire dans quatre arrondissements de la Ville de Montréal / IV
REMERCIEMENTS
Soulignons d’entrée de jeu la collaboration inestimable des organismes communautaires qui
ont participé à cette recherche. Cette collaboration doit être soulignée en raison du caractère
particulièrement exigeant du questionnaire et des entrevues de groupes. De plus, plusieurs
dizaines d’organismes ont participé à des présentations de résultats de la recherche et y ont
apporté des suggestions et des commentaires pertinents.
Nous tenons également à remercier les Tables de concertation représentant les organismes
communautaires des quatre arrondissements couverts par la recherche. Elles sont à l’origine
de la demande qui a donné naissance à cette recherche. Nous remercions chaleureusement les
quatre Corporations de développement économique communautaire (CDEC) partenaires, qui
ont apporté, avec beaucoup de générosité, une contribution humaine de tous les instants, ainsi
qu’un apport financier et technique, qui ont permis de meilleures conditions de recherche.
Ce projet a pu être réalisé grâce à divers appuis financiers. C'est ainsi qu'il a bénéficié, au
départ, d'une subvention de 9 000 $ versée à la fin de l'automne 1994 par le Programme d'aide
financière à la recherche et à la création de l'Université du Québec à Montréal (UQÀM), dans
le cadre des Services aux collectivités. Le Fonds institutionnel de recherche de la Télé-
Université, par l’entremise de Diane-Gabrielle Tremblay, a aussi accordé une subvention de 7
000 $.
La Chaire SEAGRAM en gestion des organismes sans but lucratif de l’UQÀM et son
directeur, M. Paul Dell'Aniello nous ont également accordé une aide de 3 000 $.
Le Secrétariat à l'action communautaire autonome (SACA), avec un apport de 7 000 $, a
aussi facilité la production finale des résultats de la recherche.
Enfin, le Laboratoire de recherche sur les pratiques et les politiques sociales (LAREPPS),
rattaché à l’École de travail social de l'UQÀM, a fourni, pendant des périodes «moins fastes»
du processus, les ressources humaines et financières nécessaires à la poursuite des travaux.
Soulignons, à cet égard, le travail de Anne-Marie Gaillard et de Thuy Diep Luu, toutes deux
assistantes de recherche à l’UQÀM, qui ont relu l’ensemble du document afin d’apporter les
corrections nécessaires à sa mise en forme finale.
Nous tenons également à remercier Nancy Guberman et Yves Vaillancourt de l’École de
travail social ainsi que Benoît Lévesque du Département de sociologie, tous trois professeurs
à l’UQÀM, pour le regard professionnel qu’ils ont porté su r ce projet.
Nous remercions donc toutes les personnes et les organismes qui nous ont appuyés dans notre
démarche.